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INTRODUCTION

  1. CHOIX ET INTERET DU SUJET

Le choix du sujet portant sur LA PROBLEMATIQUE DE L’ETAT D’AZAWAD, ce sujet a été guidé par des motivations d’ordre personnel. En notre qualité d’étudiant en relations internationales, le phénomène de la balkanisation des états nous intéresse parce qu’il est l’un des modes  de création ou de naissance d’un Etat. Il importe donc de savoir comme le manuel Etat est introduit et comment il se comporte sur la scène internationale. C’est donc une réalité nouvelle que cette étude nous permettra de comprendre.

Sur le plan scientifique, nous allons chercher à savoir le rôle joué par la communauté internationale au travers des coopérations bilatérales et multilatérales. Nous voyons aussi que  ça sera notre contribution aux études intérieures analogues ou semblables à notre travail.

  1. LA PROBLEMATIQUE

Selon RAYMOND QUIVY(1), la problématique ou la perspective théorique  qu’on décide d’adopter pour traiter le problème posé par la question de départ. Elle est une manière d’interroger les phénomènes étudiés.

          Elle constitue une étape charnière de la recherche entre la rupture et la construction.

          Le dictionnaire Micro Robert(2) définit la problématique comme étant l’ensemble des questions posées dans un domaine de la science, de la philosophie,  

(1)RAYMOND QUIVY : Manuel de recherche en Sciences sociales, Dumont, paris 1998, P. 345.

(2)Le dictionnaire Micro Robert, édition 2005 paris.

de la politique dont l’exigence, la variété, la réussite sont douteuses.

          Selon le Professeur Léon NGWAPICHI KAYONGO(3), la problématique est une question principale que se pose un chercheur dans le but de trouver une réponse provisoire. Il est donc question de poser à la réalité sociale des questions pertinentes qui permettent l’orientation de notre travail.

 

Parfois des convulsions politiques graves affectent un Etat ;

c’est le cas d’une guerre civile qui embrasse un territoire alors que, le gouvernement légal est le représentant de l’Etat.

Mais, l’expérience montre que l’intervention étrangère compromet aussi la paix et provoque des tensions internationales.

          Depuis l’indépendance du Mali, le 22/09/1960, l’AZAWAD est un terrain de nombreux conflits opposant l’armée malienne aux rebelles touaregs qui réclament l’autodétermination de l’AZAWAD. C’est en 1963 qu’éclate la première rébellion touarègue. Elle fut très durement réprimée par l’armée malienne qui alla jusqu’à envoyer des bombardiers pour mater la révolte(4). Le pays est alors dirigé par MODIBO KEITA.

           Le mouvement fut très affaibli par les sécheresses des années 1970.

 

 
   

 

(3)L. NGWAPICHI KAYONGO, cours d’initiation à la recherche scientifique. USK/Bukavu, G1 RI. 2010

(4)Institut des nations Unies pour la recherche sur le désarmement (UNIDIR)

- La paix de Tombouctou : gestion démocratique, développement et construction africaine de la paix : R. Poulton et I. ag Youssouf – octobre 1998. Nations Unies- chapitre 2 - crise économique et sociale au Nord Mali, Page 28.

En 1990, deux ans après la création au mouvement populaire de libération de l’AZAWAD, a eu lieu une insurrection  qui aboutit à la signature des accords de Tamanrasset en 1991 et du pacte national en 1992.

En 2006, une nouvelle insurrection a eu lieu et conduira aux accords d’Alger, signés le 04 juillet 2006. L’incapacité de l’Etat Malien a imposé son autorité sur les grandes espaces peu densément peuplés de l’AZAWAD a favorisé le grand banditisme et les activités terroristes telles AQMI. L’AZAWAD est progressivement devenue une plateforme de beaucoup de trafics dont les dogues. Par exemple, le 05 novembre 2009, un vieux cargo Boeing transportant la cocaïne en provenance du Venezuela voulait atterrir entre Gao et Kidal. Cette région sert également de base à AQMI. C’est dans ce contexte d’exaspération de l’AZAWAD et l’impuissance Malienne qu’aura lieu l’insurrection de 2012.

