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CHAP. I. GENERALITE SUR LE WEB ET PRESENTATION DE L’INSPECTION PROVINCIALE DE SUD-KIVU

I.1 GENERALITE SUR LE WEB :

Réalisation :

Plateforme : est un environnement permettant la gestion effectuée par l’utilisateur le service applicatif. La technologie peut  désigner : un système d’exploitation ou un noyau, un environnement d’exécution comme une machine.

Publication : est un ouvrage publié (livre, article, magasine, document). On parle ainsi de la publication scientifique, de publication clandestine, spécialisé, etc.

TENAFEP : Test National de Fin d’Etudes Primaires

I.1.3 Web

Le web est l’un de services de base de l’internet et également l’un des medias les plus utilisés actuellement. Il permet de naviguer sur des sites internet grâce à des liens hypertextes afin d’obtenir l’informatique l’on recherche.

I.1.4 Application Web

Une application web (aussi appelée web app, de l’anglais) est une application manipulable grâce à un navigateur web. De la même manière que les sites web, une application web est généralement placée sur un serveur et se manipule en actionnant des widgets à l’aide d’un navigateur web, via un réseau informatique (internet, intranet, réseau local, etc.).

I.1.10 Système d’information

Un système d’information « SI » est un ensemble organisé de ressources qui permet de collecter, traiter, stocker et distribuer l’information. Il s’agit d’un système socio-technique composé de 2 sous –système, l’un social et l’autre technique. Le sous-système  social est de la structure organisationnelle et des personnes liées au SI.

I.1.5. Gestion 

« La gestion est un substantif qui vient du verbe « gérer » et  signifie administrer avec souci de l’efficacité économique. La gestion est un ensemble des techniques d’administration des organisations reposant notamment sur un système d’information comptable». (MARTINET, 261,2007).

I.1.7 Institution

Une institution est un ensemble des établissements qui dispensent un enseignement au-delà de la terminale école secondaire. L’institution est définie comme un ensemble de normes précisant, pour certains aspects de la vie en société, ce qui se fait (ce qui est légitime) et ce qui ne se fait pas. La famille, l’école sont des exemples d’institution.

Le web est l’un de services de base de l’internet et également l’un des medias les plus utilisés actuellement. Il permet de naviguer sur des sites internet grâce à des liens hypertextes afin d’obtenir l’informatique l’on recherche.

I.1.4 Application Web

Une application web (aussi appelée web app, de l’anglais) est une application manipulable grâce à un navigateur web. De la même manière que les sites web, une application web est généralement placée sur un serveur et se manipule en actionnant des widgets à l’aide d’un navigateur web, via un réseau informatique (internet, intranet, réseau local, etc.).

I.1.10 Système d’information

Un système d’information « SI » est un ensemble organisé de ressources qui permet de collecter, traiter, stocker et distribuer l’information. Il s’agit d’un système socio-technique composé de 2 sous –système, l’un social et l’autre technique. Le sous-système  social est de la structure organisationnelle et des personnes liées au SI.

I.1.5. Gestion 

« La gestion est un substantif qui vient du verbe « gérer » et  signifie administrer avec souci de l’efficacité économique. La gestion est un ensemble des techniques d’administration des organisations reposant notamment sur un système d’information comptable». (MARTINET, 261,2007).

I.1.7 Institution

Une institution est un ensemble des établissements qui dispensent un enseignement au-delà de la terminale école secondaire. L’institution est définie comme un ensemble de normes précisant, pour certains aspects de la vie en société, ce qui se fait (ce qui est légitime) et ce qui ne se fait pas. La famille, l’école sont des exemples d’institution.

1.2.  PRESENTATION DE L’INSPECTION PROVINCIALE DE SUD-KIVU

I.2.1. APERCU HISTORIQUE DE L’INSPECTION PRINCIPALE PROVINCIALE DE L’EPSP/SUD-KIVU

Sommaire 

            L’aperçu historique est intimement lié à l’histoire de l’enseignement au Congo. Ainsi, il serait superflu de vouloir évoquer uniquement l’histoire de l’inspection sans pour autant parler de celle de l’enseignement dont émane l’inspection.

