Le monde est confronté à des crises qui affectent non seulement sa stabilité politique, sanitaire, environnementale et économique mais aussi l’agriculture et la sécurité alimentaire de la population[1]
L’incidence de l’agriculture dans le développement (croissance économique) et la sécurité alimentaire n’est à exclure étant donné son rôle et sa contribution dans la transformation du niveau de vie de la majorité de la population des pays du monde et en particulier celle paysanne.[2] Depuis le début des années 1950, des gouvernements et des bailleurs des fonds ont destinés d’importants montants aux programmes des crédits agricoles. La banque mondiale à elle seule a affectée plus de 16 milliard de dollars américains à ces efforts entre le milieu des années 1950 et la fin des années 1980. Il était supposé que la plus part des paysans agriculteurs étaient trop pauvres pour constituer des épargnes, que les marchés formels étaient dominés par les préteurs d’argents monopolistes qui imposaient des taux d’intérêts usuraires et que les banques commerciales étaient trop prudentes pour prêter à la plus part des agricultures.[3]
Mais il s’est avéré que des nombreux pays du monde ; la CHINE par exemple, a connu une expansion remarquable et une croissance économique signifiante grâce à la politique qu’elle a toujours prôné pour la valorisation de l’agriculture en des nombreux cartels qu’elle a mise en place (des organisations paysannes, crédits agricoles par créations d’institutions de micro finance etc.) pour essayer de professionnaliser l’activité agricole afin que le paysan puisse en dépendre et mener sa vie aisément en répondant à ses différents besoins , en particulier ceux primaires( accès au marché, services de santé, éducation des enfants, alimentations etc.)[4]
L ‘agriculture est une activité qui occupe une place de choix dans la région de grands lac qui est actuellement confronté aux problèmes démographiques galopante et croissante exponentielle des besoins en produits vivrières[5]
La RD Congo quant à elle, offre plusieurs opportunités d’investissement dans le secteur agricole allant de la production à la commercialisation afin de créer une chaine de valeur compétitive au niveau de la sous-région. En Afrique Avec son potentiel agronomique exceptionnel et une superficie de terres agricoles inégalables en Afrique (80 million d’hectares arables et 4 millions des terres irrigables), la RD Congo est capable de nourrir à lui celle 2 milliards de personnes avec ses terres qui lui permet de développer plusieurs cultures vivrières, maraichères et pérennes ou de rentes.[6]
Néanmoins, la RD Congo comme c’est bien connu avec des conditions naturelles ; particulièrement favorables aux activités agricoles, des précipitations en quantités suffisantes capables d’offrir deux saisons culturales par an, d’importants réseau hydrologique, fertilité du sol , le large ensoleillement, la diversité des conditions climatiques et géologiques permettant une diversité des cultures et étant donné sa taille ; elle serait aujourd’hui condamné à une agriculture de subsistance caractérisée par le manque de diversité des cultures et étant donné sa taille[7] ; elle serait aujourd’hui condamné à une agriculture de subsistance caractérisée par le manque d’intrants et d’innovations technique, institutionnelle, ou biologique, absence d’intervention de l’Etat , une productivité extrêmement faible, cout de commercialisation exorbitant, etc[8].
