La sédimentologie est une discipline qui étudie les processus de production des sédiments, les mécanismes de leur transport et de leur dépôt sous forme de couches ou strates sédimentaires ; Le but de la sédimentologie est la reconstitution des milieux et environnements de dépôt c’est à dire la reconstitution des paysages passés et de paléogéographie. L’approche naturaliste se fait par la détermination des sédiments : natures minéralogiques, analyses et agencements des constituants (biogènes ou non), figures sédimentaires, géométrie des dépôts. (Laurie B., 2015)
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Figure9 : Schéma du cycle des roches sédimentaires
Le schéma ci-dessous nous proposé par Laurie B. 2015, nous montre la succession des processus qui conduisent de la fragmentation de la roche jusqu’au dépôt du sédiment, qui pourra ensuite subir la diagenèse pour ainsi chercher à réaliser le cycle équilibré de formation des roches sédimentaires.
En géomorphologie, l’érosion est le processus de dégradation et de transformation du relief, et donc des roches, qui est causé par tout agent externe (donc autre que la tectonique). C’est aussi un ensemble des phénomènes externes qui, à la surface du sol ou à faible profondeur, enlèvent tout ou partie des terrains existants et modifient ainsi le relief.
Un relief dont le modelé s’explique principalement par l’érosion est dit « relief d’érosion ». Les facteurs qui causent l’érosion sont : Le climat, le relief, le type de lithologie et la chimie (solubilité par ex.) de la roche ; l’absence ou non de couverture végétale et la nature des végétaux ; l’histoire tectonique (fracturation par exemple) ; l’action de l’homme (pratiques agricoles, urbanisation).
Quant à l’altération, c’est une modification des propriétés physico-chimiques des minéraux, et donc des roches, par les agents atmosphériques, par les eaux souterraines et les eaux thermales (altération hydrothermale). Elle dépend en particulier du climat, de la température des eaux, de la nature des roches et de leur degré de fracturation. Elle a généralement pour effet de rendre les roches moins cohérentes ce qui facilite leur désintégration. (A. Faucoult et J.F Raoult, 2005)
L’altération est également l’ensemble des transformations minéralogiques d’une roche à la surface, lorsqu’elle est exposée aux effets de l’eau ; elle est donc d’autant plus importante que l’eau est abondante. Elle est une des composantes de l’érosion, qui comprend également la destruction mécanique des roches. Dans certains contextes, les différences avec le métamorphisme de basses pression et température peuvent être floues, notamment dans le cas de l’hydrothermalisme. (Pradyot P., 2003)
Le degré d’érosion dépend des caractéristiques de la roche qui sont les suivantes : La dureté (voir échelle de Mohs) et la cohésion de ses minéraux ; la dilatation thermique ; les réactions chimiques possibles entre ses minéraux et le milieu. Cependant l’efficacité de l’érosion dépend des facteurs suivants : granulométrie du matériel (les blocs sont moins facilement érodés que les sables) ; dynamisme de l’agent érosif (un vent fort érode davantage qu’une brise calme) ; topographie (les pentes raides s’érodent plus rapidement que les pentes douces sous l’effet du ruissellement) ; présence de végétation (une couverture végétale peut ralentir le phénomène d’érosion)
Le transport des matériaux issus de la désagrégation de la roche s’effectue soit sous forme dissoute dans la circulation des eaux continentales, soit sous forme solide. Dans ce dernier cas, il peut s’agir de processus gravitaires agissant à faible distance par des processus gravitaires ou de transport à plus longue distance quand les matériaux sont pris en charge par un agent de transport. Les matériaux transportés peuvent éventuellement être stockés, créant des accumulations sédimentaires, avant d’être de nouveau mis en mouvement. À long terme, ils aboutissent dans les mers et les océans. (Laurie B., 2015)
Le dépôt des sédiments se fait suivant leur granulométrie, c’est-à-dire, selon leurs dimensions des grains. Il existe deux domaines de dépôt des sédiments (domaine continentale et domaine océanique) appelés aussi environnements sédimentaires. En ce qui concerne le cas de notre secteur d’étude, il s’agit d’un domaine continental à système fluvial, c’est-à-dire que la remobilisation des sédiments se fait par l’action d’un cours d’eau, dans l’autre cas on parle d’un système glaciaire où c’est la glace qui intervient dans la mobilisation des sédiments. (Laurie B. 2015
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).
