CONCLUSION

Disons que l’internet existe et est utilisé à Bukavu en grand partie par les jeunes étudiants et élèves, surtout par les hommes, nous avons constaté pendant les recherches que certains sont même internautes sans le savoir du faite qu’ils ne comprennent rien de l’Internet. La plus part des personnes rencontrés ont dit qu’ils sont internautes depuis plus de 10 ans déjà et se connectent au moins chaque jour sur le leurs téléphones portables partout où ils sont jusqu’à l’épuisement du forfait. Plusieurs personnes rencontrées disent être satisfait des services offerts par internet par ce que seulement c’est pour eux un lieu de rencontre et de communication avec les amis et une partie de ceux qui ne satisfait le sont à cause de débit de la connexion. Une fois connecté, les internautes se lancent dans les échanges avec les amis et connaissances via les réseaux sociaux, la recherche des amis et les visites des modèles voitures de rêves et par conséquent les sites et les applications de chat sont les plus visités. Moins nombreux sont ceux qui consultent les encyclopédies pour s’informer. A l’issue des nos enquêtes et observations, nous avons aboutit aux résultats ci-après :
 l'Internet, comme moyen de communication, d’échange et de rencontre avec les vielles connaissances existe à Bukavu et ne pas encore maitrisé par ceux qui l’utilise et appartient encore aux jeunes.
 L’internet est utilisé pas pour des travaux sérieux mais pour des raisons de distractions, des grandes sommes d’argent sont dépenses pas pour grand-chose et donc pour des distractions inutiles qui ne font pas vraiment avancé le monde, la science et souvent pas même le business.
 L’internet s’apprend timidement par les jeunes gens qui l’utilisent et tout est devenu mécanique devant leurs téléphones pour eux et souvent devant un ordinateur ils perdent le contrôle ; d’où il faut un apprentissage et une information suffisante pour les usagés de l’internet.
Nous voilà à la fin de ce travail sans aucune prétention d’avoir épuisé la matière. Ainsi nous laissons le champ ouvert aux autres chercheurs intéressés par la présente matière abordée pour nous compléter, nous disons aussi que nous sommes ouverts à toutes formes de critiques sur la matière traitée dans ce sujet.