          L’histoire de l’inspection scolaire de notre pays peut être ramenée à trois grandes étapes ayant chacune ses caractéristiques propres :

  • La première étape correspond à la période coloniale
  • La deuxième étape couvre l’époque de l’état indépendant du Congo et
  • La troisième étape est la période de l’accession de notre pays à l’indépendance jusqu’à ces jours.[1]

1.1.2. La période précoloniale (1816-1908) E.I.C.

Les institutions scolaires congolaises remontent de la période coloniale à laquelle se rapporte indéniablement leur développement spectaculaire. En septembre 1876, lors de la conférence géographique à Bruxelles, vit la création de I’A.I.A., qui se proposait d’exploiter l’Afrique centrale et plus tard, à travers I’A.I.C., Léopold Il parvint à faire reconnaitre à la conférence de Berlin l’état indépendant du Congo (E.I.C.).

C’est donc à partir de 1880 qu’étaient mise en place des premières écoles destinées à recevoir les enfants congolais, La première école fut construite et découverte en 1880 par deux missionnaires de la Livingstone ln Land Mission. Messieurs GUINNESS et CRAVEN à PALABALA dans le bas Congo. Cette école fonctionnait avec six élèves et posait tout problème de la finalité de cet enseignement. Le principe qui présidait à cette organisation scolaire était celui de la liberté d’enseignement proclamée par l’article 2 de la charte coloniale qui était la constitution d’outre-mer. Il existait déjà une certaine forme d’inspection, mais non encore structurée. Ses activités étaient plutôt sporadiques liées aux finalités de l’enseignement de cette époque. Le supérieur religieux occupait les différents postes de mission et contrôlait entre autre le fonctionnement des écoles. C’est ainsi que l’inspection des premières écoles entre 1880 et 1890 au Congo était une inspection de type confessionnel. Elle était confiée d’une façon informelle aux supérieures des missions aux supérieurs religieux là où une même congrégation avait plusieurs postes des missions.

Extrait des archives de l’IPP/Sud-Kivu, inédit.

C’est seulement à partir de 1890 que s’ouvrirent les premières écoles de l’état indépendant du Congo. Cette inspection n’était pas une activité bien définie, mais faisait partie d’un ensemble d’activités de contrôle administratif des différents postes de l’état indépendant du Congo. Il faudrait seulement attendre 1908, dès que le Congo devint Congo belge, date à laquelle l’enseignement officiel fut constitué. Mais auparavant, l’année 1906 fut une année importante dans les annales de l’enseignement au Congo.

En effet, la convention du 26 Mai 1906, conclue-entre I’E.I.C. et le Saint-Siège, conflit l’enseignement aux missionnaires catholiques contre 100 à 200 hectares de bonne terre remise gratuitement à chaque mission en propriété perpétuelle (article n o 1).[2]Dans l’article no 2 de l’ouvrage de l’Inspecteur BUMATI de cette convention, il est dit ceci : « chaque établissement de mission s’engage, dans la mesure de ses ressources, à créer une école où les indigènes recevront l’éducation. Le programme comportera notamment un enseignement professionnel pratique de métiers manuels ». Nous remarquons aisément que durant les 23 années de I’E.I.C., un effort a été fait, spécialement par les missions pour organiser un enseignement.

Quant au contrôle des écoles, il était avant tout sporadique et non organisé. Il était au début orienté plutôt dans l’orientation confessionnelle et dès la prise de conscience de la nécessité d’un réel contrôle exercé par l’autorité civile, il était purement administratif.

I.1.3. Période coloniale (1908-1960) Congo-Belge.

