Table de matières
Nous voici au terme de notre travail qui porté sur la « Lecture sémiostylistique des aspects de la littérarité dans Congo Inc. Le testament de Bismarck d’In Koli Jean Bofane »
Dès le départ, l’on s’aperçoit que le travail est tout entier marqué par un ton, celui de la littérarité. Considérons le texte comme discours, notre but était détraqué les composantes formelles de ce discours, c’est-à-dire les aspects de la littérarité. Pour y arriver nous nous sommes fixé les objectifs suivants :
La première partie de notre travail est intitulée Cadré théorique et méthodologique. Dans cette partie, il a été question dans l’aspect théorique d’élucider et de préciser ce qu’est l’écriture, le discours, l’auteur et le narrateur, lecteur et narrataire.
Nous avons constaté à priori que le texte littéraire entant qu’un discours, constitue la matière de la sémiostylistique. Ce discours renfermerait des composantes formelles qui le rendent littéraire. De ce point de vue, le discours signifierait toute réalisation concrète d’un acte de langage, et se constituerait en trois niveaux, notamment : le niveau narratif, le niveau discursif et le niveau Alpha. Nous nous sommes également rendu compte que l’enjeu majeur de cette forme d’écriture serait la participation du lecteur dans la création du sens du texte.
Le deuxième chapitre s’intitule l’analyse actancielle, nous avons subdivisé ce chapitre en trois sous-points : l’analyse actancielle selon Greimas. Dans ce sous point, il été question d’analyse toute action réelle ou thématiser tout en classant les éléments de l’action à décrire dans l’une ou l’autre classe actancielles. Tous les actants ont été classés dans trois axes : l’axe de vouloir, l’axe de pouvoir et l’axe de transmission. Le deuxième sous-point a porté sur les entités actancielles, c’est-à-dire que nous avons examiné les trois niveaux : le niveau du narrateur/narrataire, le niveau de personnage et le niveau de scripteur/lecteur. Le troisième sous-point a porté sur l’analyse actancielle selon Molinie, dans ce point il était question de voir comme le texte littéraire qui est discours s’appréhende selon une hiérarchie de trois niveaux : le niveau I, qui concerne l’émetteur et le récepteur et s’inscrit dans un récit. Le niveau II, qui concerne les paroles des personnages dans le discours, ce niveau II est supporté par le niveau I, il est question dans ce niveau de voir les échanges des paroles entre les personnages. Le niveau III s’appelle niveau Alpha. Ce dernier, s’inscrit dans le para-texte et c’est lui qui supporte les deux niveaux précédents par deux portances verticales. Donc la stylistique actancielle nous permet de nous rendre compte des trois niveaux actanciels de tous les discours littéraires. Cette mission s’effectue au moyen d’un codage bien précis.
Le troisième chapitre a porté sur les aspects de la littérarité, nous avons subdivisé ce chapitre en six sous-chapitres. Le premier a porté sur la clôture, il était question ici d’étudier l’incipit et la clausule ou l’épilogue de ce texte. Nous avons constaté dans ce point qu’il y a un contraste entre l’incipit et la clausule. Le deuxième sous-chapitre était intitulé Congo Inc. et les récits anachroniques, dans ce point nous avons analysé les analepses et les prolepses. Ce point nous permit de voir comme le narrateur en rencontrant son histoire il anticipe les événements où revient au passé. Le troisième sous-chapitre intitulé le récit sous signe d’intertextualité, nous permit d’examiner le rapport qu’entretien ce texte avec d’autres textes. Le quatrième sous-chapitre s’intitule la mise en abyme nous permit de voir la réflexion ou la duplication du récit. Le cinquième sous-chapitre a porté sur les récits emboités et le dernier sous-chapitre nous l’avons intitulé les deux entités dans Congo Inc.
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