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CHAP I. INFORMATION GENERALE

1.1Information générales

1.1.1 Informations générales sur le sujet

Chaque année, 500 millions de cas de paludisme sont relevés dans le monde. Or, le paludisme est une maladie mortelle, et même la maladie infectieuse parasitaire la plus importante au monde, et est une cause majeure de morbidité et de mortalité dans de nombreux pays en développement. Elle provoque plus d'un million de décès par an en Afrique.[1]

 Elle a un effet négatif sur la productivité des travailleurs, le niveau de scolarité, la croissance démographique, de l'épargne et de l'investissement. Des études empiriques ne cessent le confirmer. Le paludisme a un effet négatif statistiquement significatif sur le revenu national par habitant. Les ordres de grandeurs en termes chiffrés de ces deux dernières études ont été récemment confirmés: une hausse de 1% du nombre de cas de paludisme par million réduit le revenu par habitant de 0,01%., le sous développement même de l’Afrique tiendrait plus au paludisme qu’aux institutions ou son passé historique. On peut donc imaginer le futur si ce continent abrite environ 80% des personnes atteintes de paludisme. Et pourtant, l’Afrique a besoin de cette croissance pour faire face à cette maladie : une hausse de 1% du revenu par habitant diminue le nombre de cas de paludisme par million de plus de 1%. En effet, la croissance économique pourrait réduire le paludisme en générant davantage des ressources pour la prévention du paludisme (Gallup et Sachs, 2001). Parce que les coûts directs de prévention et de traitement du paludisme sont importants.[2]

En RDC, selon l’annuaire des statistiques sanitaires publié par la Direction de lutte contre la maladie et des grandes endémies du Ministère de la Santé Publique, le paludisme demeure l’endémie majeure et la première cause de morbidité ; il compte également parmi les trois premières causes de mortalité dans le groupe des plus vulnérables, à savoir les enfants de moins de cinq ans et les femmes enceintes. En 2013, 11 363 817 cas de paludisme ont été enregistrés, soit 38 % des consultations externes et 955 311 cas de paludisme grave en hospitalisation dont 30 918 décès enregistrés, soit 39 % des décès hospitaliers (PNLP, Rapport annuel 2013). Le paludisme constitue donc un problème majeur de santé publique en RDC. En plus des pertes en vies humaines, le paludisme coûte cher en dépenses de santé publique. Selon une étude menée à l’Université de Kinshasa (Mulumba et al 2005,2007), un épisode de paludisme grave revenait à au moins 69 $US pour la femme enceinte et 95 $ US pour l’enfant, sachant qu’un enfant congolais fait, en moyenne, 10 épisodes de fièvre par an. Cette maladie est responsable d’un taux élevé d’absentéisme scolaire ; elle constitue donc pour la RDC un facteur d’aggravation de la pauvreté, une cause d’inégalités et un frein au développement.[3]

I.1.2 Information sur le milieu d’étude

I.1.2.1 Présentation  du milieu d’étude

  1. Dénomination:

Nous avons effectué l’étude sur probleme liés a l’utilisation des moustiquaires impregnées d’incecticide dans les menages de goma cas du quartier  Ndosho.

  1. Localisation :
  • Au nord par le Groupement MUDJA
  • Au Sud par la route Goma-Sake
  • A l’Est par le Quartier KATOYI
  • A l’Ouest par le Quartier MUGUNGA

3. HISTOTIQUE

« NDOSHO » est une colline aujourd’hui situé dans le quartier KYESHERO jadis appelée NDOSHO qui signifie « Pierre ronde » qu’on trouve sur la colline.

Dans le temps les deux villages KYESHERO et BUGAMBA fusionnés et donc formaient la localité de NDOSHO en extension du Groupement MUDJA. C’est alors suivant l’ordonnance présidentielle, cette localité sera changée en « Quartier NDOSHO »

4.  ORGANISATION INTERNE

Le Quartier NDOSHO est dirigé par un chef titulaire assisté par deux adjoints dont l’une est de sexe féminin et l’autre secrétaire administratif. Tandis que les statistiques démographiques sont assurées par deux recenseurs.

