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Chapitre II : REVUE DE LA LITTERATURE

Dans ce chapitre, il est question de passer en revue  les études antérieures réalisées sur les facteurs limitant l’accès à l’eau potable. Ainsi donc, il s’étale sur les facteurs économiques tels que le niveau de revenu et la profession. En second lieu,  il s’agit des facteurs géo climatiques dont la distance entre lieu de résidence et le point de puisage ainsi que les variations saisonnières. Et en troisième lieu, il s’agit des facteurs politiques comprenant principalement l’absence des politiques publiques efficaces et l’absence des stratégies appropriées d’approvisionnement et de distribution. Un résumé synthétique de la revue de littérature est présenté avant de finir avec les cadres de recherche ainsi que les définitions opérationnelles des variables del’étude.

II.1. Les facteurs économiques

II.1.1.Niveau de revenu

Dans les pays d’Afrique au sud du Sahara, les questions d’alimentation en eau potable sont restées d’abord des problèmes de santé publique à cause de leur sous-équipement. La couverture des coûts de l’eau par les tarifs est une exigence de la durabilité des systèmes d’approvisionnement en eau dans le système économique dominant actuellement dans le monde. Or ces pays évoluent dans un contexte de paupérisation avec 40% de la population qui vit avec un faible niveau de revenu c’est-à- dire en dessous du seuil de pauvreté, conditions aggravante du manque d’accès à un système adéquat d’approvisionnement en eau.[1]

Pour une personne pauvre du monde en développement qui n’a pas accès à l’eau salubre à la maison, l’achat de la quantité d’eau recommandée de 50 litres par jour8 peut être une ponction énorme sur son maigre salaire. Beaucoup de gens n’ont pas le choix, si ce n’est de faire des compromis et de mettre en péril leur santé et leur dignité en faisant avec une quantité bien moindre ou en puisant de l’eau à des sources non salubres. Le même point reste soutenu par une étude menée en Guinée, en spécifiant que, non seulement le manque d’accès à l’eau salubre rend les gens malades et non productifs, il peut aussi avaler le maigre revenu qu’ils gagnent. Certains des plus pauvres du monde sont obligés de dépenser jusqu’à la moitié de leurs salaires journaliers pour acheter de l’eau auprès de sources informelles ou illégales, soit beaucoup plus que la maison voisine est appelée à payer si elle est branchée à une alimentation municipale officielle.[2]

Le même passage enchéri l’idée en soulignant que, dans les pays en développement, le coût d’accès aux services essentiels (eau, assainissement, électricité) d’un niveau élevé est souvent hors de la capacité de payer de la majorité des usagers compte tenu du contexte de pauvreté, aggravée par les crises économiques. Dans une même localité, la diversité des demandes a installé de gré ou de force la cohabitation et la concurrence entre plusieurs systèmes et modes d’approvisionnement en eau. En réalité chacun accède au service que ses finances lui permettent il en est de même à l’eau : une denrée qui implique de coût.[3]

II.1.2. Le coût de l’eau

Le manque d’accès à une source d’eau améliorée, abordable et commode est l’un des plus gros obstacles à surmonter pour pouvoir échapper à une vie de maladie et de pauvreté.

Selon l’enquête effectuée au Côte d’Ivoire, les résultats du même enquête de terrain ont permis de comprendre que l’indisponibilité de l’eau est due suite à certains facteurs économiques. Face à l’insuffisance, aux coupures intempestives et au mauvais état des infrastructures de desserte d’eau, 84,4 % des ménages n’ont pour unique solution que de se diriger vers les revendeurs dont les contributions sont internationalement reconnues dans l’approvisionnement en eau des ménages à faible revenu. Pour cette option, les ménages paient 3 à 5 fois plus cher chez les revendeurs fixes et 12 à 19 fois plus cher chez les revendeurs mobiles, en comparaison des prix pratiqués au niveau national. Cela indique que des investissements complémentaires sont encore nécessaires en Côte-d’Ivoire.[4]

La plupart de personnes vivent avec environ £3 par jour. Si elles ont la chance de pouvoir acheter de l’eau à un camion-citerne, cela leur revient à 1 roupie (£0,01) le litre, parfois le double si les disponibilités sont rares.[5]

