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00 INTRODUCTION

                 Aussi longtemps que les hommes vivent sans un pouvoir commun qui les tient tous en respect, ils sont dans cette condition qui se nomme guerre, et cette guerre est guerre de chacun contre chacun. Car la guerre ne consiste pas seulement dans la bataille et dans les combats effectifs, mais dans un espace de temps où la volonté de s’affronter en des batailles est suffisamment avérée: on doit par conséquent tenir compte, relativement à la nature de la guerre, de la notion de durée, comme on en tient compte relativement à la nature du temps qu’il fait[1]

Aujourd’hui, il n’est pas du tout étonnant de parler du combat politique. En effet, certains auteurs évolutionnistes ont souligné clairement le caractère aussi belliqueux de la vie humaine dans sa dimension sociale. De même que les bêtes s’affrontent, poussées par nous  ne savons  quels instincts, de même les hommes sont doublement dira-t-on en lutte. Ils se retrouvent dans une société où l’on doit non seulement vivre mais aussi s’assurer de toutes sécurités. L’on vit le tragique d’un combat doublement nourri et par la raison et les passions égoïstes qui n’aident pas souvent l’homme à s’émanciper pour aller de l’avant[2]

0.1ETAT DE LA QUESTION

                  Tout pouvoir politique  pour bien accomplir ses objectifs, son projet de société doit disposer d’une durée, d’un temps[3]. Plusieurs travaux ont déjà été menés sur le pouvoir politique. Notre attention a été tournée aux études de :
                 Alex BATUHOLA MUNKANU[4], La loi de la force en politique: l’art de gouverner dans Le Prince de Machiavel. Ses résultats,  il est vrai que la pensée politique de Machiavel inspire encore de nombreux hommes politiques, surtout en Afrique, elle est cependant une pensée dangereuse. En tant que telle, elle doit être critiquée. L’intérêt d’une telle pensée, c’est de nous avoir révélé la dure réalité de la pratique politique qui appelle notre engagement et notre prudence dans tout commerce avec les hommes politiques. Toutefois, au-delà de toute considération, la politique n’est pas à diaboliser parce qu’elle est essentielle à la vie des hommes, mais elle n’est pas à regarder avec naïveté. Pour l’aborder, nous devons avoir réalisme et lucidité

                  Lionel NZAMBA NZAMBA[5], L’univers de la politique est celui des passions collectives. La servitude et la grandeur du métier politique consiste à gérer rationnellement et à canaliser cette matière inflammable : la psychologie des masses. L’homme d’Etat (maléfique ou bienfaisant, car la  stratégie en tant que telle échappe à la morale) y parvient en comprenant les raisons que la raison ne connait pas. Il peut alors conduire ses actions en stratège, comprendre les tendances, les comportements et les humeurs des collectivités humaines. Celui (l’homme) décrit par Gérard Chaliand est une tête pensante, un « homo stratégicus », l’idée évoquée est celle déjà décrite par le général Beaufre. Ce dernier définit la stratégie comme étant l’art de la dialectique des volontés employant des ressources pour résoudre leur conflit. Son but est d’atteindre la décision en créant des contraintes sur l’exploitation des ressources de l’adversaire suffisant pour lui faire accepter les conditions qu’on veut lui imposer, car il y va du respect et même de l’hégémonie.

          Au niveau des objectifs, les héros de l’histoire sont souvent (peut-être pas toujours) animés par leur ego autant que par les intérêts qui les dépassent. D’où l’importance de ce que les stratèges appellent la recherche de « la gloire », une gloire posthume et éternelle pour le martyr.

Aujourd’hui, les instituts de recherche et les groupes de pression ont un
pouvoir croissant dans l’élaboration de stratégie politique en matière.

                Kalonge GASTON : « Dans Corrélation genre et la participation politique, une analyse des causes et impacts de l’invisibilité des Femmes dans la politique de la R.D.C » avec un regard particulier sur la ville de Kindu dans la province du Maniema ; Il a montré comment l’invisibilité est remarquée sur la participation des Femmes aux institutions politiques de cette province, ou comment les efforts des femmes congolaises devraient être opérationnels tant au niveau des acteurs qu’aux organisations Féminines, il montre que les Femmes étaient toujours confuses dans leurs rôles traditionnels familiaux 7.

