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CHAP I APPORCHE THEORIQUE

1.1 CLARIFICATION DE CONCEPTS

Le mot informatique est un néologisme inventé en 1962 par le français Philipe DREYFUS en contractant deux mots «Information» et « Automatique», il définit l’informatique comme étant une science du traitement automatique de l’information. En 1966 l’Académie Française a daigné accepter la définition suivante : « l’informatique est une science du traitement rationnel, notamment par machines automatiques, de l’information considérée comme le support des connaissances humaines et de communication dans les domaines techniques, économiques et sociaux ».

En d’autres termes ; l’informatique peut être définie comme étant la science qui traite les informations d’une manière automatique et rationnelle à partir d’une machine appelée ordinateur.

a) Information

Une information est une indication, un avis, un communiqué, une annonce qui peut augmenter nos connaissances pour réduire nos incertitudes et affaiblir nos doutes. Une information surgit comme étant un moyen de communication qui peut se présenter sous forme écrite, orale .pour être partagée entre les hommes ou entre les machines.

En informatique, l’information est appelée « donnée » et « data » en anglais. Les données sont les informations de nature numérique ou alpha numérique, représentées sous forme codée en vue d’être enregistrées, traitées, conservées et communiquées, cette codification est compréhensible par la machine seule.

En claire, le traitement automatique de données est l’ensemble des opérations réalisées par des moyens automatiques, relatif à leur exploitation.

b) Système

Un système est un ensemble des moyens matériels, ressources humaines, financiers, une interaction, structuré, organisé, dynamique pour suivant un but commun selon les objectifs prédéfini[1]

c) Architectures d’un Système d’Information

  1. Architecture Centralisée

L’architecture centralisée est la plus ancienne. Elle se composait :

  • d’ordinateurs centraux;
  • de terminaux.

Tous les travaux (les processus) s’exécute sur les systèmes centraux, donc le temps de réponse aux requêtes dépend de la charge du système.

Ce sont des systèmes simples, mais peu flexibles

  1. Architecture Distribuée

Se caractérise par une concentration des organes de traitement (unité centrale) et de stockage sur unique ordinateur dit ordinateur central. Les utilisateurs disposent uniquement de terminaux passifs, organes de communication avec l’ordinateur central, dépourvus de possibilités de traitement et de stockage.

  • Architecture repartie

Une BD répartie se compose d’un ensemble de sites dont chacun héberge un système local de gestion de base de données.

Chaque site est donc capable :

  • de traité des transactions locales, qui ne concernent que les données de ce site particulier.
  • d’exécuter des transactions globales sur les données de plusieurs sites.

Ce qui nécessite une liaison entre les sites.

Les BD réparties communiquent au moyen de:

  • de réseaux téléphoniques,
  • de réseau à grand débit,
  • de liaisons par satellite.
    1. Architecture client/serveur

L’architecture client/serveur découle:

  • Des améliorations des interfaces graphiques;
  • Les ordinateurs personnels à moindre coûts;
  • Des réseaux locaux;
  • Des bases de données relationnelles;
  • Des langages de traitement de données;
  • Outils de conception assistée par ordinateur.

Pour correspondre au modèle d’architecture client/serveur, il faut:

  • une communication entre des programmes tournant sur des ordinateurs différents.

Le client

  • un ordinateur qui contient un module informatique intelligent qui est utilisé par un seul usager.
  • fournit une interface entre l’usager et l’application informatique.
  • possède son propre système d’opération, celui-ci:
  1. Accepte les demandes de l’utilisateur;
  2. Ensuite effectuer une requête au serveur d’application;
  3. Finalement, affiche le résultat à l’écran.

Le serveur

  • Est un ordinateur connecté à un réseau qui fournit des services à d’autres ordinateurs (clients).
  • Est un module informatique intelligent qui n’est pas accédé directement par l’usager.
  1. reçoit des requêtes des ordinateurs clients,
  2. exécute les requêtes à l’aide du SGBD,
  3. retourne le résultat aux clients.

Note: L’application client/serveur peut utiliser plusieurs serveurs pour fournir différents services aux clients.

Exemple: Serveur de fichier, d’imprimante, de Fax, de communication et de base de données.