L’agriculture paysanne occupe 70% de la population active congolaise parce qu’elle demeure l’un des pays au monde qui dispose d’une terre hyper fertile et où l’on peut cultiver pendant toute l’année. C’est ainsi qu’à son accession à la souveraineté internationale ; cette particularité permettait rien qu’au secteur agricole congolais d’intervenir à la hauteur de 43% de ses recettes d’exploitation, une production qui faisait du Congo- belge le deuxième producteur mondial de l’huile de palme derrière le Nigeria et devant l’Indonésie et la Malaisie.[9]
Pendant plusieurs décennies, l’agriculture congolaise n’a toujours pas décollé en dépit des nombreux financements extérieurs reçus pour la mise en place des politiques agricoles dans le pays, cela serait dû ;
La province du sud Kivu étant essentiellement une province à vocation agricole, 75% à 85% de la population vivant de l’agriculture, plus de 60% de la population vivent en milieu rural et ont comme activité principales: l’agriculture, de la pêche et de l’élevage. Elle est dotée d’un potentiel agricole important qui se traduit à travers ; la production agricole diversifiée, l’agro-écologique diversifiée, le calendrier agricole assurant la production agricole durant toute l’année, le riche potentiel vivrier dans chaque entité administrative rurale et une disponibilité des terres de culture.[11]
De cela, les contraintes qui entravent la bonne marche du secteur agricole au Sud-Kivu sont entre autre ; les personnels de vulgarisation agricole insuffisants, sous équipés et d’âges avancés, pratique culturale inappropriée, le problème foncier dans le Kivu dit montagneux(WALUNGU, KABARE, KALEHE, IDJWI) où en moyenne le ménage agricole a moins de 30 ares de terrain, manque de main d’œuvre agricole dans la partie dite le Kivu forestier(SHABUNDA) où l’activité principale est les carrières minières, les perturbations climatiques suite au déboisement, l’érosion, les calamités, le non entretient des infrastructures d’irrigation, l’incapacité pour les paysans de faire atteindre leurs productions aux centres de consommations et enfin l’insécurité récurrente en milieu rurale du Sud-Kivu et l’accès difficile aux crédits.[12]
Notons par ailleurs qu’en territoire de WALUNGU est en particulier dans le groupement de BURHALE en dépits de ces sombres visages que présente le secteur agricole au Sud-Kivu surtout dans le domaine de la productivité et du financement de ce secteur qui se vaut très important au développement, il y a lieu de noter la présence des diverses associations, cartels, regroupements d’entraides, les groupes de réflexions ; dans lesquels se regroupent les agriculteurs pour faire face aux différentes difficultés qui les bloquent dans l’exercice normal de leurs activités, lesquelles équipes sont appelées « organisations paysannes » .
Eu égard à ce qui précède, ce présent travail va se réaliser en vue d’examiner attentivement l’impact de ces organisations paysannes aux problèmes de financement agricole, les questions suivantes vont constituer notre fil de conduite tout au long de nos investigations sur le terrain à savoir :
Pour asseoir l’originalité de notre travail nous nous sommes intéressés aux différents travaux de nos prédécesseurs qui ont eu l’occasion d’aborder certains sujets qui se rapprochent de près ou de loin de notre sujet d’étude. Il s’agit entre autre des ouvrages, des livres, des mémoires, des TFC, de nos prédécesseurs auxquels nous aurons à dégager quelques simultanéités et particularités par rapport à notre sujet qui essentiellement porte sur le financement agricole à travers les différentes contributions des organisations paysannes :
D’après les expériences présentées dans cette publication il montre que les OP peuvent faire preuve des capacités d’initiative et d’innovation remarquable des leurs recherches de solution face au défi de modernisation des exploitations familiales et en particulier celui d’accès aux services financier celle en même de permettre l’investissement nécessaire à une meilleure productivité agricole malgré le seule et unique choix des OP de mobiliser leurs propres forces et créativité pour apporter des réponses concrète aux sollicitations de leurs membres en vue de remonter des nombreuses difficultés et enjeux de taille dans un cadre règlementaires de plus en plus contraignant pour le financement de l’agriculture.
Pour nous dans ce présent travail, il sera question de préconiser quelques techniques à mettre en œuvre pour la promotion de l’agriculture dans le groupement de BURHALE qui porte l’intérêt de notre travail, comme dans le contexte du SOS Faim qui lui a choisie d’accompagner les OP dans le développement des conditions grandissantes d’accès aux financements adaptés à la spécificité et à la diversité des OP.
2 ARSENE IRENGE KASINDE[14] : qui dans son mémoire intitulée « problématique de financement agricole au Sud-Kivu et accès des agriculteurs au crédits : cas de KATANA » essaie de mener une étude sur les différents facteurs explicatifs de l’accès aux crédits agricole par les paysans agriculteurs où il se contente d’en faire sur base d’une question de savoir quelle serait l’incidence de la création des coopératives agricoles pour financer les activités liées à l’agriculture pour l’accroissement de la productivité à la capacité d’achat et de mise en stock des produits rare au Sud-Kivu.
En guise d’hypothèse il a montré que la création des coopératives agricoles permette de promouvoir d’une manière trop efficace le financement agricole en question et le monde rurale en générale, car cela permettrait d’avoir des moyens pour accroître la capacité de stockage et d’achat des produits.
Ces hypothèses ont été vues affirmées après les différentes analyses des résultats qu’il a eu sur terrain par rapport à son problématique d’étude.
