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CHAPITRE I : GENERALITES ET REVUE DE LA LITTERATURE

 

Dans ce chapitre nous avons d’abord le concept clés de  notre étude notamment :

  • L’entrepreneuriat, la stratégie et l’autonomisation. Ensuite nous détaillons les multiples difficultés auxquelles nous nous sommes buté lors de nos investigations. En fin il sera présenté les travaux antérieurs qui nous ont inspiré pendant la rédaction de notre travail

1.1.   DEFINITION DES CONCEPTS CLES

1.1.1.      Entrepreneuriat  

Le terme entrepreneuriat nous renvoie à entreprendre, commencer, l’exécution des travaux et consiste à créer une activité économique viable pour répondre aux besoins locaux, et environnementaux l’accès aux soins  à grande échelle charge de langue durée, les circuits courts, biodiversité, la croissance de vente etc.

C’est un mouvement de tout fonds mondial qui participe au renouvellement des modèles économiques à mi-chemin. Entre ces deux pôles il cherche à mettre l’efficacité économique et aux services de l’intérêt générale quel que soit le statut juridique qu’elle adopte (association, coopérative, mutuelle). 

L’entreprise sociale s’intègre donc les objectifs de l’action publique tout en s’inscrivant pleinement dans le marché.

Elle se force d’être performante  économiquement  pour résoudre seul leurs dirigeants sont avant tout motivés pour l’intérêt général,  cherchent à concilier l’initiative privée et solidarité esprit d’entreprise  et volonté de rendre l’économie plus humaine, plus rentable et plus  partagée.

  • STRATEGIE

Selon Alain noël professeur à HEC Montréal conférence sur la stratégie  en générale et sur l’alliance en particulier.[1]   

Une stratégie c’est principalement des nouveaux axes de développement. Cet article s’intéressent à la question créative que l’on peut se posé pour découvrir des nouvelles potentielles. Des questions sont classées par grandes idées s’intéressant lors de l’exécution. Il s’agira déterminer  les objectifs stratégiques que l’on souhaite s’assigner à l’entreprise, aux comités.

  • Autonomie

Étymologiquement, le terme « autonomie » signifie fonctionner d’après ses propres lois. Lorsqu’il se rapporte à un individu, il met en évidence la liberté d’action, et partant, l’indépendance de cet individu. L’autonomisation, elle, désigne le processus par lequel un individu acquiert peu à peu cette liberté d’action et cette indépendance.

Voici ce qu’en dit le Ministère de la Condition féminine et famille lorsqu’il évoque la nécessaire autonomisation des femmes : « Autonomiser est le fait de rendre autonome ou de jouir de l’autonomie. C’est l’indépendance d’un individu, la possibilité qu’il a de disposer librement de soi, ce qui peut le conduire à son épanouissement et à son développement. Autonomiser la femme c’est la libérer en brisant les différents obstacles qui l’empêchent d’évoluer normalement dans différents domaines comme son partenaire homme. »[2]

En plus de l’indépendance, la notion d’autonomie comporte ici celles de l’épanouissement et du développement personnel. Il apparaît donc dans cette citation que les femmes congolaises, du fait des discriminations de plusieurs types qui s’exercent contre elles, ont plus de difficultés à atteindre cette indépendance.

Celles et ceux qui se battent aujourd’hui pour l’émancipation de la femme le font d’abord sous l’effet d’une exigence éthique formulée par les femmes elles-mêmes, mais aussi pour donner à ces dernières le moyen de gérer les vicissitudes d’une vie devenant chaque jour plus difficile. En effet, c’est à travers leur développement personnel ainsi que la maîtrise de leur destinée que les femmes seront mieux à même de participer à l’épanouissement de leur famille et au développement de leur nation.[3]

  • EFFORT D’AUTONOMISATION DE LA FEMME EN REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO

 La situation socio-économique cause des problèmes en République Démocratique du Congo et plus particulièrement  dans la province du Sud-Kivu et plus particulièrement  depuis plusieurs années et qui fait ronger les têtes des autorités administratives de la province. Pour  pallier  à cette inflation économique les ONGS, les associations, le FMI et la  BAD aident la RDC de mettre le système d’épargne et que le crédit aux habitant.

La présente étude s’est inspirée de travaux de Karl Marx, selon l’auteur dans cette perspective, parle de revenus des ménages actualisé de façon similaire dans la forme généralisé de modèle de cycle de vie  développé à partir de 1985

Le patrimoine de cycle de vie destiné à la consommation  diffère et de celui du mode d’accumulation. C’est ce qui serait conforme à l’hypothèse du cycle de vie  le capital d’investissement destiné à la transmission qui relèverait d’une perceptive dynastique. Dans cette même idée de Friedman et Karl max augmentèrent l’explication que le revenu de ménages est composés de toutes de recettes en espèces, en nature ou en service perçue par les ménages ou par l’individus membres du ménage à l’intervalle d’un an ou à l’intervalle plus rapproché mais l’exclut les rentées exceptionnelles et autre recette irrégulière est généralement  ou non récurrente les recettes qui composent  les revenus du ménage sont disponible pour la consommation courant est ne réduise pas la valeur nette  du ménage par une di munition d’espèce dont il dispose l’aliénation de ses autre actifs financiers ou non financier une augmentation de ces dettes.

Les revenues du ménages peuvent être définit de façon à englober

  • Le ménage de l’emploie salarie et indépendante
  • Le revenu de propriété
  • Le revenu tire de la population de service destine à l’autoconsommation de transfert courent reçu

Le revenu provenant de la production par ménages de service destiné à l’auto consommation est constitué  de la valeur estimée nette des services domestiques non rémunérés et des services de biens de consommation durables. Ce service se retrouve sous la rubrique de production générale du système de comptabilité nationale, en raison de problème de mesure, il se peut que les logements occupés par les propriétaires puissent être inclus pour le moment, la définition opérationnelle de cet élément devrait être clairement formulée lors de la présentation.

[1]Alain Noel, Conférence sur la stratégie et sur les alliances, IHEC Montréal

[2] CSNU, Résolution 1325 (2000)

[3] Jihène Malek,  opcit., p12

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