Arrow Table de matières
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BIBLIOGRAPHIE, ANNEXE, TABLE DE MATIERE

  1. L, 2005. Evaluation des pertes de rendement dues à la Mosaïque Africaine du Manioc dans les champs paysans : cas de territoire de Kabare. Mémoire de fin d’étude, inédit UCB/Bukavu : 35pp.
  2. G, NINDJIN. C, N’ZUÉ. B, TSCHANNEN. A, AKA. D, 2007. Potentialités à la transformation du manioc (Manihot esculenta Crantz) en Afrique de l’Ouest, Actes de l’atelier international UAA-CSRS-CNRA-I2T, 4-7 juin 2007, Abidjan, Côte d’Ivoire, 341p.
  3. ANNONYME, 2007. La mosaïque africaine du manioc au Sud-Kiv, la voix du congo profond, Secrétariat Général du Ministère de l’Agriculture, boulevard du 30-Juin, rond-point Batetela; avec l’appui technique et financier du fonds d’expertise de la Coopération Technique Belge de développement (CTB-BTC).
  4. ANNONYME, 2016. Le manioc menacé par la striure brune, Côte d’Ivoire, commodafrique, pp16
  5. ANONYME, 2002. Mémento de l’Agronome, Ministère des affaires étrangères, CIRAD-GRET, paris : 1635pp.
  6. ANONYME, 1987. Séminaire sur les maladies et les ravageurs des principales cultures vivrières d’Afrique Centrale. Bujumbura 16-20 février : 554pp
  7. A, 2016. Évaluation de la situation phytosanitaire de manioc sur l’axe nyangezi-kaziba-luwhindja- burhinyi, Mémoire inedit, U.C.B, pp49
  8. BIZUNGA, M., 2010. Situation de la Striure brune de Manioc (CBSD) dans les champs paysans du plateau des Batéké, mémoire inédit, Université de Kinshasa.
  9. J, JOHN. Y, PETER. N, ANTHONY. C, WESTER. M, NNAMBI. E, MUAKA. T, 2000. Lutte contre les ravageurs du manioc, IITA, pp36
  10. O, 2003. Projet multi-agence et multi-investisseur en Développement sur la réhabilitation de la culture du manioc en R.D du Congo.
  11. FRANÇOIS. L, 1989. Ressources génétiques et amélioration du manioc, Manihot esculenta en Afrique : 181pp
  12. GUTHRIE .M, 1992. Contrôler la mosaïque africaine du manioc, CTA : 20pp
  13. B, 2016. Analyse de la situation phytosanitaire du manioc à kabare : cas de cirunga, mudaka et kagabi, Mémoire inédit, U.C.B, pp
  14. IITA, 1997. Multiplication rapide du manioc, Institut International d’Agriculture Tropical, Meg-Comm Network, Lagos Nigeria, ISBN 978-131-142-8.61pp.

64

  • JANSSENS .M, 2001. Le manioc, Manihot esculenta Crant : 198-224 In : Raemaekers (Ed) : Agriculture en Afrique Tropicale. DGCI. Ministère des affaires étrangères, Bruxelles, Belgique : 1634pp.
  1. B etal, 2014. Rapport d’évaluation des conditions socio-économiques des ménages agricoles dans le territoire de kabare au Sud-Kivu à l’est de la République Démocratique du Congo, Sud-Kivu 62pp.
  2. NAITORMBAIDE .M, DJONDANG. K, MBAYOUDEL. K, 2009. Sélection et transfert des variétés de manioc tolérantes à la sécheresse et à la mosaïque africaine, Rapport final Institut Tchadien de Recherche Agronomique pour le Développement, Djamena : 43pp.
  3. S, YANDIA. S, ZINGA.I, DETHOU. M, LONGUE. R, MOITA. M, BALLOT. C, TOCKO. M ET VALAN. A, 2008. Etude de l’état phytosanitaire du manioc en République Centre Africaine et de la variabilité des souches virales en circulation, pp.22,
  4. B, 2003. Evaluation phytosanitaire du  Manioc à Kalehe.  Mémoire de fin d’étude, inédit UCB/Bukavu : 30pp.
  5. MUPENDA KIKUNI.T et WALANGULULU MASAMBA.J, Etat phytosanitaire du manioc (manihot esculenta crantz) en milieu rural du Sud-Kivu, côte occidentale du lac-Kivu, république démocratique du Congo, International Journal of Innovation and Scientific Research, ISSR, ISSN 2351-8014 Vol. 20 No, pp. 180-187.

