Ce chapitre va nous permettre à mieux faire l’analyse approfondie de notre travail ; donner une idée générale sur la suggestionqu’on apport à la DGRAD/Sud-Kivusur le problème de contrôle des assujettis vu les multiple processus qui se passe dans la direction Générale avant d’enregistrer dans la base de donnée le paiementd’un assujetti.
Avons vu dans le premier chapitre que la DGRAD fait payer une taxe non fiscale, une taxe sans contrepartie. Cette taxe est payé par toute personne qui exercer une activité sur le territoire national. Il existe deux divisions qui sont chargés d’ordonnancer: la DIVAJUP qui prend les recettes administrative, judiciaire et de participation et la DIVIDOM à son tour prend les domaniales (sol et le sous-sol). D’où nous retrouvons la DIVREC pour un contrôle purement mécanique.
Nous avons constaté que la direction générale n’est pas dotée d’équipement informatique suffisant pouvant intervenir dans le contrôle de ces assujettis. Pour ce faire, le processus de contrôle est purement manuel allant de la phase d’indentification de l’assujetti jusqu’au paiement de la taxe du suivi de l’archivage de tous les documents ayant intervenu au cours de l’enregistrement.
Cette partie fait l’analyse des documents fournies par la direction générale de recettes administratives, judiciaire, domaniales et de participations/Sud-Kivu dans le cadre de notre recherche et qui pourront influencer qualitativement notre travail :
Figure II.1:Déclaration de l’assujetti
NB : Sur chaque place il y a un endroit fixe pour la signature de chaque personne intervenant.
FigureII.2 : Note de perception
FigureII.3 : Bordereau de la CADECO
Avant de parler de recette, dégageons d’abord la différence qu’il y a entre les recettes non fiscales encadrées et recouvrées par la DGRAD et les recettes fiscales. Les recettes non fiscales concernent les droits, taxes et redevance, elles sont une rémunération des prestations matérielles ou immatérielles de l’Etat et le dividende. Une rémunération du capital investi par l’Etat commerçant. Tandis que,les recettes fiscale couvrent l’impôt, elles sont des prélèvements obligatoires et sans contrepartie perçus par la DGI (Direction générale des impôts).
Les recettes non fiscale sont classées par nature et par secteur d’activité qui sont les différentes services de l’Etat générateurs des recettes
Ces recettes administratives sont perçues dans les services publics générateurs suivants :
Ces sont les recettes provenant des cours et tribunaux et de la police nationale congolaise.
Ces recettes proviennent des secteurs ci-après :
Ce sont les dividendes calcules sur les recettes bruts de l’entreprise publique en raison de 5% au profit du compte de l’Etat.
L’espace taxable de la DGRAD/Sud-Kivu englobe les entreprises publiques ci-après :
Un diagramme de flux est une représentation des mouvements échangés entre les domaines d’activités d’une entreprise ou entre les activités d’un domaine d’étude.
Réception de la déclaration au service d’assiette |
Assujetti |
6
Divisions d’ordonnancement |
Service d’assiette |
1 2
3
4
Banque |
Bureau d’étude et contentieux |
5 7
Bureau recouvrement |
Règles de gestion
II.5 Critique de l’existant :
Le point fort
La DGRAD/Sud-Kivu, une régie financière, cette direction de l’état, bien organisée au niveau fonctionnel. Elle respect quelques processus dans l’exécution de leur tâche : le premier processus commence dans le service taxateur qui constate et liquide un acte d’un assujetti pour laisser la place aux divisions d’ordonnancement de continuer. Donc les ordonnateurs ne peuvent ordonnancés qu’une personne déjà liquide. Le deuxième processus c’est le rôle des ordonnateurs qui, font ordonnancement, enfin vient le rôle de recouvreur huit jours après l’ordonnancement.
Les points faibles
La DGRAD rencontre certaine perturbation dans la suivi de paie de note de perception compte tenu la procédure suivi dans le contrôle.
Vu les causes primaires occasionnant la collecte de ces listes au très de banque, l’accord d’un accent particulier à leur contrôle révèle d’une importance capitale.
Parlant de l’importance qui devrait être accordée au contrôle, malgré le stade de l’évolution technologique, nous avons remarqué que la DGRAD/Sud-Kivu n’est pas dotée d’outils informatique pouvant intervenir et faciliter le contrôle fiable en cas de suivi et d’évaluation de nos chère sources des recettes.
Les processus est depuis sa phase primaire (identification) de l’assujetti jusqu’à sa phase final d’enregistrement des bordereaux (enregistrement de frais payer) manuel et même les documents (imprimés) utilisées reflètent où le contrôle du taxes dépend des listes provenant des banques.
De même nous avons remarqué que cette direction générale n’est pas outillée informatiquement et ne détient pas un nombre de personnel informatique.
Nous suggérons à la direction générale de recettes administratives, judiciaires, domaniales et de participations de créer :
Ce chapitre nous a permis de bien faire l’analyse plus détaillée de notre travail partant du sujet de suivi de paiement de note de perception des assujetti au sein de la DGRAD/Sud-Kivu, donnez les points forts et faibles de cette direction et proposez de solutions.