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CHAPITRE I : GENERALITES ET REVUE DE LA LITTERATURE

 

I.1. DEFINITION DES CONCEPTS CLES

  • Coordination: mise en ordre, action de coordonner, Agencer des choses d’activités diverses dans un but déterminé[1]
  • Provinciale : Administration provinciale d’une province, c’est une division territoriale placée sous l’autorité d’un délégué du pouvoir central.[2]
  • Environnement : C’est un ensemble d’éléments physiques (biotiques : avec vie abiotiques sans vie) naturels et artificiels.

Pour nous environnementaliste : l’environnement est défini comme étant un ensemble des facteurs naturels, sociaux d’où l’homme et les autres êtres vivants tirent leurs subsistances (survie).[3]

  • L’assainissement : c’est un processus par lequel les hommes peuvent vivre dans un environnement plus sain. Il vise d’une part à assurer l’évacuation et le traitement des eaux usées, des excrétas tout en minimisant les risques pour la santé et d’autres parts à collecter et à éliminer les déchets solides qui contribuent à l’insalubrité du milieu. [4]

I.2. GENERALITES SUR LES DECHETS

Un déchet : c’est tout résidu d’un processus de production, de transformation ou d’utilisation, toute subsistance produite ou plus généralement bien meuble abandonné.

Selon le journal officiel de la France du 2 Mai 1962 ; les ordures sont les déchets domestiques ou ceux d’établissement industriels et commerciaux, produits provenant du nettoiement des voies publiques, des marchés, résidus de collectivités (écoles, hôpitaux) sont une moyenne de 200-250kg d’ordures par an/ par habitat.

I.3. OBJECTIFS DE GESTION DES DECHETS

La gestion des déchets : est un processus allant de la production jusqu’à leur élimination directe en passant par plusieurs étapes dont le recyclage, le compostage….

Les objectifs de gestion des déchets sont :

  • Prévenir ou réduire la production et la nocivité des déchets en agissant sur la fabrication et la distribution des produits.
  • Organiser le transport des déchets et les limités en distance et en volume.
  • Valoriser les déchets par réemploi, recyclage ou toute autre action visant à obtenir à partir des déchets matériaux réutilisables de l’énergie.

I.4. SORTES DES DECHETS

 (Nature, caractérisation, classification, composantes)

  1. les déchets liquides: parmi eux on distingue :
    1. les eaux usées domestiques ou eaux ménagères (eaux de toilette, de cuisine, de lessive….)
    2. les eaux de ruissèlement :( eaux pluviales, de lavage, de voies publiques et cours d’eaux)
    3. les eaux de ruissèlement des terrains agricoles
    4. les eaux industrielles résiduelles
    5. B. les déchets solides : ces déchets sont essentiellement composés d’excréments d’animaux, des fumiers, des dépouilles animales et excrétas humains déposés au bord des routes.

Quant aux déchets sociaux, en principe ceux-ci doivent être ramassés et incinérés sur tout dans une situation d’urgence.

Les points de collectes devront être désinfectés quotidiennement par pulvérisation d’insecticide, en veillant particulièrement à l’hygiène aux alentours des restaurants, marchés et des centres de santés.

Les tas d’ordures derrières les habitations doivent être désinfectées par pulvérisation de dés insecticides.

Les décharges publiques seront situées à 1km au moins des zones habitées et les ordures seront recouverts de 60cm au moins de terre donnée.

Il faut empêcher les eaux d’infiltration et de ruissellement provenant des lieux de décharge d’atteindre les cours d’eaux.

I.5. EVACUATION DES ORDURES / DECHETS MENAGERS 

D’après le comité d’experts en hygiène environnementales de l’OMS (1954), une des premières mesures à prendre pour assainir l’environnement des zones rurales et les petites communautés est la mise en place d’un système hygiénique d’élimination d’excrétas (PNUD/ OMS, 1981)[5]

L’assainissement du milieu est un volet très important ne pas le plus important de la santé publique. Les principales activités du domaine d’assainissement selon LA VOIX et PONGHIS(1976) sont :

  • l’approvisionnement en eaux saines.
  • L’évacuation et traitement des eaux goret et des déchets industriels, l’évacuation des excrétas dans les milieux et des petites agglomérations.
  • La récupération et la décharge des déchets et ordures dans les villes et milieux ruraux.

