Le 21e siècle, un temps révolu où les questions de la mondialisation économique trouvent leur place dans les organisations.
Une entreprise où l’on trouve des personnes qui ont des caractères différents, des comportements différents, des objectifs qui divergent et qui travaillent ensemble pour un seul but, celui de la réalisation des objectifs que l’entreprise s’est assignée, est confrontée à des difficultés des gestions car atteindre les objectifs nécessite une main d’œuvre unies et compétente.
Au sein de l’entreprise Bralima qui est notre champ d’investigation , on trouve plusieurs départements et services, diverse tâches dont celle de la gestion des stocks.
C’est dans ce cadre que nous, en notre qualité d’économiste, nous nous intéressons à cette fonction aussi importante dans la réalisation de la performance de l’entreprise.
Une entreprise ne peut produire des produits finis qui ne seront pas stockés. Elle cherchera à les mettre à la disposition des acheteurs car la vente est un objectif primordial dans cette situation de production.
Et si le stock devient de plus en plus élevé, l’entreprise supporte le coût d’opportunité due à la mobilisation des fonds ayant été utilisés pour financer les valeurs d’exploitation à savoir les stocks des biens
Néanmoins, lorsque le stock est d’une faible quantité. L’entreprise sera menacée d’une éventuelle rupture qui aura des impacts négatifs dans le processus de fabrication.
A tout pris, nous essayerons de standariser le stock et dégager quelques pistes de solution dans la gestion des matières premières par la logistique/ gestion magasin au sein de la société Bralima BUKAVU, en se posant la question de savoir s’il y a une corrélation directe entre la gestion des stocks des matières premières et le maintien de PF en magasin.
O.1. PROBLEMETIQUE
La raréfaction des matières premières lors de la première guerre mondiale , la surabondance des stocks durant la crise économique de 1929 , les difficultés de nouvelles technologies telle que le « Zéro stock » et le « juste à temps » , le souci continu des gestionnaire d’améliorer l’efficacité et la productivité de leur entreprise sont autant d’expériences qui ont contribué à faire prendre conscience de l’importance d’une gestion économique de stock[1]
Relevant du système économique, le principe hédonistique pousse toute entreprise à accroitre son volume de production en vue de maximiser son bénéfice à travers la vente de ses produits au la prestation de ses services, ce même principe amène les consommateurs par le souci de rationalité à minimiser les coûts afin de satisfaire leur besoin.
Face à ce double objectif contradictoire, il se pose un problème secondaire mais majeur dans la vie de toute entreprise, celui de la gestion des stocks. De ce fait, le choix rationnel d’une analyse de la politique de gestion des stocks nécessite la considération de certaines contraintes parmi lesquelles la nature et les caractéristiques des produits à stocker. La constitution des stocks ainsi que sa gestion demeurent dans la vie de l’entreprise, incontournable.
Bien que souvent et généralement l’entreprise se heurte à des problèmes majeurs face à la gestion des stocks. Il s’agit dans la plus part des cas de la ridification de la production : il faut écouler le stock, il y a aussi l’augmentation du délai moyen de production et en suite l’immobilisation des moyens financiers importants et une immobilisation de surface[2].
Cependant, l’analyse des différents coûts associés aux stocks est une étape importante dans l’établissement d’une gestion des stocks. Pour les entres commerciales, cette analyse est un préalable à l’établissement du prix de ventre et des marges de profit ; pour les entreprise industrielles et de service, elle sert au calcul et à la comparaison de lots à commander des matières premières au produits finis au soit de coût au prix de vente de l’entreprise, à l’établissement des méthodes de réapprovisionnement, à l’évaluation du rendement des investissements en stock. Toutes ces structures des coûts peuvent être réparties en quatre catégories : le coût d’achat matières premières aux marchandises, le coût de commande, le coût de stockage et le coût de rupture de stocks.