          Les groupes islamistes souhaitant étendre leur domination sur l’ensemble du territoire Malien, poussent ces derniers à lancer un e offensive vers  le sud.

Ainsi, ils prennent la ville de KONNA le 10 janvier 2013 et celle de DIABALY quatre jours plus tard.

          A la demande du gouvernement de Bamako, la France envoie des troupes, destinées à aider l’armée malienne à repousser les assaillants, c’est le début de l’opération serval. Celle-ci, appuyée également par des  contingents fournis par les pays membres de la CEDEAO mènera à la libération des trois villes contrôlées par les rebelles touaregs et les djihadistes : Gao (reprise le 26 et le 27 janvier 2013, Tombouctou reprise le 28 janvier 2013 et  Kidal reprise le 30 janvier 2013).

          Dès lors, les embryons de structures étatiques d’un AZAWAD indépendant disparaissent, cédant de nouveau la place à l’administration Malienne.

Tandis que les derniers combattants islamistes se retranchent dans la région montagneuse de l’Adrar des éfoghas.

En 2012, le conflit Touarègue est réactivé suite au retour des rebelles Touaregs partis en 1990 rejoindre l’armée libyenne de Mouammar Kadhafi. Les actions sont menées par le mouvement national pour la libération de l’AZAWAD (MNLA) qui est laïc ainsi que par un mouvement islamique Ansar Dine qui réclame l’application de la charia(5). Les deux mouvements ont combattu ensemble mais leurs adjectifs sont différents. Les MNLA revendiquant l’indépendance de l’AZAWAD, Ansar Dine la constitution d’une République islamique. Après le coup d’Etat militaire du 22 mars 2012 qui renverse le président AMADOU TOUMANI TOURE à Bamako, les mouvements rebelles, profitent de la désorganisation de l’armée malienne pour occuper les principales villes des trois régions de l’AZAWAD.

          Ce territoire est l’objet d’une opération à l’autonomie depuis 1958, époque au cour de la quelle il est sous administration française.

En 2012, une nouvelle insurrection est déclenchée par le MNLA qui réclame l’indépendance de la zone couvrant intégralement les trois régions au Nord du Mali (celle de Kidal, Tombouctou et de Gao).

 

 

 

 
   

 

(5)AFP « mali : un mouvement islamiste proche des Touaregs appelle à appliquer la charia » 13 mars 2012

          Cette insurrection est menée dans un premier temps conjointement puis séparément avec le mouvement salafiste Ansar Dine qui veut imposer la charia(6) et l’organisation terroriste AL–QAIDA au Maghreb islamique.

Le 6 avril 2012, le MNLA proclame unilatéralement l’indépendance de l’Etat indépendant de l’AZAWAD. « Cette prétendue déclaration d’indépendance a été immédiatement rejette par l’union Africaine. JEAN PING, président de la commission de l’Union Africaine condamne fermement cette annonce, qui est nulle et sans aucune valeur » et affirme que « l’Union Africaine et ses Etats membres ne ménageront aucun effort pour contribuer à rétablir l’autorité de la République du Mali, l’ensemble de son territoire national et mette un terme aux attaques  perpétrées par les groupes armés et terroristes dans la partie Nord du pays ». La France et l’Union Européenne ont condamné aussi cette déclaration de l’indépendance. Ainsi que la communauté internationale.

Le 26 mai 2012, après trois semaines de négociation à Gao, le MNLA annonce sa fusion avec le groupe islamiste  Ansar Dine.

Les deux mouvements disent être parvenus à un accord pour déclarer l’AZAWAD Etat indépendant.

Ils doivent par ailleurs, constituer une armée commune chargée de sécuriser le territoire et le peuple de l’AZAWAD. L’éventuelle soumission des peuples de l’AZAWAD à l’application de la charia sera incertaine, et si oui, dans quel terme juridiques, politiques et sociaux dans le cadre d’un Etat déclaré islamique désormais et non plus laïc.