I.6. TYPES DES DECHETS TROUVES DANS LE MILIEU (BAGIRA)

Le problème d’insalubrité demeure jusqu’à présent très délicat dans la commune de Bagira depuis des années 2007.

Ce problème se matérialise par la présence et la propagation des ordures des diverses activités pastorales industrielles, commerciales (élevages domestiques, usines, marchés, restaurants…)

C’est ainsi que Bagira s’est vu être envahi par ce problème.

Dans ce milieu, nous trouvons les déchets comme :

  • Les ordures alimentaires : le reste d’aliments aliments gâtés, avocats…
  • Les déchets végétaux : (résidus des feuilles de manioc, amarantes, haricots, épluchures d’avocats, bananes et cannes à sucre…)
  • Les déchets bio et non dégradables : (sachets, papiers, sacs…)
  • Les déchets plastiques (boites de conserves…)
  • Les déchets solides et liquides (excrétas d’animaux, des humains des eaux usées)[6]

I.7. LA COORDINATION PROVINCIALE DE L’ENVIRONNEMENT FACE AU DEFIT DE L’INSALUBRITE DE LA COMMUNE DE BAGIRA/ Quartier Nyakavogo

L’insalubrité environnementale au sein de Bagira demeure un problème très sérieux dans ce milieu, un obstacle du développement social, physique et environnemental vis -à- vis de la population. Le pouvoir public étant très souciant de ce phénomène, la coordination  provinciale de l’environnement s’est  fixé  un programme de collecte des déchets à travers des associés et des entreprises au sein de la commune en attendant qu’une place appropriée pour les déchets soit trouvée. C’est ainsi que les déchets une fois collectés  devront être évacué vers le dépôt central de CIDAHO dans le territoire de Walungu pour ce qui est des déchets solides.

Les déchets fécaux qui aujourd’hui pullulent par ci par là jadis étaient canalisés vers le central Nyaciduduma malheureusement ce dit central se trouve actuellement dans un état de délabrement avancé et n’est plus opérationnel et l’Etat a du mal à procéder à sa réhabilitation.

Ce central de Nyaciduduma auparavant fut le point de chute pour le stockage des déchets. Actuellement les déchets devraient être déposés dans les fosses septiques ou arabes selon le cas à Bagira.

Cependant encore pour aboutir à l’amélioration de la gestion des déchets dans cette commune de Bagira en vue d’épargner sa population des risques des maladies liées à l’insalubrité environnementale tout en maintenant le milieu salubre, l’Etat à travers son bureau (la coordination provinciale de l’environnement) procède par des sensibilisations porte à porte de sa population sur la gestion meilleure des déchets ; cela dans le but d’éradiquer ou de réduire le niveau élevé d’insalubrité à grande échelle (Amélioration).

Quant aux sanctions réservées aux réfractaires, il y en n’a pas encore puisque la population n’avait pas encore était sensibilisée, l’Etat compte appliquer des sanctions sévères à ceux qui ne respectent pas les normes fixés par rapport à l’hygiène et l’assainissement (gestion des déchets), une fois après avoir sensibilisé toute la population.[7]

I.8.  L’ASSAINISSEMENT :

L’assainissement est un processus par lequel des personnes peuvent vivre dans un environnement plus sain. Pour cela il y a la mise en œuvre des moyens physiques, institutionnels et sociaux  des différents domaines tels que l’évacuation des déchets liquides, ménagers, des eaux usées et excédants et traitements de tous ces éléments.

  1. PERIODE AVANT 2000

Avant les années 2000, au niveau du monde, l’agenda 21 du sommet de la terre de la conférence de Rio en juin 1992, il avait été établi que la santé publique était dépendante de la santé de l’environnement et qu’il était donc nécessaire de lier la santé et l’environnement pour un développement durable.