En effet, le coût de rupture quand bien même sous-estimé par bon nombre des gestionnaires est susceptible de compromettre le fonctionnement de toute l’entreprise et par conséquent sa crédibilité à l’égard de ses partenaires. En tout état de cause, ce problème est d’ordre technique et méthodique de la gestion des stocks de l’entreprise afin d’éviter les désagréments entrainés par une mauvaise pratique de leur gestion.
Ainsi, c’est sur cette toile de fond que notre étude s’articule autour de la gestion des stocks des matières premières au sein d’une entreprise industrielle, la société Bralima/Bukavu. A l’instar d’autres sociétés de la place, la société Bralima doit faire face aux clients respectant une gestion de stock efficace de ses matières premières pour éviter le problème de rupture de stock des matières premières qui peut avoir un impact sur la production et voir même la détention des produits finis en stock.
A cet effet, pour mieux appréhender cette pratique, la principale question de notre étude peut alors être formulée comme suit : Comment la société Bralima gérait- il son stock des matières afin d’avoir une quantité de produit finis optimum dans son magasin. De manière claire, notre étude cherche à répondre aux préoccupations suivantes :
O.2. HYPOTHESE
Pour M. GRAWITZ, l’hypothèse est définie comme étant une explication provisoire de la nature des relations entre deux ou plusieurs phénomènes. L’hypothèse scientifique doit être confirmée ou infirmée par les faits[3]
En nous référant aux questions soulevées dans notre problématique, nous avons émis les hypothèses suivantes afin de guider notre démarche :
0.3. METHODE ET TECHNIQUES
Une méthodologie est un ensemble des opérations intellectuelles par lesquelles une discipline cherche à atteindre les origines , les vérités qu’elle poursuit, les démontre et les vérifie[4]
Cette œuvre scientifique n’est pénétrable qu’au moyen d’une analyse, conduite sur base des méthodes et techniques[5]
de sa conception jusqu’à sa mise en forme finale, toute œuvre faisant objet d’une étude scientifique doit faire scène une méthode convenable, propre, cohérente et adaptée au sujet de recherche.
Nous avons utilisé les méthodes suivantes :
La technique est un moyen permettant au chercheur de récolter les informations sur terrain mais aussi de les traiter. Comme outil de recherche, nous avons recouru à :
0.4. ETAT DE LA QUESTION
Nul ne peut se prévaloir l’exhaustivité d’un travail scientifique. Les recherches et les études faites se situent dans plusieurs domaines (orientations), lesquelles constituent un champ d’application large pour le monde scientifique.
Nous estimons n’avoir pas consulté tous les ouvrages que contiennent toutes les bibliothèques de la ville de Bukavu ou tous les travaux antérieurement élaborés dans ce domaine.
Cependant, quelques-uns repris ci-dessous et consultés, nous ont aidé à élaborer si pas à finaliser notre travail et ont constitué des éléments à partir desquels la pertinence de notre travail a prix tout son sens entendu qu’ils nous ont permis d’en démonter l’originalité :
Citons le travail de mémoire de MIREILLE BINTU Murhula, intitulé « Rationalisation de la gestion de production et des stocks au BDOM cas de solutions pour perfusion ».
Son travail s’est fixé comme objectif d’étudier d’une part la production de solutions pour perfusions au BDOM en analysant sa méthode de gestion de stocks au cours de cinq dernières années en vue de proposer des ajustements nécessaires pour une gestion rationnelle et d’autre part il poursuit, dans son travail, l’objectif de vérifier si le BDOM est en sous ou suremploi dans la production des solutions pour perfusion[7]
MIREILLE a émis et vérifié les hypothèses selon lesquelles :
Elle propose par ailleurs au BDOM, d’introduire dans sa gestion, un système de contrôle et prendre des décisions quant à la quantité à commander et au moment où il convient de le faire pour une gestion rationnelle des stocks. Ses analyses ressort que toutes ses hypothèses ont été vérifiées.
