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ULPGL/ GOMA
Présenté par NAMINANI KABOY Claudine
Pour l'obtention du diplôme de Gradué en santé et développant communautaires.

PROBLEME LIES A L’UTILISATION DE MOUSTIQUAIRE IMPREGNEE D’INCECTICIDE DANS LES MENAGES DE GOMA CAS DU QUARTIER NDOSHO

Publication : 24 Septembre 2017
La présente étude à porté sur « probleme lies a l’utilisation de moustiquaire imprégnée d’incecticide dans les menages de goma cas du quartier  ndosho ». Par recherche d’une réponse aux questions, nous nous sommes assigné comme objectif général d’identifier les obstacles liés à la non utilisation de MII dans les ménages du Quartier Ndosho. Cette étude est à la fois descriptive et transversale, et a fait appel à des données quantitatives et qualitatives. La taille de l’échantillon de cette étude était composée de 366 responsables des ménages. Les données ont été récoltées à l’aide d’un questionnaire d’enquête administré auprès de trois cent soixante six responsables des ménages dans le quartier Ndosho. Ainsi, les données quantitatives ont été traitées et analysées dans le logiciel SPPS (Statical Package of Social Sciences) version 20, tandis que leurs saisies et nettoyage se sont fait au moyen de Microsoft-office puis présentées au moyen des tableaux dans le Microsoft-Excel et les données qualitatives récoltées auprès de la même population en des questions ouvertes. . Ce qui nous a permis d’aboutir aux résultats suivants : Par rapport au Le degré de perception liée à l’utilisation de MII, 73,5% utilisent la moustiquaire une fois durant le mois contre 26,5% qui utilisent deux fois la moustiquaire durant le mois. 57,4% utilisent la moustiquaire pour se protéger contre les piqures contre 42,6% qui utilisent la moustiquaire pour se protéger contre la malaria. Par rapport à d’autres moyens de protection contre le paludisme, 56,3% d’enquêtés disent qu’ils ont d’autres moyens de se protéger contre le paludisme et enfin 43,7% affirment qu’ils n’ont pas d’autres moyen. En ce qui concerne Stratégie d’adaptation de l’utilisation de MII, 54,1% d’enquêtés nient n’avoir pas encore pris part à une séance d’éducation sur l’usage de la moustiquaire contre 45,9% qui affirment avoir déjà pris part à des séances. En terme de connaissance, il est avéré que la totalité de nos enquêtés ont répondu à l’affirmatif qu’ils ont connaissance de la manière dont le paludisme se transmette. 54,1% d’enquêtés ont déjà reçu un enseignement sur l’usage de la moustiquaire contre 45,9% qui nient n’avoir pas encore reçu. 56,3% d’enquêtés affirment avoir déjà reçu des promoteurs de la santé dans leurs quartier tendis que 43,7% nient n’avoir pas encore reçu les promoteurs de la santé dans leurs quartier.  Quant aux difficultés liées à l’utilisation de MII, les tableaux laisse entre voir que 73,5%  de nos enquêtés ne savent pas comment installer la moustiquaire.

Année académique 2017

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