Il n’y a pas cela, les pays développés s’étaient également prononcés à ce sujet en ayant fait la déclaration qu’au 18ème siècle, l’hygiène publique progressait réellement à la fondation du conseil d’hygiène et de la salubrité de Paris chargé de contrôle la voirie, le marché et le logement avec la création de la société royale de médecine en 1778.

En France, vers les années 1960 et 1980, il y avait eu construction de 800 stations ; les rues Parisiennes furent constamment nettoyées, les ordures écartées quotidiennement.

En 1978, il y eut l’adoption de l’accès à l’eau potable et à l’assainissement  étant considérés comme l’un des principaux engins du 20ème siècle et faisant partie du paquet d’activités mis en place pour la matérialisation de la stratégie de S.S.P à la Alma Ata en vue de faciliter l’accessibilité des soins de santé de qualité de tous.

En garantissant le droit à la vie, à l’eau et à l’assainissement, on améliore le bien être de la personne humaine ainsi que sa santé pour qu’elle puisse faire sa part de contribution au développement économique et social de son environnement physique.

  1. PERIODE ALLANT DE 2000 ANS NOS JOURS

De 2000 ans à nos jours, le problème lié à l’assainissement est l’un des sujets faisant objet d’actualité presque partout dans le monde plus particulièrement dans les pays développés[8]

I.9. L’ASSAINISSEMENT  DANS LE MONDE ET EN AFRIQUE SUBSAHERIENNE

  1. L’amélioration et l’approvisionnement en eau et de l’assainissement
  2. Eau, assainissement et santé

30 juin 2015, le rapport du programme commun OMS/ UNICEF de suivi intitulé « progrès en matières d’assainissement et d’eau potable mise à jour et évacuation des O.M.D rapport 2015, affirme qu’un individu sur trois dans le monde soit 2,4 milliards de personnes vivent toujours sur ce total 946 millions des personnes dans le monde pratiquent la défécation en plein air.

Au mali, volet eau potable et assainissement La réalisation de l’addition d’eau potable et de l’assainissement par le traitement des eaux des douches sera une introduction de nouvelles techniques et des procédés qui constitue un changement introduisant d’autres changements dans les représentations de manière de faire et de s’organiser. Il devient ainsi nécessaire d’accompagner ces changements par des actions de sensibilisation et d’information de façon participative concernant les enjeux, les apports en termes de santé et d’apprentissage de nouvelles méthodes, des séances de sensibilisation à l’hygiène et à la santé se sont poursuivi en 2009 (théâtres sur les lavoirs, dans les écoles, interventions auprès du personnel de santé.

Des évolutions remarquables ont été constatées à travers des diffusions hebdomadaires d’émissions relatives à l’hygiène et à la santé par le chef de santé et les membres de comité de gestion de l’eau, comme résultats : diminution notable des maladies hydriques, mise en place d’un tarif social de l’eau par les femmes tenant compte de leur contribution à l’économie locale par la production maraichère.[9]

En R.D.C : l’état de l’assainissement et de l’hygiène est critique. Le gouvernement compte s’investir dans la sauvegarde de la salubrité en initiant des rencontres avec les autorités politiques, la société  civile et les partenaires financiers pour dégager les priorités dans le secteur de l’hygiène et de l’assainissement.

Pourtant en R.D.C, il s’observe un faible accès au service d’assainissement soit un taux de desserte en assainissement  de 23 % (O.M.S, 2011), la moyenne régionale est de 33 % et ce malgré les importantes conséquences sanitaires, le but est d’explorer les pistes des solutions face à ce problème de grande envergure.

La 1ère chose qui vient à l’esprit concernant l’assainissement ce sont les latrines. Une latrine est un endroit aménagé de telle sorte qu’un autre humain puisse s’u soulager de ses déjections corporelles notamment par la défécation. Les latrines sont l’assainissement de base le plus utilisé dans le monde. Le but d’une latrine est à la fois d’assurer ka santé de ses usages en contenant ou en évacuant les excréments et d’assurer la protection de l’environnement.