Notons certains éléments de divergence entre notre travail et ce dernier, bien qu’à vocation tous de l’optimisation de la gestion de stock. D’abord, l’objet social des entreprises diffère dans les deux cas, synonyme que la démarche et les résultats attendus doivent être différents. En suite, les visions sont différentes en ce sens que nous ne poursuivons pas l’objectif de démontrer le sous ou le suremploi dans la gestion de stock de la BRALIMA, mais au contrario, notre objectif est celui d’étudier si la gestion des stocks des matières premières dans une entreprise industrielle BRALIMA a un impact sur PF.
Par sa part, Mamie NZIGIRE RUCHOGEZA ayant porté sur « le modèle de gestion de production des Bières et Boissons Gazeuses à la Bralima/ BUKAVU »[8] . Son étude avait comme préoccupation d’étudier dans quelle mesure un processus de production non entièrement automatisé, les débits différents des marchandises ou l’activité des hommes débouchent-ils à l’optimisation de la production, ou stockage intermédiaire des encours de fabrications « dont l’importance est liée à la durée du cycle de fabrication ou au stockage des produits finis.
Recourant aux méthodes quantitative, historique et structuro-fonctionnelle appuyées par les techniques documentaire et d’interview, il conclut que la gestion de production des Bières et Boissons gazeuses se réfère aux principes de bonne gestion de production.
Toutefois, il considère que l’application des méthodes de gestion rationnelle permettra d’améliorer davantage les produits au sein de cette entreprise.
Pour les mêmes raisons que précédemment , notre travail prend tout son sens entendu que des points de démarcations se dégagent.
Quant à FURAHA AMANI Alice[9] effectuant ses recherches sur la gestion de production dans une entreprise industrielle cas de la Bralima/Bukavu, ses préoccupations majeurs étaient de savoir si le niveau de production de la Bralima est fonction des ventes et de détecter les limites liées à la gestion de production, l’auteur estime provisoirement que le niveau de production ne serait pas fonction du niveau des ventes suite aux contraintes techniques auxquelles est soumise la Bralima, Elle ajoute en outre que la possession d’une linge unique de production constituerait une limite à son mode de production étant donné qu’elle entraîne des coûts en termes de main d’œuvre et de temps.
Ses résultats font remarquer des écarts significatifs à la BRALIMA entre l’offre et la demande et des provisions à court terme qui ne lui permettent pas de satisfaire les consommateurs, que le niveau de production n’est pas fonction du niveau de ventes mais plutôt fonction de ses inputs et de ses machines, que la production réalisée est écoulée en totalité sur le marché et une partie de la demande reste insatisfaite. Ceci s’explique par le non dépendance de la production à la demande. Quant aux limites , l’auteur constate que la BRALIMA possède une ligne de production unique pour toutes les catégories des produits fabriqués et que les produits de la BRALIMA ne peuvent satisfaire toute la demande si et seulement si celle-ci arrive à doubler sa ligne de production. Cela pourrait faire dépendre le niveau de production à la demande et éviter ainsi le problème de rupture de stocks et de sous production, pour dire que la quantité qui sera produite pourra résorber toute la demande qui lui est adresser par ses consommateurs.
D’autres mémoires et TFC ont certes traité sur la Bralima mais , notre travail se distingue de leurs en ce sens qu’ils n’ont pas abordé les aspects que nous abordons ou s’ils le font, c’est sous une considération beaucoup plus globale, en outre, d’autres travaux traitent de la gestion des stocks des entreprises que Bralima. C’est particulièrement Héritier MIKOTI BOMOLO qui traite de l’analyse de la politique de gestion des stocks dans une entreprise pétrolière. Sa problématique repose sur les questions suivantes : SEP-CONGO justifie t’elle une bonne politique de la gestion des stocks ?.Cette gestion des stocks permet telle à la gestion efficiente de son stock ?
Après avoir utilisé les méthodes historique appuyées par les techniques documentaire, d’interview et d’enquête, il aboutit aux résultats qui valident ses hypothèses et donc conclut que l’entreprise SEP-CONGO, dans son rôle de récepteur, ne procède pas à une gestion scientifique des stocks. Cette dernière gère traditionnellement son stock sur base des entrées et des sorties, sans normes scientifiques concernant le délai de réapprovisionnement, le temps de passation de commande, etc. Et concernant le suivi des documents relatifs aux mouvements des entrées et des sorties de stocks, SEP-CONGO possède une méthode de suivi des documents, mais qui n’est pas adaptée à sa lourde tâche.
