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CONCLUSION GENERALE

 

« Des petits Agriculteurs face aux risques et Aléas climatique dans le groupement d’Itara , cas de Luvungi » est le sujet de ce présent travail.

Nous sommes partis de la problématique selon laquelle L’agriculture représente une part essentielle de l’économie de tous les pays africains. Elle a donc son rôle à jouer dans la résolution de nos priorités continentales que sont l’éradication de la pauvreté et de la faim, la dynamisation du commerce intra-africain et des investissements, l’industrialisation rapide et la diversification économique, la gestion durable de nos ressources et de l’environnement et la création d’emplois, la sécurité et la prospérité partagée. Selon Barbara Ward et René Dubis, avait bien résumé le diagnostic de crise de l’environnement en notant que les deux mondes de l’homme, la biosphère dont il a hérité et la techno sphère qu’il a créée, sont en déséquilibre et virtuellement, en conflit, et que l’homme se trouve au centre de ce conflit.

Pour bien  aborder notre étude, nous nous sommes servis de 3 questions à savoir :

  1. Quelles sont les risques agricoles et aléas climatiques auxquelles font face les petits agriculteurs du groupement Itara ?
  2. Comment ces risques et aléas climatiques affectent-ils les activités agricoles?
  3. Quels sont les stratégies à mettre en place pour la gestion des risques et aléas climatiques mis en place par les paysans ?

Ces trois questions de recherche ont inévitablement débouchées sur les trois hypothèses selon lesquelles ;

. 1. Les risques agricoles et aléas climatiques auxquels font face les petits agriculteurs dans le groupement d’Itara seraient :

-    Les perturbations pluviométriques et climatiques dans le groupement d’Itara.

-    La sécheresse prolongée par le manque des pluies.

  1. Les activités agricoles seraient affectées par les risques et aléas climatiques par :

-    La rareté des pluies

-    Le changement climatique qui occasionne la prolongation de la saison sèche.

  1. les stratégies à mettre en place pour la gestion des risques et aléas climatiques mis en place par les paysans seraient :

Ø De planter les arbres  pour lutter contre le réchauffement climatique

Ø De sensibiliser la communauté sur les conséquences des risques et aléas climatiques.

Pendant le traitement de nos données, nous avons fait recours aux méthodes et techniques ci-après :

La descriptives.  Comme techniques, nous avons utilisé les d’enquête par questionnaire, la technique d’observation et les technique d’entretien.

Pour vérifier nos hypothèses, nous avons récolté les différentes opinions des enquêtés à travers lesquels nos enquêtés montrent que les perturbations pluviométriques et climatiques par la saison sèche prolongée,   le cas de pluies tardives qui causent la faible production agricole , la sécheresse prolongée, l’abondance de pluie, la dégradation du sol sont les risques Agricoles et aléas climatiques auxquels font face les petits agriculteurs d’Itara;   ; 20% des enquêtés affirment que le cas de pluies tardives affectent beaucoup plus le champ qui causent la faible production agricole dans le groupement d’Itara, suivi de  la sécheresse prolongée qui est le cas qui affecte négativement les champs dans la production ; d’autres montrent que l’abondance de pluie est parmi les cas qui affectent les champs dans la production agricole parce que il y a toujours des inondations qui se manifestent pendant la période de pluie et en fin d’autres enquêtés montrent  que la dégradation du sol n’est pas épargnée dans les cas qui affectent le champs dans la production agricole dans le groupement d’Itara.

 À 58,7% nos enquêtés pensent que la plantation d’arbre dans le groupement d’itara serait  la meilleur stratégie pour lutter contre les risques et aléas climatiques et par conséquent augmenter la production agricole par la régulation de la saison culturale.

Partant de la proposition des enquêtés en accord avec les réalités sur terrain nous avons décidé de proposer un  projet de plantation des arbres  sur  le long de routes du groupement d’itara qui nous a couté un montant global de 53923,8 Dollars Américains.

Enfin, nous ne prétendons pas avoir épuisé toutes les recherches possibles sur ce travail, car ce que nous avons fait n’est qu’un bout dans un vaste monde scientifique, mais nous interpellons aux autres chercheurs à pouvoir approfondir ce travail pour l’amélioration.

Par ailleurs, l’œuvre humaine étant imparfaite, nous restons ouverts à toute critique constructive à l’égard de ce travail.

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