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2005963

INTRODUCTION

O.1. PROBLEMATIQUE

            Depuis de nombreuses années, à force de constater que le bien être de salarié prend plus d’importance au sein de l’entreprise, celle-ci cherchent de plus en plus à le motiver et à favoriser son épanouissement. Toutefois, bien qu’il se valorise dans les entreprises, on constate que cette valorisation est omise dans l’actif du bilan, document qui récapitule l’outil de l’entreprise.[1]

Toute entrepris commerciale, industrielle, publique ou privée nécessite une main d’œuvre bien formée et qualifiée afin d’offrir un service des qualités aux clients dans les meilleurs conductions de coût et de répondre à l’obligation d’information se voit dans la nécessité d’organiser un service de rémunération de façon claire, nette et méthodique pour une meilleure prise en charge du facteur du travail.

            En outre, la théorie du capital humain construite par analogue à la théorie du capital physique a ou financier, est formée de trois éléments qui ensemble, déterminent une certaine aptitude de l’individu au travail, les connaissances, les expériences et les avoirs.[2]

Le travail considère comme une ressource homogène dans le développement économique, est une quantité de pouvoir humain disponible pour produire des biens et services, alors si l’on songe au rôle prépondérant du travail manuel dans l’ensemble des opérations qui conduisent à la production des biens et services fournis par l’industriel, si l’on songe au chiffre d’affaires considérable que représente la rémunération de la main d’œuvre dans l’économie d’un pays et à l’influence sociale d’une rémunération différentielle de travailleurs, on peut a bon droit s’étonner sur la mesure exacte du travail et le niveau de qualification d’individus indifférents des générations dans les entreprises.

Cet étonnement s’accroit encore plus lorsque, ayant appris à mesurer le travail manuel, on arrive à constater son faible rendement par rapport à l’usage de la technologie.

A cet effet, la littérature économique souligne que les individus peuvent améliorer leur productivité par des actes volontaires d’investissement dans l’éducation car accumuler encapital humain par l’intermédiaire de l’éducation par exemple contribue positivement à la croissance par l’entremise de l’accroissement de la productivité.[3]

            L’idée de l’entreprise est que le capital  humain est un stock immatériel imputé à une personne pouvant être accumulé et s’user. Cette notion a été principalement développée par G.BEKER qui considère que les dépenses de formation aident à constituer un capital humain au même titre que les dépenses d’investissement des entreprises conduisent à la création du capital humain.[4]

            L’homme acquissent entant premier des connaissances grâce à la formation générale c'est-à-dire son éducation, celle-ci procède à des investissements monétaires, tels que le coût de production et des biens non monétaires ; comme la perte des temps, le coût d’opportunité et il attend que ceci soit rentabilisée.

            Cette rentabilité prend la forme d’un salaire plus élevé lors de son entré dans la vie active. Toute fois ce salaire constitue une charge pour l’entreprise évalué normalement en fonction du niveau d’étude des employés et non de sa productivité, une part importante de connaissances à son emploi est spécifique à chaque entreprise telle que l’utilisation d’équipements particuliers, l’éducation et la formation sont considérées comme des investissements que l’individu effectue rationnellement afin de constituer un capital productif inséparable de sa personne ; Il influera sa production par ses connaissances

            Par ailleurs, la forme que s’est choisie toute entreprise en matière de traitement de ses personnels et de la stratégie de sa compétitivité influent sur le volume et la qualité du personnel de l’entreprise.

Dans ce cas de véritable défit (structurels et conjoncturels) de la SNEL résident dans l’inefficacité de gestion sur le plan de recouvrement de ces créances, minimiser les charges financiers, assurer la liquidité suffisante….. Et autant d’objectif et moyen mis en œuvre  par la gestion de flux de ces créances.

Au-delà de ces problèmes qui  guettent les entreprises Etatique dans la poursuite de leurs objectifs, il  figure aussi le manque de moyen pour être plus performent, pourtant  il est possible d’arracher un financement et s’approvisionner à moins cher et démener un politique marketing de l’efficacité de son produit.