II.2. Facteurs géographiques

II.2.1. La distance entre le lieu de résidence et le point de puisage

Le manque d’eau salubre domine la vie quotidienne dans ce pays cruellement pauvre. Dans les zones rurales montagneuses au couvert forestier dense, plus de 60 % de la population n’a pas accès à un approvisionnement en eau salubre.  En Inde, près de 76 millions de personnes n’ont pas accès à un approvisionnement en eau potable.[6]

Selon une enquête sur l’accès à l’eau potable dans la région des Grands-Lacs africains, la quasi-totalité des répondantes soit 97,5% puisent de l’eau auprès des bornes fontaines récemment érigées dans l’entité. En outre, des petites proportions s’approvisionnent soit aux tanks privés (2,1%) ou soit aux robinets (0,4%) installés par la REGIDESO à travers des raccordements parcellaires. En plus, la majorité d’entre eux soit 93,8% font moins de 20 minutes pour atteindre un point de puisage alors seulement une petite portion de 6,3% font plus de 20 minutes pour accéder à un point de puisage en eau potable.[7]

Bien qu’il y ait une forte proximité entre répondantes et les points de puisage (une distance à 93,8% de moins de 20minutes de marche), la majorité des répondantes doivent faire plus de 20minutes au point de puisage pour accéder à l’eau potable contre seulement 6,3% qui accèdent à l’eau potable dans moins de 20 minutes.[8]

D’après  Dos Santos (2007) dans ses enquêtes, la demande en eau potable varie selon les caractéristiques socio-économiques des consommateurs et leurs habitudes de consommation. Dans certains pays, les fonctionnaires s’approvisionnent de manière plus systématique en eau potable auprès des bornes fontaines que les agriculteurs. La demande en branchements individuels provient d’ailleurs essentiellement de cette catégorie de la population. En ville, dans les quartiers précaires, l’accès à un branchement individuel d’eau est secondaire par rapport à l’acquisition d’un logement. Par exemple, à Ouagadougou, capitale du Burkina Faso, les locataires de concessions, bien que bénéficiant d’un accès à l’eau potable, préféreront s’installer dans des quartiers périphériques dépourvus d’infrastructures de base pour y construire leur logement.[9]

En outre, TIDJANI et HOUNMENOU (2006) postulent que la définition de règles et la mise en place d’incitations sont des éléments importants pour assurer la gestion des points d’eau modernes. Une définition précise des responsabilités au sein du comité de gestion, une gestion financière transparente et la rémunération des gestionnaires sont des facteurs présentés comme centraux par les différents acteurs du secteur de l’eau, qu’il s’agisse des opérateurs ou des usagers. La conception de modèles de gouvernance pensés à un niveau global ne saurait donc faire abstraction de ces facteurs, essentiels pour assurer un accès pérenne à l’eau potable pour l’ensemble des usagers.[10]

II.2.2. Les variations saisonnières

Selon la précédente étude de Solidarités international, 6,3% des répondantes disent que l’accès facile ou difficile à l’eau potable dépend souvent de saisonnalité et de circonstances. Ceci signifie autrement dit que, la fréquence de la pluviosité en est un des facteurs régulateurs mais aussi les périodes des vacances ou des cours accentuent ou limitent la présence des beaucoup des gens sur les files d’attentes aux bornes fontaines et aux robinets : ces gens en attentes sont essentiellement constitués des femmes et des enfants. Ceci explique l’influence importante de la saisonnalité à la fois dans les systèmes de distribution et d’approvisionnement en eau potable dans les ménages des pays en développement.[11]

II.3.Facteurs politiques

II.3.1. politiques publiques pour l’approvisionnement et de distribution de l’eau

L’approvisionnement en eau potable a un enjeu socio-politique fort en ce sens qu’il est un domaine sensible pour le pouvoir de proximité qui doit faire face aux exigences de ses interlocuteurs (bailleurs de fonds, exploitants) tout en satisfaisant les usagers. La maîtrise de ce quatrième enjeu se trouve dans la capacité des autorités à organiser une segmentation du marché afin de permettre à la puissance publique d’avoir toujours le contrôle du secteur et de garder la pression nécessaire sur les opérateurs qu’ils soient publics ou privés. Les modes de gouvernance des services d’eau potable préconisés à l’échelle globale sont fondés sur des partenariats entre entités publiques nationales ou locales, opérateurs privés et associations d’usagers. Dans un contexte d’accroissement de la demande et de difficultés à financer l’investissement et la maintenance des infrastructures, le manque de capacités et/ou de volonté des populations à payer l’eau entrave la construction de marchés locaux de l’eau.[12]