Après la lecture de ces trois travaux susmentionnés, aucun n’a porté son problème d’étude sur le manque de conservation de pouvoir politique par certains gouvernants, en particuliers des ressortissants du territoire de Shabunda. Voilà notre particularité, notre originalité qui nous démarque avec les autres chercheurs.

0.2 PROBLEMATIQUE

Aujourd’hui, nous constatons que beaucoup de nos sociétés, à l’instar de celles décrites par Nicolas Machiavel[6] dans « le Prince »  ont deux camps antagonistes : d’un côté nous avons et voyons des gouvernants qui acquièrent de nouvelles techniques (méthodes) pour dominer et opprimer le peuple en utilisant tous les moyens possibles pour conserver leur pouvoir politique. De l’autre côté nous avons le peuple opprimé, dont les besoins fondamentaux ne sont pas satisfaits et que les gouvernants exploitent pour leurs intérêts égoïstes et l’on remarque que le pouvoir politique dans ces sociétés n’est pas limité par le peuple mais limité et prolongé par les gouvernants à leur gré.

Nous pensons pour notre part que le cadeau approprié que les élites du pouvoir et du savoir peuvent donner/offrir à leur peuple, c’est l’instauration de la démocratie. L’exercice d’une bonne et véritable démocratie et d’une réelle liberté de pensée et d’action semble être la condition sine qua non du nouvel ordre politique. Cet exercice implique l’entente sur certaines valeurs dont la justice, l’équité, l’égalité, la liberté, l’indépendance…  

Ce que nous vivons aujourd’hui n’est rien d’autre que la domination de riche et de gouvernant envers le petit peuple : le pauvre et non une démocratie. Nombreux sont ceux  qui violent la liberté et le droit de l’homme au nom même de la démocratie. Certaines personnes se sont élevées à la tête d’un pays par le coup de force ou par la lutte armée.

Ces chefs s’organisent pour bouleverser le cadre politique assez régulièrement pour qu’il ne soit pas possible à un adversaire crédible de les remplacer : le Zaïre de Mobutu  qui, profitant de la faiblesse politique du président Joseph Kasavubu,  organisa un second coup d’État militaire le 24 novembre 1965 et se proclame président de la république de cette même année jusqu’à 1997.

D’autres par contre se sont fait transmettre le pouvoir par leur prédécesseurs dont ils étaient le dauphin et tentent de conserver aussi longtemps que possible le pouvoir ainsi acquis. C’est le cas de la R.D.C. de Joseph Kabila qui en janvier 2001,  succède à son père, Laurent-Désiré Kabila, à la tête du pays. Après vient la Côte d’Ivoire de Bédié et de Laurent Gbagbo[7] ou  avait près que jamais ou même jamais réussi à les remplacer par les scrutins parce que la loi électorale était chaque fois adaptée  et réaménagée pour leur faciliter la victoire.

            Bref ces exemples énumérés ci haut, montrent comment  nombres de certains de nos dirigeants n’ont pas maintenu leurs pouvoirs tout en accèdent à la magistrature suprême en ne respectant pas le  processus démocratique. Et d’aucuns font de la République une monarchie où le pouvoir se transmet des ascendants aux descendants.

          Au premier abord reconnaissons que nombres de gouvernants africains ont fait fi de l’opinion politique ou l’ont négligée dans la gestion de la chose publique. Ils ont estimé que dans leur quête effrénée du pouvoir, si le peuple ne le loue, du moins ne le blâmera-t-il point. Et si le peuple se démarquait de cette logique, il voudrait alors faire recours à la force, à l’armée, moins à la loi.  Il y a selon Machiavel deux manières de combattre/lutter : « l’une par la loi, l’autre avec la force ; la première est le propre de l’homme, la seconde est celle de bêtes, mais comme la première, très souvent ne suffit pas, il convient au prince de recourir à la seconde. Aussi est-il nécessaire à un prince de bien savoir user de la bête et de l’homme »[8]. Et c’est sous cet angle que s’inscrivent certains de nos dirigeants africains. L’armée et la police qui sont de  corps censés assurer la sécurité extérieure et intérieure du pays et du peuple sont utilisées pour les intérêts égoïstes des gouvernants et comme moyen de coercition. Ceci se justifie par le budget exorbitant qui est alloué à l’armée par rapport à celui consacré  par exemple à l’éducation, à la santé ou aux affaires sociales.