Ainsi en se rapprochant de notre travail, on constate que lui traitait la problématique ayant trait à l’organisation paysanne et financement de l’agriculture, en plus du problématique de financement tel que prédit par notre prédécesseur, nous aurons en plus à fournir d’effort afin d’apporter quelques études sur les organisations de la population rurale en particulier celle de BURHALE pour palier à la problématique liée au financement du secteur agricole.
3 BETTY WAMPFLER/CIRAD[15] : il montre dans la revue intitulée « la contribution des organisations paysanne et financement de l’agriculture un éclairage à partir de l’exemple de l’Afrique de l’Ouest »
En se basant sur la question de savoir dans quelle mesure, sous quelle forme et avec quelle contrainte les OP peuvent-elles contribuer au financement du secteur agricole ; il a trouvé comme réponse qu’un consensus s’impose progressivement de reconnaitre l’intérêt de structure des producteurs organisés pouvant être interlocuteur des états dans la mise en œuvre des politiques de libéralisation du secteur agricole.
En rapprochant ce travail à notre sujet de travail, il s’avèrerait que la question de financement dont il est question ici nous intéresse énormément étant donné qu’elle forme la variable indépendante pouvant nous conduire à appréhender la manière dont les OP intervient dans le financement mais il sera de notre tâche de déterminer en plus des OP qui œuvre dans le domaine agricole à BURHALE ; les modes de financement agricole réels dans ce milieu.
En tranchant dans la cause de cette insécurité alimentaire, ils ont trouvé que cette dernière étaient en grande partie liée aux conditions physique et environnementale pauvre, à la faible disponibilité des terre arable, au faible encadrement agricole, au problèmes d’accès au financement des activité agricoles, à la faiblesse des services de vulgarisation, à l’inégalité dans la distribution des revenus et de la richesse, à la baisse de la productivité, à la dégradation des infrastructures de bases surtout sanitaires et de stockage, au bas niveau du capital social et au faible niveau d’opportunité pour les activités agricoles.
Par rapport à notre travail, nous aurons à analyser certains points qui ont étaient évoqués par C. BUCHEKUDERHWA et MAPATANO notamment celui de l’insécurité alimentaire causé par la dépendance alimentaire dont est victime cette population et de financement agricole ou d’accès au financement lesquels nous enrichisserons par la détermination de voie poursuivies pour réaliser le financement.
Elle s’est donnée le temps de relever les besoins liés au secteur agricole dans la chefferie de NGWESHE et sur quelle contrainte il faut se concentrer pour raviver la production agricole.
Elle anticipe sa problématique en surjetant que la mise en place d’une politique efficace de financement par élimination des déterminants sociaux, culturels, financier et économique pourrait arranger les choses et de ce fait contribuer à l’amélioration de la production agricole qu’elle soutient en disant « l’amélioration des facteurs de production conduirait à la sécurité alimentaire ».
En faisant recours à des méthodes statistique, analytique qu’elle accompagne avec les techniques d’enquête et d’observation pour enchainer avec ses analyses et ses recherches, elle fait ressortir enfin des résultats selon lesquels « le besoin de financement des agriculteurs sont énormes tant pour les éleveurs que pour les cultivateurs »
Pour nous, il sera question en plus de déterminer les besoins qu’expriment les agriculteurs paysans pour le financement de leurs activités mises œuvre pour mener à réussite cette financement agricole ; nous identifierons et étudierons avec analyse possible les différentes organisations locales du groupement de BURHALE qui investissent pour la résolution des différents problèmes pour le bien de la population de cette entité.
6.LA VOIX DU PAYSAN CONGOLAIS[18], analyse dans la revue intitulée « la promotion de l’agriculture familiale pour nourrir l’Afrique » où elle montre les différents efforts fournis par le gouvernement congolais et même par les cartels locaux ou les organisations des cultivateurs et éleveurs locaux qui œuvrent pour la croissance agricole du secteur primaire enfin de produire pas cette fois pour l’autosuffisance ou pour la subsistance mais plutôt pour l’échange en vue de nourrir même des milliers de bouches des congolais et non congolais afin d’apporter les devises au pays.
Cette revue confirme cela par la promesse que même le gouvernement lui seul a donné aux différentes provinces de la RD Congo par l’intermédiation du premier ministre Augustin MATATA MPONYO qui souligna de mettre à la disposition des provinces une somme d’environ 50 millions de dollars américains en vue de développer l’agriculture et financer au cours de l’année 2013, et qui demandant même aux gouverneurs des provinces d’élaborer un projet de développement agricole dans le cadre de rendre le secteur agricole « moteur du développement de la RD Congo » par la matérialisation du but visé afin d’enterrer la dépendance alimentaire dont est victime la population congolaise en générale et celle paysanne en particulier où l’insécurité alimentaire chronique est une vérité visible.