(6)RFI : «  rupture entre MNLA et ANSAR DINE au Nord au Mali » 2012 consulté le 20 mars 2012.

A Gao et Tombouctou, le 25 mai 2012, le soir de la signature, l’accord a été accueilli par des tirs en l’air.

Ainsi le MNLA et Ansar Dine mettent leurs forces en commun pour former  le conseil transitoire de l’Etat d’islamique de l’AZAWAD(7).

Le mouvement Ansar Dine et le MNLA proclament leur auto- dissolution dans l’AZAWAD. Les deux mouvements créent le conseil transitoire de l’Etat indépendantiste et le groupe islamique (8).

Cependant, le 28 Mai 2012, le MNLA exprime sur désaccord sur le document final ayant été modifié après la signature. Le différend porte notamment  sur l’ajoute à l’insu du MNLA de l’application de la « charia » dans le nouvel AZAWAD (9).

Le 1er juin 2012, il dénonce l’accord au nom de sa résolument laïque et le 7 juin 2012, le MNLA dévoile le conseil transitoire de l’Etat de l’AZAWAD (CTEA) formé de 8 membres ayant comme président BILAL ACHERIF.

Après toutes les péripéties et au stade actuel, une question mérite d’être posée :

 L’AZAWAD était un nouvel Etat ?

 

 

 

 

 

 

 

 

(7)RFI, 27 mai 2012 au matin

 (8)Idem

(9)JOSE NSABUA, cours des nouveaux Etats en relations internationales L2 RI USK/Bukavu 2013

  • HYPOTHESE

Pour essayer de répondre à cette question, nous allons partir de trois mécanismes qui conduisent un nouvel Etat en Relations  Internationales.

  • L’indépendance.

Les colonies ont existé en Afrique, en Amérique latine.

          Apres des luttes des mouvements de libération les colonies ont commencé à accéder à leurs indépendances, devenant aussi libres et souverains.

A ce titre, l’ancien maître quitte le territoire et laisse libre et souverain le peuple autrefois occupé, dominé, exploité. La souveraineté à ce mouvement revient au transfert des compétences aux autorités locales qui prennent les initiatives  dans tous les domaines de la vie du nouvel Etat.

Pour l’AZAWAD, la colonisation n’a pas eu lieu pour accéder à l’indépendance pouvant devenir libre et souverain.

  • La fusion.

C’est le fait que plusieurs unités politiques (les Etats) peuvent cesser d’exister en faveur d’un seul Etat  constitue selon la vision des fondateurs.

          L’Afrique a aussi connue des tentatives dans ces domaines, mais qui n’ont pas fait long feu à cause des égoïsmes. Les fusions peuvent prendre la forme soit des fédérations, soit des confédérations, soit des Etats unitaires.

L’AZAWAD n’était pas constitué de plusieurs unités politiques (les Etats) pouvant user d’exister en faveur de l’AZAWAD selon la vision de ses fondateurs.

  • Le démembrement.

Le dépérissement de l’URSS en 1990 et la disparition  de la Yougoslavie ont donné naissance à des nouveaux Etats.

          En effet, le démembrement suppose la scission d’un Etat à plusieurs autres. Les causes sont nombreuses : les conflits ethniques, les conflits identitaires, les conflits économiques.

          En parcourant ces trois mécanismes, il y a  lieu de constater qu’un Etat qui nait à des éléments sociologiques et juridiques :

  • S’agissant des éléments sociologiques, nous pouvons citer : le territoire, la population et le gouvernement.

Pour les éléments juridiques : il y a l’indépendance et la reconnaissance internationale.

Pour l’AZAWAD, il n’y a pas des éléments sociologiques comme le territoire et le gouvernement.

En parcourant ces trois mécanismes pour la naissance des nouveaux Etats ou Relations  Internationales, il y a lieu de constater que l’AZAWAD n’est pas un Etat libre, souverain et n’est pas reconnu par la communauté internationale.

