Notre patiente suivie était du sexe B affirmons que tous les sexes et les âgés sont considérés par le diabète. Ceci considérés par le diabète. Ce ci concorde avec l’étude d’Anne-domique qui prouve que le diabète sucré du type I touche le ujet jeune avec comme cause le dérèglement du système immunitaire et destruction des cellules pancréatiques produisant l’insuline et celui du type II touche le sujet à l’âge mur avec comme cause le dysfonctionnement du pancréas (défaut de sécrétion de l’insuline) et la résistance des tissus cibles à l’insuline (13).
Pour ce qui concerne le milieu de résidence. Nous affirmons que tous les milieux sont concernés par le diabète sucré mais majoritairement le diabète touche les pays industrialisés et donc 4 diabétiques sur 5 vivent dans les pays émergents (13).
Dans notre observation, la patiente était venue consulter pour algie thoracique, hémoptysie. Gout amère. Vertige et la fièvre ce qui nous a poussé à diagnostiquer une IRA et HTA sur un terrain diabétique. Pour ce qui consterne les antécédents héréditaires .familiaux, personnels et son indice de masse corporelle, notre patiente n’avait pas beaucoup des facteurs de risque de développer le diabète sucré car plusieurs théories ont montré que 10% des cas de diabète découlent de la destruction du pancréas et 90% découlent des facteurs héréditaires et de l’obésité (11).
Par apport aux examens paracliniques réalisés chez notre patiente. La glycémie au 1er jour était de 309mg/dl soit 17.16m mol/l et 286mg/dl soit 15.88mmol/au 2eme jour. Ces résultats du contrôle glycémie confirment que notre patiente était un vrai diabétique selon la définition de l’OMS de 1980 qui considère comme diabétique tout sujet présentant un syndrome clinique évocateur associé à une hypoglycémie non équivoque ou dont la glycémie à jeun est supérieur à 11,1mol /l dans le plasma veineux avec au moins une valeur intermédiaire supérieure ou égale à la valeur de la 2eme heure (11).
Pour ce qui concerne le traitement du diabète, notre patiente avait reçu l’insuline ordinaire 3 fois unités internationales par jour et l’insuline lente 2 fois 3 unités par jour. Quel commentaire tu mets ici.
Ce traitement est très bon car adapté au besoin de la patiente et a finir par rendre stable la glycémie.
Pour les traitements des maladies associées, l’équipe soignante s’est mobilisée avec un traitement aux antibiotiques (céftriaxon, gentamycine) aux antalgiques (trama dol), aux antihypertenseurs (furosémide), aux liquides et oligoélément (sérum physiologique et vitamine C). Nous jugeons cette pratique thérapeutique bonne car notre patiente s’est suffisamment améliorée après toutes ces démarches thérapeutiques.