0.1 ETAT DE LA QUESTION
Il faut retenir que l’état de la question consiste à donner, montrer en quelques sorte un aperçu global sur les différents travaux antérieurs à une problématique et cela en fournissant le meilleur de soi-même sans être pourtant exhaustifs et cela en raison de l’aspect commutatif de la raison de l’aspect commutatif de la recherche.
Ainsi nous avons consulté tant des sources dont les thèses et mémoires se présentant comme suit :
En effet, dans ce travail, dans ce travail, serge pense que le Cameroun s’est engagé énergiquement à protéger et à gérer son environnement en général et en particulier les milieux et zones fragiles desquels le littoral selon lui, ce pays offre des nombreux avantages pour l’industrie puisque l’approvisionnement y est plus aisé et l’acheminement y est plus rapide pour les productions vers les villes du reste du pays par les désertes du continent qui est un espace de transition entre le domaine terrestre, marin,…
Serge démontre que la zone littorale est un milieu spatialement limité qui connait généralement une forte pression d’usage, celle-ci est fragile perturbée, sur occupée et sur utilisée ce qui fait l’objet de nombreuses pressions et rencontre des difficultés de plusieurs ordres.
Serge cite certaines difficultés en démontrant les atteintes à la biodiversité liées aux pressions foncières et touristiques dans sa partie balnéaire, l’urbanisation qui a pour conséquence la dépression sur le terrain marines littoral et suit les ressources marines littorales, le problème d pollution et de gestion de l’eau, la surexploitation des ressources naturelles du littoral, la littoralisation avec une augmentation exponentielle en peu de temps de la population côtière dans du littoral dans la province du littoral dans la ville de DOUALA qui seule contient à peu près de 4 millions d’habitants et voire au de-là.
Serge conclut dans son ouvrage que le préalable qui est las est celui d’engagement à la protection de son littoral ainsi que connaitre la façon dont celle-ci s’opère ce qui en définitive pourrait répondre à la problématique posée qui est de la connaissance de mécanisme de protection du littoral camerounais.[1]
Souleymane pense que les dommages provoquent des catastrophes naturelles et celles-ci touchent particulièrement les zones littorales qui font des nombreux dégâts.
Dans son travail, Souleymane montre que le littoral ivoirien connait une sensibilité en ce sens que celui-ci connait des problèmes environnementaux majeurs,… il s’agit selon lui des problèmes liés à la déforestation, à la dégradation des sols, d’eutrophisation, d’avancement, des pollutions urbaines.
Il ajoute en démontrant que le littoral ivoirien subit des tsunamis (tempêtes, vents violents) et l’élévation du niveau de la mer.
Il a conclu en démontrant que tous ces phénomènes sont devenus une préoccupation au niveau du dit littoral, ainsi il estime que les risques naturels sont en quelques sortes la cause dominante de la disparité de beaucoup d’écosystèmes et d’habitats, des récifscôtiers ainsi que de la biodiversité qui constitue un patrimoine naturel et écologique très important sur ledit littoral ivoirien.
En définitive, dans son mémoire, dans son mémoire, Souleymane prouve en démontrant que les dommages générés sont souvent considérables car il y a souvent des mutations socioéconomiques très difficiles ainsi que des destructions d’infrastructures diverses et cela affecte négativement les populations[2]
Il s’agit en effet de ce processus migratoire des populations vers les littoraux tendant notamment à permettre l’obtention des richesses halieutiques, les échanges maritimes, le loisir,…
Almando pense que ces intenses vagues migratoires seraient aussi liées à l’explosion démographique que subit la planète depuis quelques temps.
Il démontre en autre que le milieu marin et les zones cotères adjacentes constituent en quelques sorte un élément essentiel permettant essentiellement l’harmonisation et la continuité de la vie sur terre.
Ainsi, il affirme que ces espècessont indispensable au bien être des humains soit directement comme ressources renouvelables à valeur marchande soit indirectement pour maintenir la viabilité des écosystèmes marins.