Les océans sont les environnements sédimentaires par excellence ; ils constituent environs 75% de la surface de la Terre. L’origine des sédiments océaniques sont diverses et constituent donc le lieu de récolte final de tous les cours d’eaux drainant des sédiments; nous pouvons en citer entre autres : les particules détritiques (résidus de l’altération continentale) véhiculées par les fleuves ou le vent, la production biogène in situ, la précipitation chimique in situ. (Julie D., 2009).
Elle est l’ensemble des processus qui affectent un dépôt sédimentaire et le transforment progressivement en roche sédimentaire solide. La diagenèse commence dès le dépôt du sédiment, sa limite avec le métamorphisme est floue (anchimétamorphisme). Ses limites sont également floues avec les phénomènes épi génétiques (ou méta somatiques) affectant des roches sédimentaires déjà constituées. (A. Faucalt et J.F Raoult, 2005).
Tableau 1 . Échelle de classification granulométrique de J. Jung, 1976
Diamètre (F) |
Diamètre (mm) |
Sédiment meuble |
Roche consolidées |
Classe |
||||
-3,32 |
10 |
Cailloutis et blocs |
Conglomérats |
Rudites |
||||
-1 |
2 |
Graviers |
||||||
0 |
1 |
Très grossier |
Sables |
Très grossier |
Grès |
Arénites |
||
1 |
0,5 |
Grossiers |
Grossiers |
|||||
2 |
0,25 |
Moyens |
Moyens |
|||||
3 |
0,125 |
Fins |
Fins |
|||||
4 |
0,063 |
Très fins |
Très fins |
|||||
5 |
0,0315 |
Très grossiers |
Silts |
Très grossiers |
Siltites |
Lutites |
||
6 |
0,016 |
Grossiers |
Grossiers |
|||||
7 |
0,008 |
Moyens |
Moyens |
|||||
8 |
0,004 |
Fins |
Fins |
|||||
9 |
0,002 |
Très fins |
Très fins |
|||||
Argiles |
Argilites |
|||||||
Les paramètres dimensionnels des sédiments utilisés dans le traitement statistique des données sédimentologiques sont des valeurs de la taille des particules qui correspondent aux pourcentages cumulés ci-après :
Par ailleurs, les formules suivantes permettent de calculer les indices numériques diverses comme :
Tableau 2. Échelle de classement de Fuchtbauer
Degré de classement |
S0 |
Très bon |
1,23 |
Bon |
1,23 à 1,41 |
Moyen |
1,41 à 1,74 |
Mauvais |
1,72 à 2,00 |
Très mauvais |
>2,00 |
)
Tableau 3. Classement des sédiments selon Krumbein et Pomerol (1932)
Classement |
en unité de |
|
Sédiment extrêmement bien classé |
<0.26 |
|
Très bien classé |
0.26<<0.33 |
|
Bien classé |
0.33<<1.30 |
|
Normalement bien classé |
1.30<<1.58 |
|
Faiblement bien classé |
1.58<<2.00 |
|
Très mal classé |
2.00< |
En unité,
PETTIJOHN (1938)
Tableau 4. Classement des éléments selon le coefficient d’asymétrie de Trask, 1930
Classement |
S k |
Asymétrie parfaite |
SK= 0 |
Asymétrie négative |
SK <0 |
Asymétrie positive |
SK >0 |
Pour cet indice, si le résultat est faible, c’est-à-dire inférieur <1, on a une aptitude au transport faible. S’il est fort (>1), cette aptitude est dite forte.