Il est subdivisé en sept cellules qui sont subdivisés à leur tour en avenues d’où nous avons 31 avenues.

Mes avenues sont subdivisées en blocs communément appelés « Maison

  1. Personnel administratif du Quartier NDOSHO

La nouvelle configuration issu du découpage et de baptisassions des cellules et des avenues du quartier NDOSHO se présente comme suite : [4]

  • La cellule MUNANIRA comprend : Av. RULENGA, GARAMBA, Cinq Chantiers et Kito;
  • La cellule des écoles comprend les avenues suivantes :

Av. Renga, Luapula, Itimbiri, Ubango et Kiwanja ;

  • La cellule CAJED : est composée de 4 avenues :

         Av. Minova, Orphelinat, Kisasu et Lulua ;

  • La cellule des OKAPI est composée de : Av. Maendeleo, Kalma, Lusuli, Kasasu ;
  • La cellule SALANZO : Av. Kabsha I, Kabasha II, Bregamaba, Muhabura;
  • La cellule NDIHIRA: Rwasama, Elcodngo, Kalonji, Kasavubu et Kanyamuhanga.

Le projet de découpage étant en cours, le Quartier NDOSHO comprend 30 avenues à son sein, peut donner naissance à une commune ou être découpée en plusieurs autres quartiers.

Notons aussi que chaque avenue comprend plusieurs NYUMBA KUMI.

Ce quartier est caractérisé par un climat océanique, il fait froid le matin et le soir, mais le soleil est souvent adoucit par une brise de mer (vent qui souffre du lac Kivu vers le volcan Nyiragongo.   

  1. aspects économiques
  2. Commerce

Le quartier Ndosho dispose les deux marchés qui servent la population de vivre des produits manufactures. La population de la place vit du petit commerce et les prix sont bien contrôlés. 

  1. L’agriculture et l’élevage

La population de ce quartier vit de l’agriculture, de l’élevage mais aussi de cassage des pierres et de la maçonnerie

  1. Les coopératives

Le quartier Ndosho possède le MECRE NDOSHO

  1. aspect démographique
  2. Population

La population de Ndosho est constituée par un mélange d’ethnie et tribus mais ceux qui la constitue sont les HUTU, les Ndendé, les Bashi, les Nyanga, les Tembo…