 

 

 

 

(10)JOSE NSABUA cours des nouveaux  Etats en relations internationales, L2 RI USK/Bukavu, 2013 Inédit

  • ETAT DE LA QUESTION

          L’Etat de la question permet à tout chercheur de ne pas enfoncer la partie déjà ouverte par d’autres chercheurs.

          Il conduit à parcourir les écrits déjà consacrés et qui ont des liens avec le sujet en étude(11), cours d’IRS Prof Docteur NGWAPICHI, 1ère année de graduat USK/BUKAVU 2010.

          La recherche scientifique tel qu’avait dit Jean CAZENEUVE(12) ne peut progresser que dans la mesure où, à tous les niveaux, les recherches ont assimilé les œuvres de leurs prédécesseurs et évitent de l’exposer à l’illusion de découvrir ce que les autres avaient découvert dans le passé.

          Cette partie confère au travail en son originalité en déclarant le problème inédit c’est-à-dire les questions non encore traitées par d’autres chercheurs.

En effet, la problématique de l’Etat d’AZAWAD dont il est question ici est un sujet d’actualité car il oriente vers le domaine de la balkanisation des territoires et de lutte au pouvoir.

Néanmoins, elle est déjà l’objet de nombreux débats des différents acteurs des Relations Internationales.    

Le présent sujet ne saurait échapper à une telle exigence vu l’ampleur qu’il présente  aux yeux de bien d’observateurs. D’où, des ouvrages, journaux consacrés au sujet facilite toujours  l’exploitation des faits spécifiques et permet à la fois à assimiler

 

 

 
   

 

(11)L. NGWAPICHI KAYONGO : cours d’initiation à la recherche scientifique, 1ère année de graduat USK/Bukavu 2010, inédit.

(12)J. CAZENEUVE, cité par MATIYABO : cours d’initiation à la recherche scientifique, G1 SP A

l’œuvre de ses prédécesseurs et d’aborder les problèmes inédits dans le cadre de son étude ceci parce que tout travail scientifique suppose une théorie sur laquelle il repose et celui-ci n’est  jamais l’affaire d’une seule personne, mais plutôt d’un bon nombre des gens animés par le souci d’analyser, critiquer, ajouter et élargir les travaux antérieurs.

Beaucoup des travaux analogues ont glissé sous les plumes de nombreux analystes et rédacteurs scientifiques que nous avons eus l’occasion de lire en vue de nous inspirer d’avantage dans le cadre du sujet qui nous concerne.

          C’est dans ce cadre que nous avons pu recenser les travaux antérieurs ci-après :

  • Dans son ouvrage intitulé « Légendes Touaregs »(13). Jeanne Pottier pense que la déclaration de l’Etat d’AZAWAD est une légende et non une réalité.

Il va dans le sens de la déclaration de la communauté internationale qui ne reconnait pas cet Etat.

  1. BERNUS parle de « AZAWAD » les touaregs peuples berbères. L’auteur affirme que la proclamation de l’indépendance de l’Etat d’AZAWAD est une banalité et une utopie. Il montre au peuple touareg que le Mali est une et indivisible.

 

 
   

 

 (13)JEAN POTTIER, légendes Touarègues, Fernand Sorlot, paris, 1943, préface de René Pottier

(14)E. BERNUS « AZAWAD » les Touaregues peuples berbères, vol. 8 ; Edisud, 1990, page 1206 – 1207

(15)André Bourgeot, les sociétés touarègues, nomadisme, identité, résistance, Paris : Karthala 1995

(16)Anne Saint – Girons, les touarègues, ibis puss éditeur, 2008 et Altelittera en 2011.

André Bourgeot dans son manuel « les sociétés touarègues, l’auteur parle du nomadisme, de l’identité et de la résistance des touaregs dans le Nord Mali.

Dans son ouvrage ayant pour titre « les rebellions touaregs ».