La durabilité d’une entreprise est tributaire de plusieurs facteurs notamment l’homme, l’argent, l’environnement, etc… La combinaison de ces facteurs en proportion  variable aboutit à la production  des biens ou des services, selon que l’entreprise se soit fixé  tel ou tel objectif social.

      La théorie économique nous apprend que toute production doit  avoir comme fin la satisfaction des besoins et cette dernière exige que le bien  produit parvienne aux consommateurs, ce qui suppose à supporter.[5]

Aujourd’hui on constate que la non satisfaction de la population en énergie électrique est causé par l’irrégularité du courant électrique d’une par la facturation forfaitaire d’autre part, cela engendre la manque de confiance des abonnées au sein de la société et le non-paiement de la totalité du montant facturé par la société.

Pour ce faire, dans le cadre de l’analyse de la rémunération dans une entreprise publique cas de la SNEL ; nous rendrons à répondre aux différents questions ci-après :

  • Quel est le niveau d’embauche du capital humain et les modes d’embauche au sein de la SNEL ?
  • Quel est le niveau de rémunération et son impact sur le rendement de travail des agents ? 
  • Les stratégies de gestion du personnel de la SNEL permettent-elles d’aboutir à un rendementmaximal et l’attente des objectifs

0.2. HYPOTHESE

Selon  R.PINTO et M.GWAWITZ ; l’hypothèse  est  définie  comme étant une  proposition des  réponses  provisoires que  l’on  se pose  a propos d’un  objet de  la  recherche formulée en  terme  tel  que  d’observation et l’analyse  puissent fournir  une  repose .[6]

Ainsi dans  le cadre  de la  problématique ci haut posée  émettons  les  hypothèses selon  lesquelles

  1. Le niveau et le mode d’embauche du capital humain détermineraient le niveau de performance des agents sur le rendement de travail a la SNEL.
  2. Le niveau de rémunération aurait un impact positif sur le rendement de travail des agents a la
  1. Les stratégies de gestions à la SNEL sembleraient inefficaces pour permettre les agents d’aboutir à un rendement maximal voir l’attente des objectifs.

0.3. CHOIX, INTERET ET OBJECTIF DU TRAVAIL

            La bonne  intégration  des  travailleurs  repose largement sur  la qualité du système de rémunération adopté, être  mal rémunéré c’est  peut être  vivre mal  mais  c’est  également être atteint dans sa dignité, [7]

C’est  pourquoi  nous  avons  voulus orienter ,notre  étude  dans  les  domaine  de  rémunération  des agents des  entreprises  publiques  particulièrement ceux de la SNEL BKV ;pour examiner  la façon dont  ils  parviennent  a couvrir leurs  besoins vitaux avec  le  traitement qui  leur  sont  allouées ,

        Effet ; nous  espérons  que  notre  travail  servira tous  ceux  qui  s’intéressent  a l’analyse  de la rémunération  des agents  des entreprises  publiques  en générales  et  ceux  de la SNL Bukavu  en particulier, 

 L’intérêt que  porte  ce travail  est  cependant  triples ;

  • Sur le plan personnel :

 Ce travail va nous permettre d’approfondir les connaissances sur la notion de la gestion de ressources humaines (GRH) et sur la politique de rémunération des agents dans les entreprises Publiques cas de la SNL/BKV journaliers 

  • Sur le plan scientifique

Ce travail constitue une base des données pour les chercheurs qui aurons à orienter leur recherche dans le même domaine;

  • Sur le plan social :

                      Ce travail est d’une grande importance, pour les personnes qui veulent avoir une connaissance sur la politique de rémunération dans une entreprise publique et savoir plus de stratégiesutiliser pour  rémunérer les agents.

Ainsi  ce travail poursuit deux types d’objectifs,

Objectif global est de savoir si la politique de rémunération qu’exerce l’entreprise SNEL a de l’impact sur son rendement.

Les objectifs spécifiques sont:

-Analyser les stratégies utilisées dans des entreprises publiques cas de la SNEL Bukavu

-proposer les facteurs sur lesquels l’entreprises doivent se focaliser afin d’atteindre les objectifs assignés.