Tableau N° 2. TABLEAU SYNOPTIQUE DE RECENSEMENT DE LA POPULATION CONGOLAISE DU QUARTIER NDOSHO

SUBDIVISION ADMINISTRATIVE

Populations

Avenus

Hommes

Femmes

Garçons

Filles

Total

1

Rulenga

399

658

760

870

2686

2

Cinq chantiers

755

645

635

532

2147

3

Kito

465

504

400

424

1793

4

Garamba 

745

823

635

620

2823

5

Mitumba

858

846

771

774

3249

6

Mutwanga

500

597

600

750

2447

7

Démocratie

175

176

1112

1771

1639

8

Kako

172

190

524

564

1250

9

Carrière

429

481

453

532

1891

10

Luapula

208

390

606

746

1950

11

Renga

278

702

1006

1003

2989

12

Kiwanja

466

526

702

749

2443

13

Itimbiri

313

469

679

911

2372

14

Ubangi

170

278

655

762

1865

15

Lulua

208

390

562

702

1861

16

Minova

242

264

619

712

1837

17

Orphelinat

466

381

326

688

2590

18

Ngulu

639

816

972

1163

2518

19

Kisasu

786

464

523

745

2283

20

Maendeleo

380

418

701

790

1731

21

Kabasha I

391

387

385

568

2212

22

Bugamba

548

571

621

632

2212

23

Muhabura

464

495

624

632

2896

24

Rwasamba

567

724

713

892

668

25

Kasavule

95

105

190

278

1638

26

Kusule

376

392

429

441

989

27

Ileosongo Kajonje

151

318

200

320

613

28

Kalonje

70

76

230

237

613

29

Kanyamuhanga

191

213

411

600

1418

30

Kabasha

271

256

423

491

1451

Total

12149

11410

18072

45923

102554

Source : bureau Quartier Ndosho

TABLEAU N° 3. TABLEAU SZYNOPTIQUE PAR AGE DE LA POPULATION CONGOLAISE DU QUARTIER NDOSHO

SUBDIVISION ADMINISTRATIVE

POPULATION

AGE

HOMMES

FEMMES

GARÇONS

FILLES

TOTAL

1

0 à 1an

8150

9656

8150

9656

25442

2

1 à 4ans

4821

4158

4821

4158

11420

3

5 à 9ans

2787

3958

2787

3958

8095

4

10 à 14 ans

2599

2840

2599

2840

6259

5

20 à 24 ans

2389

2882

2389

2882

7342

6

25 à 29 ans

3340

3371

9386

7

30 à 34 ans

2252

1678

8671

8

35 à 39 ans

1323

1260

5337

9

40 à 44 ans

683

244

4093

10

45 à 49 ans

605

880

3027

11

50 à 54 ans

593

847

890

12

55 à 59 ans

522

679

186

13

60 à 64 ans

361

553

175

14

65 à 69 ans

311

514

68

15

70 à 74 ans

280

324

98

16

75 à 79 ans

67

281

19

17

80 à 84 ans

27

151

17

18

85 à 89 ans

13

39

14

19

90 à 99ans

2

3

1890

TOTAL

10379

10824

20746

23494

102554

Source : bureau Quartier Ndosho

1.2. Problématique

Le paludisme est la maladie parasitaire la plus fréquente dans le monde et la plus dévastatrice des maladies tropicales. Elle menace environ 40% de la population mondiale. Le paludisme porte atteinte à la santé et au bien être des familles, compromet la survie des enfants, affaiblit la population active et le freinage de la croissance qu’il entraine, réduit encore les ressources limitées des états et des populations.[5] 

Pour l’Afrique seule, son poids économique est estimé à environ 12 millions de dollars annuels. Selon les mêmes estimations, le paludisme ralentit la croissance économique des pays Africains d’environ 1,3% par an. Cette maladie ne fait pas seulement perdre des vies et la productivité, mais handicape l’éducation et le développement social par l’absentéisme et les infirmités neurologiques associées aux formes graves de la maladie. Elle érode la croissance des adultes, affaiblis par la maladie, ils ne peuvent pas travailler et gagner leur vie, aussi, le système scolaire est perturbé lorsque les enfants sont bien et souvent malades pour aller à l’école ou que leurs enseignants sont absents pour des raisons associées au paludisme. Les taux de létalité palustre sont en hausse en Afrique. Ce qui s’explique par les moyens attribuables à la santé publique au sein des services nationaux de santé et par la pauvreté. [6]  

En Afrique Subsaharienne qui ne compte que 8% de la population mondiale fournit 85%-90% des cas de paludisme (200-280 millions de cas de paludisme dont 90% dus au plasmodium falciparum). Les enfants de moins de 5 ans payent le plus grand tribut à cette maladie. Selon l’OMS, le paludisme tue entre 1,1 et 2,7 millions de personnes dans le monde chaque année dont environ un million d’enfants de moins de 0-5 ans en Afrique Subsaharienne. En plus des pertes en vies humaines, le paludisme coûte cher en dépense de santé publique.[7]

EN RDC, le paludisme est un problème de la santé publique, il est  la première cause de mortalité en particulier parmi les enfants les plus touché par le paludisme, prés de 27millions de cas de paludisme dont 180 000 décès par an avec un nombre important  des femmes et d’enfants de moins de 5ans.[8]  Dans ce pays, 68% des consultations externes et 30% des hospitalisations concernent les paludisme alors que seulement 20% de la population fréquente lés structures médicale, un enfant congolais fait en moyenne Dix épisodes des fièvre paludique par an.[9]