Pour SAGLAM (2010) dans l’un de ses articles précise qu’une politique de prix optimal peut aider à faire face au manque d’eau, notamment en incorporant la demande d’eau dans des secteurs divers ainsi que la contrainte des ressources dynamiques et de revenue. Pour déterminer l’efficacité du prix de l’eau sur la rareté de l’eau, cet auteur suppose un modèle aléatoire dynamique dans lequel l’Etat assure l’offre d’eau aux ménages et aux secteurs agricoles. Une fonction de politique de prix fournira la règle du prix optimal ainsi que la restriction organisationnelle. Il prend en compte les changements dans la composition des cultures pour répondre aux variations du prix d’eau. SAGLAM suppose enfin une politique de prix à coût moyen tout en estimant que les bénéfices réalisés par l’Etat sont réutilisés dans d’autres secteurs. Il postule qu’il faut une estimation structurelle de la demande d’eau par secteur et alors examiné les expériences menées sur plusieurs contrefaits.[13]

Partant du constat que la croissance de l’offre d’eau, ayant constitué la réponse traditionnelle à l’augmentation de la demande, avait atteint ses limites et se heurtait à des obstacles à la fois sociaux, économiques ou écologiques croissants dans presque tous les pays riverains, la Commission Méditerranéenne de Développement Durable (CMDD) avait en effet conclu, dès 1997, que la politique Générale des Eaux (GDE) constituait « la voie permettant les progrès les plus significatifs des politiques de l’eau en Méditerranée » compte tenu des gains d’efficience possibles. Différentes politiques et stratégies ont conduit à une reconnaissance progressive de la gestion de la demande en eau comme une voie prioritaire pour contribuer à atteindre deux objectifs au centre du concept de développement durable : l’évolution des modes de consommation et de production non viables d’une part, la protection et la gestion durable des ressources naturelles aux fins du développement économique et social d’autre part. Ils ont permis de débattre des outils de mise en œuvre des politiques de gestion de la demande en eau et montré que les progrès obtenus les plus significatifs avaient résulté de combinaisons d’outils (stratégies, tarification et subventions, organisation institutionnelle) mis en œuvre de façon progressive et continue.[14]

La gestion intégrée des ressources et demandes en eau est alors retenue comme le premier domaine d’action prioritaire de la Stratégie Méditerranéenne pour le Développement Durable adoptée en 2005 par l’ensemble des pays riverains et la Communauté européenne. Dans cette stratégie « cadre » commune, l’un des objectifs principaux relatifs à la gestion de l’eau est le renforcement des politiques de GDE pour stabiliser la demande grâce à une atténuation des pertes et des mauvaises.[15]

La constitution de « marchés locaux de l’eau » repose sur un bon fonctionnement des infrastructures. Le passage d’une logique de l’offre, qui prévalait avant les années 1980, à une approche par la demande, fondée sur une évaluation des besoins des populations locales et sur une diversification de l’offre, a conduit à de nouvelles réflexions sur la manière de pérenniser ces infrastructures. Au-delà du modèle de référence d’un réseau avec des branchements individuels, les réalités de terrain permettent d’identifier une diversité de modalités d’accès à l’eau (puits busés, puits à grands diamètres, pompes à motricité humaine, systèmes d’adduction d’eau potable simplifié (AEPs) dans les petites villes et villages voir des petites agglomérations. La diversité des modèles techniques est fonction des contextes socio-économiques et environnementaux. Tout d’abord, la « dynamique » du marché local de l’eau repose sur une stimulation de la demande qui nécessite la construction, voire l’extension des infrastructures hydrauliques, leur réparation en cas de panne, et donc des investissements importants. C’est le cas pour la construction de forages, l’installation de pompes à motricité humaine ou de puits cimentés à grand diamètre. Le montant des investissements pour la mise en place de systèmes d’adduction d’eau potable simplifiés est supérieur dans la mesure où elle suppose la construction d’un forage, d’un château d’eau et de canalisations pour alimenter des bornes fontaines ou des branchements individuels.[16]