Écart-type ou déviation standard (triage)
Écart-type des statisticiens : FOLK ET WARD (1957)
+
Si GT est petit, la courbe est très redressée. On est dans des formations éoliennes, tandis que s’il est grand, la courbe est étalée, on est dans des formations glaciaires.
WEYDERT (1973) :
Notons que le passage des mesures en mm aux mesures en F s’effectue par la formule suivante :
Valeur en (Folk and Ward, 1957)
Tableau 5. Conversion des données mm en F
millimètres |
4 |
2 |
1 |
½ |
¼ |
â…› |
1/16 |
1/32 |
F |
-2 |
-1 |
0 |
1 |
2 |
3 |
4 |
5 |
Ici nous aurons à faire une certaine analyse et une interprétation de nos résultats de terrain et de laboratoire suivant des différents indices signalés dans le point précédent par quelques auteurs.
Selon la classification de Wentworth du tableau 1, le bassin versant de la rivière Musheke est constitué de trois type de sédiments dont :
Figure 10 : profil d’altération du sol du bassin versant de la rivière Musheke nous montrant la lithologie argilo sableuse
Ce profil nous éclaircie bien sur la succession des couches des matériaux friables de notre secteur d’étude. A représente une couche d’argile de couleur sombre due à une grande teneur en matière organiques ; B représente la fraction sableuse qui couvre une grande partie de notre secteur d’étude ; C représente enfin la partie limoneuse qui est la portion la plus fine des matériaux de ce secteur.
Dans le cas de notre secteur d’étude, l’agent de transport des sédiments est l’eau.
Figure 11 : diagramme de Visher 1969, appliqué aux sédiments de la rivière Musheke
Le diagramme de Visher représenté à la figure 11 nous donne l’allure générale des sédiments de la rivière Musheke, et cela du point de transport. Nous remarquons pour ce fait que, nous sommes en présence de deux grandes catégories de matériaux meubles et qui ont chacune son mode de transport. Ce diagramme discrimine nos sédiments selon leur mode de transport ; nous avons ainsi :
Nous constatons bien que la majorité de nos sédiments se retrouvent dans la tranche de 20 à 90% de refus cumulés, donc ils sont transportés par saltation.
Dans un cas plus large, on peut faire une étude approfondie et arriver à déterminer la vitesse d’écoulement du cours d’eau et la comparer à la taille des particules, pour également déterminer le comportement des sédiments face à l’action de l’eau. Dans ce cas, l’utilisation du diagramme de Hjulström pourrait nous être utile.
Lever une région ou un secteur donné, c’est établir un plan donc une carte de cette région sur terrain. Comme indiqué dans la méthodologie, nous avons fait le levé de la rivière Musheke depuis son estuaire au niveau du lac Kivu dans le groupement Nyakalengwa, jusqu’à sa source se trouvant dans le village Nkonko en groupement de Mugote. Cette étude avait pour but l’établissement de la carte d’échantillonnage du secteur de Musheke ainsi qu’une description macroscopique des sédiments retrouvés sur place.
Pour mener à bon port ce lever, nous avons procédé par la prise des coordonnées pour la localisation de différentes stations ; par la suite nous mesurions suivant les différents traces et transcrivions, pour chaque station, les mesures du lit majeur et du lit mineur pour avoir une idée sur la largeur maximum de la rivière Musheke qui est sa largeur en période de crue (saison pluvieuse), et sa largeur minimum qui est celle qu’on observe en période sèche. Nous avons constaté par la suite qu’en période pluvieuse, la rivière Musheke atteint une largeur de 18m ; tandisque en période de décrue, elle n’a que 4 à 6m de largeur. Une autre précision est ces valeurs sont bien enregistrées quand on se dirige vers le sud après la rivière Kabanandulo qui est son pricipal affluent ; cependant, quand on depasse Kabanandulo en se dirigeant vers le nord, les dimensions de la Musheke diminuent considérablement.
Notons que la rivière Musheke coule du nord vers le Sud ; et s’étend sur une longueur à vol d’oiseau de 6,84km.