Pour ce faire, le gouvernement met l’accent sur la sensibilisation pour que les populations changent de comportement afin de vivre dans un environnement assaini conformément au 7ème objectif du millénaire de développement cible 10 à atteindre d’ici 2015 ; qui vise à réduire de moitié la proportion des personnes n’ayant pas d’accès à un assainissement de base en 2002. [10]

1.3REVUE DE LA LUTTERATURE

  • D’après EVANS (2005), le terme «  assainissement » couvre une section plus large d’intervention. Il englobe à la fois l’hygiène, recyclages sûrs des excrétions humaines (matières fécales et urines), la gestion de l’eau, etc.

Le document stratégique pour la réduction de la pauvreté (2015) note que le niveau d’accès des ménages aux moyens d’enlèvement des déchets solides et liquides et d’élimination des vecteurs des maladies des foyers est faible.

Seulement 17%  des ménages possèdent des latrines hygiéniques. En l’absence d’un système cohérent d’élimination des déchets spéciaux de la population ; celle-ci en majorité pratique la défécation en plein air, les déchets sont jetés dans les rues.De toute évidence, le mauvais état  de l’environnement en R.D.C détruit considérablement la santé publique.

Il note qu’environ 88% de toutes les contaminations de diarrhée dans le monde sont dues à un approvisionnement en eau insalubre, à l’absence des pratiques d’hygiènes saines et à des dispositifs d’assainissement rudimentaires or améliorer l’assainissement parallèlement à une amélioration de l’approvisionnement en eau pourrait directement contribuer à une réduction significative de l’incidence de diarrhée, des vers intestinaux et favorisant la santé naturelle (Banque mondiale, 2010)

Toutes fois, il est à noter que ce sont les femmes le plus gros de problèmes de santé et des risques d’insécurité liés à l’absence d’installation d’hygiène privées et modernes d’assainissement ou d’équipement sanitaires plus la charge pertes d’eau.

  • Pour ISSEY NOU CHEIKH (1999) dans son ouvrage intitulé promotion de l’hygiène du milieu, une stratégie participative ; il fait l’état de lieu de l’hygiène environnemental en Afrique

Pour cet auteur, les projets d’assainissement n’ont pas de succès parce que les concernés ne sont pas réellement associés à la conception, à la planification et à la mise en œuvre des projets de l’assainissement du milieu. A travers l’approche participative et à l’analyse comparative ; il montre combien et comment il est important d’associé les communautés dans la gestion des projets liés à l’assainissement.

  • D’après STEVEN A.S.D, Stockholm(Suède) dans son ouvrage intitulé Assainissement écologique ; il traite des avantages de technologies d’assainissement écologiques.Pour cet auteur, les deux technologies d’assainissement les plus utilisées sont : les toilettes à fosses et les toilettes à chasses d’eaux. Ces technologies d’assainissement ont montré leurs limités dans les P.V.D

Les raisons évoquées sont : les coûts élevés des systèmes d’épuration, les risques graves de contamination des eaux souterraines, la pollution des cours d’eaux existants et la dégradation de l’environnement immédiat par les vidanges en plein air.[11]

  • Selon CLAIRE LEVY-VROLANT dans son ouvrage intitulé le diagnostique de l’insalubrité et ses conséquences sur la vie, il montre que tout au long du 20è siècle, Paris était la deuxième ville d’Europe par la population (de son agglomération) et sa croissance fut particulièrement forte dans la seconde moitié du 20è  siècle. Beaucoup d’ouvriers menaient une vie difficile dans les grandes villes, notamment en raison de condition de logements souvent déplorables, à cet effet les administrateurs et les médecins hygiéniques parisiens se soient inquiétés de cette situation et de ses conséquences sanitaires et sociales. L’auteur CLAIRE LEVY-VROLANT a analyse de documentation disponible sur les inspections de logement autour du siècle, et elle aborde principalement dans son ouvrage deux aspects qui suscitent un débat : fallait- il en priorité combattre le germe de la maladie par la vaccination ou plutôt assainir le milieu de vie ? Et valait-il mieux détruire les logements insalubres ? Ces questions restent d’actualité. Enfin, elle finit par prouver que les différences culturelles seraient à la base de l’insalubrité dans la ville.  
  • Problématique de gestion des déchets ménagers dans la commune de Kadutu par FAIDA KAMONYI Naomie TFC Isdr Bkv, au cours de ce travail, l’auteur a abordé les questions de savoir comment est-ce que les habitants du quartier Nyamugo perçoivent –ils le problème de gestion des déchets ménagers, comment les gèrent-ils et enfin savoir si les déchets ménagers constituent-ils une menace pour la santé des habitants de ce quartier.

