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CHAP III SUITE

Tableau 25 : Incidence et sévérité moyenne de la Bactériose en fonction de l’Age

                       

Age/Niveau

1

2

3

4

5

Effectif total

Incidence moyenne

Sévérité moyenne 

effectif

effectif

%

effectif

%

effectif

%

effectif

%

0 – 6 mois

1050

4

0,37%

2

0,18%

0,00%

0

0,00%

1056

0,56%

2,3

7 – 12 mois

86

1

1,13%

0,00%

1

1,13%

0

0,00%

88

2,27%

3,0

Plus de 12 mois

42

1

2,27%

0,00%

1

2,27%

0

0,00%

44

4,54%

3,0

                                           

Les résultats de ce tableau stipulent que dans le milieu d’étude le développement de la de la Bactériose se présente comme s’il tend à évolué avec l’augmentation de l’âge des plants malgré qu’il est trop lent.

Tableau 26 : Incidence et sévérité moyenne de la Bactériose en fonction des systèmes de cultures

Système de culture/Niveau

1

2

3

4

5

Effectif total

Incidence moyenne

Sévérité moyenne

 

effectif

effectif

%

effectif

%

effectif

%

effectif

%

 

Association

505

0,00%

1

0,19%

0,00%

0

0,00%

506

0,19%

3,0

 

Monoculture

673

6

0,87%

1

0,14%

2

0,29%

0

0,00%

682

1,31%

2,6

 
                           
                                 

Les résultats de ce tableau stipulent que dans le milieu d’étude la distribution de la Bactériose du manioc est presque absente dans les deux systèmes de cultures mais on remarque que malgré sa faible présence l’indice de gravité est considérable.

Tableau 27 : Incidence et sévérité moyenne de l’Anthracnose en fonction de la variété.

Variété/Niveau

1

2

3

4

5

Effectif total

Incidence moyenne

Sévérité moyenne

effectif

effectif

%

effectif

%

effectif

%

effectif

%

Liyayi

12

0

0,00%

0

0,00%

0

0,00%

0,00%

12

0,00%

0

Mayombe

2

0

0,00%

0

0,00%

0

0,00%

0,00%

2

0,00%

0

M’bailo

457

0

0,00%

0

0,00%

0

0,00%

1

0,21%

458

0,21%

5,0

M’bisembe

521

0

0,00%

0

0,00%

0

0,00%

0,00%

521

0,00%

0

M’kanyunyi

9

0

0,00%

0

0,00%

0

0,00%

0,00%

9

0,00%

0

M’mbiyombiyo

135

0

0,00%

0

0,00%

0

0,00%

0,00%

135

0,00%

0

N’namale

4

0

0,00%

0

0,00%

0

0,00%

0,00%

4

0,00%

0

Sawasawa

47

0

0,00%

0

0,00%

0

0,00%

0,00%

47

0,00%

0

Il ressort des résultats de ce tableau quedans notre milieu d’étude toutes les variétés ne sont pas sensible à L’Anthracnose du Manioc vu que leur niveau d’incidence et de sévérité sont presque nul partout. Cela veut dire que cette maladie n’est pas à craindre dans le milieu vu le degré bas de son incidence.

Tableau 28 : Incidence et sévérité moyenne de l’Anthracnose en fonction de l’Age.

                         

Age/Niveau

1

2

3

4

5

Effectif total

Incidence moyenne

Sévérité moyenne

effectif

effectif

%

effectif

%

effectif

%

effectif

%

0 – 6 mois

1056

0

0,00%

0

0,00%

0

0,00%

0,00%

1056

0,00%

0

7 – 12 mois

88

0

0,00%

0

0,00%

0

0,00%

0,00%

88

0,00%

0

Plus de 12 mois

43

0

0,00%

0

0,00%

0

0,00%

1

2,27%

44

2,27%

0

                                           

Les résultats de ce tableau stipulent que dans le milieu d’étude le développement de la de l’Anthracnose tend vers zéro à tout le niveau d’âge des plants.

Tableau 29 : Incidence et sévérité moyenne de l’Anthracnose en fonction des systèmes de cultures.

