La présente section va principalement être orientée sur la compréhension des concepts Internet et Web. S’agissant de l’Internet, il sera question de s’attarder tant soit peu sur son historique et sur le mécanisme de transmission de l’information à l’Internet. Quant au Web, ce sera le moment de différencier un site Web statique avec un site Web dynamique et une page Web avec un site Web.
L’Internet est un système de communication qui permet aux ordinateurs autour du monde de communiquer et de s’échanger de l’information entre eux. Cette communication entre ordinateurs permet plusieurs possibilités et offre une masse d’informations chaque jour plus important dans des domaines comme la médecine, la mathématique, la biologie, bref la science et la technologie.
C’est dans les années 60, en plein milieu de la "guerre froide" entre le bloc de l’est et les pays occidentaux qu’on retrouve les origines de l’Internet. Les militaires américains avaient besoin d’un moyen de coordonner leurs armes nucléaires en cas de guerre atomique. Ils avaient besoin d’un système de communication qui pourrait survivre même si plusieurs bases étaient détruites [DJU2013].
L’année 1964 voit le début du projet ARPANET, pour créer le premier réseau de communication distribué. L’avantage de cette technologie est qu’elle est décentralisée. Le système n’est pas dépendant d’un ordinateur principal pour coordonner les communications.
En 1969, ce fut la mise en opération du projet ARPANET qui utilise un protocole de communication appelé NCP (Network Control Protocol). C’est la première fois que des ordinateurs communiquent entre eux à de longues distances.
Le réseau reste intact même aux ravages d’une guerre atomique puisque chaque site est connecté physiquement à quatre autres. La communication et la coordination des forces armées survivantes à une attaque nucléaire sont assurées.
Pour des raisons de sécurité nationale, l’armée refuse aux scientifiques l’accès au réseau militaire et l’utilisation du protocole de communication.
C’est en 1973 que es scientifiques prennent leur revanche en développant leur propre réseau à travers les universités et en utilisant un protocole de communication amélioré nommé TCP/IP (Transfert Control Protocol/ Internet Protocol).
Le protocole IP s’assure que chaque ordinateur relié au réseau a une adresse unique et que chacun soit capable de communiquer avec les autres. Ce protocole est utilisé sur plusieurs plates-formes pour permettre une communication entre elles. L’accès est devenu, avec le temps, international. Les fondations pour l’Internet d’aujourd’hui sont placées. La recherche a permis d’augmenter le potentiel de l’Internet avec plusieurs autres services. Parmi ces services, il y a le courrier électronique. Il permet d’envoyer des messages, des "email", à d’autres personnes qui ont eux aussi une adresse de courrier électronique. Il y a aussi "Gopher" qui permet d’afficher de l’information pour la rendre disponible à tous. C’est en quelque sorte l’ancêtre du World Wide Web.
En 1989, Tim Berners-Lee conçoit la base de ce qui allait devenir le World Wide Web mais c’est seulement en 1995 que le terme "Internet" est entré dans le vocabulaire de l’humanité. C’est surtout à cause d’un "nouveau" service: le World Wide Web (WWW).
Pour que les informations puissent transiter d’une machine à une autre, certains outils matériels et logiciels sont nécessaires pour assurer cette transmission (figure ci-dessous).
Lorsque deux ordinateurs communiquent pour s’échanger des informations, il faut qu’ils utilisent une méthode commune de conversation. On parle alors d’un protocole informatique.
En informatique, un protocole est un ensemble de règles suivies par deux ordinateurs lors de l’échange de l’information. Il existe de nombreux protocoles différents. Nous n’évoquerons que le TCP et l’IP. TCP (Transmission Control Protocol), signifiant littéralement « protocole de contrôle des transmissions » et le IP (Internet Protocol) qui signifie littéralement « protocole de l’Internet ».
Lorsque des informations (un texte, une image, un courrier) doivent être envoyées sur Internet, l’ordinateur qui fournit l’information :
Les informations parviennent à l’ordinateur de destination :
Ces informations sont recombinées et remises en ordre par un programme spécialisé dans l’ordinateur d’arrivée.
Figure 13 : Mécanisme de transport de l’information (client-serveur)
Un service Web est un logiciel, dont le rôle est d’écouter des requêtes d’un type particulier (requête HTTP) provenant de clients (ordinateur personnel). Tim Berners-Lee, en a conçu les bases en mars 1989. Il a conçu le HyperText Markup Language à partir d’un autre format utilisé pour les documents appelé Standard Generalized Markup Language (SGML) pour afin arriver au Web.