D’après l’auteur, il a été prouvé que les habitants du quartier Nyamugo ont conscience des méfaits de la mauvaise gestion des déchets mais se contentent de les jeter dans les caniveaux. Les  habitants ne disposent pas des poubelles publiques pour stocker les déchets, cette mauvaise gestion est à la base de l’insalubrité, sources des maladies endémiques dans le milieu et le bouchage des caniveaux, selon l’auteur.

Comme l’une des solutions principales au problème d’insalubrité de ce milieu, l’auteur a proposé l’aménagement des poubelles et de dépotoirs publics et assurer leur entretien régulier.

  • Salubrité environnementale et implication communautaire dans la ville de Bukavu cas de la zone de santé urbaine d’Ibanda par KAVIRA NYAMUTIMA Marie des Anges ISTM Bkv mémoire : dans ce travail l’auteur a abordé la question globale de savoir si la communauté de la zone de santé urbaine d’Ibanda prend conscience de la préservation de la salubrité environnementale.

En rapport avec cette question l’auteur affirme que la population de la zone de santé urbaine d’Ibanda est consciente de la préservation de la santé environnementale du fait que la majorité des personnes stockent leurs déchets dans les sacs soit 77,9% et la minorité les déversent dans des caniveaux drainant les eaux usées soit 22,1%. Comme solution au problème du milieu (insalubrité environnementale) l’auteur a suggéré aux autorités politico-administratives (gouvernement provincial) :

  • De s’engager avec énergie dans la sauvegarde de salubrité environnementale par l’harmonisation de l’hygiène des milieux publics en disponibilisant des moyens matériels, financiers pour la gestion des immondices tels que les poubelles et dépotoirs publics et ceux à l’amélioration définitive des déchets.
  • Faire le suivi, le contrôle rigoureux de la part des agents de l’ordre au sein et aux alentours des parcelles ne respectant pas les normes d’assainissement et réprimer ceux qui sont à la base de ce fléau

D’après ce qui précède, de notre part, nous affirmons que l’aménagement des poubelles et dépotoirs publics ainsi que leur entretiens réguliers ne suffisent pas eux seuls pour combattre le problème d’insalubrité dans nos milieux environnementaux et assurer son éradication massive, à ceux-là il faut y ajouter le fait de sensibiliser les communautés locales sur l’impact socio-économique, sanitaire et écologique de ces déchets sur la vie de l’homme ; connaitre les sources de ces déchets et les combattre, enfin éduquer les communautés locales sur l’utilisation de ces déchets dans la fertilisation des espaces agricoles, une fois que ceux-ci ont subi plusieurs étapes de gestion dont le recyclage, compostage et comment le faire. 

[1] Petit Larousse illustré en 2011 en couleurs

[2] Dictionnaire Encyclopédie

[3]Cours de Gestion Durable des Ressources naturelles  dispensé par le Maître Jean Pierre BITUNDU (ISDR BKV 2015-2016

[4] Cours d’hygiène et assainissement inédit 2007 par le Maître Jean Pierre BITUNDU

[5] Code de l’environnement (Article 2541-II)

[6] Nos observations sur terrain 2016

[7] Prosper NKASANE Superviseur de l’Environnement, conservation de la nature et développement durable. Commune de Bagira.

[8] Salubrité environnementale et implication communautaire dans la ville de Bukavu Mémoire I.S.T.M/ Bukavu par KAVIRA NYAMITIMA Marie des Anges. Encyclopédie en ligne 2002.

[9]www.Google.com Wikipédia

[10]www.Google.com Wikipédia 

[11]www.Google.com

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