Le résultat publié par le programme de lutte contre le paludisme  au NORD KIVU  relevé qu’au courant de l’année 2010 ,il y a eu 1 .142.282 cas de paludisme ,parmi eux 7963femmes enceintes qui correspondaient a une proportion de 0 .6 des personnes qui ont fait le paludisme et 1498 décès du paludisme correspondaient à 0.06 et 63647 moustiquaires imprégné d’insecticide ont été distribué.[10] Dans la ville de Goma, principalement dans la commune de karisimbi, du 2014 à 2015 on avait enregistré 1358 cas du paludisme sur un effectif de 20192 habitants, avec un taux de prévalence s’élevant à 6.7%.[11]

Pour notre cas nous nous intéressons aux problèmes liés à la non utilisation des moustiquaires imprègnes d’insecticides dans les ménages  du quartier Ndosho, En 2016 au cour de cette année on avait  enregistré 1247 cas du paludisme sur un effectif total de 20823 habitants, Avec un taux de prévalence s’élevant a 5.98%, Cas observent dans l’aire de santé Ndosho.[12]  

Vu la gravité  des problèmes liés à la non utilisation des moustiquaires imprégnées d’insecticide dans le ménage du quartier Ndosho, il nous est nécessaire d’évaluer les considérations de la population de Ndosho vis-à-vis de la moustiquaire imprégnée d’insecticide en apportant des  réponses aux questions suivants :

1.3. Questions de recherche

1.3.1. Question générale

Notre étude se propose de répondre principalement à la question suivante : Quel est le problème lié à l’utilisation de moustiquaire imprégné d’insecticide dans le quartier de Ndosho ?

1.3.2. Questions spécifiques

Les questions spécifiques suivantes ont été posées.

  1. Quel est le degré de perception des habitants du quartier ndosho face à la non utilisation de MII ?
  2. Quels sont les difficultés liées à l’utilisation de MII dans les ménages du quartier Ndosho ?
  3. Quels sont les stratégies d’adaptation de l’utilisation de  MII dans le quartier Ndosho ?

1.4. Hypothèses de recherche

Une hypothèse est une supposition ou une prédiction fondée sur la logique de la problématique et des objectifs de recherche définis. C’est une réponse anticipée à la question de recherche [13]

Au cours de notre recherche les hypothèses suivantes seront considérées :

  1. L’ignorance des avantages des moustiquaires imprégnés d’insecticide et l’insuffisance des informations sur l’usage de MII seraient le degré de perception
  2. L’éducation à la santé et la promotion de la santé pour tous seraient les stratégies d’adaptation de l’utilisation de MII dans le quartier Ndosho.
  3. Mauvaise pratique d’installation et le traitement des moustiquaires seraient les difficultés liées à l’utilisation de MII dans le quartier Ndosho.

1.5. Objectifs de recherche

1.5.1. Objectif général

La présente étude vise à identifier les obstacles liés à la non utilisation de MII dans les ménages du Quartier ndosho.

1.5.2. Objectifs spécifiques

Les objectifs spécifiques qui en découlent sont ci-après :

  1. Evaluer le degré de perception et usage de la non utilisation de MII dans les ménages du Q ndosho
  2. Déterminer les stratégies à mettre en œuvre ou entreprendre pour amener tout les ménages du quartier Ndosho à utiliser les MII.
  3. Identifier les difficultés lies à l’utilisation de MII dans les ménages du quartier Ndosho.

 

I.6. Choix et intérêt de recherche

I.6.1.Choix de recherche

Le choix de notre milieu d’étude est dicté par plusieurs raisons :

D’abord, le choix de ce sujet a été motivé du fait d’avoir observé l’attitude d’indifférence d’utilisation de la moustiquaire, mais aussi ce quartier n’est pas urbanisé et comprend une forte densité de la population. Ensuite, notre formation dans le domaine de santé communautaire nous a permis de nous familiariser avec les habitants et de vivre certaines de ses réalités. En fin, c’est notre milieu de résidence et cela nous offre une certaine facilité pour la  collecte des données.

I.6.2. Intérêt du sujet

La santé est un capital qu’il faut chercher à préserver à tout prix.

La maladie affecte cruellement le corps ainsi que d’autres aspects de la vie. De ce fait, il serait plus judicieux d’étudier les voies et moyens de la prévenir.