Le World Wide Web signifie littéralement « la toile d’araignée mondiale ». Il fonctionne en utilisant le concept d’hypertexte.il est rapidement devenu le service le plus utilisé sur l’Internet. Le Web utilise le protocole HTTP (HyperText Transfer Protocol). Les demandes de chaque utilisateur sont traitées par le logiciel serveur installé sur la machine hébergeant le site.
A chaque fois qu’un utilisateur demande d’accéder à une page, une requête HTTP est envoyée au serveur, qui renvoie le document HTML correspondant. La page HTML est ensuite décodée et affichée par le navigateur de l’utilisateur.
La gestion des noms, donc de l’accès à tous les sites du Web, est assurée par le mécanisme de DNS (Domain Name System). A chaque nœud d’Internet, des listes de DNS correspondant aux noms et à l’emplacement des sites sur le réseau sont mises à jour en permanence. C’est ce qui permet de passer d’un site à un autre sans se soucier de leur localisation géographique.
Le langage HTML (HyperText MarkupLanguage) tire son origine du SGML (Standard GeneralizedMarkupLanguage) développé par Charles Golfarb et du concept de l’Hypertexte créé par Ted Nelson. C’est Tim Berners-Lee, en 1989, qui définit le principe du HTML.
Le langage HTML est défini comme un langage de description, c’est-à-dire qu’il est là pour décrire les pages Web. En d’autre terme, il est utilisé pour mettre en forme. Ainsi, lorsqu’on exploite à fond ses possibilités, il est possible d’obtenir de très beaux sites plus ou moins lourds et plus ou moins complexes.
Comme le SGML, le HTML différencie au sein d’un document, les données de la structure et du format. Il donne des règles de balisages («marquage» de l’information avec des balises) qui décrivent une structure arborescente où chaque nœud est identifié par une étiquette. Ces étiquettes sont reconnues et interprétées par le navigateur.
A l’instar du concept d’hypertexte, le HTML offre la possibilité de créer des contenus de documents ou des ensembles de documents dont la lecture n’est pas forcément séquentielle : une zone du document (texte ou image) est «cliquable» et permet l’accès à une autre zone du document ou à un autre document.
Un document HTML n’est rien de plus qu’un fichier texte. Il peut donc être reconnu sans problème de conversion d’un environnement à un autre. Une page HTML peut donc être lue et interprétée (pas forcément de façon identique) par n’importe quel navigateur sur n’importe quelle plate-forme.
Bien qu’il y ait des logiciels spécialisés et puissants et l’implantation des pages HTML, l’on peut relever que tous les logiciels de traitement de texte populaires peuvent aujourd’hui permettre la conversion des documents au format HTML.
Le format HTML n’offre pas toutes les mêmes possibilités qu’un document Word ordinaire. Le niveau de contrôle de la présentation est limité. La présentation change selon la résolution de l’écran de l’ordinateur de l’usager. Sur les PC, les résolutions de l’écran les plus souvent utilisées sont de 640 par 480 pixels (points de lumière), 800 X 600 et 1024 X 768.
Il y a même les résolutions 1200 X 1024 et 1600 X 1280 pour les écrans de 17, 19 et 21 pouces. Tout cela pour dire que le même texte va apparaître différemment selon la résolution choisie par l’utilisateur et non le concepteur.
Une page Web est un fichier qui peut contenir du texte, des images et des liens à d’autres pages.
Un site Web est un regroupement de pages sur un sujet, un thème, un commerce, une organisation. Un site Web a aussi une page principale. C’est une page Web qui aide les lecteurs à naviguer sur le site pour trouver l’information voulue.
La différence entre un site Web et une page Web résulte du fait que dans un site Web on peut retrouver plusieurs pages Web. En d’autre terme, l’un contient l’autre.
Comme le présente la figure I.7, un site Web statique est un site dont les pages ne sont pas modifiables par les utilisateurs. Ici, seul l’administrateur a le droit de charger les données et de faire la mise à jour, et ce depuis son poste de travail.
Un site est dit aussi statique parce que les pages HTML qui le composent sont toujours identiques entre deux visites sans mise à jour. Le serveur n’a donc pas besoin des éléments de Scripting.