Tableau 6. Présentations des données du levé de la rivière Musheke
Stations |
Latitude |
Longitude |
Altitude |
Mesures du lit de la rivière |
Observations |
Station 1 |
02°13’37" |
29°01’25,5" |
1465m |
L=13m;l=9,2m |
Au niveau de l’estuaire de la rivière Musheke. Ici nous avons du sable mélangé avec de la matière organique, d’où une coloration noirâtre |
Station 2 |
02°13’34" |
29°01’46,7" |
1466m |
L=12m; l=6m |
premier méandre vers la source |
Station 3 |
02°13’30,6" |
29°01’46,7" |
1466m |
L=11m;l=6,9m |
2e méandre: nous avons la présence des sables et limons |
Station 4 |
02°13’28,8" |
29°01’47,5" |
1465m |
L=9,3m;l=4,7m |
Idem |
Station 5 |
02°13’27,5" |
29°01’48,7" |
1464m |
L=6,5m; l=2m |
Idem |
Station 6 |
02°13’26" |
29°01’50" |
1463m |
L=7m; l=4m |
Ici nous avons une modification de la lithologie, nous remarquons la présence des galets millimétriques à centimétriques et cette présence peut être justifiée par la faible accumulation des couches sableuses ici. La séquence lithologique est sable-galet-limon |
Station 7 |
02°13’24,9" |
29°01’50,3" |
1466m |
L=6m; l=2,2m |
Idem |
Station 8 |
02°13’24,9" |
29°01’51,4" |
1466m |
L=13,4m; l=3,5m |
Idem |
Station 9 |
02°13’23,2" |
29°01’52,3" |
1466m |
L=7m; l=3,2m |
Idem |
Station 10 |
02°13’22,3" |
29°01’52,9" |
1467m |
L=6m; l=2,2m |
Idem |
Station 11 |
02°13’20,6" |
29°01’53,7" |
1466m |
L=10,5m; l=4,7m |
Présence des galets |
Station 12 |
02°13’19,5" |
29°01’55,2" |
1468m |
L=10,4m; l=2,5m |
Idem |
Station 13 |
02°13’18,5" |
29°01’55,5" |
1470m |
L=7,4m;l=2,5m |
présence des galets et des limons |
Station 14 |
02°13’17,6" |
29°01’57,5" |
1472m |
L=18m; l=2m |
nous sommes en présence d’une lithologie caractérisée par une présence d’argile vers la surface du versant, puis nous avons le sable fin et enfin le sable grossier au fond. Ici il n’y a pas exploitation de sable. |
Station 15 |
02°13’16" |
29°01’57,6" |
1470m |
L=15m; l=2m |
Idem |
Station 16 |
02°13’13,3" |
29°01’59,4" |
1472m |
L=10m; l=3,5m |
sable graviers; un autre bord de la rivière est exploité par les fabricants de briques |
Station 17 |
02°13’13" |
29°02’07" |
1470m |
L=8m; l=3m |
sable et graviers |
Station 18 |
02°13’14" |
29°02’08" |
1472m |
L=10; l=3m |
Idem |
Station 19 |
02°13’12,8" |
29°02’1,9" |
1472m |
L=12m; l=4,5m |
idem. À côté d’un site de fabrication de briques |
Station 20 |
02°13’12,2" |
29°02’3,1" |
1473m |
L=10m; l=2m |
Idem |
Station 21 |
02°13’10,6" |
29°02’4,2" |
1474m |
L=9m; l=2,5m |
idem. Point de rencontre de Musheke avec un de ses affluents |
Station 22 |
02°13’10,6" |
29°02’5,8" |
1478m |
L=7m; l=2,5m |
Idem |
Station 23 |
02°13’11,1" |
29°02’6,5" |
1476m |
L=3m; l=2m |