0.4. ETAT DE LA QUESTION

                    L’état de  la question s’étend comme  une  centralisation  tour  de la  théorie  en vrac  en  rapport  avec  l’objet de recherche,[8]

Ainsi donc,  dans le cadre  de notre  travail nous  avions  réalisé qu’il  existe  des auteurs et/ou  chercheurs  ayant déjà  abordé différents  théories et  recherches similaires  ou en rapport  avec  notre  objet de  recherche ;parmi eux :

1.BURHAMA NSIMIRE Chancelline  dans son  travail  intitulé «  Analyse du capital  humain  son impact  sur  la production  dans  une entreprise  industrielle : cas  du  groupe industriel du sud  Kivu 2006 -2008 » aborde  sa problématique  et veut savoir si  GINKI organisait des formations pour son personnel  et  que si le  capital humain  influençait sa  production  et  elle  eut  comme  son résultat :

  • Que GINKI   utilise six  individus  dans  son atelier de   production  sur  un total de 81  individus  pour  l’ensemble  de  l’entreprise ; et que 67%   de  ce  personnel  productif   est  sous  qualité  contre 33%  qui  est  qualifié ;
  • Que GINKI organise  seulement  la formation  anti incendie  pour  son  personnel  et  que  ce  type   de  formation  ne contribue  pas  au  développement  des  compétences  son personnel ; 
  • Que le capital  humain productif  n’influes ce  pas  sa  production  a cause  de la  stratégie compétitive  cout  poursuivie  par cette entreprise  et  des  procédés   simples utilisés pour  la production  des  mousses  flexible;ensuite  le gain de  productivité  s’accroit  lors  de  l’embauche  du travailleur jusqu'à l’acquittions  de  l’automatisme  puis  s’estompe  en  l’absence  de  toute ; augmentations  des salaire  et   toutes formation  supplémentaire[9].

Contrairement à ce recherche; nous voulons analyser les modes de recrutement du capital humain et sa rémunération comme moyen d’influencé la production de l’entreprise SNEL dans le cadre satisfaire ses clients.

  1. S.ITUNGULU in «  apport du marketing mix  dans  l’accroissement  des  recettes  d’une  entreprise  industrielle  en situation  de  concurrence : cas  du GINKI » se  pose  la  question  de savoir  si  la  dont  GINKI  pratique  le  marketing  est  efficace  accroitre  ses  recette  et conclut  que  GINKI  considéré certains  éléments  de  4P à savoir  produit ;prix ;production ;  place ;promotion ; mais  ignore  l’aspect  distribution  de  son  produit[10]

Ainsi donc, cet auteur a parlé d’une entreprise industrielle comme nous mais dans le but de savoir si la politique utilisée par la GINKI est efficace pour accroître ses recettes. Contrairement à lui, nous voulons connaitre si seule la rémunération du personnelle détermine la productivité au sein de l’entreprise industrielle comme la SNEL même si elle ne fonctionne qu’aussi à vase clos.

  1. JOEL MULEKA MPUNGU dans  son travail portant sur  «  la gestion  du personnel et  son impact   sur  la productivité  au sein  d’une  entreprise :cas  de SOGETEL CKZ à 2008 » aborde sa problématique de  savoir si toute les dispositions relatives à la bonne gestion du personnel soit-elles a application de l’auteur ; a comme résultat la gestion du personnel avait des répercussions négatives sur la productivité dans la société et que cette dernière dépendaient aussi d’une concurrence de la téléphone cellulaire vis-à-vis de la téléphonie d’où la clientèle préfère la téléphonie cellulaire que la téléphonie fixe ; puis nous avons donné une piste des solutions pouvant faire que la société générale de la télécommunication ne puisse tomber en faillite et prendre le pas vers la réalisation de ses objectifs [11]

Il s’est intéressé sur la bonne gestion du personnel et son impact sur la productivité dans une entreprise industrielle comme nous ; par contre nous cherchons à connaître si  les politiques  de rémunération comme élément  de la bonne gestion du personnelle influe sur l’amélioration de  rendement  de travailleurs au sein de l’entreprise.