Il conclut qu’en Haïtidepuis plusieurs décennies il ya une dégradationdu milieux marin due au déplacement des populations vers les zones côtières[3]
Selon le Prof.Dr B. Kaningini, on devrait pratiquement s’attendre à voir le façon dont l’adaptation de la quasi-totalité des pêcheurs s’effectuent porque l’on démontre comment et pourquoi ces contraintes et imperfection des marchés qui sont bel et bien visible serraient un atout pour le bien être des habitants de Bukavu.
Le Pr. Dr B. Kaningini conclue en disant que l’exploitation des espèces se trouvant dans le lac Kivu peut permettre exactement le milieu marin ainsi que les zones côtières adjacentes à constituer l’harmonisation et la bonne continuité et cela pour bien être des humains[4].
Comme on peut s’en apercevoir, aucune de ces recherches, quoique nous puissions nous en inspirer dans certains aspects de notre recherche, n’a singulièrement étudié des constructions sur le littoral du lac Kivu et leur impact sur la vie des espèces halieutiques dans la baie de Bukavu dans son aspect opportunité-contrainte.
La pertinence de notre objet d’étude et sa particularité par rapport aux recherches antérieures se justifient du fait qu’il est plus pratique et est redirigé de manière à ce que quiconque le lit, non seulement arrivera à comprendre la méthodologie, l’approche participative, la mesure rationnelle de gestion de la baie Bukavu vis-à-vis des constructions sur le littoral du lac Kivu s’ils contribuent à la sauvegarde ou à la destruction de l’environnement, mais aussi ce travail pourrait constituer un nouvel apprentissage en ce qui concerne l’approche participative pour un développement durable en matière de la conservation de la nature.
Ce travail aidera aussi ceux qui voudront en faire usage pour mieux percevoir l’origine et proposer des pistes de solution afin d’éradiquer ou soit chercher une solution aux problèmes des constructions sur le littoral du lac Kivu.
0.2 PROBLEMATIQUE
Les zones littorales sont des espaces particulièrement attractifs pour les hommes et propices à leurs activités. Au cœur des grands flux d’hommes, de capitaux et de marchandises, les littoraux ont été de plus en plus aménagés. Le processus de littoralisation (glissement des populations et des activités vers les littoraux) s’est accentué au XXe siècle avec l’augmentation et la mondialisation des échanges internationaux.
Ce sont donc des espaces convoités, mais aussi des espaces fragiles et limités. La concentration et la concurrence des activités humaines ont provoqué des dégradations sur les écosystèmes littoraux. Tout l’enjeu d’un développement durable de ces zones consiste à préserver les espaces naturels remarquables sans freiner le développement des activités humaines.[6]
Certains littoraux, comme les deltas de grands fleuves asiatiques, sont très anciennement peuplés. Cette ancienneté du peuplement explique que les densités de population y soient particulièrement fortes.
La littoralisation des hommes et des activités est donc un phénomène ancien qui s’est accentué au XXe siècle.
La plupart des grandes agglomérations sont aujourd’hui à proximité des littoraux, en particulier dans les pays pauvres, pour des raisons souvent liées à l’histoire (création de ports pour permettre les échanges commerciaux entre les colonies et les métropoles, par exemple).
Les processus de littoralisation et demétropolisation (attractivité et croissance plus importante des grandes villes) vont donc souvent de pair.
Mais certains littoraux sont moins peuplés soit pour des raisons naturelles (climat, relief trop accidenté, marais ou mangroves, forêts tropicales recouvertes par la mer avec les marées) soit parce que leur localisation ou leurs conditions de navigation sont peu intéressantes.
Les plus grandes zones portuaires et lesmétropoles importantes se regroupent sur lesfaçades maritimes (la baie de Tokyo ; le Northern Range en Europe). Elles sont des zones d’échanges entre les régions de la Triade (Amérique du Nord, Europe de l’Ouest, Asie de l’Est) et le reste du monde.[7]
Le monde actuel est confronté aux multiples problèmes dont celui de l’augmentation de la population mondiale reste l’un d’eux.
Cela a toujours eu des répercussions sur la nature et dont la construction aux littorales des eaux des mers, océans, fleuves, et lacs et parmi les conséquences néfastes de ce phénomène.
Cette situation ne concerne pas seulement les pays pauvres ni ceux n’étant pas encore développés mais plutôt c’est un problème qui concerne le monde entier.