La question des sources de financement reste non totalement résolue. Dans beaucoup de pays africains où les processus de décentralisation sont en cours, de nouvelles compétences dans le secteur de l’eau ont été transférées aux collectivités locales. Or, ces dernières manquent de ressources financières pour réaliser ou entretenir les ouvrages du fait de la faiblesse de la fiscalité locale. Nombreuses sont les municipalités encore dépendantes des ressources transférées par les services de l’État central qui dispose lui-même de peu de moyens, en dehors des grands centres urbains, pour financer les investissements dans le domaine de l’hydraulique. Les programmes de réalisation ou d’entretien des infrastructures sont pris en charge par la coopération internationale et bilatérale, ainsi que par les organisations non gouvernementales, pour la plupart originaires des pays du Nord, ou, enfin, par le secteur privé, dans le cadre de partenariats public-privé dans certaines grandes villes (Dakar, Niamey, Abidjan).[17]

Pour LOPA DUFRENOT (2008), la stimulation de la demande va de pair avec un fonctionnement pérenne des équipements. Une mauvaise localisation du forage peut entraver le système. Lorsque les infrastructures sont en panne, les usagers se tournent vers d’autres modes d’approvisionnements traditionnels, gratuits. La question de la maintenance et de la responsabilisation des populations est au centre des préoccupations actuelles pour assurer la constitution de marchés locaux de l’eau. Jusque-là, l’entretien des ouvrages était effectué par les acteurs qui les avaient réalisés (à savoir les services de l’hydraulique et les projets) sans contrepartie de la part des usagers.[18]

La succession de différents modes de gouvernance de l’eau au sein des sociétés traduit un effacement progressif des frontières entre public et privé, et une valorisation du local. Le décalage entre des modèles élaborés à l’échelle globale et leur mise en œuvre atteste de la nécessité d’intégrer les réalités des terrains, et donc les pratiques et les représentations des acteurs de l’eau. Divers exemples traduisent ce décalage. Bien que conscients des liens entre eau et santé (grâce à des campagnes de sensibilisation menées par les bailleurs, les ONG ou les services de l’État), les usagers sont contraints, compte tenu de leurs disponibilités financières, de ne pas faire de la santé leur priorité. Nombreux sont ceux qui disent s’approvisionner aux mares ou aux puits pourtant pollués. Cependant, le critère financier n’est pas toujours le seul facteur explicatif. Dans de nombreux entretiens, les ménages précisent que l’eau des mares ou des puits a « meilleur goût » que celle des forages ou de la borne-fontaine qui « a le goût du chlore ».[19]

II.4. Résumé de la revue de littérature

Il nous est important de signaler que la revue nous a permis de pouvoir ajuster notre travail aux recherches antérieurement dont les objectifs se rapportent à notre recherche.

Elle s’est focalisée sur les facteurs limitant l’accessibilité à l’eau potable d’où nous avons pu constater que l’économie joue un rôle important d’autant plus qu’elle contribue et donne aux gents la possibilité de pouvoir accéder à l’eau potable,l’idée reste enchéri par le passage stipulant que les personnes accèdent au service que ses finances lui permettent. 

En effet, la littérature révèle par ailleurs que la distance entre le lieu de résidence et point de puisage constitue également un obstacle pour ne pas accéder à l’eau potable d’autant plus que la population est appelé d’avoir un revenu avancé en vue de se procurer de l’eau.

En définitive la même littérature laisse entre voir à cet effet que la politique doit nécessairement conjuguer un effort et reste sensible au pouvoir de proximité qui doit faire face aux exigences de ses interlocuteurs (bailleurs de fonds, exploitants) tout en satisfaisant les usagers.

 

II.5. Cadres de recherche

II.5.1. Cadre  conceptuel de recherche

Variables indépendantes                                                                      Variable dépendante

Les facteurs économiques

Les facteurs géographiques

Les facteurs politiques

L’inaccessibilité a l’eau potable dans le village  KIZIBA II

 

Figure 1: Cadre conceptuel de recherche

II.5.2. Cadre opérationnel

Variables indépendantes                                                                 Variable dépendante

1)      Les  facteurs économiques :

1.      Le niveau de revenus

2.      Le coût de l’eau

2)      Les facteurs géographiques:

1.      La distance entre le lieu de résidence et le point de puisage

2.      Les variations saisonnières

3)     Les facteurs politiques :

1.      Politiques publiques efficaces

2.      Des stratégies appropriées pour l’approvisionnement et de distribution

L’inaccessibilité a l’eau potable dans le village  KIZIBA II

            Variables dépendante

 Figure 2 : Cadre opérationnel de recherche

 

 

II.6.Définition des variables

Les facteurs  économiques

  • Le niveau de revenu : Ce que gagne quelqu’un en exerçant une activité quelconque. Ce qui permet à quelqu’un(e) de satisfaire les besoins vitaux
  • Le cout de l’eau : C’est la somme que coûte un bidon d’eau y compris également le temps et la distance que doit parcourir la population pour  pouvoir accéder à l’eau.