Système de culture/Niveau

1

2

3

4

5

Total général

Sévérité moyenne

effectif

effectif

%

effectif

%

effectif

%

effectif

%

effectif

Incidence moyenne

Association

506

0

0,00%

0

0,00%

0

0,00%

0

0,00%

506

0,00%

0,0

Monoculture

681

0

0,00%

0

0,00%

0

0,00%

1

0,14%

682

0,14%

5,0

Les résultats de ce tableau stipulent que dans le milieu d’étude la distribution de l’Anthracnose du manioc est presque absente dans les deux systèmes de cultures car partout la valeur de l’incidence tend vers zéro. Cela peut être due par le faite que cette maladie se remarque beaucoup plus dans les zones forestières de basse altitude (FAO, 2000).

Tableau 30 : Incidence et sévérité moyenne de l’Acarien vert en fonction de la variété.

                         

Variété/Niveau

1

2

3

4

5

Effectif total

Incidence moyenne

Sévérité moyenne

effectif

effectif

%

effectif

%

effectif

%

effectif

%

Liyayi

12

0,00%

0,00%

0,00%

0

0,00%

12

0,00%

0

Mayombe

2

0,00%

0,00%

0,00%

0

0,00%

2

0,00%

0

M’bailo

428

15

3,27%

12

2,62%

3

0,65%

0

0,00%

458

6,55%

2,6

M’bisembe

506

11

2,11%

4

0,76%

0,00%

0

0,00%

521

2,87%

2,3

M’kanyunyi

9

0,00%

0,00%

0,00%

0

0,00%

9

0,00%

0

M’mbiyombiyo

130

1

0,74%

4

2,96%

0,00%

0

0,00%

135

3,70%

2,8

N’namale

4

0,00%

0,00%

0,00%

0

0,00%

4

0,00%

0

Sawasawa

47

0,00%

0,00%

0,00%

0

0,00%

47

0,00%

0

                                           

Il ressort des résultats de ce tableau que dans le milieu d’étudel’Acarien vert est très peu présente sur toutes  les variétés car  elles ont présentées toutes un niveau  très bas d’incidence ce qui fait que cette maladie n’est pas à craindre dans le milieu.Sa faible distribution sur toutes les variétés serait peut être due au fait que notre enquête a été menée pendant la saison de pluie or les dégâts infligés au manioc par ce ravageur sont plus sévères en saison sèche qu’en saison des pluies (BRAIMA et al, 2000).

Tableau 31 : Incidence et sévérité moyenne de l’Acarien vert en fonction de l’Age.

                         

Age/Niveau

1

2

3

4

5

Effectif total

Incidence moyenne

Sévérité moyenne

effectif

effectif

%

effectif

%

effectif

%

effectif

%

0 – 6 mois

1019

23

2,17%

12

1,13%

2

0,18%

0

0,00%

1056

      3,5%

3,3

7 – 12 mois

83

2

2,27%

3

3,40%

0,00%

0

0,00%

88

5,68%

2,6

Plus de 12 mois

36

2

4,54%

5

11,36%

1

2,27%

0

0,00%

44

18,18%

2,9

                                               

Les résultats de ce tableau stipulent que dans le milieu d’étude l’Acarien vert a été retrouvé à tout le niveau d’âge de la culture mais à un niveau très bas d’incidence de ce fait les dégâts infligés au Manioc par ce ravageur seraient très moins considérable à tout le niveau d’âge.

Tableau 32 : Incidence et sévérité moyenne de l’Acarien vert en fonction des systèmes des cultures.

Système de culture/Niveau

1

2

3

4

5

Effectif total

Incidence moyenne

Sévérité moyenne

Effectif

effectif

%

effectif

%

effectif

%

effectif

%

 

Association

493

8

1,58%

5

0,98%

0,00%

0

0,00%

506

2,56%

2,4

Monoculture

645

19

2,78%

15

2,19%

3

0,43%

0

0,00%

682

5,42%

2,6

Il ressort de ce tableau qu’il n’y aucun système de culture qui semble favorisé le développement de l’Acarien vert car  l’incidence est très faible partout. Cette faible présence de ce ravageur dans tous les systèmes de cultures serait due par le fait que les agriculteurs auraient maitrisés cet insecte par l’usage des variétés tolérantes à cet animal et serait peut-être aussi attribuer par la présence de l’ennemi naturel de ce ravageur dans ce milieu, ce qui fait que ce ravageur ne présente aucunecontrainte à la production du Manioc dans ce milieu.

Tableau 33 : Incidence et sévérité moyenne de la Cochenille farineuse du Manioc en fonction de la variété.

