3.1. ANALYSES ET INTERPRETATION DES RESULTAS
3.1.1. Résultats du rendement du maïs et du haricot au cours des essais
Du tableau des résultats sur le rendement (en annexe), voici le graphique comparatif du rendement du maïs lorsque nous appliquons de l’engrais dans ces différents traitements dans le Kalongo.
Fig. 3: réponse du maïs lorsqu’on applique de l’engrais dans le Kalongo
Rendement du maïs dans le Kalongo soil
5000
4500
4000
3500
3000
2500
2000
1500
1000
500
0
1 2 3 4 5 6
Traitement
s a ns engra i s a vec engra i s
De la figure 3, on constate que l’apport de la matière organique a suffisamment augmenté le rendement du maïs. C’est le traitement de la matière organique de bonne qualité, appliquée en dose élevée et en poquet qui a donné le rendement le plus élevée (5), suivi du traitement où on a appliqué la matière organique locale en dose élevée et en poquet (3) et en dernier lieu vient le témoin où on a rien appliqué comme matière organique. L’apport de l’engrais a augmenté considérablement le rendement dans tous les traitements. L’augmentation du rendement varié de 80 à 145%. Le témoin a donné la meilleur augmentation soit environ 145%. Ceci prouve à suffisance que notre sol était déficient en élément nutritif et qu’une fois on applique de l’engrais la réponse s’en suit immédiatement. Les apports en matière organique ne disponibilise pas directement de l’engrais comme l’a
signalé Vanlauwe et al (2001), qui a observé il y a d’abord immobilisation des nutriments par
les microorganismes des sols.
La figure suivante va présenter l’évolution du rendement du maïs dans le sol Civu lorsqu’on
applique de l’engrais.
Fig. 4 : réponse du maïs lorsqu’on applique de l’engrais dans le Civu
Rendement du maïs dans le Civu soil
10000
9000
8000
7000
6000
5000
4000
3000
2000
1000
0
s a ns engra i s a vec engra i s
1 2 3 4 5 6
Traitement
De la figure 4, on remarque que l’apport des engrais et des différents traitements de matière organique ont eu des effets sur le rendement du maïs. Les traitements où on a observé le rendement le plus élevé sont les traitements où on appliqué la matière organique de bonne qualité en dose élevée et moyenne et appliquée en poquet. En cas d’apport d’engrais ce sont ces mêmes traitements qui donné encore les meilleurs rendements. Comparativement au Kalongo, on remarque qu’il y avait une certaine fertilité dans le sol car le témoin a présenté un bon rendement. L’augmentation du rendement lié à l’apport de l’engrais varié de 50 à
96%.
Voici le graphique comparatif du rendement du maïs dans ces deux types des sols
Fig. 5 : réponse comparatif du rendement du maïs dans le sol Civu et Kalongo
Rendement du Maïs dans Civu et Kalongo
10000
9000
8000
7000
6000
5000
4000
3000
2000
1000
0
kalongo sans engrais Civu sans engrais Kalongo avec engrais Civu avec engrais
1 2 3 4 5 6
Traitement
De la figure 5, on remarque que le rendement du maïs est plus élevé dans le Civu que dans le sol Kalongo même en cas d’application des engrais ce qui veut dire les engrais aussi vont répondre en fonction du type des sols dans les quels ils sont placés. Le Kalongo possède des facteurs ne prédisposant pas une meilleure traduction des nutriments appliqués en rendement dont notamment l’effet lié au blocage des nutriments comme le phosphore dans le sol. Pour le Civu, la quantité de la matière apportée suffisait déjà pour atteindre des rendements potentiels du maïs. D’où on pourrait observer des faibles efficacités pour certains des traitements. Donc pour le Civu, il faudra muser sur la quantité d’engrais à apporter en fonctions des disponibilités présente dans le sol et dans la matière organique.
On va maintenant présenter les résultats de l’analyse de la variance en fonction de tous les facteurs mises en étude.
