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INTRODUCTION

          La stabilité du taux de change est un aspect indispensable dans l’évolution de pouvoir d’achat à travers le revenu et le prix de biens et services dans une économie, or il suffit qu’il ait une petite déséquilibre de la conjoncture économique et que le revenu restant stable, ceci aura comme conséquence l’instabilité de prix de biens et services. C’est dans cette logique que le présent travail a porté sur « la fluctuation du taux de change et son incidence sur le bien être de ménages de la commune de Kadutu »

0.1  PROBLEMATIQUE

La RDC  étant l’une de grande puissance géographique du continent Africain, elle est dotée de plusieurs ressources naturelles (agricoles, minières, énergétique, touristiques, halieutique,…) dont l’exploitation devrait être le gage pour son développement économique et social mais elle reste jusqu’à ce jours classée parmi le pays le moins avancé de la planète.

En 1960, le pays disposait d’un tissu économique intégré qui s’est à la suite des troubles, pillages, guerres et  mesures politico-économiques inconséquentes, totalement disloqué complétant ainsi les bonnes perspectives son développement. L’économie du pays se trouve dans un état de marasme et de déliquescence doit être posé de façon à relever les problèmes à la base et proposer les piste de solutions susceptibles d’engager l’économie sur une  relance soutenue et durable.

Elle continue à montrer que la baisse d’activité et de production est observée dans tous les secteurs. D’exportateur de plusieurs produits agricoles tant vivriers que le reste,  le pays  en  devenu importateur pour couvrir les besoins de la population et de quelques industries.[1]

Cette importation constaté a eu de conséquences visible et qui pèsent jusqu’à ces jours sur l’économie du pays et qui devienne beaucoup plus extravertie or la théorie montre que plus un pays importe qu’il exporte plus, il verra sa monnaie perdre de la valeur à la longue par rapport à celle de ses différents partenaires.

Cependant comme, toute échange entre pays exige une certaine intervention de moyen de pays connue et acceptée c.à.d. la monnaie, Mishkin lui montre que les échanges commerciaux entre pays impliquent des échanges d’espèces monétaires ou plus couramment des échanges des dépôts bancaires libellés en différentes monnaies et cela se déroule notamment sur le marché des changes.[2]  Toutes ces opérations réalisées sur ce marché déterminent le taux auquel s’échangent ces monnaies entre elles, mais aussi la demande de la monnaie qui est indispensable pour accroître sa valeur par rapport aux devises

Toutefois, il s’est observé pendant ces dernières années une stabilité non soutenue du taux de change par rapport  aux dollars, ce qui faisait un espoir aux congolais dont les opérations et revenu sont supposés s’effectuer en francs congolais mais dernièrement il se constate une chute brusque de la parité de change malheureusement non suivi par l’augmentation de revenu pour maintenir stable le pouvoir d’achat de la population ; cette dépréciation de francs congolais par rapport aux devises entraine la hausse de prix de biens et services ce qui détériore le bien être de la population et par  conséquent les ménages ont difficile à assumer leurs survie et à couvrir le besoins de personnes dépendante face à une situation de hausse de prix et le revenu restant inchangé. C’est dans ce cadre qu’une recherche portant sur la fluctuation du taux de change et le pouvoir d’achat des ménages de la ville de Bukavu en général et ceux de la commune de Kadutu en particulier est indispensable pour apprécier la perte de bien être due à la baisse de parité.

Au regard de cette réalité socio-économique que traverse  la population locale du pays, particulièrement celle de Bukavu, nous avons formulé les questions de notre problématique de la manière suivantes :

  • Quelle est l’incidence de la fluctuation du taux de change sur le pouvoir d’achat de ménage de la commune de Kadutu ?
  • Quelles sont les causes de la fluctuation du taux de change ?

