Notre enquête s’est beaucoup adressée aux femmes en âge de procréation car ce sont elle qui assure l’alimentation des enfants de moins de 5ans.
4.1. La prévalence de la malnutrition à l’hôpital de Gihundwe
Selon nos résultats dans le tableau N°4 nous avons constaté que 40,6% des enquêtes avaient la malnutrition, selon nos enquêtes de ce tableau N°2 ont déclaré que leur revenus mensuel ne couvre pas de besoin fondamentaux de leurs famille aussi 95,3 % ont affirmé que ils connaissent les facteurs favorisant la malnutrition.
48 % on dit que la malnutrition seraient lies à la pauvreté dans la famille, 10,3 % ont déclaré que l’apparition d’une nouvelle grossesse.
Les résultats de ce tableau sont comparer à ces travaux antérieurs comme le travail de NGENZABUHORO Valens qui parler sur le problème de l’insécurité alimentaire dans le ménage qui a été orienté son travail dans districts de l’hôpital de BUSHENGE qui a trouver 83% disent que la malnutrition est liée à la pauvreté.
4.2. Des Caractéristique démographique socio-économiques et culturelles.
Pendant notre étude nous avons constaté que 32,2 % des femmes enquêtées leur âge variait entre 30 à 35 ans avait un niveau d’étude primaire, 48,9 % de cette étude, 26,4 % sont des cultivateurs, 39,5 % soit 250 femmes enquêtées sont de mariées, 45,3 % des enquêtées sont des protestantes, nous avons remarqué que 47,3 % avaeint 5 enfants.
4.3. De La connaissance de la population de Kamembe dans la zone de rayonnement de l’hôpital de Gihundwe en matière de lutte contre la malnutrition proteino-énergétique.
Nous remarquons que 73,9 % ont déjà entendu parler de la malnutrition, aussi 86,9 % des enquêtées connaissent le signe de la malnutrition, 72,6 % connaissent les trois type d’aliments, en analysant nous avons constaté que 73,9 % des femmes enquêtées avait accepté qu’elles connaissent les aliments équilibrés, ce résultats sont similaires à ceux du travail antérieur fait en 2012 par NSENGAMUNGU qui a mené son travail à l’hôpital de KIGEME avait constaté
Qu’il y a une faible connaissance sur les aliments équilibrés soit 75% ont déclarer qu’ils connaissent pas les aliments équilibrés, 65,1% pratiquent un l’allaitement exclusif 47,9% pratiquent un allaitement progressif.
Résultats de ces tableaux sont comparés à ceux travaux de cette année faite par KIMARARUNGU Espoir qui parlé la nutrition des enfants de 0 à5 ans dans le secteur de MURURU: avait trouvé 60% des mères pratiquent l’allaitement maternel exécutif.