1°) Réponse du maïs en fonction de la qualité, de la dose et du mode d’application de la
matière
Le tableau suivant présente le résumé de l’analyse de la variance du rendement en
fonction de la qualité de la dose te du mode d’application de la matière organique.
Tableau 7 : Résumé de l’ANOVA du rendement du maïs dans les différents traitements
Source de variation |
Dl |
SCE |
CM |
Fobs |
Pr |
Décision |
NPK |
1 |
32312179 |
32312179 |
31,907 |
6,2.10-7 |
*** |
Qualité |
2 |
14845592 |
7422796 |
7,3298 |
0,00152 |
** |
Taux |
2 |
13939501 |
6969751 |
7,3298 |
0,00025 |
** |
Mode d’application |
2 |
13997762 |
6998881 |
6,8055 |
0,0002313 |
** |
Type de sol |
1 |
22472394 |
22472394 |
74,923 |
7,84.10-8 |
*** |
*** : Hautement significative ; ** : très significative
Du tableau 7, il ressort que l’application de l’engrais a montré des différences hautement significatives en rendement chez la culture du maïs. Tandis que la qualité, la dose et le mode d’application de la matière organique ont montré aussi des différences très significatives sur le rendement du maïs. Ce qui veut dire que lorsque nous appliquons l’engrais, nous augmentons grandement le rendement de la culture du maïs. De même lorsque nous jouons sur la qualité, la dose et sur le mode d’application de la matière organique, on augmente grandement le rendement du maïs. Mais le fait que notre stratégie d’application de la matière organique a augmenté le rendement ne signifie que nous avons une meilleure efficacité d’utilisation des engrais chimiques. Le type de sol a affiché aussi une différence hautement significative en rendement du maïs c'est-à-dire que la réponse à l’engrais a différé en fonction des sols.
Le tableau suivant va présenter la séparation des moyennes des différents traitements.
Tableau 8 : Comparaison des moyennes du rendement du maïs
Traitement |
1er Facteur |
2ème Facteur |
Témoin |
LSD |
Qualité de la matière organique |
Bonne |
Locale |
Rien |
|
2777,931a |
2306,774b |
1380,416 |
294,4 |
|
Taux de la matière organique |
Elevé |
Moyen |
Rien |
|
2742,56a |
2359,831b |
1380,41c |
222,3 |
|
Mode d’application de la matière organique |
Poquet |
Epandage |
Rien |
|
2684,75a |
2208,309b |
1380,41c |
400,8 |
|
Type de sol |
Civu |
Kalongo |
||
3090,62a |
1155,32b |
Du tableau 8, on remarque ce qui suit :
- On distingue trois groupes homogènes lorsqu’on joue sur la stratégie de la qualité de la matière organique. Premièrement, la bonne qualité bonne a affiché le meilleur rendement suivi de la qualité locale et enfin le témoin;
- Pour ce qui concerne la dose de matière organique appliquée, ces résultats nous montrent que la dose la plus élevée a fourni un rendement meilleur plus que la dose moyenne et le témoin vient en denier lieu.
- Pour ce qui concerne le mode d’application de la matière organique, le résultat nous montre que l’on obtient un rendement élevé lorsqu’on applique la matière organique en poquet que lorsqu’on fait l’épandage de la matière organique. Cela nous montre que l’agriculteur en épandant la matière organique perd beaucoup de quantité que lorsqu’il
l’applique en poquet ;
- Pour ce qui concerne le type de sol, on remarque que des meilleurs ont été obtenus dans le
Civu que dans le sol Kalongo.
Du tableau des résultats (en annexe), voici les graphiques comparatifs du rendement du haricot en fonction des différents traitements.