                       

Variété/Niveau

1

2

3

4

5

Effectif total

Incidence moyenne

Sévérité moyenne

effectif

effectif

%

effectif

%

effectif

%

effectif

%

Liyayi

12

0,00%

0

0,00%

0

0,00%

0

0,00%

12

0,00%

0

Mayombe

2

0,00%

0

0,00%

0

0,00%

0

0,00%

2

0,00%

0

M’bailo

456

2

0,43%

0

0,00%

0

0,00%

0

0,00%

458

0,43%

2,0

M’bisembe

521

0,00%

0

0,00%

0

0,00%

0

0,00%

521

0,00%

0

M’kanyunyi

9

0,00%

0

0,00%

0

0,00%

0

0,00%

9

0,00%

0

M’mbiyombiyo

135

0,00%

0

0,00%

0

0,00%

0

0,00%

135

0,00%

0

N’namale

4

0,00%

0

0,00%

0

0,00%

0

0,00%

4

0,00%

0

Sawasawa

47

0,00%

0

0,00%

0

0,00%

0

0,00%

47

0,00%

0

                                           

Lesrésultats de ce tableau  montrent que la Cochenille du Manioc est presque absente sur toutes les variétés présentes dans le milieu. Cela signifie que ces variétés ne favorisent pas le développement de ce ravageur car son niveau d’incidence est presque nul partout. Ce qui fait que ce ravageur ne soit pas également une à la production du manioc  dans le milieu.Cette faible présence sur toutes les variétés rencontrés serait peut-être attribuer au fait que notre enquête a été menée pendant la saison de pluie or les dégâts infligés au manioc par ce ravageur sont plus sévères en saison sèche qu’en saison des pluies (BRAIMA et al, 2000).

Tableau 34 : Incidence et sévérité moyenne de la Cochenille farineuse du Manioc en fonction de l’âge.

Age/Niveau

1

2

3

4

5

Effectif total

Incidence moyenne

Sévérité moyenne

effectif

effectif

%

effectif

%

effectif

%

effectif

%

0 – 6 mois

1054

2

0,18%

0

0,00%

0

0,00%

0

0,00%

1056

0,18%

2,0

7 – 12 mois

       88

0,00%

0

0,00%

0

0,00%

0

0,00%

88

0,00%

0

Plus de 12 mois

       44

0,00%

0

0,00%

0

0,00%

0

0,00%

44

0,00%

0

Les résultats de ce tableau stipulent que la Cochenille du Manioc est presque absente sur les plants moins âgés et plus âgés car  à tout le niveau, l’incidence tend vers zéro.

Tableau 35 : Incidence et sévérité moyenne de la Cochenille du Manioc en fonction des systèmes des cultures.

Système de culture/Niveau

1

2

3

4

5

Effectif total

Incidence moyenne

Sévérité moyenne

effectif

effectif

%

effectif

%

effectif

%

effectif

%

effectif

%

 

Association

505

1

0,19%

0

0,00%

0

0,00%

0

0,00%

506

0,19%

2,0

Monoculture

681

1

0,14%

0

0,00%

0

0,00%

0

0,00%

682

0,14%

2,0

Ces résultats montrent qu’il n’y aucun système de culture qui semble favorisé le développement de l’Acarien vert car  l’incidence est très faible partout. L’étude mené par IRAGI, 2016 dans les groupements de Cirunga,  Mudaka et Kagabi avait aussi montré que la présence de ce ravageur dans ces dit groupements était également faible dans les deux systèmes de cultures.

 

Figure 3 : Représentation graphique de nombre moyen des mouches blanches sur les 5 premières feuilles en fonction des groupements enquêtés.

Ce graphique montre la moyenne de nombre des mouches blanche par groupement

Il ressort de ce graphique qu’il y a tant de mouches à Bushumba qu’à Lugendo et qu’à Irhambi-Katana. Le nombre moyen de mouches blanches sur les cinq premières feuilles est inégalement réparti en fonction du milieu mais il est faiblement considérable dans le groupement de Bushumba que dans les deux autres groupements.

En globalité, en observant bien les résultats présentés par ce graphique on constate qu’il n’y a presque pas de mouches dans notre milieu d’étude. Ceci veut dire que dans notre milieu d’étude, la mouche blanche n’est pas du tout responsable de l’expansion de la mosaïque africaine du manioc et de la striure brune du manioc mais leur expansion serait assurer par les boutures que les paysans prélèvent sur les mêmes matérielles de plantation ultérieurement infecté et cela d’une saison culturale à une autre et d’une année à l’autre.