              Beaucoup de pays africains ont souffert et peut être souffrent encore de nos jours d’un manque de projet de société. La vie sociale et politique devient gestion de l’immédiat et de l’urgence en vue de préserver, à tout prix le pouvoir de toute atteinte. Le manque de projet de société ou, dans le pire de cas, l’existence d’un mauvais projet de société a pour corollaire l’investissement des peuples et des forces vives de la nation dans la distraction.

            Dans le même ouvrage  au chapitre vingt et un, intitulé : « Ce qui convient au prince pour se faire estimer »(9), Machiavel montre comment le divertissement et la distraction sont d’une grande importance pour un peuple. A ce sujet, il stipule que « le prince doit en outre, aux moments de l’année qui convient, tenir occuper les peuples avec les fêtes et les spectacles ». De leur côté les gouvernants africains ont profité de cette affirmation de l’auteur et sous le prétexte et le couvert d’une culture joyeuse de l’Afrique, ont investi des générations entières de leur peuple dans le sport, la musique ou la fête. A cela ne tienne, cette génération prend plaisir aux farnientes, et s’occupe moins (peu soucieuse)  de la qualité de la gestion de leur nation. 

Remarquons par ailleurs que nombreux de nos dirigeants ont su divertir leur peuple plus que  ne l’a conseillé Machiavel. Profitant ainsi de cette distraction, beaucoup de nos présidents cultivent le mythe autour de leur personnalité. Le culte de la personnalité commençait de plus en plus à prendre place au sein de nos Etats. D’aucuns se font appeler le « sauveur »  d’autre le « libérateur » d’autre encore « messie » : le Zaïre de Mobutu constitue un exemple éloquent. Il s’appelait « sauveur » du Zaïre.  Il s’avère donc que des gouvernants africains ont bel et bien flirté avec le machiavélisme dans ses grandes lignes : abuser de la spécificité du peuple ou utilise la force dans le cas contraire et, ensuite feindre d’être ce que le peuple attend d’eux  afin de ne point être haï même s’ils ne sont point aimés. Mais semble-t-il le réveil et la conscience des peuples africains ont sonné le glas de ce machiavélisme qui s’est développé à la faveur de la naïveté et surtout de la bonne foi des populations africaines.  

       Un peu partout en Afrique, comme un seul homme, de peuples se sont levés pour dire non à l’injustice et violence, à la dictature et l’oppression et à la pérennisation de certains chef/ dirigeant au pouvoir. Plusieurs cas illustrent bel et bien ce refus du machiavélisme par le peuple africain. Le peuple sud-africain avec Mandela comme figure de proue, a dit non à l’apartheid, et a été victorieux de ce crime contre l’humanité. Le peuple congolais ; zaïrois d’alors a dit non  à un régime imbu delui même. Le 16 février 1992, il a dit non a un système oligarchique et despote par la marche de paix au prix de son sang qui, a imbibé le sol congolais et africain pour le féconder.

       Pour lutter contre la pérennité de certains gouvernants, certains peuples africains ont adopté de nouvelles stratégies pour faire face à ce défi et ont été vainqueur. L’exemple de la Tunisie, de l’Egypte de Osny Moubarak et de la Lybie de Kadhafi constituent un modèle pour nous.  Si le tumulte, l’échauffement et l’excitation ne sont nullement les manifestations de la maturité d’un peuple, la protestation contre l’arbitraire et l’illégal, la recherche du dialogue vrai et du consensus nous semblent éminemment  témoigner d’une maturité certaine. L’Afrique souhaitons-le, est à un tournant de son histoire. Un jour se lève et une ère nouvelle s’annonce où l’arbitraire des uns et la résignation des autres feront respectivement place au consensus et à la prise de responsabilité. Plus jamais on n’abusera de peuple africain. La sauvegarde de la souveraineté nationale éclipsera la conservation du pouvoir au détriment du peuple.   