présences des roches de couleur grisâtre, présentant des cavités vides à leur sein, sont meubles; ce sont des Kaolins |
Station 24 |
02°13’10,9" |
29°02’7,6" |
1478m |
L=5m; l=2m |
Sables et graviers |
Station 25 |
02°13’8,5" |
29°02’9,6" |
1478m |
L=6m; l=2m |
Idem |
Station 26 |
02°13’7,1" |
29°02’9,8" |
1479m |
L=8m; l=2,5m |
Idem |
Station 27 |
02°13’4,2" |
29°02’11" |
1479m |
L=7m; l=2m |
près du 3e pont |
Station 28 |
02°13’2,3" |
29°02’10,8" |
1479m |
L=8m; l=2,5m |
Idem |
Station 29 |
02°12’59,7" |
29°02’12,8" |
1478m |
L=7m; l=3m |
Il y a également un cours d’eau se jetant dans la rivière Musheke |
Station 30 |
02°12’58,5" |
29°02’14,7" |
1478m |
L=6m; l=2,5m |
méandre 27 |
Station 31 |
02°12’56,6" |
29°02’16,4" |
1480m |
L=12; l=2m |
argile + sable + graviers + limons; nous avons également un site de production des briques à coté |
Station 32 |
02°12’53,3" |
29°02’18,9" |
1477m |
L=9m; l=2,5m |
Sable + gravier + limon. D’un côté de la rivière, nous remarquons une formation jaunâtre qui se trace dans le sable, il peut être dû à une altération des minéraux ferrugineux |
Station 33 |
02°12’52,2" |
29°02’21,2" |
1478m |
L=12m; l=3m |
Sable + graviers; présence d’un site de fabrication des briques à proximité de la rivière |
Station 34 |
02°12’53,6" |
29°02’24" |
1480m |
L=9m; l=3m |
idem; nous avons également une présence des limons sur les deux rives de la rivière |
Station 35 |
02°12’51,6" |
29°02’24,2" |
1479m |
L=12m; l=4,5m |
Idem |
Station 36 |
02°12’49" |
29°02’26,3" |
1478m |
L=8m; l=3m |
Idem |
Station 37 |
02°12’47,7" |
29°02’28,7" |
1479m |
L=9m; l=4m |
il y a un éboulement de terre argilo sableuse |
Station 38 |
02°12’45,4" |
29°02’29,8" |
1483m |
L=10m; l=2m |
Idem |
Station 39 |
02°12’42,8" |
29°02’30,8" |
1484m |
L=12m; l=4,5m |
Idem |
Station 40 |
02°12’39,8" |
29°02’31" |
1484m |
L=13m; l=5m |
Idem |
Station 41 |
02°12’38,6" |
29°02’33,2" |
1491m |
L=12m; l=5m |
Sables + graviers + limon |
Station 42 |
02°12’36,5" |
29°02’33,8" |
1492" |
L=9m; l=4m |
graviers de dimension centimétrique + graviers + limon |
Station 43 |
02°12’35,1" |
29°02’34,1" |
1491m |
L=8m; l=4m |
Idem |
Station 44 |
02°12’34,1" |
29°02’34,8" |
1490m |
L=7m; l=3m |
Idem |
Station 45 |
02°12’33,1" |
29°02’34,1" |
1490m |
L=6m; l=2,5m |
Idem |
Station 46 |
02°12’31,2" |
29°02’36,2" |
1495m |
L=7m; l=2m |
Idem |
Station 47 |
02°12’29,2" |
29°02’37,5" |
1497m |
L=9m; l=3m |
Sable + gravier + arkose |
Station 48 |
02°12’29,9" |
29°02’38,7" |
1496m |
L=8m; l=3m |
Idem |
Station 49 |
02°12’26,6" |
29°02’40,5" |
1496m |
L=20m; l=8m |
idem. Ici la quantité de sable augmente par rapport à l’aval de la rivière; nous avons des graviers de dimension centimétrique à décimétrique; présence des grès altérés et d’autres qui ne le sont pas; certaines des roche sont en place et d’autres sont allochtones |