Comme notre travail sera orienté vers la capacité des OP à faciliter l’accès direct ou indirect au financement afin d’épanouir leur productivité et amélioré leur conditions de vie en rattrapant si possible la croissance enfin de rêver au développement dans le future ; ce revue nous présente déjà un pas vers la poursuite de notre sujet d’étude car à notre descente sur terrain nous aurons à apprendre les différents acteurs qui œuvrent dans le financement de l’agriculture dans le groupement de BURHALE et ainsi essayer de savoir en plus sur la réalisation de la promesse du gouvernement et savoir quelle est sa part dans le financement du secteur agricole dans ce milieu car il fait partie aussi des acteur des financements de l’agriculture et si possible identifier les effets de ce financement sur le niveau de vie de la population pour diagnostique la pauvreté qui est la source de la dépendance alimentaire.
En allant avec une question de savoir en quoi consisterait l’intervention du SVDIP dans le financement de l’agriculture dans ce milieu, il anticipera cette problématique en termes d’hypothèses en soulignant que le SVDIP entant qu’OP œuvre dans la promotion de l’agriculture et facilité l’accès à des crédits pour les paysans agriculteurs à un taux d’intérêt moindre.
Avec certaines méthodes et techniques qu’il a décidé de mettre en œuvre pour l’établissement de son travail ; il est parvenu à un résultat qui lui a permis de conclure que certaines de ses hypothèses comme soulignées ci-haut ont étaient affirmées et d’autre reformulées pour cette même occasion d’étude.
Pareillement à notre sujet de travail, le constat est que nos deux sujet sont le même malgré une brève distinction qui s’observe au niveau du milieu d’étude, de la limitation temporelle du travail, ainsi qu’au niveau du plan d’action car il s’est spécifiquement intéressé au SYVDIP tout en ignorant les autres acteurs de financement agricole. De cela, pour nous il sera question de s’intéresser non seulement à une seule OP mais si possibles à certains acteurs qui œuvrent dans le financement du secteur agricole à BURHALE afin que le sujet soit actualisé sur la problématique actuelle que connait ce secteur au niveau de son financement et que soit déterminé l’apport de certains de ces acteurs.
Pour Gardon et François PETRY : « L’étudiant doit d’abord assurer de l’intérêt qu’il porte au sujet, mais aussi de l’importance politique, social et de l’actualité du sujet choisi »[20]
Ainsi dans le cadre de ce travail, plusieurs éléments ont suscité le choix de ce thème de travail spécifiquement du fait que le territoire de WALUNGU en général et en particulier le groupement de BURHALE est devenue dépendant des produits alimentaires de base en provenance de la ville de Bukavu et de ses périphéries, alors que jadis celui-ci en fut le fournisseur ; mais aussi le choix de ce présent travail est motivé par le désir d’appréhender la problématique de financement du secteur agricole qui devrait répondre aux problèmes liés à la dépendance dont le groupement de BURHALE est victime.
Ces problèmes de financement et de dépendance alimentaire étant optimaux à BURHALE et auxquels il faut palier; ce travail a trait à l’identification des certaines OP de ce milieu et à la proposition des pistes de solution pour accroitre l’intermédiation concernant le financement agricole aux paysans agriculteurs, leurs capacités d’accès au crédit agricole ainsi que la productivité afin de proposer une solution à la dépendance et à l’insécurité alimentaire qui prévaut dans le groupement de BURHALE.
L’objectif global de cette étude est d’améliorer le mécanisme de financement du secteur agricole considéré comme vital dans le groupement de Burhale, en proposant à chacun des acteurs les voies et moyens de rendre ses services de plus en plus efficace et capables d’agir sur le niveau de vie de la population afin de palier à la dépendance alimentaire dont est principale victime la population paysanne en générale et en particulier celui du groupement de BURHALE.
De cet objectif global, ce travail se propose comme objectifs spécifiques :
Pour la vérification de nos hypothèses et la réalisation de l’objet de notre sujet de recherche, nous avons recouru à diverses méthodes et techniques parmi lequel :
Pinto et grawitz (1971, p289) définissent la méthode comme étant l’ensemble d’opérations intellectuelles par lesquelles une discipline cherche à atteindre les vérités qu’elle poursuit, les démontre et les vérifie[21].