0.2  HYPOTHESE

Plusieurs autres l’ont défini avec de trait semblable, ainsi nous avions maintenu certains auteurs ;

LIEVRE montre que l’objectif d’une hypothèse est d’émettre une proposition de réponses à la question de départ sous une forme suffisamment synthétique pour être validée à l’aide d’une étude des faits, une enquête. Il continu a montré que l’hypothèse s’appuie entièrement  sur le développement de la problématique dont elle n’a pas  la conclusion mais plutôt le résumé de l’essentiel, architecture élémentaire. Etant rigoureux, l’hypothèse est la réponse à la question de recherche.[3]

Quand à LUC VAN Compounhoudt, l’hypothèse traduit l’esprit de découverte qui caractérise tout travail scientifique fondé sur une réflexion théorique et une connaissance préparatoire du phénomène étudié, elle se présente comme une présomption non gratuite portant sur des objets réels étudiés.[4]

Dans le cadre de la présente étude, nous avons formulé nos réponses provisoires de la manière suivante :

  • La fluctuation du taux de change aurait des conséquences significativement très négatives sur le pouvoir d’achat de ménages de la commune de Kadutu.
  • Les causes de la fluctuation du taux de change seraient la baisse du prix de minerais sur le marché des matières premières, l’absence de la production, le niveau bas des exportations et la préférence à la consommation des produits étrangers.

0.3  ETAT DE LA QUESTION

Comme Raymond Quivy et Luc Compenhoudt l’ont montré que toute œuvre scientifique s’inscrit inéluctablement dans un continuum et peut être situé en rapport à des courants des  pensées qui la précédent et qui l’influencent. Il est donc important que les chercheurs prennent connaissance de travaux précédent  qui surtout ou en partie constituent l’objet d’étude.[5]  

Ainsi, nous ne pouvons pas affirmer d’être le premier à avoir traité une thématique sur le taux de change. C’est dans ce sens que nous avons passé en revue quelques travaux ayant traits à notre sujet ; il s’agit entre autre de :

  1. AMANI MUGALIHYA Rachel dans son travail sur la fluctuation de taux de change monétaire et son impact sur la vie des ménages : cas de la ville de Bukavu avait comme objectif de savoir si les différentes fluctuations du taux de change que connait notre monnaie ont une répercussion sur la vie de ménages et montrer l’importance de la règlementation en matière de change. L’auteur est parti de deux questions dont la première était de savoir s’il existe une corrélation entre les fluctuations de taux de change et revenu qui maximise la satisfaction des ménages et quelle serait la nature de cette corrélation ? et la seconde est celle de savoir s’il serait possible de faire des estimations ?

Ces questions avaient comme hypothèse : qu’il existerait une corrélation entre les fluctuations de taux de change et le revenu apte à maximiser la satisfaction des ménages car premièrement la production intérieure étant insuffisante ou quasi-inexistante, le recours à l’importation reste très dominante et que les prix des importés dépendraient outre de leurs  prix de revient, de l’appréciation de la monnaie nationale par rapport aux devises et en particulier le dollar américain.

Elle continue à montrer que cette corrélation serait linéaire et positive c.à.d. lorsque la monnaie nationale se déprécierait par rapport aux devises les prix de ces biens augmenteraient et dans le cas contraire, ils diminueraient ;

Il montre en suite qu’il serait  possible de faire des estimations grâce à la droite de régression linéaire.

Pour y arriver il a utilisé la méthode structuro-fonctionnelle et la technique documentaire et statistique. Après son investigation il a affirmé ses hypothèses en montrant en premier lieu qu’il existe une corrélation entre les fluctuations de taux de change et les revenus à allouer aux ménages.

Pour maximiser leur satisfaction parce qu’il avait trouvé que son coefficient de corrélation est de 0,86 ce qui est proche de 1.

En second lieu, l’auteur montre le paramètres qu’il a utilisé dont X pour le taux de change et y pour le revenu à allouer et comme son coefficient de corrélation est positif, il conclut que cette corrélation est linéaire simple et positive.[6]

Nos travaux traitant les mêmes matières sur le taux de change, il  se distingue également sur les périodes d’étude ainsi que le problème à  traiter.

  1. MULINDWA MATESO Bienfait traitant un sujet sur la fluctuation du taux de change et son incidence sur le niveau d’inflation en RDC; avait comme objectif de montrer comment fluctue le taux de change en RDC pour en fin évaluer son incidence sur le niveau d’inflation. Départ son objectif, il s’est posé trois question :
  • L’augmentation du taux de change, implique-t-elle nécessairement la fluctuation du niveau d’inflation ?
  • Le taux de change sur les marchés de change en RDC est-il stable ?
  • Quelle peut être l’incidence de la fluctuation de taux de change sur le niveau d’inflation en RDC ?