  1. MAPENZI M’KYOBA Mapaixdans son travail portant sur « l’impact de l’amélioration des conditions de travail sur le développement humain dans une entreprise » aborde sa problématique et connaitre quel est l’impact de l’amélioration des conditions de travail et de sécurité sur le développement humain dans une entreprise.

Cet auteur  a eu comme résultat nécessaire pour les entreprises de penser à leur survie et à l’augmentation de la productivité par le moyen du développement du capital humain en améliorant les conditions dans lesquelles évoluent les travailleurs.[12]

Dans le cadre complémentaire, nous voulons aborder sur la gestion des agents à travers les conditions d’encadrement au sein  de l’entreprise qui le permettent de fournir lesmeilleurs prestations pour les développements non seulement d’eux même mais surtout aussi pourl’entreprise.

  1. NGOMB NANSONG madeleine Dédé dans son travail intitulé « Impact de la gestion du personnel sur la productivité dans une entreprise publique : cas de la SNEL » l’auteur essayé de donner le rôle de la gestion du personnel, les stratégies utilisées pour atteindre les objectifs ou l productivité ainsi que le point fort et  faible de  cette gestion.[13]

Cet étude s’accole de la nôtre par le fait qu’elle fournit des informations utiles et nécessaire  sur la gestion du personnel et la production ou le rendement de ce dernier. Contrairement à ce chercheur, nous parlerons du rôle de la rémunération comme l’une de stratégie de gestion du personnelle permettant à l’entreprise d’atteindre les objectifs escompté.

0.5. METHODOLOGIE DU TRAVAIL

L’ensemble des méthodes et des techniques que nous confère la méthodologie, permettent de découvrir les vérités qu’elles poursuivent. Pour la collecte, le traitement et l'analyse des données de notre travail, nous nous sommes servis des méthodes et des techniques.

  • METHODES

Selon R. PINTO et M. GRAWITZ, « la méthode est l’ensemble des opérations intellectuelles par lesquelles une discipline cherche à atteindre les vérités, les démontrer, les vérifier »[14]. C’est ainsi que nous avons fait recours aux méthodes ci-après :

  1. La méthode descriptive :

Cette méthode  se base  sur  la  description des  faits ; leur comportement pour enfin fournir des explications relatives au fonctionnement de l’économie. Elle  nous  a permis  à décrire  la situation de rémunération  des agents  au sien  de leur société nationale d’électricité SNEL Bukavu en sigle :

  1. La méthode statistique

Cette méthode nous a servie de la présentation des données sous la forme des tableaux et graphique et pour évaluer en terme économique des recettes et dépenses.

  1. La méthode analytique

Est une méthode intellectuelle consistant à décomposer des données recueillies en ses éléments essentiels, afin d’en saisir et de donner un schéma d’ensemble ou résultat. Elle nous a permis d’analyser les données recueillies sur le terrain en vue d’en retirer celles qui seront utiles en établissant une corrélation entre elles.

  • LES TECHNIQUE UTILISEES
  1. GRAWITZ définit la technique comme un moyen à mettre en place pour répondre à une préoccupation quelconque. La technique est tout moyen qui permet au chercheur d’acquérir et de traiter les données dont il a besoin pour comprendre ou expliquer un phénomène ou un sujet d’étude[15]. C’est ainsi que dans le cadre de notre travail nous avons utilisé les techniques suivantes :
  1. Technique d’observation

Elle nous a permis d'enregistrer d'une manière systématique le comportement non verbale de l'individu, des événements des situations d'achat ou des consommations sans communiquer d'aucune manière avec les personnes observées[16]. Elle  nous  a aidé a confectionner ce travail ; elle  constitue  le guide  de  ce  travail   et après  avoir observé certains  faits au sien de la  SNEL BUKAVU.

  1. Technique documentaire

Elle  nous  a permis de   parcourir  certains documents ayant trait a notre  sujet l’enrichissement de ce  travail ;   

  1. Technique d’échantillonnage

Cette technique nous permet de choisir au hasard l’unité ou les unités de l’échantillon parmi toutes les unités de la population.

  1. Technique d’enquête  par questionnaire

À partir du questionnaire ouvert nous avons été en mesure de noter avec précision les réponses des nos interviewés intervenant dans le secteur sous analyse[17].

