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Chapitre V : DISCUSSION DES RESULTATS

A la fin de la recherche portant sur le VIH SIDA chez les femmes en travail d’accouchement au CH BIOPHARM nous avions aboutie aux résultats suivants :

La majorité de nos enquêtées était sans profession. Nous pensons que cette situation s’expliquerait par le fait qu’en RDC il ya presque pas de promotion du travail et surtout chez les femmes dans notre pays.

Le protestantisme été la religion de la grande majorité avec le catholicisme en deuxième position. Cette situation s’expliquerait par le fait l’on a plus d’église qui entouré  notre site d’étude et la population du Sud – Kivu qui est en majorité chrétienne.  Pour ce qui concerne la tribu nous avions remarqué que la majeur partie de nos enquêtes étaient de tribu Havu était en tête, en seconde lieu le Shi et le Lega. Cette situation s’explique également par la majorité des habitants de Bukavu qui se répartissent presque dans les mêmes proportions.

Notre étude est comparable à une enquête faite  au Rwanda par le Dr le Dr placide mungwaneza à Kigali en 2011,  3%  des femmes d’âge environnent 24 de tribus et  religion confondue étaient VH+ leurs âges lors de dépistage des femmes reçue à la maternité

Pour le dépistage du VIH ainsi les informations y afférent seulement une personne parmi nos enquêtés ne connaissait pas l’importance du dépistage du VIH/SIDA, mais la grande majorité avaient confirmé avoir connus l’importance à la CPN  et le manque de connaissances s’expliquerait par le fait que quelques femmes   viennent à l’hôpital qu’une fois  le travail d’accouchement déclencher et  cela parfois au stade finale  et d’autres qui n’ont même pas le temps de suivrais les informations médiatique et autres sources d’information sur le VIH/SIDA. Ceux qui avaient un jour entendue parlé du VIH  la maximum avait tiré l’information  à l’hôpital lors du CPN nous croyons que cela est dit par les faits que  la majorité femmes enceintes se sentent en sécurité au près des personnels médicaux et elles sont souvent solliciter des participer à la séance de CPN qui est l’endroit unique des confiances pour eux. L’importance capital qu’ils savent presque toute par rapport au  dépistage du  VIH chez la femme en travail d’accouchement été la protection du  nouveau-né ; c’est la majeur réponse qu’elle donner presque toutes, seuls 9 d’entre eux avaient dit que le dépistage aiderait à protéger la mère et l’enfant. Ceci nous pousse à dire que réellement la majorité des enquêtés ne savaient pas l’importance du dépistage du VIH c’est peut-être parce qu’une femme enceintes ne pense qu’au bien être de son bébé.

Le programme de prise en charge de la transmission du VIH de la mère à l’enfant, la majorité des enquêtés a confirmé avoir entendu parler de ce programme, et seulement la moitié d’eux a affirmé avoir déjà été prise en charge par ce programme et au  sujet de la connaissance de l’état sérologique, plus de la moitié des enquêtés ne connaissaient pas leur état sérologique, et seulement 59 d’entre eux connaissaient leur et ce constat est affirmé notre première hypothèse émise, qui disait que « plusieurs femmes enceintes échapperaient au programme PTME et accoucheraient sans connaitre leur statut sérologique au VIH ».Ceci est un facteur et un élément dangereux pour la femme enceinte, son fœtus et sa famille en particulier, et pour toute la communauté en général. Car l’ignorance de son état sérologique peut être un facteur de contracter ou de transmettre le virus du VIH et d’autres IST plus facilement. En connaissant son état sérologique, on prendrait l’acte du traitement et/ou de s’abstenir et de bien gérer ses relations sexuelles envie de ne pas continuer à contaminer d’autres personnes.

Face à ce résultat, nous disons aussi que le taux de dépistage au Centre Hospitalier BIOPHARM est élevé, car c’est ne pas évident qu’une femme enceinte, ayant déjà fait plus d’une séance de CPN ignore son état sérologique.

Au terme de chaque entretien que nous avons eu avec chaque enquêté, nous avons passé au dépistage du VIH en vue de dégager la prévalence du VIH chez les femmes en travail d’accouchement au centre hospitalier BIOPHARM. A la fin de ce dépistage, nous avons trouvé 96,7 % des cas négatifs et seulement 2 cas de VIH positif, soit 3,3%

Ce résultat est confirmé par une étude menée à la maternité V au Cameroun, qui a montré que bien que le dépistage soit proposé lors des consultations prénatales, eux pendant une période d’étude de 6 mois ils avaient effectué 8765 accouchements dont92 patientes séropositives  soit une fréquence de 1,05%.

De même ces résultats sont comparables est confirmer par sont confirmés par une étude menée à Lubumbashi en RDC, qui a montré que  la proportion des femmes qui accouchent sans connaitre leur état sérologique au VIH est encore élevée. Cette étude à détecter 91,4% des cas de VIH positifs sur 474 qui ont passé au dépistage dans la salle d’accouchement.

 

 

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