             Notre préoccupation  tout au long de ce travail  est de savoir le pourquoi de la non conservation du pouvoir politique des gouvernants originaires du territoire de Shabunda ; l’un des huit territoires qui constituent la province du Sud/Kivu en République Démocratique du Congo.

              Plusieurs natifs de ce territoire ont déjà depuis 20O4 jusqu’à 2016 étaient des Députés Nationaux, des Ministres Nationaux, Gouverneur de province, des Ministres Provinciaux. Parmi eux, il y a ceux qui aussitôt  de leurs nominations sont directement révoqués, d’autres ne sont pas réélus, pas reconduits à leurs postes ministériels. Pourtant il y a ceux d’autres territoires en cette même province  en Juillet 2006 ont été élus Députés Nationaux, en Novembre 2011 ont bien été réélus députés. D’autres nommés Ministres nationaux et/ou provinciaux sont toujours reconduits. Exception faite aux dirigeants ressortissants du territoire de Shabunda, qui, dans la plupart de cas ne savent pas exercer leurs pouvoirs politiques aussi longtemps que possible.

                 Nous, voyant ce problème de la non conservation de pouvoir politique de ces élus  ressortissants du Territoire de Shabunda, avons été animés de mener une étude sur : De l’Inefficacité du pouvoir politique dans la gestion de la chose publique cas des ressortissants du territoire de Shabunda  de 2006 à 2O16. Le voilà notre objet d’étude.

                  Eu égard à ce qui précède plusieurs interrogations tournent au tour de deux questions principales à savoir :

  • Pourquoi les ressortissants du territoire de Shabunda ne parviennent- ils  pas à maintenir aussi longtemps que possible le pouvoir politique ?
  • Quelles sont les conséquences de cette inefficacité politique sur la modernisation sociopolitique dans ce territoire ?

0.3. HYPOTHESES

          En guise des réponses provisoires nous pensons que :

1 Le manque de conservation du pouvoir politique des ressortissants de Shabunda s’expliquerait  par les replis identitaires, le mauvais projet de société, l’absence de la communication avec leurs bases une fois au pouvoir, et le manque d’investissement dans ces mêmes bases.

  1. La perte d’estime politique, le chômage et le sous-développement seraient les conséquences de l’inefficacité de l’exercice du pouvoir politique des ressortissants de Shabunda dans ce territoire.

0.4. OBJECTIF DU TRAVAIL

Les deux objectifs assignés par cette étude sont les suivants :

  1. Relever les causes justificatives de manque de conservation de pouvoir politique des ressortissants du territoire de Shabunda.
  2. Déterminer les conséquences de cette inefficacité de l’exercice du pouvoir politique des ressortissants de Shabunda dans ce territoire

0.5. METHODOLOGIE

a) Méthode

                  Notre étude reposera principalement sur l’interaction politique. Nous allons faire usage de la méthode d’analyse fonctionnelle. Cette méthode prend en charge l’objet de notre étude dans le sens qu’elle analyse la réalité sociale de Shabunda, en considérant Shabunda comme système et les dirigeants et les dirigés comme éléments, que s’il ya d’incompréhension entre les éléments, rien ne peut marcher.

             En parlant de l’Inefficacité du pouvoir politique dans la gestion de la chose publique cas des élus Ressortissants du territoire  de Shabunda, cette méthode considère le pouvoir comme conséquence sociale observée qui contribue à l’adaptation, c’est-à-dire que les Ressortissants de Shabunda (dirigeants) ne communiquent pas bien avec les bases (les dirigés), le mauvais Projet de Société, les replis identitaires sont considérés comme disfonctionnement du système.

-Elle fait opérer une distinction entre fonctions manifestes voulues et reconnues (cellesquisont souhaitables) par les participants au système  et fonctions latentes (celles qui ne sont pas souhaitables) il convient de savoir si les causes de manque de conservation du pouvoir politique des Ressortissants de Shabunda sont dues  à la volonté des dirigeants, ou par leurs incompétences.

-Elle nous permet à discerner la dysfonction qui à l’inverse de la fonction réduit les possibilités d’adaptation ou d’ajustement c’est-à-dire qu’elle doit nous permettre à distinguer les causes et les conséquences du manque de conservation du pouvoir politique des Ressortissants de Shabunda.