Il va sans dire qu’un site statique possède beaucoup d’inconvénients : il faut avoir des connaissances suffisantes en HTML pour le modifier et l’étape de mise à jour reste fastidieuse. Cependant, il faut aussi reconnaître au site statique des avantages qu’il offre sur divers plans:
A l’inverse du site Web statique, le site Web dynamique dispose de pages Web modifiables par les visiteurs. De plus, entre deux visites sur un même site, le contenu de la page peut être différent sans action de l’administrateur du site Internet.
Le serveur qui fait fonctionner le site utilise une technologie de Scripting (comme PHP, Ruby, Python ou Perl) ainsi qu’un gestionnaire de base de données comme MySQL. Il y a lieu de citer de grandes applications comme les forums, les Wiki et les sites communautaires comme exemples de sites dynamiques.
Comme le montre la figure I.8, le client envoi une requête au serveur et le serveur a son tour va générer grâce aux scripts PHP une page qu’il va proposer au client en guise réponse à sa requête.
Parmi les avantages qu’offre un site Web dynamique, nous pouvons énumérer :
Le choix d’un site Web statique sera tout indiqué pour une utilisation bien particulière, notamment lorsqu’on opte pour un site web nécessitant peu de maintenance, peu de mise à jour et contenant peu de pages. En effet, comme la mise à jour d’un site Internet statique peut être fastidieuse, on utilisera ce type de site uniquement si les mises à jour sont exceptionnelles. Car, à chaque mise à jour il faudra modifier la page HTML du site et la mettre en ligne en effectuant une copie par File Transfer Protocol (FTP).
Par contre, on optera pour un site dynamique si on souhaite créer une interaction avec les lecteurs. Le site dynamique permet de se connecter en ligne sur son site pour réaliser sa mise à jour en direct. Une fois la mise à jour du site dynamique effectuée, le résultat apparaît directement aux lecteurs. On privilégiera donc les sites web dynamiques pour les sites permettant aux visiteurs de laisser des commentaires (blogs) ou de converser avec d’autres lecteurs (forums).
De même, si le site doit être mis à jour très fréquemment (plusieurs fois par semaine), on pourra choisir de créer un site dynamique même si aucune interaction n’est prévue avec les visiteurs. Dans cette section, d’abord il a été question de planter le décor, car on ne peut pas prétendre créer une application Web sans faire allusion à certains concepts comme l’Internet et le Web. Ensuite, il a été question de présenter le mécanisme de transport de l’information sur Internet et de donner la différence entre un site statique et un site dynamique.
Le présent travail portera sur le développement d’un site Web dynamique avec comme nature propre d’assurer l’interaction entre l’administrateur et les utilisateurs et de faciliter la mise à jour automatique.
II.1.4. Le Processus Unifié (UP)
Pour définir le processus unifié, nous allons simplement définir les deux termes qui le composent :
D’après les auteurs d’UML, un processus de développement qui possède ces qualités devrait favoriser la réussite d’un projet. Cependant, dans le cadre de la modélisation d’une application informatique, les auteurs d’UML préconisent d’utiliser une démarche :
Pour modéliser (comprendre et représenter) un système complexe, il vaut mieux s’y prendre en plusieurs fois, en affinant son analyse par étapes. Cette démarche devrait aussi s’appliquer au cycle de développement dont le but est de mieux maîtriser la part d’inconnu et d’incertitudes qui caractérisent les systèmes complexes.
Avec UML, ce sont les utilisateurs qui guident la définition des modèles :
Une architecture adaptée est la clé de voûte du succès d’un développement. Elle décrit des choix stratégiques qui déterminent en grande partie les qualités du logiciel (adaptabilité, performances et fiabilité).
Le processus unifié se déroule en quatre phases, incubation, élaboration, construction et transition. Chaque phase répète un nombre de fois une série d’itérations. Et chaque itération est composée de cinq activités : capture des besoins, analyse, conception, implémentation et test :
C’est la première phase du processus unifié. Il s’agit de délimiter la portée du système, c’est-à -dire tracer ce qui doit figurer à l’intérieur du système et ce qui doit rester à l’extérieur, identifier les acteurs, lever les ambigüités sur les besoins et les exigences nécessaires dans cette phase. Il s’agit aussi d’établir une architecture candidate, c’est-à-dire que pour une première phase, on doit essayer de construire une architecture capable de fonctionner. Dans cette phase, il faut identifier les risques critiques susceptibles de faire obstacles au bon déroulement du projet.