Le dernier travail ayant attiré notre attention est celui de BACISEZE KALIHIRA, intitulé « Analyse du système de production et commercialisation des produits finis dans une entreprise industrielle, cas de l’entreprise GINKI SPRL »[10]
Ce travail s’est réservé l’objectif de procurer à l’entreprise GINKI sprl d’un outil de travail et réflexion permettant de mieux appréhender les réalités complètes de la situation patrimoniale et de l’efficacité de sa gestion.
Partant de hypothèse, il souligne qu’aucune entreprise ne peut produire sans matières premières , l’entreprise GINKI sprl a besoin, tout d’abord des matières premières nécessaires pour réaliser une production efficace des mousses flexibles ; elle doit avoir des machines nécessaires ou outils pour produire, elle doit avoir une main d’œuvre qualifiée , son prix est au moins adapté à ses clients, sa part du marché a une rentabilité moyenne ; elle serait considérée comme évoluant sur un marché monopolistique.
Pour répondre à ces hypothèses, l’auteur part la méthode analytique, statistique, de quotas, appuyées par la technique documentaire, technique d’interview.
Ainsi donc, en 2007, la production totale était de 1930 matelas de 190 x 90 x 10 cm, 2112 matelas en 2008, 2761 matelas en 2009 et 2148 matelas en 2010. La production réalisée au cours de ces quatre ans de son étude était de 8952 matelas de 190 x 90 x 10 cm.
La vente réalisée : 2080 matelas en 2007, 1628 matelas en 2008, 2444 matelas en 2099, 1401 matelas en 2010. En plus la vente réalisée au de ces quatre ans de son étude était de 7553 matelas.
Son étude montre que la production et la vente sont en corrélation et ainsi ses hypothèses ont été vérifiées.
Tout ces travaux qui ont précède le notre ayant porté sur la gestion des stocks sous certaines formes (générales que spécifiques), le troisième et quatrième ouvrage et ses auteurs ont particulièrement retenu notre attention. Du fait qu’ils ont traité sur tous les aspects de la gestion des stocks des matières premières sous diverses formes, nous nous proposons de traiter de la gestion des stocks portant une forme très particulière touchant bien sur certains des aspects qu’ils ont déjà traité mais appliqués cette fois sur une entreprise industrielle de la place ( Bralima/Bukavu). Nous nous proposons singulièrement de mettre un accent sur la manière dont la gestion des stocks matières premières doit permettre d’avoir une quantité optimale de PF au sein de la firme mais aussi comment elle peut être à la base de décisions stratégiques que opérationnelles de haute hiérarchie à la Bralima/Bukavu. En outre, nous essayons d’apporter une contribution sur la manière dont les stocks de MP et PF sont gérés à la Bralima et dans toute entreprise de la place afin de répondre de façon plus permanente aux demandes des clients en générale ; en particulier , à la solvabilité de cette unité économique de production des boissons à Bukavu et ; cela dans le but de faire un contre poids à la concurrence des autres entreprises de la place qui fabrique le même produit qui profiterait certes de l’inefficacité de ladite firme pour la contourner.
Pour ce faire, nous utilisons certains modèles que d’aucuns considèrent comme ayant une plus grande importance plutôt en économie qu’en gestion mais dont nous estimons revêtir la même ampleur en économie qu’en gestion, surtout pour une gestion rationnelle des stocks.
0.5. CHOIX ET INTERET DU SUJET
Le choix de ce sujet nous est venu constat ; celui de voir comment les entreprises tiennent leurs stocks des produits finis alors que paradoxalement les modèles qu’elles utilisent ne cessent des causer d’ énormes problèmes.
Notre sujet complète les travaux rendus dans le passé sur la gestion des stocks des
matières premières, préciser un modèle scientifique de gestion, permettant ainsi une contribution à l’avancée scientifique de la science ; nous croyons qu’il constituera également une source d’inspiration pour tout recherche.