Figure 4 : Représentation graphique de nombre moyen des mouches blanches sur les 5 premières feuilles en fonction des variétés.

Ce graphique montre la moyenne de nombre des mouches blanche par variété répertoriée.

Il ressort de ce graphique qu’il y a tant de mouches blanches sur la variété M’bailo, M’ M’biyombiyo et Sawasawa que sur les autres variétés si haut représenté graphiquement. En observant bien ces résultats nous pouvons dire que la mouche blanche ne se développe pas du tout sur les  différentes variétés rencontrées vu leur nombre faible sur chaqu’une de ses variétés.

Figure 5 : Représentation graphique de nombre moyen des mouches blanches sur les 5 premières feuilles en fonction des systèmes de cultures en présence.

Ce graphique montre la moyenne de nombre des mouches blanche par systèmes de cultures en présence. 

Légende : A : Association

                                                                                                                             P: Monoculture

Les résultats de ce graphique stipulent que le nombre des mouches blanches est d’autant plus remarquable en monoculture qu’en association des cultures. Ces résultats se rapprochent de ceux trouvés en 2016 à Nyangezi par BAGALWA, qui stipule également que les mouches blanches préféraient beaucoup plus la monoculture comparativement à l’association des cultures. L’étude de l’impact de l’association des cultures sur l’épidémiologie de la mosaïque africaine du manioc avait montré des diminutions de l’ordre de 19% et 33,3%, cette diminution était respectivement enregistrée sur l’incidence de la mosaïque et le nombre des mouches blanches par feuilles lorsque le manioc était cultivé en association qu’en monoculture (BISIMWA, cité par BAGALWA, 2016).

Figure 6 : Représentation graphique de nombre moyen des mouches blanches sur les 5 premières feuilles en fonction de l’âge de la culture.

Ce graphique montre la moyenne de nombre des mouches blanche par tranche d’âge.

Légende : J : 0 – 6 mois

                 M: 7 – 12 mois

                 V : Plus de 12 mois

Les résultats de ce graphique stipulent que la présence des mouches blanche sur les cinq premières feuilles varie avec l’âge. Ce nombre est d’autant plus remarquable sur les plants de  plus de 12 mois que sur les deux autres tranches d’âge. BAGALWA, 2016  avait aussi trouvé la même chose à Nyangezi, Kaziba, Luwhinja et à Buhrinyi.

Figure 7 : Représentation graphique de nombre moyen des pupes/nymphe sur les 5 premières feuilles en fonction de chaque groupement.

Ce graphique montre la moyenne de nombre des pupes/nymphe par groupement.

Les résultats de ce graphique stipulent que les pupes nymphes sont plus présentes dans les groupements d’Irhambi-Katana et de Lugendo que dans le groupement Bushumba mais leur nombre est très moins considérable car ce graphique voit qu’il n’y a qu’une celle pupe qui a été signalé dans chacune de ces groupements.

Figure 8 : Représentation graphique de nombre moyen des pupes/nymphe sur les 5 premières feuilles en fonction de chaque variété.

Ce graphique montre la moyenne de nombre des pupes/nymphe  par variété.

Les résultats de ce graphique stipulent que les pupes/nymphe sont plus fréquente sur la variété M’bailo que sur toutes les autres variétés. Mais malgré qu’elles présentent une tendance qui tend à être élevé par rapport aux autres on remarque par une simple vu des résultats de ce graphique qu’elles sont très moins considérables sur toutes les variétés.

Figure 9 : Représentation graphique de nombre moyen des pupes/nymphe sur les 5 premières feuilles en fonction de l’âge des plants.

Ce graphique montre la moyenne de nombre des pupes/nymphe  par tranche d’âge.

Légende : J : 0 – 6 mois

                 M: 7 – 12 mois

                 V : Plus de 12 mois

Les résultats de ce graphique stipulent que le nombre des pupes/nymphe est le même sur les plants moins âgés que sur les plants plus âgés. On remarque que ce nombre est toujours très négligeable partout.

Figure 10 : Représentation graphique de nombre moyen des pupes/nymphe sur les 5 premières feuilles en fonction des systèmes de cultures.

Ce graphique montre la moyenne de nombre des pupes/nymphe  par système de culture.

Légende : A : Association

                 P : Monoculture

Les résultats de ce graphique stipulent que le nombre des pupes/nymphe est le même dans tous systèmes de cultures mais ce nombre est toujours très négligeable dans tous les deux systèmes de cultures. 

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