Jetons un coup d’œil sur la situation de certains pays dits développer qui sont aussi frappés par ce problème.
Sur 21 millions d’Australiens, 85 % vivent sur les côtes. Alors que les projets immobiliers se sont multipliés depuis trente ans, le développement s’est fait avec peu de régulation, et des logements ont été construits très proches de l’océan. "Il existe déjà des problèmes ; les grands immeubles à côté des plages ne permettent pas aux dunes de se restaurer naturellement après les tempêtes[8],
La montée des eaux, une menace internationale, La montée des eaux n’est un phénomène ni nouveau ni isolé. En effet, si depuis des années, les îles situées dans le Pacifique mettent en garde des risques de la montée des eaux, la situation n’a que sensiblement évolué ces dernières années, laissant les populations de ces régions dans une grande vulnérabilité.[9]
Depuis octobre 2015, la Suisse et la Norvège collaborent sur un projet international, l’Initiative Nansen. Dans le but de protéger les populations déplacées en raison des catastrophes naturelles, cette initiative permet de répertorier des moyens pour prévenir les catastrophes, par différentes actions humanitaires. Ainsi, 109 Etats s’engagent à aider les victimes du changement climatique. Cette initiative est un premier pas prometteur mais qui est sans doute encore insuffisant.[10]
Il est donc important de réfléchir à une solution globale qui permettrait à des millions de personnes de se sortir d’une situation précaire et de prévenir la vulnérabilité grandissante dans plusieurs régions du monde.[11]
La croissance démographique incontrôlée joue un rôle déterminant dans la dégradation de l’environnement mondial. Plus les hommes sont nombreux, plus les répercussions de leurs activités sont importantes.[12]
Bien que les pays industriels soient eux aussi largement responsables de la dégradation de l’environnement, la conjugaison de la pauvreté et de la croissance démographique a dans les pays en développement, des conséquences très néfastes pour le développement humain et constitue une grave menace pour la survie de l’habitat et des ressources naturelles de la planète.[13]
L’Afrique qui reste le continent le plus vulnérable n’est pas reste intouchable à ce problème d’agglomération sur les littorales des eaux avec une forte explosiondémographiqueplusieurs lacs ainsi que des fleuves se sont vue être menacer par ce phénomène.[14]
A l’heure actuelle, près de la moitié de la population mondiale vit dans les régions côtières où de multiples activités se développent. Les activités anciennes comme la pêche ou le commerce demeurent ou disparaissent mais d’autres plus récentes apparaissent comme l’industrie et le tourisme[15].
Actuellement en RD Congole lac Kivu est aussi confrontés aux diverses problèmes parmi lesquels les constructions sur le littorale de ce dit lac ce qui Cree un grand problème à la vie des espèces aquatiques et cela bloque le développement des espèces halieutiques.[16]
Les constructions sur le littorale du lac Kivu a pris une autre ampleur vu que ces derniers temps l’on observe une augmentation des constructions aux rivages et baie du la lac Kivu sans oublier que presque tous les animaux aquatiques pondent, ou mettent bas que sur le littorale qui aujourd’hui est menacer soit par des constructions soit par des ports (maisons)…[17]
Cela a toujours eu des conséquences néfastes sur la vie et le développement des espèces halieutiques et de là nous pouvons citer entre autre la disparition des certains espèces aquatiques, la disparition des baie dit maternité ou presque la majorité des espèces aquatiques pondent et mettent bas,
De ces constats malheureux et multidimensionnels liés aux différentes facettes de la crise des constructions sur le littorale du lac Kivu et son impact sur la vie des espèces halieutiques, nous avons orienté notre pensée en essayant de répondre aux principales questions qui se formulent en ces termes :
0.3. HYPOTHESES
Pour répondre aux questions ci-haut posées, nous partons des hypothèses que :
4.1. Choix du sujet
Le choix axé sur les constructions sur le littoral du lac Kivu et leur impact sur la vie des espèces halieutiques dans la baie de Bukavu est justifié par nos observations sur le terrain.Nous avons été fortementintéressés et poussé par la problématique desconstructions sur le littoral du lac Kivu et leur impact sur la vie des espèces halieutiques dans la baie de Bukavu, qui actuellement est une menace pour les animaux aquatiques.