05. METHODOLOGIE

5.1. METHODE

          Le mot « méthode » rèvet plusieurs sens.

Selon le dictionnaire Micro Robert, la méthode est l’ensemble des démarches que suit l’esprit pour découvrir et démontrer la vérité(17).

          Il est également utilisé pour signifier « l’ensemble des opérations intellectuelles par les quelles une discipline cherche à atteindre les vérités qu’elle poursuit, les démontrés et les vérifiés(18).

          D’après Jean PIAGET, « la notion de méthode est une ambiguïté souvent dénoncée. En ce qui concerne la méthode au sens élevé du terme, remarquons qu’elle n’est pas une branche indépendante car les problèmes d’épistémologie et de logique posent constamment des questions des méthodes(19).

 

 

 
   

 

(17)Le dictionnaire Micro Robert : éd. 2005 inédit, Paris.

(18)P. Rongere, méthode des sciences sociales, Paris édition Dalloz 1971, Page 18

(19)Jean PIAGET, cité par M. GRAWITH , Méthodologie des sciences sociales, Paris, Dalloz, 2000, page 350

Dans le cadre de notre travail, la méthode fonctionnaliste, nous a permis d’analyser les différents rôles qu’avait joués l’union Africaine de la communauté internationale suite à la déclaration de l’indépendance de l’Etat d’AZAWAD ou par les rebelles touaregs en 2012.

Cette méthode est un courant méthodologique qui permet de comprendre les situations qu’a connues la société Malienne. La présente comme un ensemble organisé en systèmes totalement intégrés chaque composante, chaque élément du système occupe une place et joue un rôle ou une fonction qui contribue à maintenir ou ébranler l’équilibre du système. Ces composantes exercent des actions réciproques, les unes sur les autres (facteurs et conséquences) et sont ainsi source d’équilibre de l’ensemble et source de déséquilibre ou tension(20).

5.2. TECHNIQUES

          La technique est utilisée par le chercheur dans le collecte des données dont il aura besoin pour la réalisation de son travail. C’est pourquoi on parle de la méthode de travail et des techniques de recherche(21). Dans le cadre de notre travail, nous avons fait usage de la technique documentaire, qui nous a permis de consulter des ouvrages, des encyclopédies, des dictionnaires.

Selon MULUMBATI  NGASHA, elles consistent à étudier, et analyser des documents pour arriver à déterminer les faits ou phénomènes dont ces documents sont ou portent trace(22).

 

 

 

 
   

 

(20)Cours de M. RSS G2 RI USK/Bukavu 2004 – 2005

06. DELIMITATION DU SUJET

          Notre étude sera consacrée à la période allant de 1958 à 2013, période au cours de laquelle l’AZAWAD était sous administration française. Après l’indépendance du Mali en 1960, l’aspiration de l’AZAWAD à l’indépendance avait pris la forme de « rébellions touarègues  ».

En 2012, une nouvelle insurrection est déclenchée par le MNLA qui réclame l’indépendance de la zone couvrant intégralement les trois régions du Nord du Mali à savoir : Kidal, Tombouctou et Gao.

07. SUBDIVISION DU TRAVAIL

          Hormis la partie introductive et la conclusion, le présent travail se subdivise en trois chapitres notamment :

  • Le premier chapitre qui présente le cadre conceptuel et théorique. Ici il s’agit d’expliquer en profondeur les significations des concepts clef de notre sujet.
  • Le deuxième chapitre qui parle de la république du Mali : son histoire, sa situation géographie, sa situation socioculturelle et sa situation politique.
  • Le troisième chapitre analyse la problématique de l’Etat d’AZAWAD.

08. DIFFICULTES RENCONTREES

Certes, la tache n’a pas été facile pour l’achèvement de cette étude. En effet, nous nous sommes heurtés à beaucoup de difficultés scientifiques, ce qui a fait que nous ne puissions pas avoir suffisamment des données, mais nous nous sommes contentés du minimum des moyens à notre disposition pour produire l’essentiel de l’objet que nous nous sommes assignés.

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