-Elle nous permet d’établir une alternative fonctionnelle impliquant de l’équivalent fonctionnel elle met en évidence les causes et les conséquences qui sont à la base de manque de conservation du pouvoir politique des Ressortissants des Shabunda qui est une monnaie courante, dans le sens qu’ils ne sont pas reconduits, réélus, ou ils ne durent pas au pouvoir en Province tout comme au niveau national.

                    En effet, l’interaction politique en tant que grille d’analyse permet selon Jacques Lagroye[9]  de comprendre et de vérifier quel type de relation relie diverses unités sociales et structure, les rapports que les unités entretiennent  C’est ainsi que les métaphores du « jeu » et de « marché » permettent de rendre compte des rapports de pouvoir et les relations entre agents dans une perspective relationnelle et dans des systèmes d’interaction.

                  La théorie des organisations d’ETZIONI va soutenir cette méthode afin de bien raffiner ontologiquement notre objet d’étude que, les ressortissants du territoire de Shabunda une fois devenus Députés, Gouverneurs, Ministres, oublient cette théorie sociologique. Ils tiennent quasiment  compte à leurs nouvelles et occasionnelles relations quant à l’interaction avec les membres locaux, et avec les autorités politiques ineffectives. Le manque de soutien populaire et les révocations deviennent effectifs contre eux.

b) Techniques

  • La technique documentaire, nous avons fouillé les documents nécessaires relatifs à notre objet d’étude.
  • La technique d’enquête par entretien non structuré nous a facilité de recueillir les points de vue des nos enquêtés.
  • La technique d’observation des engagée, pour avoir vécu la situation de manque de conservation de pouvoir politique des ressortissants de Shabunda lors de leurs exercices du pouvoir.   

0.5. INTERET DU SUJET

Ce travail a deux intérêts : Scientifique et pratique. Sur le plan scientifique cette étude constitue notre contribution dans le domaine d’efficacité du pouvoir politique. Elle démontre comment on est  incapable à conserver son pouvoir politique. Sur le plan pratique cette étude donne les pistes de sorties pour tout gouvernant se trouvant incapable de maintenir son pouvoir aussi longtemps que possible. Pratiquement cette étude constitue un outil de références aux autres chercheurs intéressés d’approfondir cette réfection ou similaire à cette thématique.

 

0.6. DELIMITATION DU SUJET.

                Notre étude porte sur les ressortissants du territoire de Shabunda. Une  analyse faite quant à la manière de leur exercice du pouvoir politique depuis la transition politique en République Démocratique du Congo touchant les premières élections  jusqu’aux deuxièmes élections, la voie démocratique pour accéder au pouvoir politique

0.7. SUBDIVISION DU TRAVAIL

               Excepté l’introduction et la conclusion, ce travail s’articule autour de trois chapitres. Le premier chapitre traite  la généralité. Le deuxième parle sur l’Aperçu général du Territoire de Shabunda et  Le troisième porte sur l’Inefficacité du pouvoir politique dans la gestion de la chose publique cas des élus ressortissants du territoire de Shabunda.

Hobbes: Le Léviathan in L’état de nature et le pouvoir politique

 

Alain MPOKO, Bilant politique sans un espace temporel, Article en SSPA, Unigom, 2012, p2

Alex BATUHOLA MUNKANU, La loi de la force en politique: l’art de gouverner dans Le Prince de Machiavel, Faculté de Philosophie Saint Pierre Canisius/Kimwenza, RDC - Bachelier en Philosophie 2008

Lionel NZAMBA,  Stratégies Politiques, master en Sciences Politiques,  Université Mohammed V -  2009

MACHIAVEL, N., Le prince, Paris, traduction d’ Yves LEVY, Garnier-Flammarion, 1972.

Gaston KALONGE corrélatif genre et participation politique, la femme et la participation politique en RDC avec un regard particulier sur la ville de Kindu D.E.S UNIVERSIT2 DE KINDU

N Machiavel, le prince d’Yves, Flammarion, 1972.

Jacques Lagroye, l’interaction politique, 1991  p165.

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