Nous voici au terme de ce travail portant sur l’impact des conflits ethniques entre les Babembe et les Babuyu sur le développement socio-économique de la collectivité secteur de Lulenge en général et le groupement des Basikasingo en général.
Nous sommes partis de la problématique selon laquelle, les conflits ethniques entre les communautés Babembe et Babuyu constitue un frein pour le développement socio-économique de la collectivité secteur de Lulenge en général et le groupement des Basikasingo en particulier.
Cette problématique se trouve résumer à travers les questions de recherche ci-après :
Pour répondre à ces questions, nous avons formulé nos hypothèses telles que libellées comme suit :
Ainsi, pour traduire nos hypothèses en résultats, nous avons recouru à différentes méthodes et techniques, notamment, la historico-comparative, la méthode statistique, la méthode et analytique. Pour devenir opérationnelles, ces méthodes ont renforcées par différentes techniques dont l’observation participative ou participante, l’analyse documentaire, l’enquête par questionnaire et l’échantillonnage. Toutes ces techniques mises ensemble, nous ont facilité la collecte et le traitement des données recueillies sur terrain lors de nos investigations
Après présentation, analyse et interprétation des résultats d’enquête, nous pouvons affirmer sans risque d’être contredit que nos hypothèses ont été confirmées conformément aux résultats obtenus dans les tableaux n°6, 8 et 9.
Ces résultats obtenus, nous ont poussé à formuler quelques recommandations comme pistes de solution au problème de cohabitation difficile entre les Babembe et les Babuyu à travers un projet de renforcement de la sensibilisation communautaire par la création d’un cadre permanent de dialogue sincère entre les communautés antagonistes dans le Groupement de Basikasingo en collectivité secteur de Lulenge. Le coût global de ce projet, est estimé à 134770
En substance, outre l’introduction et la conclusion générale, ce travail s’est articulé autour de quatre chapitres dont voici la teneur :
Enfin, étant donné que toute œuvre humaine ne manque jamais d’imperfection, notre travail reste ouvert aux critiques et remarques constructives pour son enrichissement et en vue des recherches ultérieures.