Fig. 6 : Rendement du Haricot dans le sol Kalongo
Rendement du haricot dans le Kalongo
2500
2000
1500
1000
s a ns engra i s
a vec engra i s
500
0
1 2 3 4 5 6
Traitement
De la figure 6, on remarque que l’engrais a contribué a augmenté du rendement du haricot dans ces différents traitements. Les traitements qui ont présenté les rendements les plus élevés sont les traitements où on applique la matière organique de qualité bonne en dose élevée et moyenne dans le poquet. Cela démontre que les différents traitements de la matière organique
avaient un effet sur le rendement. L’effet sur le rendement est lié à la propriété de la matière organique a amélioré les propriétés physico chimique du sol et non comme source de nutriment car l’apport de l’engrais a contribué énormément à accroitre le rendement.
Le tableau suivant va présenter le résumé de l’analyse de la variance sur le rendement
du haricot.
Tableau 9: Résumé de l’ANOVA des différents traitements du rendement du haricot.
Source de variation |
Dl |
SCE |
CM |
Fobs |
Pr |
Décision |
NPK |
1 |
10302465 |
10302465 |
42,05 |
2,8210-8 |
*** |
Qualité de la MO |
2 |
1439007 |
719504 |
2,9331 |
0,0 |
Ns |
Taux de la MO |
2 |
1369622 |
684811 |
2,7952 |
0,06996 |
Ns |
Mode d’application |
2 |
2430007 |
1215004 |
5,382 |
0,0073 |
** |
Erreur résiduelle |
54 |
- |
- |
Ns : Non significative ; ** : Très significative ; *** : Hautement significative.
Du tableau 9, il ressort que l’apport de l’engrais a montré des différences hautement significatives pour le rendement du haricot. Tandis que la qualité et le taux de la matière organique n’ont montré pas des différences significatives sur le rendement du haricot. Par contre le mode d’application de la matière organique a montré des différences très significatives sur le rendement du haricot. Ce qui veut dire que lorsque nous appliquons l’engrais chimique, nous augmentons grandement la chance d’accroitre le rendement du
haricot.
Le tableau suivant présente la séparation des moyennes pour le mode
d’application de la matière organique.
Tableau 10 : Comparaison des moyennes du rendement du haricot
Traitement |
1er traitement |
2ème traitement |
3ème traitement |
LSD |
Mode d’application |
Poquet |
Epandage |
Témoin |
|
1203,268a |
818,831b |
739,44b |
132,323 |
Du tableau 10, on remarque ce qu’il y a deux groupes homogènes lorsqu’on joue sur la stratégie du mode d’application de la matière organique. Le mode d’application par poquet a affiché le meilleur rendement que l’application par épandage et le témoin. Cela veut dire que lorsqu’on épand la matière organique, on utilise des grandes quantités et cette matière organique n’entre pas totalement dans l’amélioration des propriétés physicochimiques dans la
zone racinaire c’est pourquoi lorsqu’on l’applique en poquet, la plante jouit de toutes les conditions favorables à sa croissance et développement.
3.1.2. Résultat sur l’efficacité agronomique et du rapport valeur coût du maïs et du haricot.
Du tableau présentant les données sur l’efficacité agronomique et le rapport valeur coût (en annexe) du maïs et du haricot. La figure suivante présente l’efficacité agronomique du maïs dans les différents types de sols.
Fig. 7 : Efficacité agronomique du maïs dans le Civu et Kalongo
De la figure 7, nous constatons que l’efficacité agronomique ne dépend pas du type de sol. Dans le Kalongo, on remarque que c’est le traitement de la matière organique de bonne qualité appliquée en dose élevée et en poquet qui a donné la meilleur efficacité soit 12,12 kg de rendement augmenté par kg d’engrais utilisé alors que dans le Civu c’est le traitement de la matière organique de bonne qualité, appliquée en dose moyenne et en poquet soit 10,82 kg d’augmentation du rendement par kg d’engrais utilisé. On observe que l’agriculteur qui adopte les traitements de la matière de qualité bonne en doses élevée et moyenne ont la facilité d’avoir le gain de rendement que les autres traitements.
