CONCLUSION

A l’issue de notre travail intitulé « Impact des rébellions congolaises sur le pouvoir coutumier politique dans le groupement d’Itara-Luvungi (1996-2014) », nous sommes convaincus d’avoir vérifié les hypothèses émises dans la partie introductive.

En effet, le présent travail a été fixé autour de trois grands chapitres ; dans le cas de fournir aux publics scientifiques  les aspects, la nature et les liens entre les gouvernants et les gouvernés. En outre, pendant nos recherches, nous sommes sensés d’éviter et d’écarter de toutes les informations mensongères d’estimation avec hésitation dans le but des faits réels qui marqueront le groupement d’Itara-Luvungi, beaucoup plus, nous avons tiré notre attention sur l’impact des rébellions congolaise car c’est celui qui pose problème depuis les années 1996-2014.

Nous avons tenu compte  d’examiner et de marier une histoire qui couvre pratiquement quelques années, le fait que ce groupement soit considéré comme un sac du mwami, la responsabilité aux chefs éphémères qui se sont succédé l’un après l’autre. Signalons que suite à cette considération, le groupement a été à la base du désordre anarchique et laxiste au pouvoir, les bami croient que parce qu’ils sont les chefs et ils sont au dessus de tous, peuvent ainsi faire  tout ce qu’ils désirent. Quoi qu’il en soit, alors les conflits du pouvoir ont été évoqués dans notre travail, pouvons-nous dire que le Mwami en tant qu’un grand chef occupant la tête de l’entité sera à la base de ces conflits comme on l’a toujours dit qu’il n’y a jamais existé un mauvais groupe plutôt le chef.

Ceci serait également le fruit et même la fierté de ceux qui nous ont fourni les données pour achever ce travail. En dépit de ces handicapes auxquelles nous nous sommes heurtés, nous sommes parvenus à faire le nécessaire. 

Par ailleurs, nous ne tiendrons pas avoir réalisé un tel travail qui demeure sans doute, le sujet a des objections, corrections et précisions. C’est ainsi que nous nous positionnons pour recevoir les remarques relatives, les conseils et les critiques des lecteurs qui nous lisent. En travaillant, le chercheur n’accomplit pas seulement pour son propre compte, mais plutôt pour les autres anciens et futurs chercheurs, il ne peut jamais parvenir aux résultats provisoires, il incombe à ceux qui viennent en suite de poursuivre la recherche, de faire un autre pas en avant, de compter et de confirmer les résultats définitifs, la progression est indéfinie et sa chaine ne sera pas rompue.