Station 50 |
02°12’24,4" |
29°02’41,1" |
1500m |
L=16m; l=8m |
idem. Nous voyons également des affleurements de quartzites. À proximité, nous avons le pont reliant Dokola et Kashara |
Station 51 |
02°12’24,6" |
29°02’44,5" |
1504m |
L=18m; l=8m |
Sable, gravier, arkose, sable limoneux. |
Station 52 |
02°12’22,5" |
29°02’46,4" |
1504m |
L=15m; l=6m |
idem |
Station 53 |
02°12’18,5" |
29°02’51" |
1505m |
L=15m; l=6m |
idem C’est l’endroit où la rivière Musheke se croise avec la rivière Kabanandulo qui est l’une de ses principaux affluents. |
Station 54 |
02°12’17,6" |
29°02’53" |
1509m |
L=9m; l=3m |
idem |
Station 55 |
02°12’15,6" |
29°02’51,2" |
1511m |
L=12m; l=4,5m |
idem. Nous sommes au niveau du 5e pont, celui-ci relie le village CIGERHA au village CIHUMBA |
Station 56 |
02°12’12,8" |
29°02’51,3" |
1510m |
L=9m; l=4m |
graviers grossiers + sable + limon |
Station 57 |
02°12’10,3" |
29°02’52,2" |
1516m |
L=6m; l=2m |
idem |
Station 58 |
02°12’8,7" |
29°02’53,7" |
1515m |
L=10m; l=4m |
idem |
Station 59 |
02°12’6,4" |
29°02’54,1" |
1517m |
L=9m; l=4m |
idem |
Station 60 |
02°12’4,5" |
29°02’54,7" |
1518m |
L=9m; l=4m |
idem |
Station 61 |
02°12’2,9" |
29°02’56,9" |
1520m |
L=8m; l=2m |
idem |
Station 62 |
02°12’0,9" |
29°02’59,5" |
1525m |
L=8m; l=2m |
idem. Nous sommes en présence d’un autre point de rencontre de la rivière Musheke avec l’un de ses affluents |
Station 63 |
02°11’59,2" |
29°03’2" |
1539m |
L=6m; l=2m |
idem Il y a également la présence des fragments de micas et quartzite non en place |
Station 64 |
02°11’59,6" |
29°03’5,2" |
1540m |
L=6m; l=2m |
Idem |
Station 65 |
02°11’58,5" |
29°03’8,2" |
1542m |
L=7m; l=2m |
idem. Nous y trouvons un robinet à proximité |
Station 66 |
02°11’57,1" |
29°03’2,4" |
1550m |
L=8m; l=2m |
Idem |
Station 67 |
02°11’56,7" |
29°03’10,7" |
1551m |
L=9m; l=2,5m |
Idem |
Station 68 |
02°11’53,1" |
29°03’13,3" |
1556m |
L=9m; l=2m |
idem. C’est un autre point de rencontre entre la Rivière Musheke et son affluent de Kanyangiri |
Station 69 |
02°11’52,3" |
29°03’16,7" |
1564m |
L=6m; l=2m |
Idem |
Station 70 |
02°11’52,9" |
29°03’18,9" |
1568m |
L=6m; l=2m |
Idem |
Station 71 |
02°11’51,6" |
29°03’20,5" |
1567m |
L=6m; l=2m |
graviers grossiers + sable; c’est un point de courbure de la rivière avant d’atteindre la route |
Station 72 |
02°11’50,3" |
29°03’19,3" |
1568m |
L=7m; l=2m |
il y a une lithologie sableuse |
Station 73 |
02°11’48,3" |
29°03’17,8" |
1571m |
L=7m; l=2m |
idem nous y observons un pont. |
Station 74 |
02°11’45,2" |
29°03’18,4" |
1579m |
L=7m; l=2m |
Idem |
Station 75 |
02°11’43,4" |
29°03’18,4" |
1580m |
