Nous voici à la fin de notre travail intitulé Essai d’évaluation de l’action menée par les ONGD dans l’accompagnement de la mère et de l’enfant en groupement de MUMOSHO territoire de KABARE (Cas de ABFEK asbl)

Hormis l’introduction et la conclusion générale, ce travail a porté sur quatre chapitres dont le premier concerne les généralités et la revue de la littérature, le deuxième chapitre s’articule sur la méthodologie de recherche, le troisième chapitre se focalise sur la présentation et analyse des résultats de l’enquête, le quatrième en fin, propose un projet de création d’un centre de formation professionnelle et d’accompagnement des mères et de l’enfant dans le groupement de Mumosho.

Pour résumer la problématique de notre travail, nous nous sommes posés les questions, suivantes.

• Pourquoi l’action menée par l’ABFEK en faveur de la femme et de l’enfant, n’améliore pas sensiblement les conditions de vie des bénéficiaires ?
• Quelle stratégie devrait –on proposer à l’ABFEK pour rendre son action efficace sur le terrain ?

L’étendue s’est assigné les objectifs suivants :

1. Evaluer les actions menées par l’ONG ABFEK dans le groupement de Mumosho en faveur de démunis femmes et enfants
2. Connaitre à travers cette étude les raisons qui font que malgré l’action de l’organisation ABFEK en faveur de la mère et de l’enfant, leur situation ne s’améliore guerre.
3. Proposer une stratégie de nature à rendre l’action de l’organisation ABFEK plus efficace sur le terrain.

Nous avons cherché à vérifier les hypothèses suivantes :

• L’ABFEK n’assiste pas ses bénéficiaires en tenant compte des besoins exprimés.
• Les moyens de l’organisation seraient très limités devant une liste des bénéficiaires très élevé.

La méthode analytico –synthétique, les techniques nous ont permis de récolter et traiter les données en vue de réaliser cette étude.

Le projet de création d’un centre de formation professionnelle et d’accompagnement de la mère et de l’enfant dans le groupement de Mumosho à un coût total de 227399,7. Il est financé par une participation locale de 5% soit 11369,985 US $, et un apport de l’extérieur en provenant de Cordaid : 40% soit 90959,88, IRC 45% soit 102329,868, gouvernement congolais 10% soit 22739,9$

Certes que la solution proposée n’est pas une panacée à la mauvaise vie de la mère et de l’enfant mais peut contribuer à apporter progressivement une amélioration à la situation vécu par la mère et l’enfant.

Nous voici au terme de ce présent travail qui, nous le reconnaissons, le saurait être parfait, l’apport de nos lecteurs, amènera à tendre vers cette perfection, leurs critiques constructives sont donc les bien venues.