Ici il a été question de constitué d’une série  des  questions auxquelles  nos  enquêtes  vont  répondre  par écrit et qui va nous  permettre de collecter  les informations  nécessaires auprès  d’eux .

  1. Technique d’interview

Par un jeu des questions-réponses, elle nous  a permis de recueillir les opinions des  certains agents de la SNEL BKV ; pour nous  rendre  compte  de certaines réalités.

0.6. DELIMITATION

Nos recherches porte sur l’analyse de la rémunération du capital humain et son impact sur le rendement d’une entreprise industriel : cas de la SNL/BKV, nos études vont se dérouler  dans la ville  de BUKAVU  le chef-lieu de la province du sud Kivu en République Démocratique du Congo ; plus précisément  a la société nationale d’électricité SNEL BKV, vont couvrir une  période  allant de 2013 à 2015.

0.6.      SUBDIVISION DU TRAVAIL

Hormis introduction et la conclusion ; notre  travail comporte trois  chapitre :

  • Le premier chapitre porte sur  la  cadre conceptuel et généralité sur l’étude;
  • Le deuxième chapitre porte sur l’analyse du niveau d’embauche    du capital humain au sein de la  SNEL,
  • Le dernier chapitre va s’articuler sur le niveau de rémunération et son impact sur le rendement,

0.8. DIFFICULTES RENCONTREES

                            La  rédaction  du présent travail n’a pas  été facile ; nous  nous sommes heurté aux difficultés de plusieurs ordres  dont  notamment l’indisponibilité de nos enquêtés  et l’inaccessibilité à certains documents de la  SNEL BUKAVU. Ce travail est donc  le fruit  de notre  dévouement ; docilité ; patience et courage

[1] S. CACOT et REBOUISSOUX, le capital humain, PUF, Paris, 2001, p1.

[2] Idem

[3] J.L. ESSO et F.FALL., Distribution du cpital.num, R et D, croissance dans le pays développé, PUF, Paris.

[4] S.CATO et C.REBOUISSOUX, p2.

[5] LUCK MASTAKI, Notes cours d’économie rurale, inédit, G3 ECO, UOB/BKV, 2015-2016

[6]R.PINTO et M.GRAWITZ ; Méthodes de sciences sociales ; Paris ;Dalloz ;1971.P20

[7] D larue,Acaillar ; économie d’entreprise, éd hachette, paris 1984  page 8 .

[8]MATYABO ASAKILA, Initiation a la recherche  scientifique ;cours, inédit ;G1Economie ;2006-2007 ;p7

[9]BURAMA NSIMIRE Chancelline ; «  Analyse  du capital humain  et son impact  sur  la production  dans une entreprise  industrielle : cas  de la GINKI BKV ; 2006 2008. Mémoire inédit ; UOB.

[10]S.ITUNGULU ;apport  du marketing  mix  dans  l’accroissement des entreprise  des  recettes  d’une  entreprise  industrielle  en situation  de  concurrence : cas  du GINKI ;mémoire ;inédit ;UOB ; 2009   2010 ;

[11] JOEL MULEKA MPUNGU «  la gestion du personnel et son impact sur la production au sein d’une entreprise : cas de la SOGETEL CKZ , mémoire, inédit, CUKI 2008.

[12] MAPAIX MAPENZI M’KYOBA « impact de l’amélioration des conditions de travail sur le développement humain dans une entreprise, mémoire, inédit, UNIKIN,2007

[13] NGOMB N.« impact de la gestion du personnel sur la productivité dans une entreprise publique : cas de la  SNEL

[14]M.GRAWITZ, Méthodes de sciences sociales, Dalloz, Paris, 1993, p11.

[15]BAKENGA SHAFALI, Cours d’Initiation à la recherche scientifique, UOB/BKV, inédit, G1 ECO, 2013-2014.

[16]MWILO M., Cours de Méthodes de recherches en sciences sociales,UOB,G2 Eco, 2014-2015.

[17]PINTO et M. GRAWITZ, Méthodes des sciences sociales, Paris, Dalloz, 1964, P38.

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