La figure suivante présente l’efficacité agronomique du haricot dans le Kalongo
Fig.8 : Efficacité agronomique du haricot dans le Kalongo
De la figure 8, on constate que le traitement de la matière organique de bonne qualité appliqué en dose moyenne avait donné une meilleure efficacité soit une augmentation
6,9 kg par kg d’engrais utilisé. En dernier vient le témoin et le traitement où la matière organique a été épandue. Ce qui veut dire qu’un agriculteur qui investi dans ce traitement a facilité d’avoir un gain de rendement que celui qui a utilisé les autres traitements. Cela s’expliquera quand on va voir l’évolution du rapport valeur coût.
La figure précédente présente les données sur le rapport valeur coût du maïs et du
haricot.
Fig. 9 : Comparaison du rapport valeur coût du maïs en fonction de type de sol
De la figure 9, nous constatons comme pour l’efficacité agronomique que le RVC ne dépendait pas aussi du type de sol. Dans le Kalongo, on remarque que c’est le traitement de la matière organique de bonne qualité appliquée en dose élevée et en poquet qui a donné le meilleur rapport valeur coût soit 2,4 dollars gagné par dollars d’engrais investis alors que dans le Civu c’est le traitement de la matière organique de bonne qualité, appliquée en dose moyenne et en poquet soit aussi 2,16 dollars gagné par kg d’engrais utilisé investis. On observe que l’agriculteur qui adopte ces traitements a la facilité d’avoir le gain de revenu que dans les autres traitements.
La figure ci-dessous va présenter le graphique sur le rapport valeur cout du haricot.
Fig. 10 : Rapport valeur coût du haricot dans le sol de Walungu.
De la figure 10, on constate que le traitement de la matière organique de bonne qualité appliquée en dose moyenne avait donné un meilleur rapport valeur coût soit un gain de
2,3 dollars par dollars d’engrais investis. En dernier lieu vient le témoin et le traitement où la matière organique a été épandue. Pour ce deux traitements l’agriculteur gagne peu soit 30% or pour que l’agriculteur soit sécurisé dans les investissements en engrais, un RVC de 2 et plus souhaitable. C’est seulement dans le quatrième traitement où la matière organique de bonne qualité est appliquée en dose moyenne. D’où l’agriculteur a le choix peut adopter ce traitement. Il est donc censé améliorer la qualité de sa matière organique pour espérer gagner plus en investissant dans les engrais.
3.1.3. Résultats sur l’évaluation paysanne en fonction des ménages
Le tableau suivant présente les résultats de l’évaluation paysanne
Tableau11 : Resultat de l’evaluation paysanne
Nom de l’agriculteur |
Côte obtenu |
Mpanga Mbishi |
9/10 |
Rudahindwa Ladislas |
8/10 |
Nfundiko Damien |
6/10 |
Cheru Pombe |
6/10 |
Nyamugali Aristide |
7/10 |
M’Munyanga |
7/10 |
Du tableau 11, il ressort que le paysan Mpanga Mbishi et Ladislas Rudahindwa ont eu les meilleures côtes quant en ce qui concerne la conduite de l’essai c'est-à-dire qu’ils ont plus de facilité d’adopter les technologies GIFS dans leur ménage. Ce résultat est tout fait raisonnable car en examinant la caractérisation des ménages on remarque que ces deux paysans ont le niveau d’étude élevé par rapport aux autres et leurs professions le prédisposent à assimiler facilement les technologies GIFS.
3.2. DISCUSSIONS DES RESULTATS
Pour le maïs, les parcelles où on a appliqué la matière organique, c’est les traitements où on avait la matière organique de bonne qualité en dose élevée et moyenne et où on l’applique en poquet, qui ont affiché les meilleurs rendements. De plus, tous les traitements où on a appliqué la matière organique combinée aux engrais ont affiché des meilleurs rendements que les traitements où on appliqué les engrais seuls. Ces variations sont dues à la capacité de la matière organique à améliorer la rétention de l’eau et des éléments nutritifs par l’augmentation de la capacité d’échange cationique.