C’est la deuxième phase du processus. Après avoir compris le système, dégagé les fonctionnalités initiales, précisé les risques critiques, le travail à accomplir maintenant consiste à stabiliser l’architecture du système. Il s’agit alors de raffiner le modèle initial de cas d’utilisation, voire capturer de nouveaux besoins, analyser et concevoir la majorité des cas d’utilisation formulés, et si possible implémenter et tester les cas d’utilisation initiaux.
Dans cette phase, il faut essayer de capturer tous les besoins restants car il n’est pratiquement plus possible de le faire dans la prochaine phase. Ensuite, continuer l’analyse, la conception et surtout l’implémentation de tous les cas d’utilisation. A la fin de cette phase, les développeurs doivent fournir une version exécutable du système.
C’est la phase qui finalise le produit. Il s’agit au cours de cette phase de vérifier si le système offre véritablement les services exigés par les utilisateurs, détecter les défaillances, combler les manques dans la documentation du logiciel et adapter le produit à l’environnement (mise en place et installation).
II.1.5. Définition de Termes Clés
Elle concerne la production du code informatique correspondant aux spécifiques définies. Dans l’étude détaillée, elle débouche sur un dossier de réalisation.[1]
Est une évolution dans la société, au cours de laquelle il y a introduction dans une activité des méthodes informatiques.
Est la phrase correspondant à l’écriture des algorithmes provenant de la conception dans un langage de programmation choisi.
Ensemble d’éléments matériels ou immatériels (hommes, machines, méthodes, règles, etc.) en interaction, transformant par un processus des éléments (les entrées) en d’autres éléments (les sorties).
Ensemble d’éléments divers (employés, ordinateurs, règles et méthodes) charges de stocker et de traiter les informations relatives au système opérant afin de le mettre à la disposition du système de pilotage.
Est une représentation de la réalité. Le modèle permet d’évalue un système d’information en permettant de tester sa réaction aux divers événements de la vie de l’organisation, la conception d’un ensemble des modèles au sein d’une organisation revient à recevoir l’état futur du système d’information.
Consiste d’une part à comprendre et modélisée fonctionnement d’un domaine de gestion d’une organisation, et d’autre part a relevé les tailles et concevoir la solution informatique adéquate
Cette analyse consiste à décrire ce qui existe dans l’entreprise, son fonctionnement, ses fichiers, ses procédures, etc.
Elle consiste à faire la description de fonctionnement du système qui est en place et des critiques pertinentes sur celui-ci pour enfin déceler les anomalies qui bloquent le bon fonctionnement du système actuel et les points positifs qui contribuent ainsi à son bon fonctionnement.
II.2.1 Diagnostic de l’existant
L’opération de paie d’un agent au sein de l’Hôpital Général de Référence de Lemera est fonction de la prestation mensuelle qui lui confère le statut d’un salarié. La paie d’un agent s’effectue selon le processus ci-après :
La feuille de paie comprend: le n° d’ordre, nom du travailleur, service, fonction, jours presté, taux journalier, salaire de base, prime, allocation familiale, indemnité du travailleur, total; Avance/salaire, pris en charge médical, Remboursement, autre retenue, total, net à payer
FEUILLE DE PAIE RECAPITULATIVE/Mois
N° |
Nom du w |
Service |
F(x) |
Nbre des jours prestés |
Taux journalier |
Sal de base |
Prime de responsabilité |
El fam |
Ind Transport |
Total Gain |
Avance sur salaire |
Autres créances |
Total de retenues |
Net à payer |
||
Pcm |
Remb |
Autres recettes |
||||||||||||||
Le service de comptabilité établit en suite les bulletins de paie là où tout le monde doivent signer. Dès que le bulletin est préétabli, le comptable vérifie, l’administrateur signe, le Médecin directeur autorise.
Ce bulletin de paie comprend: le mois, l’année, le nom et le post nom, la fonction, service, grade, le nombre de jours prest
8ème CEPAC
Département des Œuvres Médicales
HOPITAL GENERAL DE REFERENCE DE LEMERA
263 Bukavu/R.D.CONGO.
BULLETIN DE PAIE
MOIS ………………………………………………………/ANNEE……………………………..