1.2 DEFINITIONS DES CONCEPTS RELATIFS AU RESEAU

Dans cette partie du travail, il est question de présenter tout en définissant les différents termes qui seront maintes fois repris dans le volume. Il n’est donc pas question de mettre en place un dictionnaire, tout en sachant qu’il en existe plusieurs (Jargon informatique, Glossaire, …), mais c’est juste pour permettre une compréhension parfaite de ce labeur. Ainsi, dans cette partie, sont définis les concepts ayant trait à notre travail.

a) RESEAU 

Le réseau est défini comme étant un ensemble d’ordinateurs (y compris les périphériques qui y sont connectés) reliés ensemble par des canaux électroniques de communication, qui leur permettent d’échanger des informations entre eux. Les plus connus sont Arpanet (d’un point de vue historique), l’Internet (le plus vaste du monde) ou encore SWIFT (pour les banques)[2].

Il peut d’être définit encore comme étant un ensemble d’ordinateurs, d’imprimantes, de routeurs, de commutateurs et d’autres unités qui peuvent communiquer entre eux grâce à un support de transmission[3].

b) INTERNET:

L’Internet est l’abréviation de « Interconnected Networks » signifiant réseau mondial de réseaux interconnectés par l’intermédiaire du protocole TCP/IP[4].

Il est aussi le terme utilisé pour parler du plus grand inter-réseau mondial qui relie des dizaines de milliers de réseaux partout dans le monde, dont la " culture " est axée sur une recherche et une normalisation reposant sur une utilisation dans le monde réel[5].

c) Web (Word Wide Web)

Méthode d’exploitation de l’Internet, par l’usage de l’hypertexte, et mis au point par un chercheur du CERN, Tim Berner-Lee. On parle « du web », même s’il s’agit en réalité du « World Wide Web » ou « W3 ». Terme qu’on peut traduire en français par « Toile d’araignée mondiale. 

Le World Wide Web est désigné par de nombreux noms et abréviations synonymes : WorldWideWeb, World Wide Web, World-wide Web, Web, WWW, W3, Toile d’araignée mondiale, Toile mondiale, Toile. Certains ont disparu. Le nom du projet originel était WorldWideWeb[6]. Les mots ont été rapidement séparés en World Wide Web pour améliorer la lisibilité. Le nom World-Wide Web a également été utilisé par les inventeurs du Web, mais le nom désormais préconisé par le World Wide Web Consortium (W3C) sépare les trois mots sans trait d’union[7]. Bien que « mondial » s’écrive world-wide ou worldwide en anglais, l’orthographe World Wide Web et l’abréviation Web sont maintenant bien établies.

LES TERMES CONNEXES AU WEB

  1. UN HOTE: Est un ordinateur connecté à un réseau.
  2. UNE RESSOURCE DU WORLD WIDE WEB: Est une entité informatique (texte, image, forum Usenet, boîte aux lettres électronique, etc.) accessible indépendamment d’autres ressources.
  3. HTTP (HyperText Transfer Protocol): Est le protocole de communication communément utilisé pour transférer les ressources du Web. HTTPS est la variante avec authentification et chiffrement de ce protocole.
  4. Une URL (Uniform Resource Locator, signifiant littéralement « localisateur de ressource uniforme ») est une chaîne de caractères décrivant l’emplacement d’une ressource. Elle contient généralement dans l’ordre[8]: le nom du protocole, un deux-points (:), deux barres obliques (//), un nom d’hôte, une barre oblique (/), et un chemin composé de texte séparés par des barres obliques.

Exemple : http://example.com/un/chemin/page.html.

  1. UN HYPERLIEN (OU DANS LE LANGAGE COURANT, UN LIEN)

Un lien est un élément dans une ressource qui est associé à une URL. Les hyperliens du web sont orientés : ils permettent d’aller d’une source à une destination. Seule la ressource à la source contient les données définissant l’hyperlien. Ainsi, il est possible d’établir un hyperlien sans la moindre intervention, ni coopération, de la ressource cible de l’hyperlien. Ce modèle unilatéral adopté par le Web ne se retrouve pas dans tous les systèmes hypertextes. Il a l’avantage prépondérant, dans un réseau public mondial, de permettre la création d’innombrables hyperliens entre partenaires décentralisés et non coordonnés.

  1. HTML (HyperText Markup Language) et XHTML (Extensible HyperText Markup Language)

Sont les langages informatiques permettant de décrire le contenu d’un document (titres, paragraphes, disposition des images, etc.) et d’y inclure des hyperliens. Un document HTML est un document décrit avec le langage HTML.