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Table des matières

DEDICACE.. I

REMERCIEMENTS. II

RESUME.. V

INTRODUCTION.. 1

CHAPITRE I : GENERALITES SUR LE MANIOC.. 3

I.1. ORIGINE.. 3

I.2. DESCRIPTION.. 3

I.3. IMPORTANCE DU MANIOC.. 3

I.3.1. Importance alimentaire et nutritionnelle. 3

I.3.2. Importance économique. 4

I.3.3. Importance agronomique. 5

I.3.4. Importance industrielle. 5

I.4. ECOLOGIE.. 6

I.5. LES MALADIES ET LES RAVAGEURS DU MANIOC.. 7

I.5.1. LES MALADIES. 7

I.5.2. LES RAVAGEURS. 11

I.6. SYSTEMES DE CULTURE.. 12

I.7. CONTRAINTES LIEUX A LA PRODUCTION DU MANIOC.. 12

CHAPITRE II. MILIEU, MATERIEL ET METHODE.. 15

II.1. MILIEU D’ETUDE.. 15

II.1.1. Conditions pédoclimatiques. 15

II.1.2. IRHAMBI-KATANA.. 16

II.1.3. BUSHUMBA.. 17

II.2. MATERIELS et METHODES. 18

CHAPITRE III : PRESENTATION ET DISCUSSION DES RESULTATS. 23

III.1 : DISTRIBUTION DES PESTES DANS LE MILIEU D’ETUDE.. 23

III.2 DISTRIBUTION DES VARIETES RENCONTREES DANS LE MILIEU D’ETUDE   24

III. 3 : DISTRIBUTION DES PESTES SELON LES VARIETES RENCONTREES DANS LE     MILIEU D’ETUDE. 25

III.4: INCIDENCE ET SÉVÉRITÉ MOYENNE DE LA MOSAÏQUE AFRICAINE DU MANIOC, DE LA STRIURE BRUNE, DE LA BACTÉRIOSE, DE L’ANTHRACNOSE, DE L’ACARIEN VERT ET DE LA COCHENILLE FARINEUSE DU MANIOC EN FONCTION DU MILIEU, DES VARIÉTÉS, DE L’ÂGE DES PLANTS ET DES SYSTÈMES DES CULTURES EN PRÉSENCE. 26

CONCLUSION ET  RECOMMANDATION.. 60

BIBLIOGRAPHIE.. 62

60

Tableau 36 : Corrélations entre l’incidence et sévérités des maladies en fonction de l’altitude

Groupement

Village

Altitude

Mosaïque

Striure brune

Bactériose

Anthracnose

Acarien vert

Cochenille

Incidence (%)

Sévérité

  Incidence (%)

Sévérité

Incidence (%)

Sévérité

 Incidence (%)

Sévérité

Incidence (%)

Sévérité

Incidence (%)

Sévérité

Irhambi-kata

Mwanda

1571

70

3

70

2,9

1

3

0

0

0

0

1

2

Chegera

1666

55

3

59

2,7

3

2,3

0

0

16

2,2

0

0

Mabingu

1568

65

3,3

84

3,3

2

3

1

5

14

2,9

0

0

Lugengo

Birava centre

1473

41

3,1

44

2,9

0

0

0

0

2

2,3

1

2

Bugesera

1520

58

2,9

70

3

0

0

0

0

0

0

0

0

Bidabanga

1493

60

1,9

74

2

0

0

0

0

3

2,5

0

0

Bushumba

Nyabulongwe

1530

63

2,5

62

2,6

0

0

0

0

0

0

0

0

Murhama

1510

75

3,2

58

3

2

3

0

0

10

2,8

0

0

Lwangombe

1502

69

3,4

55

3,3

1

2

0

0

0

0

0

0

Coefficient de corrélation de (R)

0,843

   0,514

  0,503

0,458

0,018

0,216

0,601

0,601

0,058

0,820

0,707

0,707

  Taux de liaison ( )

         71%

    26%

25%

20%

0%

0%

36%

36%

0%

67%

49%

49%

Ces résultats montre que la corrélation entre la Mosaïque, la Striure brune, la Bactériose, l’Anthracnose, l’Acarien vert et la Cochenille farineuse du Manioc est positive c’est-à-dire que l’’altitude influence positivement la distribution de ces maladies mais la force de cette distribution varie différemment d’une maladie à l’autre.  On remarque que la distribution de la Mosaïque est  beaucoup plus influencée par l’altitude par rapport à la distribution d’autres maladies. En réfléchissant plus loin,  On peut comprendre que c’est l’infection primaire qui s’exprime toujours car plus on monte en altitude plus il y a une élévation de la chaleur or cette dernière favorise le développement des différentes maladies du manioc et induit directement à son stress  vu que les semences sont infectées.

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