NOM et POST- NOM ……………………………………………………FONCTION………………………………
SERVICE…………………………………….. /GRADE……………………………………………………….
Nombre des jours portés l moi……………………………………………………………………………….
CODE |
RUBRIQUES |
GAINS |
1 |
Salaire de Bruts |
|
2 |
Prime (Fonction, Responsabilité, Nui, Autres) |
|
3 |
Pécule de Congé |
|
4 |
Autres avantages (Gratification, Commission, Congés, Fam, IndTransp |
|
Sous Total(1) |
||
CODE |
RUBRIQUES |
RETENUES |
1 |
C.P.R |
|
2 |
I.N.S.S |
|
3 |
Cotisation Syndicale |
|
4 |
Avance sur salaire |
|
5 |
Autres Créances (Cantine, PCM, Remboursement) |
|
Sous Total(2) |
||
NET A PAYER (1-2) |
Lemera, le………../…………../2016
Vérification pour Acquit Autorisée
Le Comptable (Nom t Signature) Médecin Directeur
Dans cette institution, les congés son géré de plusieurs manières:
Model d’un document de congé de circonstance
8ème CEPAC
DEPARTEMENT DES ŒUVRES MEDICALES
HOPITAL GENERAL DE REFERANCE DE LEMERA
B.P.263, BUKAVU, RD CONGO
CONGE DE CIRCONSTANCE
Nom du travailleur : …………………………………………………………………………………..
Fonction : ……………………………………………………………Age: ………….Sexe: …………
Service utilisateur : ……………………………………………………………………………………
Nature de la circonstance : ………………………………………………………………………..
Nombre de jours légaux accordés : ……………………………………………………………
Nombre de jours accordés par convention : ……………………………………………..
Voyage de : ………………………………….à …………………………………………………………
Imputation : ……………………………………………………………………………………………..
Date de reprise de travail : ………………………………………………………………………..
Fait à Lemera, le ……. /……. /20…..
Pour l’HGR Lemera,
KARABAYE NGWANO Dr. Justin DOKA CHIFUNDERA
Administrateur Gestionnaire Médecin Directeur
Information
Avant que l’information circule, il faut que le comité de direction soit saisi de l’information. Par-là, il peut informer les services. Si l’information intéressent tout le monde, on diffuse, si ça intéresse peut, l’information reste au sein du comité de direction. Par rapport au mouvement du personnel Chaque agent a une fiche de présence et de prestation matin et soir, donc à l’entrée et à la sortie. A la fin du mois on collecte tous les fiches, puis on constitue un livre appelé “Fiche individuelle des présences et des prestations”
L’évolution des techniques de programmation a toujours été dictée par le besoin de concevoir et de maintenir des applications toujours plus complexes. Modéliser un système avant sa réalisation, permet de mieux comprendre son fonctionnement. Ainsi, pour modéliser le système futur, le langage UML (Unified Modeling Language) a été utilisé avec fruit ; de même, « Visual Paradigm for UML 10.2 Entreprise Edition » et « Start UML » comme ateliers de génie logiciel. UML comporte treize diagrammes pour représenter des concepts particuliers du système d’information, lesquels diagrammes sont répartis dans deux vues distinctes, à savoir les vues statiques et les vues dynamiques.
Les vues statiques représentent le système physiquement. Elles comportent les diagrammes suivants :
Les vues dynamiques, quant à elles, montrent le fonctionnement du système. On peut y retrouver :
Dans le cadre de la modélisation du nouveau système, seuls les diagrammes de classe et de composant, pour les vues statiques et les diagrammes de séquences, de cas d’utilisations et d’activités, pour les vues dynamiques seront utilisées.
[1]Antoine Cornuejols, Base de données : Concepts et programmation, ed.AgrosParis, Novembre, 2009
[2] Jean-Luc Hainaut, Base de données : Concepts utilisation et développement,ed.Dunod,Paris, Novembre,2010
[3] Hubert Tardieu et alii, La méthode MERISE : Principes et outils, Ed. Organisation, Paris, 2010
[4] Suzanne RIVARD et Jean TABOT, Le développement de système d’information, ENIédition, Paris,2010
[5] Antoine Cornuejols, Base de données : Concepts et programmation, ed.AgrosParis, Novembre, 2009
[6]Rochfeld Hubert et alii, la méthode MERISE : démarche et pratique, Tome 2, ed.Eyrolles,1994