  1. UN SERVEUR WEB

Un serveur web est un hôte sur lequel fonctionne un serveur HTTP (ou service web). Il peut héberger les ressources qu’il dessert, peut les récupérer sur des hôtes distants, délivrer ces ressources telles quels, on parlera alors de ressources statiques), ou bien les modifier en fonction de différents critères, on parlera alors de ressources dynamiques. Il est courant sur les services de grosse taille que les ressources soient réparties sur différents serveurs web et éventuellement différents types de serveurs HTTP, certains ayant de meilleurs performances pour les fichiers statiques, d’autre plus de souplesse pour délivrer des fichiers dynamiques. Un serveur web peut être un hôte spécialisé, une partie d’une infrastructure spécialisée ou bien encore un hôte plus généraliste.

  1. UNE ADRESSE WEB: Est une URL de page web, généralement écrite sous une forme simplifiée limitée à un nom d’hôte. Une adresse de site web est en fait l’adresse d’une page du site prévue pour accueillir les visiteurs.
  2. UN CLIENT HTTP: Est un outil permettant d’utiliser les ressources fournies par un serveur HTTP. Il est chargé en relation avec différents services, de faire traduire le nom d’hôte en adresse IP par un DNS, de rentrer en contact avec le serveur HTTP, et de lui fournir différentes informations telles que le nom du site, et la ressource désirée, ainsi que ses capacités (gestion de différents types de ressource, capacité d’affichage, possibilité de compression de données, etc.) ou sa volonté (choix des langues, protection de la vie privée) dans l’utilisation des données fournies.
  3. UN NAVIGATEUR WEB: Est un type de logiciel client HTTP à interface homme-machine et conçu pour accéder aux ressources du web. Sa fonction de base est de permettre la consultation des documents HTML disponibles sur les serveurs HTTP. Le support d’autres types de ressources et d’autres protocoles de communication dépend du type de navigateur. Comme exemples, nous pouvons donner : Internet explorer, Mozilla Firefox, Google Chrome, Safari, Opera Mini, …
  4. UNE PAGE WEB: est un document destiné à être consulté avec un navigateur web. Une page web est toujours constituée d’une ressource centrale (généralement un document HTML ou XHTML) et d’éventuelles ressources liées, automatiquement accessibles (par exemple, des images, des feuilles de style, des scripts javascript ou des fontes de caractères).
  5. UN EDITEUR HTML: (ou éditeur web) est un logiciel conçu pour faciliter l’écriture de documents HTML et de pages web en général.
  6. UN SITE WEB (OU SITE) : Est un ensemble de pages web et d’éventuelles autres ressources, liées dans une structure cohérente, publiées par un propriétaire (une entreprise, une administration, une association, un particulier, etc.) et hébergées sur un ou plusieurs serveurs web.
  7. HEBERGEUR WEB: Est une personne physique ou morale hébergeant (rendant accessible en ligne) sur son ou ses serveurs, les ressources constituant les sites web de ses clients. Cela peut aller du simple auto-hébergement d’un particulier à celui d’une association, d’une entreprise ou d’un industriel. L’hébergement peut alors être fait à domicile sur un modem, assurant un minimum de fiabilité, dans pièce climatisée dédiés aux serveurs dans un local généraliste au centre de données spécialisé, assurant la redondance énergétique et réseau nécessaire au fonctionnement sans interruptions 24/7.
  8. UN MOTEUR DE RECHERCHE : Est un site permettant d’effectuer des recherches sur l’ensemble des sites web selon différents critères. Exemple le Google search, le Yahoo, le Bing …
  9. INTRANETS ET WEBS PRIVES : Appliqué à l’intérieur même d’une entreprise, d’une organisation. Un site web mis en ligne sur un intranet est privé, car le public ne peut pas accéder à un intranet.
  10. LE CSS (Cascade Style Sheet) : Est un langage développé pour gérer en détail la présentation des documents HTML. Le texte en langage CSS peut être intégré au document HTML ou provenir de ressources liées, les feuilles de style. Cette séparation permet une gestion séparée de l’information (contenue dans des documents HTML) et de sa présentation (contenue dans des feuilles de style). On parle aussi de « séparation du fond et de la forme ».
  11. BASES DE DONNEES : C’est un ensemble structuré d’informations. Une base de données doit être conçue pour permettre une consultation et une modification aisée de son contenu, si possible par plusieurs utilisateurs en même temps. D’une manière plus générale, on parle aussi de base de données pour tous ensemble d’informations.

Les bases de données sont également une partie importante de la génération des sites à contenu dynamique

  1. LES EXPRESSIONS :

Visiter un site web signifie « consulter ses pages ». Le terme visite vient du fait que l’on consulte généralement plusieurs pages d’un site, comme on visite les pièces d’un bâtiment. La visite est menée par un utilisateur (visiteur ou internaute).