Dans le cadre de cette étude, nous avons fait recours aux méthodes ci-après pour mener à bon échéant ce travail :
Selon Pinto et M. Grawitz(1971) ; la technique désigne un procédé opératoire rigoureux, des moyens pour collecter les données.[22]
Ainsi, les techniques suivantes nous ont été nécessaires dans la collecte données sur terrain:
Notre travail porte sur le territoire de WALUNGU plus précisément dans le groupement de BURHALE.
En nous situant dans le temps, nous nous sommes intéressés aux données représentant les activités des OP et le financement de l’agriculture allant de 2013 jusqu’à nos jours, période pendant laquelle on se retrouve en pleine apogée de la problématique liée au financement du secteur agricole accrue et à la dépendance alimentaire en ce qui concerne les produits vivriers en provenance de la ville Bukavu et ses périphéries vers le territoire le territoire de WALUNGU et le groupement de BURHALE en particulier. Cette période et encore marquée par la volonté du gouvernement de mettre en œuvre un plan d’action pour valoriser l’agriculture en rendant ce secteur, le secteur moteur du développement de la RD Congo.
L’introduction générale, la conclusion et la suggestion mis à l’écart ; le présent travail porte sur trois chapitres principaux dont :
[1] Banque mondiale, «in inter académie logiciel», 2007, p.147.
[2] L. MASTAKI, cours d’économie rurale, UOB, G3 économie, 2016, inédit
[3] E.COFFEY. « in AFR n°2 », juin 1998.
[4] L. GARRISON, « pour éviter le desastre. L’afrique a fort à faire pour assurer son autosuffisance alimentaire », revue de développement, décembre 1990, p.7.
[5] IFDC CATALISTE, intensification agricole pour la sécurité alimentaire en RDC, Kigali-Rwanda, février 2012, P38.
[6] ANAPI « in investir en RD Congo 2003-2015», 2003
[7] RD Congo : MAEP « in projet d’appui à la relance et la réhabilitation du secteur agricole », février 2010
[8] L.MASTAKI, «notes de cours d’ECORUR »UOB, G3économie, 2016, inédit
[9] M. MAFELLY-MAKAMBO., “l’agriculture moteur du développement de la RD Congo”, « in Congo vision », los Angeles(USA), le 07 février 2007
[10] M. MAFELLY-MAKAMBO., idem
[11] S.L. BULONGO, “problematique de financement du secteur agricole dans la province du sud-kivu”, mémoire, université ouverte/cumpus de bukavu, p.6.
[12] S.L. BULONGO, Op.cit.
[13] SOS Faim : in « réponses des organisations paysannes aux besoins de financement des exploitations familiales en Afrique de l’ouest », novembre 2013.
[14] A. K. IRENGE., « problématique du financement agricole au Sud-Kivu et accès des agriculteurs aux crédits : cas de KATANA », mémoire, UCB, 2007, inédit.
[15] B. WAMPFLER. « Contribution des organisations paysannes au financement de l’agriculture, un éclairage à partir de l’exemple de l’Afrique de l’Ouest », juillet, 2000.
[16] C. BUCHEKUDERWA., MAPATANO., « comprendre la dynamique de la vulnérabilité à l’insécurité alimentaire dans le milieu rurale : cas du territoire de WALUNGU et KABARE », vertigo la revue électronique en science de l’environnement, 2013.
[17] Z. N. SYLVIE., « la productivité et moyen de financement de l’Agriculture au Sud-Kivu : cas de la chefferie de NGWESHE », mémoire UCB, 2007, inédit.
[18] LA VOIX DU PAYSAN CONGOLAIS, in « promotion de l’Agriculture familiale pour nourrir l’Afrique », 2013.
[19] M. J. MUMBERE., »organisation paysanne et financement de l’agriculture », TFC, ULPGL, 2009.
[20] GARDON etF. PETRY, « guide d’élaboration d’un projet de recherche en sciences sociales », 3eédition, Bruxelles, PUL , 2004, P.9
[21] R.PINTO et M.GRAWITz, « Méthode des sciences sociales », paris, 3eédition dalloz, 1973, p.33.
[22] R. PINTO et M.GRAWITZ, op.cit.