Ce travail nous permet de dénicher les différents éléments perturbant le processus
de production au sein de la société BRALIMA
Au terme de ce projet de TFC, il nous sera possible ainsi qu’à nos lecteurs de
comprendre les mécanismes pouvant être mis en œuvre pour contribuer à la pérennisation de toute entreprise à l’instar de la BRALIMA par la mise en application de différentes recommandations. Disons finalement que ce travail est animé par le souci d’aider les entreprises industrielles œuvrant au Sud-Kivu à prendre conscience de l’importance que revêt une gestion rationnelle des stocks et les pousser à considérer l’argent dépensé comme un investissement et non comme une perte.
0.6. DELIMITATION DU SUJET
Comme tout travail scientifique étant donné la difficulté évidente de récolte des
données, nous avons rétréci le champ tant spatial que temporel du travail , qui ne concernera que l’analyse de la gestion des stocks des matières premières appliquées par la Bralima / Bukavu et plus précisément pour la période allant de 2014 à 2015.
0.7. OBJECTIF DU TRAVAIL
Tout travail scientifique se fixe les objectifs à atteindre. C’est ainsi donc que notre travail aura comme objectif d’étudier si la gestion des stocks des matières premières dans une entreprise industrielle BRALIMA a un impact sur PF.
0.8. DIFFICULTES RENCONTREES
Ce travail ne saurait pas être réalisé sans se heurter à des difficultés. C’est notamment le fait de réaliser le travail au même moment qu’on suit les cours et au même moment qu’on doit préparer les examens, les moyens financiers limités sont là certaines des difficultés majeures rencontrée ; ces dernières étant inévitables dans le mesure où un travail scientifique à la hauteur de celui –ci ne pourrait se réaliser sans un coût conséquent. En somme, toute œuvre humaine est sujette à des difficultés ; la notre s’est heurtée à des nombreuses difficultés dont la plupart ne sont pas relevées ici.
0.9. CANEVAS DU TRAVAIL
Ce travail est subdivisé en trois chapitres, le premier est consacré aux aspects théoriques sur la gestion de stock , le deuxième à l’analyse technique de gestion des stocks et la présentation de la Bralima et le dernier chapitre à l’analyse de gestion des stocks des matières premières à la Bralima/ Bukavu et son impact sur maintien des produits finis optimum.
[1] Louis TAWFIK, Pratique de la gestion des opération, éd, DIDACT, Montréal (QUEBEC) 1993, P.217
[2] COURTOIS A. et alii, Gestion de production , paris , éd d’organisation , 1995,P.124
[3]M. GRAWITZ, Lexique des sciences sociales, 7e éd. Dalloz, Paris 2000, P11
[4] M.GRAWTZ, Lexique des sciences sociales, 7e éd. Dalloz, Paris 2000, P 11
[5] PINTO et GRAWTZ M. , Les méthodes de recherche en science sociale, éd. Dalloz, Paris 1971, P 208
[6] C.K. JAVEAU, Comprendre la sociologie, Verviers, Ed. MARABOUT, 1978, P, 68
[7] MIREILLE BINTU.M, Rationalisation de la gestion de production et des stocks au BDOM cas des solutions pour perfusion, mémoire inédit , FSEG, UCB, 2006-2007
[8] M. NZIGIRE RUCHOGEZA, Modèle de gestion des production s des bières et boissons gazeuses à la Bralima SARL siège Bukavu, mémoire inédit, FSG, UCB, 1996-1997
[9] Alice FURAHA AMANI, La gestion de production dans une entreprise industrielle cas de la BRALIMA / BUKAVU, TFC, Inédit, FSEG, L2 GESTION FINCIERE, UCB, 2011-20112
[10] BACISEZE KALIHIRA, Analyse du système de production et commercialisation des produits finis dans une entreprise industrielle, cas de l’entreprise GLINKI SPRL , mémoire inédit, FSEG, UOB, 2010