L=11m; l=6m |
Idem |
Station 76 |
02°11’41,5" |
29°03’20,5" |
1580m |
L=15m; l=2m |
Idem |
Station 77 |
02°11’38,4" |
29°03’21,2" |
1592m |
L=5m; l=2m |
Idem |
Station 78 |
02°11’36" |
29°03’21,8" |
1599m |
L=7m; l=3m |
idem. On y trouve aussi un affluent qui se jette dans la rivière Musheke |
Station 79 |
02°11’34,4" |
29°03’23,6" |
1606m |
L=5m; l=2m |
Idem |
Station 80 |
02°11’33,3" |
29°03’25,2" |
1612m |
L=7m; l=3m |
Idem |
Station 81 |
02°11’31,4" |
29°03’26,4" |
1620m |
L=5m; l=2m |
idem. Point où on trouve un affluent se jetant dans la rivière Musheke |
Station 82 |
02°11’30,9" |
29°03’27,2" |
1629m |
L=5m; l=2m |
Idem |
Station 83 |
02°11’31,2" |
29°03’30,3" |
1634m |
L=4m; l=1,5m |
Sable + argile + gravier |
Station 84 |
02°11’30,2" |
29°03’30,3" |
1634m |
L=5m; l=2m |
idem. Sur le pont reliant les villages de Nyakibamba (ouest) et Kashaki (est). Nous avons également une borne fontaine à proximité |
Station 85 |
02°11’30,5" |
29°03’35" |
1643m |
L=6m; l=2,5m |
Idem |
Station 86 |
02°11’28,9" |
29°03’36" |
1643m |
L=5,5m; 2m |
Idem |
Station 87 |
02°11’27" |
29°03’37,4" |
1650m |
L=6m; 3m |
Idem |
Station 88 |
02°11’23,9" |
29°03’38,1" |
1657m |
L=4m; l=1,5m |
Idem |
Station 89 |
02°11’21,1" |
29°03’38,4" |
1660m |
L=7m |
idem. C’est un point de rencontre entre la rivière Musheke et l’un de ses grands affluents |
Station 90 |
02°11’19,3" |
29°03’40,5" |
1661m |
L=5m |
ici la lithologie commence à devenir beaucoup plus argileuse; la portion de sable a diminué considérablement |
Station 91 |
02°11’17,5" |
29°03’42,6" |
1669m |
L=4m |
idem. Nous sommes dans un marais appelé MUNZIBIRA. Ici la rivière Musheke devient de plus en plus étroite |
Station 92 |
02°11’14" |
29°03’45,6" |
1672m |
L=4m |
Idem |
Station 93 |
02°11’11,9" |
29°03’46,4" |
1670m |
L=3,8m |
idem. Ici nous sommes en présence du dernier affluent de Musheke qui est la rivière Nyakibamba qui provient de kaboza et lushulula |
Station 94 |
02°11’10,7" |
29°03’43,4" |
16670m |
L=3m |
Idem |
Station 95 |
02°11’9,7" |
29°03’47,8 |
1672m |
L=2,8m |
Idem |
Station 96 |
02°11’6,8" |
29°03’48,5" |
1672m |
L=3m |
Idem |
Station 97 |
02°11’4,1" |
29°03’49,4" |
1673m |
L=2m |
Idem |
Station 98 |
02°11’2,6" |
29°03’50,5" |
1675m |
L=1,8m |
Idem |
Station 99 |
02°11’2,3" |
29°03’51,8" |
1675m |
L=1,5m |
Idem |
Station 100 |
02°11’1,9" |
29°03’52,8" |
1677m |
L=1,5m |
Idem |
Station 101 |
02°11’1,5" |
29°03’54,9" |
1685m |
L=1m |
Idem |
Station 102 |
02°10’59,4" |
29°03’56,9" |
1695m |
L=1m |
Idem |
Station 103 |
02°10’56,8" |
29°03’59,3" |
1705m |
L=0,5m |
idem. Ici nous sommes à la source de la rivière Musheke à Nkonko, dans le groupement de Mugote ; nous y observons également une borne fontaine. |