L’intérêt de ce sujet est envisagé sur une triple dimension :

Sur le plan social, ce travail vise à fournir des informations nécessaires pour éveiller la conscience de la population sur l’utilisation de la moustiquaire conformément au rôle qui lui est assigné ;

Sur le plan scientifique, ce travail servira d’outil de base à tout chercheur intéresser de l’amélioration de la santé de la population ;

Sur le plan sanitaire, ce travail vise a proposer des stratégies utiles aux différents intervenants dans le domaine de santé, ces stratégies pouvant être prise en considération avant toute campagne de distribution des moustiquaires à la population.

De façon générale, les résultats de l’étude serviront à concevoir des messages plus percutants pour accroître l’usage des MI, améliorer les connaissances pour les entretenir et les réparer et à guider les plans à venir pour les distributions futures.

I.7. Délimitation spatio temporelle  de recherche

Cette étude concerne le Q ndosho  se trouvant dans la commune de karisimbi, dans la province du Nord Kivu  en RDC.

Ce quartier est limité :

Au nord : par le groupement de moud jà

Au sud : par la route Goma sake

À l’est : Quartier Katoyi

À l’ouest : Quartier mugunga

Altitude : 1550m

  1. b) Délimitation temporel

L’étude va du Décembre 2016  en septembre  2017, période au cours de quelle nous aurons à effectuer notre enquête.

I.8. Définitions des quelques concepts

  1. Moustiquaire : rideau des mousseline pour se prescrire, ou se préservé de la piqure des moustiques.
  1. Moustique : insecte diptère, dont la femelle pique la peau de l’homme et des animaux pour se nourrir de leur sang
  1. Insecticide : qui détruit les insectes, il ne sévit que des produits inventes pour faire périrez les insectes nuisible, et autres arthropodes comme les araigne, mille pattes ou cloporte, produit destiné à l’émanation des insectes.
  1. Problème : question pour résoudre par des méthodes logique, rationnelles, dans les domaines scientifiques 
  1. Utilisation : action, maniéré d’utiliser, emploi, usage
  1. Ménage : unité élémentaire de la population, résident dans un même logement envisagé dans sa fonction économique de consommation
  1. Perception : Réunion de sensations en images mentales.
  1. Stratégie : Plan d’action coordonné
  1. Difficulté : Caractère de ce qui est difficile

[1] Rapport de Kendeya Community Health Partenership, « champagne de couverture universelle en moustiquaires imprégnées », publié au Sénégal, 5Février 2010

[2] TEDIKA KODILI Oasis, «  Education, paludisme et moustiquaires imprégnées d’insecticide en Afrique sub-saharienne », Kinshasa, UNIKIN, 2014

[3] Rapport de l’enquête démographique et sanitaire  de la RDC, Année 2013-2014, p189

[4] Rapport annuel du quartier ndosho année 2017

[5]Rapport d’OMS. Mise en œuvre de la stratégie mondiale de lutte anti paludique : rapport d’un groupe d’étude de l’OMS sur la mise en œuvre du plan mondial pour la lutte contre le paludisme 1993-2000,(OMS),série de rapports

Techniques, p839.

[6] VALAJON, Mary.Maladies Transmissibles 2000OMS : principales activités en 1999 et grands défis pour l’avenir P5.

[7] KOUROUMA Ismaël, «  Evaluation de la disponibilité et de l’utilisation des moustiquaires imprégnées d’insecticide pour prévenir le paludisme », Conakry, Ecole nationale de santé publique, 2012, p1

[8] OMS, moustiquaire imprégné d’insecticide pour la prévention et l’anémie chez les femmes en sainte

[9] Réseau sida Afrique la situation du paludisme en République Démocratique du Congo

[10] Rapport annuel du PNLP, Kinshasa 2010

[11] BCZS de karisimbi/Rapport annuel SNIS du centre de santé Ndosho 2016

[12] BCZS de karisimbi /Rapport annuel SNIS du centre de santé Ndosho 2016

[13]Cité par KAYUNGURA TASINZANZU Godefroid, Méthode de recherche scientifique(MRS), cours, FSDC-ULPGL, Goma (inédit), 2014-2015

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