CONCLUSION

Nous voici au terme de notre travail qui porte sur le choix du mode de transport en commun, son objectif primordial était de ressortir les facteurs susceptibles d’influencer significativement le choix du mode de transport en commun des passagers. En guise d’hypothèses, nous avons affirmé que le choix pourrait être expliqué par plusieurs  facteurs dont les principaux sont :

• Les facteurs sociodémographiques du passager (sexe, âge, revenu, …)
• Le cout de transport
• Les facteurs psychologiques (peur, rapidité, statut d’emploi du passager, ….)

Ainsi, nous avons trouvé que certains passagers utilisent la moto comme leur moyen de transport à cause de sa rapidité et pur atteindre tous les coins de la cité, d’autres préfèrent se déplacer avec le bajaj pour ne pas s’exposer au soleil et à la pluie mais aussi pour déplacer leurs petits colis enfin d’autres se déplacent avec le vélo parce qu’il coute moins cher.

 Ce travail s’est articulé autour de trois chapitres hormis l’introduction et  la conclusion.

Le premier chapitre a porté sur la revue de la littérature qui comprend la revue théorique dans laquelle nous avons montré les définitions de concepts, les notions en rapport avec le transport ainsi que le choix en premier lieu et en second lieu nous avons montré les études antérieures traitant les sujets similaires au notre dans la revue empirique.

Le deuxième chapitre a été intitulé approche méthodologique ; nous avons discuté sur le site d’investigation et la démarche méthodologique (collecte et traitement des données).

Enfin, le troisième et dernier chapitre a porté sur la présentation des résultats dans lequel nous avons présenté les caractéristiques des enquêtés ainsi que le choix de mode de transport déjà expliqué ci haut.

Donc, nous ne prétendons pas avoir épuisé cette étude portant sur le choix de mode de transport. C’est ainsi que nous laissons les ouvertures à d’autres chercheurs qui pourront investir ce grand champ dans le but d’élargir le débat.

Etant donné que ce travail est une œuvre humaine qui ne peut jamais manquer souffrir des imperfections, nous sollicitons d’avance l’indulgence des lecteurs