4.2. Intérêt du sujet
L’intérêt est axé sur les différentes solutions que ce présent travail pourrait apporter à toute personne qui s’en servira pour divers usages.
Car d’après notre constant sur terrain la baie de Bukavu est actuellement attaquée par des diverses constructions et multiples activités humaines sur le littoral du lac Kivu.
C’est ainsi que nous avons décidé de mener une étude scientifique sur le lac Kivu en espérant que les résultats de celle-ci contribueront à la connaissance des vrais problèmes qui se posent en termes de constructions sur le littoral du lac Kivu offrant ainsi une base des données scientifiques fiables pour les décideurs.
Objectif global
Le présent travail vise à établir un état des lieux des constructions sur le littoral du lac Kivu en général et la baie de Bukavu en particulier, dans la mesure où celles-ci présentent des impacts sur la vie des espèces halieutiques.
Objectifs Spécifiques
4.déterminer le niveau de l’impact des constructions sur le littoral du lac Kivu dans la baie de Bukavu.
0.6 METHODES ET TECHNIQUES UTILISEES
« Le terme méthode est l’ensemble d’opérations utilisées par le chercheur pour atteindre, démontrer et vérifier les vérités qu’elles suivent ».[18] Pour la réalisation de ce travail, nous nous sommes servi des méthodes suivantes ;
Elle est une recherche simultanée entre les ressemblances et les dissemblances entre deux ou plusieurs choses. Elle nous a permis de comparer le mode de vie de la population vivant sur le littoral du lac Kivu et de découvrir la convergence et la divergence existant entre personnes de différents entité composant les baies de Bukavu afin de comprendre la situation d’auparavant ou antérieur et celle actuelle.
Elle est une recherche quantitative qui essaye des donner en terme de chiffres les données de recherche.[19]
Elle a consisté à accueillir les données statistiques chiffrées disponibles pour concrétiser et confirmer l’hypothèse de notre travail.
Elle est une méthode qui décompose d’une manière détaillée les faits d’un problème donné.[20]
Cette méthode analytique nous a permis d’analyser les problèmes de gestion des ressources halieutiques ainsi que les causes de cette dernière.
La technique est un outil mis à la disposition de la recherche et organisé par la méthode dans ce but. Pour ce faire, nous avons recouru aux techniques suivantes :[21]
Il est un document composé d’un ensemble des questions que le chercheur a préparé pour récolter les données sur certaines réalités. Celui-ci nous a permis de découvrir les attentes, les suggestions et les recommandations des enquêtés par rapport à notre recherche.
C’est un procédé de document verbal entre le chercheur et l’interviewé, procédé au cours duquel le premiers attend obtenir du second les informations dont il a besoin pour l’étude d’un problème précis. C’est le cas de notre entretien avec les différentes catégories des personnes œuvrant dans le domaine de la pêche sur le lac Kivu avec les autorités politico-administratives au sujet des différents problèmes qui s’observent sur le lac Kivu (causes et conséquences). Le cas aussi des personnes vivant sur le littoral.
Elle consiste à consulter les ouvrages, articles et autres travaux afin de s’inspirer pour la revue de littérature.
Le document a l’avantage d’être un outil pédagogique ou matériel de consultation à tous en ce sens que s’il soulève des interprétations différentes des évènements qui se sont déroulés depuis 2007 jusqu’à nos jours
0.7 DELIMITATION SPATIO-TEMPORELLE
La problématique des constructions sur le littoral du lac Kivu étant multidimensionnelle, nous ne pouvons traiter detous ses aspects ni de tous leurs impacts sur la vie des espèces halieutiques dans la baie de Bukavu.
Notre investigation ne portera que sur les constructions sur le littorale avec les problèmes qui se posent par une approche d’intervention permettant le développement durable et la conservation de la baie de Bukavu en ce qui concerne des constructions sur le littoral du lac Kivu.
