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CONCLUSION GENERALE

Notre étude porte sur le thème intitulé « le rôle du tribunal pour enfant dans la ville de Bukavu » constituant son point focal en criminologie dans le paradigme de la réaction sociale.  

Partant de l’Etat de la question à montré que les chercheurs mènent la recherche dans le domaine se sont poussé leur réflexion sur les causes d’entrées dans la rue, les représentations ; le vécu en institution des enfants en situation difficile et sur leurs différentes trajectoires de sortie de la rue et aussi sur les  intervenants sociaux et les réactions des familles autour du placement de leurs enfants. La différence en est que ces chercheurs n’ont pas exploité ou n’ont pas poussé leur réflexion pour comprendre aussi les pratiques qui sont observable dans l’application de ceux enfants qu’ils ont étudié, devant le tribunal pour enfant avoir comment le tribunal le protège face à leur droit.

Ainsi pour être claire notre travail a comme question principale : « Quelle compréhension avoir du rôle du tribunal pour enfant dans la protection judiciaire de l’enfant au sein du tribunal ».

Nos données empiriques a partir de notre objet d’étude ont été collectées ou moyen de l’observation comme  ledit PLATINI (2006) relayée par entretien semi-directif explicité par Gauthier (1987) et ce que Tshinyama (2009) appelle les entrevue conversationnelles.

Opter la posture constructiviste, qui regarde les phénomènes de l’intérieur du dedans et qui considère que les phénomènes tels qu’ils lui apparaissent cachés en eux une signification qu’il faut découvrir.   Notre orientation se fait de la démarche inductive dans l’analyse thématique de   notre empirique. Adaptant l’interactionnisme symbolique selon D. Le breton (2003) , nous a servi de grille de lecture et nous ont permis de dégager les pratiques qui émerge dans l’application de la loi. Et savoir les interactions qui-a-t-elle entre les juges et les parents lors de cette application de la loi et aussi pour les mesures prises à l’égard des enfants lors de son manquement qui est qualifié d’infraction à la loi pénale.

Au niveau de l’institution de garde      

Selon la loi portant protection de l’enfant qui montre que l’enfant ne peut être incarcéré, seulement il doit être placer dans une institution de garde d’éducation ce qui est contraire de ce que nous avons rencontré sur terrain ; on a trouvé que les enfants sont incarcéré dans la prison centrale de Bukavu comme motif, on dit que malgré qu’ils sont dans la prison centrale ils ont leur quartier spécial qui ne dépend pas de la prison centrale comme se font chez les adultes ; seulement eux dépend du tribunal pour enfant et selon notre logique nous avons trouvés qu’il n’y a pas des différences avec les adultes parce que au sein de la prison il y a des cellules pour chaque catégories des personnes, ça ne nous étonnerait pas de voir les enfants aussi qui ont leurs cellules nommé quartier spécial.

Au niveau de l’éducation on a remarqué l’échec dans le sens où quand l’enfant trouve seulement l’image de la prison son comportement devient directement différent de ce qu’il peut être dans un établissement de garde d’éducation.

Au niveau de la création de la loi

En rapport avec ce que le monde développe tous les jours, nous trouverons que lors de la création de la loi, les législateurs ne se sont pas rendu compte de toutes les parties du pays, ils ne se sont pas rendu compte de la présence des enfances qui sont en situation difficile car, lors de notre recherche nous avons remarqués que dans beaucoup des cas les enfants ne sont pas bien prises en charge par l’Etat dans le sens où ils ne sont pas même en moitié satisfait de leurs besoins qui peuvent les conduire à la délinquance. Nous avons trouvé que dans plusieurs cas les enfants sont amenés au tribunal pour avoir connu le manquement qui sont qualifiés d’infraction à la loi pénale en arriva au tribunal ont le gardent dans le quartier spécial pour attendre les jours de l’audience, quand ils arrivent auprès de juges on prend leurs identités après ont leurs auditionne, après si l’enfant a déjà terminé à plaider son cas le juge les laissent partir en lui disant seulement de ne pas continuer à faire de vagabondage, et l’enfant part après quelques jours ont lui ramène au tribunal pour une autre cause en parlant de toutes ce choses sa nous permet de bien montrer l’importance de l’institution de garde des enfants ; si au moins les enfants qui n’ont pas des moyens ou des familles prouvent être garder dans  l’institution en leur donnant des occupations qui peuvent être utile a leurs vie future.

Au niveau des mesures prises a l’ égard des enfants en conflit avec la loi.

Etant criminologue, la première de chose a faire pour ces enfants c’est l’éducation et comme la loi aussi l’évoque parmi les droits de l’enfant, la mesure que la loi avait mis en pratique a l’égard de l’enfant ça ne nous parait suffisante. Ce vrai nous savons bien que l’enfant ne peut pas avoir même mesure avec l’adulte mais de part notre constat nous avons remarqué que la loi gatte trop les enfants en cas de leurs mesures face à leur manquement, et comme ils sont considérés comme des êtres qui agissent sans discernement leur mesures et sanctions ne le permettent pas de continuer dans le bon sens, pour leur raisonnement ils connaissent que malgré qu’on peut être arrêté pour n’importe quelle infraction nous serons toujours privilégiés. Les enfants de la ville de Bukavu en majorité sont au courant de la légèreté de cette loi et à l’égard de cette situation chacun veulent tirés les couvertures de sa part surtout les majeurs qui veulent se confondre en mineur. Comme nous l’avons expliqué ci-dessus dans le pratique de notre part on a remarqué que dans cette lois il y a à boire et à manger face à sa légèreté de  sanctionner. 

Notre étude n’a pas pu présenter toutes les parties qui pouvait être importante face à des pratiques qui sont observées dans l’application de la loi portant protection de l’enfant, car sa peut être une tromperie de dire que nous avons terminé tout, sur ce, la porte est grandement ouverte pour une autre chercheur qui a aussi le souci de savoir ce que cette lois nous a amené en cas de la protection des enfants.

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