La matière organique de bonne qualité offre des meilleures opportunités pour produire des acides organiques sources des charges négatives dans le sol. Ces résultats ont été trouvés aussi par Thé et al (2005). Ils ont trouvé que le fumier animal est plus efficace que la matière organique apporté par les résidus des feuilles. Cela est le cas pour ce travail où la matière organique apporté par le paysan était constitué soit par leur propre bouse ou par les déchets ménagers combiné avec une petite quantité des bouses. Pour cela Mafongoya et al (2006) a montré que l’accès au fumier animal est un défis pour le petit producteurs en Afrique Sub-saharienne.
En général, la matière organique a influencé l’efficacité des engrais pour la culture du maïs. Woperies et al (2005) avait trouvé au Togo que l’application des engrais dans les champs de case bénéficiant de la matière organique augmentait le rendement du maïs et l’efficience interne d’utilisation des nutriments ainsi que la fertilité des sols. Vanlauwe et al (2001) a démontré l’effet direct de l’apport de la matière organique qui résulte en effet de l’absorption de l’azote dans le sol par la biomasse microbienne du sol, lequel améliore la synchronisation entre les apports et les demandes d’azote par les cultures et réduit les pertes d’azote dans l’environnement. De plus, il a démontré un second effet de la matière organique sur le rendement du maïs. Il s’agit notamment de la capacité de la matière organique à améliorer les conditions du sol et par conséquent l’absorption des éléments nutritifs.
Pour ce qui concerne l’apport des engrais Pypers et al (2010) a trouvé que les engrais augmentent 40 à 100% de rendement de culture dans les sols Kalongo et Civu. Ces résultats sont conformes à nos résultats car il ya eu augmentation du rendement de 14,4% à plus de
100% dans les différents traitements.
Pour le haricot, ni la qualité ni la dose n’a pas eu d’influence sur le rendement mais plutôt le mode d’application notamment l’application en poquet, qui a donné des meilleurs rendements. Pypers et al (2010) a trouvé aussi que le rendement du haricot n’était pas influencé par le type d’amendement (fumier ou engrais vert). Pour le haricot c’est le deuxième
effet énoncé par Vanlauwe et al (2001) qui compte le plus quand on applique la matière organique. On pense que la matière organique améliore les conditions nécessaires du sol pour favoriser le développement des rhizobiums et améliorer ainsi la fixation de l’azote atmosphérique et disponibiliser le phosphore aux plantes.
Pour ce qui est de type de sol, le Civu répondait plus aux engrais que le Kalongo. En examinant les résultats obtenus des analyses des sols en 2008 sur ces sols, on remarque la différence se situerait sur la disponibilité en phosphore bien que la déficience se montre dans le deux types de sol. Pour Vanlauwe et Giller (2006), les apports du phosphore permettent de doubler le rendement de cultures telles que les légumineuses. Un des facteurs qui va différencié la réponse de ces sols est l’acidité et le niveau de base échangeable qui vont influencer l’absorption des nutriments par les plantes. Titonell et al (2005) a trouvé de sa part que des différences de rendement observés dans deux types de sol au Kenya au niveau du Potassium et non à leur couleur du sol. Dans le sol comme le Kalongo l’effet de la matière organique comme source de nutriment ne sera pas recherché mais plutôt ses fonctions d’amélioration de la capacité de rétention de l’eau et des éléments nutritifs dans le sol. Mais dans le Civu sa fonction de source de nutriment est le plus essentiel.
Pour le rapport valeur coût, l’agriculteur congolais gagne moins en utilisant ces
technologies qu’un agriculteur par exemple qui peut gagner en utilisant ce même technologie
2,5fois plus. D’où une politique de subvention des engrais est nécessaire pour rassurer les
agriculteurs lorsqu’ils investissent dans les engrais.