Surfer sur le web signifie « consulter le web ». Elle a été inventée pour mettre l’accent sur le fait que consulter le web consiste à suivre de nombreux hyperliens de page en page. Elle est principalement utilisée par les médias ; elle n’appartient pas au vocabulaire technique.

En ligne signifie « connecté à un réseau », en l’occurrence le réseau informatique Internet. Cette expression n’est donc pas propre au web, mais à Internet dans sa globalité, on la retrouve également à propos des réseaux téléphoniques.

1.3 PRESENTATION DU MILIEU D’ETUDE ISP BUKAVU

1.3.1 GENERALITES SUR L’ISP/BUKAVU

a) APERÇU HISTORIQUE

            Tout commence par l’ouverture à Nyangezi en 1961 d’une école de régence. Celle-ci peut être considère comme la genèse lointaine de l’ISP/Bukavu. Cette ouverture avait été autorisée par le ministre NGALULA, alors chargé de l’éducation nationale, le 9 octobre 1961, par la lettre circulaire n°EDM/PM/596. L’école a alors été confiée aux frères maristes, une congrégation pionnière de l’enseignement au Sud-Kivu.

            Mais l’existence de l’école de gérance n’a pas été longue. Car, juste au moment où Van STEEM, alors archevêque de Bukavu, adressait une lettre au ministère de l’éducation pour transférer l’école de régence de Nyangezi à Bukavu et sa prise en charge par la conférence épiscopale du Kivu, le ministère a annoncé le 8 mars 1964, le retrait de l’agrégation de l’école en question.

            Heureusement, ces nouvelles de marches, bien qu’officielles aboutirent dans peu des temps. En effet, en date du 10 décembre de l’année en question, le ministère de l’éducation nationale a avait marqué son accord sur le transfert de régence de Nyangezi à Bukavu, sous la dénomination de l’école supérieure Pédagogique, par la lettre circulaire n°EDM/ES/02116 du 10 décembre 1965.

            L’appellation Institut supérieure Pédagogique de Bukavu ou ISP/BUKAVU fut attribuée à l’institution au cours de l’année académique 1967O-1971. Cette nouvelle appellation est l’œuvre du Révérend Père MILANI, Directeur Général de l’institution à cette époque. Appellation attribuée à toutes les écoles normales moyennes de l’époque au sein de l’université nationale UNAZA.

            La mission, la structure et les organes de l’ISP/BUKAVU sont fixés par l’ordonnance n°81-146 du 3 octobre 1981 portant création d’un Institut Supérieur pédagogique dénommé  « institut supérieur Pédagogique de Bukavu» (ISP/BUKAVU).

b) OBJECTIFS OU MISSION DE L’ISP/BUKAVU

            Les objectifs ou mission de l’ISP/BUKAVU ont été définis clairement dans l’ordonnance-loi n°81-025 du 03 octobre portant organisation générale de l’enseignement supérieur et universitaire. Elle stipule que les Instituts supérieurs pédagogiques ont pour mission : 

  • De pourvoir le pays en fonction de ses besoins de l’enseignement de très haut niveau de formation générale et spécialisée, aux qualités morales et pédagogiques éprouvées ;
  • De stimuler au futur enseignant une prise de conscience de son rôle d’encadrement politique, de la noblesse de sa mission, de l’honneur de sa profession et da la dignité de sa personne.
  • D’organiser des recherches dans le domaine de la pédagogie en vue de découvrir les meilleurs des meilleures méthodes susceptibles d’améliorer la qualité de l’enseignement primaire et secondaire.
  • De vulgariser les résultats des recherches par la rédaction et la diffusion des manuels scolaires adaptés à ces deux niveaux de l’enseignement.

c) SITUATION GEOGRAPHIQUE

L’ISP/BUKAVU est situé à BUKAVU, chef-lieu de la province du Sud-Kivu. Bukavu est une ville située à l’Est de République Démocratique du Congo au bord du Lac Kivu, bâtie à 1463m d’altitude et présentant un relief très accidenté, dominé par des massifs montagneux et des plateaux.

