Au terme de notre travail de fin de cycle qui a porté sur les connaissances, attitudes et pratiques des élèves des écoles secondaires de Bukavu sur le VIH/SIDA cas du degré terminal de l’institut NIDUNGA, nous nous sommes fixés les objectifs suivants :
Dans ce travail, nous avons utilisé les méthodes et techniques entre et autre descriptive, comparative et technique documentaire, questionnaire d’enquête et l’interview structurée. Ainsi, nous avons utilisé un échantillon de 150 élèves trouvé à partir de la formule de LUNCH et SCHWART étant le nombre d’élèves inscrits au degré terminal de l’institut NIDUNGA. De la part des résultats, 37,3% et26% ont des médias comme source d’information sur le VIH/SIDA. 58% exprime une assistance morale d’une personne séropositive ; 59,3% pratiquent de relation sexuelle non protégé ce qui conduit à un signe alarmant. Au vu de ce pourcentage, 82% des enquêtés acceptent le dépistage volontaire et 55% représente la majorité des garçons enquêtés.
En effet, les hypothèses avancées comme : les élèves du degré terminal de l’institut NIDUNGA auraient des connaissances suffisantes sur le VIH/SIDA, leur source d’information serait les médias sont confirmées avec 100% d’élève s’informés et/ou ayant des connaissances suffisantes sur le VIH/SIDA et 37,3% et/ou 26%ont comme source d’information les médias.
Néanmoins, les hypothèses dont la majorité d’entre eux ne connaitrait pas leur état sérologique, leur attitude vis-à-vis d’une personne séropositive serait négative sont infirmées par les résultats du tableau n°12 et ceux du n°15.
Enfin, départ l’analyse faite à ce sujet au près des élèves du degré terminal de l’institut NIDUNGA, nous ouvrons une brèche à d’autres chercheurs qui pourront enrichir ce sujet tout en mettant l’accent sur l’attitude des élèves devant un test de dépistage volontaire, leur attitude face aux personnes séropositives et à la pratique du rapport sexuel protégé contre le VIH/SIDA.
Sans toute fois prétendre que ces solutions sont les meilleurs de toutes, nous osons croire que leurs explications seraient un point de départ porteur d’espoir dans l’avenir de la communauté estudiantine du Sud-Kivu et celle de l’institut NIDUNGA en particulier.
Au vu de ce qui précède, nous recommandons :