Pendant cette période on ne parle pas encore d’Inspecteur d’enseignement. L’inspection n’est pas encore ressentie comme nécessité pédagogique mais comme une fonctionnalité administrative que tout fonctionnaire (non spécialiste de l’enseignement) doit remplir. Le comité consultatif d’enseignement crée le 05 Juillet 1909 jouera pratiquement, de 1909 à 1914 le rôle actuel des cellules d’exploitation des rapports eu égard aux objectifs lui assignés à savoir : « obtenir des renseignements précis à savoir un avis complet sur les différents problèmes de l’enseignement ». C’est le même comité qui lancera en 1912, le premier programme pour l’enseignement primaire, professionnel et ménager. Bien que la première guerre mondiale constitue un frein pour le développement de l’enseignement au Congo-belge, l’inspection générale, désirée depuis plusieurs années, sera créée en 1926 à la suite de trois grands événements qui se sont passé entre 1920 et 1926 et qui sont considérés comme les actions de la préparation immédiate de la création de l’inspection générale. Il s’agit :

  1. Du rapport de la Phelps STOKES fondation (1921) qui s’intéressait à l’éducation des noirs grâce à des fonds laissés par une noire américaine Miss caroline Phelps STOKES, à sa mort.
  2. De la commission Franck en 1922 ayant redéfini les principes fondamentaux de la politique scolaire du programme de l’enseignement dans la colonie.
  3. De la commission pour l’enseignement et la publication du projet d’organisation de l’enseignement libre en 1925.

Jusqu’en 1926, il existait au Congo-belge, un réseau d’instructions scolaire comprenant essentiellement des écoles dites officielles créées par le gouvernement colonial, des écoles dites libres et subventionnées fondées par par le gouvernement colonial, des écoles dites libres et subventionnées fondées par des missions et celles dites non subventionnées sont celles parmi lesquelles figurent toutes les écoles des missions étrangères. C’est ainsi que ces écoles subsidiées relèveront directement du missionnaire inspecteur et des inspecteurs adjoints désignés par les sociétés des.

La brochure jaune de 1929 viendra ainsi renforcer les considérations générales de la commission Franck et renferme celles concernant l’organisation de l’enseignement primaire dite l’enseignement utilitaire. Avec les dispositions de la reforme générale de 1948, l’enseignement primaire était de deux types :

  • Degré ordinaire destiné aux élèves les moins doués
  • Degré sélectionné qui rassemble les petites élites
  • Les dispositions de 1952 envisageaient trois reformes
  • Sélection des élèves au premier degré ordinaire
  • Sélection des élèves après les 1 ères et 2èmes années du degré ordinaire
  • Sélection des élèves après 5ème, 6ème et 7ème préparatoires avant d’être admis à l’école secondaire.

Avec la laïcisation de l’enseignement congolais de 1954 par la nomination de BUISSERET et la création des écoles dites Athénées qui comprenaient l’enseignement primaire et secondaire, ce fut un essor remarquable dans tout le pays. Dès lors, c’est par l’ordonnance loi no 129/SG du 25 décembre 1926 déterminant les attributions de l’inspecteur général de l’enseignement créé sur des bases juridiques. Il est donc établi qu’à partir de l’année 1926-1927, l’inspection scolaire est organisée à deux instances :

  • Les inspecteurs missionnaires s’occupent de l’inspection de toutes les écoles de leur circonscription ;
  • Le service officiel d’inspection comprend un inspecteur général de siège du gouvernement et des inspecteurs provinciaux. Ceux-ci reçoivent les rapports des inspecteurs missionnaires avec lesquels ils restent en contact étroit.

I.1.4. La période post coloniale (1960 à nos jours).

Après la réforme de 1 à 63 interviendra la nomination par ordonnance présidentielle du président KASAVUBU des premiers inspecteurs nationaux de l’enseignement primaire et successivement en 1974 par l’ordonnance présidentielle, la nomination des inspecteurs de l’enseignement secondaire.

[1] Extrait des archives

[2] Inspecteur MUBATI, l’église, l’Etat est les problèmes de l’école catholique au Congo (1876-1960). Louvain 1967.

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