L’ISP/BUKAVU est l’une de trois anciennes institutions publiques de la ville de Bukavu avec l’ISDR et l’ISTM. Il est situé en plein milieu de la ville de Bukavu,  quelques mètres de la grande poste en Commune d’IBANDA, Quartier NDENDERE et Avenue KIBOMBO. De forme lanière (en lanière), sa concession s’étire du Nord au Sud et est limitée :

  • Au Nord et à l’Ouest par l’avenue KIBOMBO ;
  • A l’Est par les avenues KASONGO et MUHUNGU ;
  • Et au Sud par L’Avenue RUZIZI.

d) ORGANISATION STRUCTURELLE ET FONCTIONNELLE

ORGANISATION STRUCTURELLE

            La structure d’une organisation est la nature des relations humaines de ses membres. Elle est généralement basée sur des éléments comme :

  • Type des responsabilités ;
  • Type d’autorité ;
  • La division du travail ;
  • La spécialisation et l’interdépendance.


  1. ORGANIGRAMME DE L’ISP/BUKAVU


  1. ORGANISATION FONCTIONNELLE DE L’ISP/BUKAVU

              Il sied de signaler que sur le plan organisationnel, les organes de gestion de l’ISP/BUKAVU sont ceux fixés par le règlement en vigueur dans tous les  instituts supérieurs  en république démocratique du Congo.

            Pour ce qui est de l’ISP/Bukavu, ses organes sont définis dans l’ordonnance-loi n°081-146 du 3/10/1981 donnant la personnalité juridique à cette institution.

L’institut supérieur pédagogique de BUKAVU a comme organes :

  • Le conseil de l’institut ;
  • Le comité de gestion ;
  • Le directeur général ;
  • Le conseil de section ;
  • Le conseil de département.
    • DEPARTEMENTS ET SECTIONS ORGANISES

L’Institut Supérieur Pédagogique de Bukavu porte à présent 12 départements inclus dans 3 sections présentées comme suit :

  • Section des Sciences commerciales administratives et informatique avec deux départements dont :
  • Informatique de gestion
  • Sciences commerciales et administrative
  • Section des sciences exactes, avec les départements suivants :
  • Géographie
  • Math-physique
  • Biologie-chimie
  • Chimie
  • Physique et technologie
  • Section de lettres et sciences humaines ayant cinq départements :
  • Anglais Cultures Africaines
  • Histoires et Sciences Sociales
  • Hôtellerie
  • Accueil et Tourisme
  • Français Langues Africaines.

Il y a aussi le département de psychopédagogie pour l’encadrement des stagiaires.

Deux niveaux sont organisées à l’ISP/BUKAVU notamment le niveau de graduat et celui de licence dans tous les départements. Nous y trouvons aussi un labo central et le département d’informatique.

  1. GENERALITES SUR LES FONCTIONNEMENTS DES DEPARTEMENTS DE L’IPS/BUKAVU

            Chaque département, après sa création, nécessite des personnes qui assurent son bon fonctionnement, tous les départements de l’ISP/Bukavu s’organisent de la manière suivant :

  • Le bureau du département ;
  • Le bureau du département qui fonctionne tous les jours ouvrables ;
  • Les enseignants ;
  • Les étudiants.

1.3.2 CRITIQUE DU SYSTEME DE GESTION TRAVAUX SCIENTIFIQUES AU SEIN DU DEPARTEMENT DE L’INFORMATIQUE DE GESION

En analysant avec finesse, la manière dont les départements d’informatique de gestion et du labo central gèrent les ouvrages et les travaux scientifiques des étudiants (es) au sien de l’ISP/Bukavu, nous pouvons affirmer qu’il est difficile pour elle de réaliser ses objectifs comme il faudrait que ce soit à court, à moyen ou à long terme. La lourdeur et la lenteur pendant la gestion au sein de département d’informatique de gestion, le retard pendant le transfert des travaux scientifiques et des ouvrages aux étudiants au niveau du département d’informatique de gestion de l’ISP/Bukavu.

Difficultés aux agents  du département d’informatique de gestion de trouver un travail facilement pendant leur recherche, difficile de servir plusieurs abonnes et peut être un nombre plus élevé.

[1] MVIBUDULU KALUYIT : Notes de cours de méthode d’analyse d’information, G2 informatique/ISC-Kinshasa 2011-2012 [inédit]. 

[2] Définition du réseau selon le jargon informatique

[3] Glossaire Cisco Certified Network Associate 2000

[4] Jargon informatique

[5] Glossaire Op.sit.

[6]WorldWideWeb: Proposal for a HyperText Project [archive], T. Berners-Lee/CN, R. Cailliau/ECP, 12novembre1990

[7]Frequently asked questions by the Press - Tim BL - Spelling of WWW [archive]

[8]RFC3983 [archive] sur ietf.org

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