Elle concerne spécifiquement la baie de Bukavu dans la province du Sud Kivu de l’année 2007 à l’année 2017, période correspondant à une étape où se sont observés des grandes constructions dans la baie de Bukavu, mais aussi la période pendant laquelle nous étions à la fin de nos études universitaires du 2ème cycle.
0.8 DIFFICULTES RENCONTRES
Tout au long de notre travail nous nous sommes heurtés à plusieurs problèmes, et qui ne nous avaient pas bien permis de faire un très bon travail, las nous voyons entre autres :
-Notre état de santé vue que nous étions encore enceintes pendant l’élaboration de ce travail.
0.9 SUBDIVISION SOMMAIRE DU TRAVAIL
Hormis l’introduction général, ce travail contient 4 chapitres ;
Dans le premier chapitre nous parlons de la généralité des constructions sur le lac Kivu et dans le monde, mais aussi définir les mots clés de notre travail,
Dans le deuxième chapitre nous décrivons notre milieu d’étude, dans le troisième chapitre nous avons présenté les résultats de notre enquêtes sur terrain enfin de bien comprendre les réalités du terrain.
Et enfin le quatrième chapitre où nous avons proposé quelques stratégies enfin de palier au problème des constructions sur le littoral du lac Kivu précisément dans la baie de Bukavu.
[1] Serge NYOGOK 2008, P.24
[2] Souleymane DIABAGATE, côte d’ivoir 2008, P45
[3]AlmandoKessyMorain : Haiti2016 , Mémoire, p12.
[4] Prof Dr BonnifaceKaningini Belgique, 1995, P 65
[5]Denise NziboneraBayongwa Bukavu 2014, p42.
[6] http:// www.assistancescolaire.com consulté le 18/01/2017 12h48’’, P.M
[7] Le monde | 23.11.2009 à 14h46 • Mis à jour le 25.11.2009 à 14h44 Par Marie-Morgane Le Moël - Sydney Correspondance
[8] Rodgers Tomlinson,de la conservation du littoral a sa gestion équitable en Australie, journal de l’environnement australien du 14/02/2016 page16
[9] CIPADH 2015, La montée des eaux, ou la disparition progressive des littoraux. Quel statut pour les réfugiés climatiques ?, édition d’avril num 205
[10]Par Simon Roger, Stéphane Foucart et Philippe Mesmer (16 mars 2015), Le Monde, « Vanuatu, symbole de l’urgence climatique », http://www.lemonde.fr/planete/article/2015/03/16/vanuatu-symbole-de-l-ur...
[11]Maria Sahuquillo et Patricia Blanco (15 décembre 2015), http://internacional.elpais.com/internacional/2015/12/14/actualidad/1450...
[12]HumanRights Watch (3 décembre 2015), « ONU : les droits humains sont essentiels à un accord sur le climat », https://www.hrw.org/fr/news/2015/12/03/onu-les-droits-humains-sont-essen...
[13]Laetitia Van Eekhout (17 mai 2016), LeMonde.fr, « La montée des eaux menacera 1 milliard de personnes d’ici 2060 », http://www.lemonde.fr/planete/article/2016/05/17/la-montee-des-eaux-mena...
[14]Georges courade 09/04/2014 L’afrique face aux défis du 21ème siècle, page 45
[15] Rapport annuel de la funaup 2016 new yorkonu
[16] Hubert watongokalutala et catherinemedard (chercheur économiste FUNDP-NAMUR Belgique) Etudes des incidences socio-économiques de l’introduction de la technique de pêche aux filets maillants au lac kivu 2015 page 67
[17]Bayongwa désiré nzimbonera, La gestion rationnelle de la pêche aux filets maillants sur le lac Kivu en République Démocratique du Congo DEA, 2010 Université libre de Kigali
[18]G. LunjwireCours d’initiation à la recherche scientifique, ISDR/ bukavu, G2, 2006
[19] Bosco Muchukiwa cours des méthodes de recherche scientique ISDR Bukavu 2016 G3 consulté à 12h21’’
[20] CERPRU BUKAVU Rédaction des travaux de fin de cycle révisé 2016 au centre bandari page 20
[21]R pinto et M grawitz méthodes des sciences sociales (conpte rendu) revue française de sociologie/ Année 1965 volume 6 page 83