Les facteurs géographiques

La distance entre le lieu de résidence et le point de puisage : C’est le trajet que la population doit parcourir pour accéder à l’eau.

  • Les variations saisonnières : C’est le changement de la saison pendant une année donnée.

Les facteurs politiques limitant l’accessibilité a l’eau potable

  • Les politiques publiques efficaces : Ce sont des politiques qui se rapportent  aux affaires de l’Etat.
  • Les stratégies appropriées pour l’approvisionnement et la distribution : ce sont des mécanismes nécessaires pour l’approvisionnement et la distribution en eau potable.

[1] D. ZOUNGARANA, « cours d’approvisionnement en eau potable »,E.I.E.R/OUGADOUGOU,2003,p8

[2] Rapport de Wateraid, « l’eau : à quel prix, l’état de l’eau dans le monde 2016 », Canada, 2016, p4 

[3] Idem

[4] Dr. TIA Lazare, « Acteurs privés et approvisionnement en eau potable des populations de la commune

D’Abobo (Côte d’Ivoire) », Université Félix Houphouët-Boigny/Abidjan, Côte d’Ivoire, 2015, p1

[5]Programme commun Organisation mondiale de la Santé/UNICEF de surveillance de l’approvisionnement en eau et de l’assainissement (2015) : www.wssinfo.org, Cité parleRapport de Wateraid, « l’eau : à quel prix, l’état de l’eau dans le monde 2016 », Canada, 2016, p8

[6]Programme commun Organisation mondiale de la Santé/UNICEF de surveillance de l’approvisionnement en eau et de l’assainissement (2015) : www.wssinfo.org, Cité parleRapport de Wateraid, « l’eau : à quel prix, l’état de l’eau dans le monde 2016 », Canada, 2016, p8

[7]Solidarités international, RDC, 2012

[8]Idem

[9]DOS SANTOS S, L'eau courante à Ouagadougou. Équité et durabilité de l'accès à un service de base, in D. OUEDRAOGO, Dynamique migratoire, insertion urbaine et environnement au Burkina Faso. Au-delà de la houe, Le Harmattan/Presses Universitaires Ouagadougou, 2007, p235-263.

[10]TIDJANI ALOU M, Les mini-adductions d’eau potable dans la région de Maradi (Niger) : la gestion d’un bien public, Études et travaux du LASDEL, 2006, n°42, p56.

[11]Solidarités international, RDC, 2012

[12]TRAORÉ R, Stratégies et innovations en matière de gestion de l’eau : cas du bassin versant du Nakambé au Burkina Faso, Mémoire de DEA « Espaces, Sociétés, Logiques économiques », Université de Toulouse Le Mirail/Enfa/Ensat, inédit, 2002, p12.

[13] NKENGFACK HILAIRE, NOUBISSI DOMGUIA EDMOND et KAMAJOU FRANÇOIS, Analyse des déterminants de l’offre de l’eau potable au Cameroun, Université de Dschang, B.P. 110 Dschang-Cameroun, HAL, Archives ouvertes, Avril 2017 disponible sur  https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-01510111

[14]CATHERINE BARON ET ALAIN BONNASSIEUX, Les enjeux de l’accès à l’eau en Afrique de l’Ouest : diversité des modes de gouvernance et conflits d’usages, Edition Régions et Cohésion, Volume 1, Issue 3, Winter, 2011,p7-33.

[15] Idem

[16]OLIVIER DE SARDAN J.-P., ELHADJI DAGOBI A, La gestion communautaire sert-elle l’intérêt public ? Le cas de l’hydraulique villageoise au Niger, Politique Africaine, 80, 2011,p153-158.

[17]MEI L., La gestion de l’eau dans les villages périurbains d’Ouagadougou (Burkina Faso). Étude sociogéographique comparative, Doctorat de Géographie tropicale, Université Bordeaux 3, janvier, 2008, p32.

[18]LOPA DUFRENOT M, L'accès à l'eau saine : un droit humain au Burkina Faso, Le Harmattan, Paris, 2008, p19.

[19] LOPA DUFRENOT M, op cit, p23

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