CONCLUSION

                                       Cette étude qui avait pour objectif de déterminer l’état de lieu de la production de la patate douce dans groupement  de Bugobe en territoire de kabare et d’une manière spécifique, de déceler les différents facteurs qui expliquent la baisse de la production de la culture de la patate douce ,d’autre part nous a permis d’appréhender la situation de la culture de la patate douce dans le territoire de kabare en particulier dans le groupement de Bugobe. Elle nous a permis par ailleurs de déterminer les facteurs les plus pertinents de la décision d’investir d’un paysan. L’étude a été réalisée sur un échantillon de base de 105 paysans tirés dans 3 localités appartenant au groupement de Bugobe.

Pour ce faire, une enquête a été menée dans le groupement de Bugobe en territoire de Kabare dont 3 localités dans ce même groupement et 35 personnes par localité. En somme 105 personnes ont été enquêtes

Les questions clés du questionnaire d’enquêtes portaient sur les types des variétés cultives, la fertilisation des champs, lutte contre les maladies et ravageurs, la contribution  de la culture de patate douce, les contraintes lies à la production de patate douce.

Apres l’analyse et l’interprétation des résultats, il ressort du présent travail que :

                -Dans le groupement, les femmes sont les plus impliqués dans l’agriculture en particulier dans la culture de patate douce

                -Les variétés les plus utilisés dans ce groupement sont les variétés locales grâce à leur productivité plus ou moins élevé.

                 -la majorité des enquêtes utilisent des engrais du fait qu’ils qualifient leur sol infertile

                  -La baisse de la production de patate douce est à 25,71% due aux différentes maladies qui attaquent cette culture et par la manque d’utilisation de la main d’œuvre

Le manque du courant, les réponses vagues des paysans, manque de financement pour ce grand travail ainsi la lourde change de notre directeur causant à tout moment son absence au bureau ont été les problèmes durant notre longue  période d’élaboration de ce travail.

Au vu des résultats obtenus, deux recommandations peuvent être adresse au gouvernement :

      -De s’investir considérablement dans le domaine agricole et plus dans sa filière de recherche afin de trouver une solution palliative à ce fléau qui met en péril la vie du paysan

      -De servir considérablement la population en bouture car le manque de ce dernier élevé l’incidence de l’expansion des maladies