C’est ainsi qu’il a formulé les hypothèses selon lesquelles : - le taux de change évoluerait dans le même sens avec le niveau d’inflation. En ce sens, la fluctuation du taux de change influerait négativement le niveau d’inflation dans la mesure où la hausse du taux de change impliquerait la hausse du niveau d’inflation t sa baisse impliquerait la baisse du niveau d’inflation.

Le taux de change en RDC aurait tendance à fluctuer du fait des mouvements spéculatifs et des détentions des devises  par les acteurs économiques du secteur informel, ce qui conduirait à la dépréciation monétaire réduisant la valeur intrinsèque de la monnaie.

La fluctuation du taux de change aurait comme incidence la hausse proportionnelle du niveau d’inflation, si le taux de change augmente et sa baisse si le taux de change baisse.

Après qu’il ait employé la méthode comparative, la méthode descriptive et la méthode statistique ainsi que la technique documentaire et celle d’entretien,  il aboutit aux résultats selon lesquels sa première hypothèse est affirmée au seuil a=0,05 soit 5% de chance de se tromper. Sa deuxième hypothèse est également confirmée car selon ces données statistiques qu’il a recueillies, le taux de change pratique sur les marchés des changes en RDC ont toujours fluctués chaque années, si pas à la hausse, c’est la baisse.

En fin, sa dernier hypothèse avec les calculs effectués, il montre pour augmentation du taux de change que l’unité est associé à une diminution du taux d’inflation de 1,8 : Y=743,158-1,8Xi[7]

Son travail ayant trait sur le taux de change, il se dissocie avec le notre sur l’aspect délimitation spatiale car il traite de la fluctuation du taux de change dans toute la république congolaise et avec une période allant de 2004 à 2013 qui ne pas le cas chez nous, mais aussi sur la variable à expliquer du fait que lui se focalise beaucoup plus sur l niveau d’inflation et se limite par-là ; contrairement notre travail traite de l’aspect très social car nous faisons un regard non seulement sur la fluctuation de taux de change mais aussi son impact sur le bien être des ménages.

  1. Isidore MURHI MUGISHO dans son étude portant sur l’impact de l’évolution du taux de change sur la vie socio-économique à Bukavu, voulait comprendre la notion du cours de change et ses implications économiques mais aussi la découverte des effets de l’évolution du taux de change dans la ville de Bukavu en se posant la question de savoir quel a été l’impact de l’évolution du cours de change à Bukavu pendant la période allant de 2007 à 2009 ? Ainsi, il s’est proposé en terme d’hypothèse que l'évolution du taux de change dépendant des anticipations et de préférences de détention des devises à la place et lieu de la monnaie nationale aurait des effets néfastes sur la vie socio-économiques en général, notamment sur le prix des biens et services commercialisés et consommés dans la ville de Bukavu si elle n'est pas contrôlée.

Toute au long de son travail, il a utilisé la méthode historique, de l’approche analytique, de l’approche comparative, avec les techniques d’entretien, d’enquête et d’interview.

Apres son analyse, il conclut que l’évolution des prix des biens et services, et l’évolution du taux de change sont positivement corrélés du fait que l’une influence l’autre mais de manière proportionnelle.[8]

Notre travail se différencie de celui de notre prédécesseur à travers les périodes d’étude.

  1. EBENGO W’EBENGO MATYE dans son mémoire portant sur les fluctuations du taux de change face à la performance financière dans une firme bancaire : cas de la BIAC cherchait à comprendre le lien entre les taux de change et la capacité des entreprises bancaires à créer la richesse en se posant les questions ci-après : - les ratios de suivi de gestion des centres de profit de la BIAC ont-ils présenté une évolution croissante durant la période sous étude ? – la BIAC a-t-elle créée de la valeur pour les investisseurs durant cette période ? Au cours de cette période les francs congolais se seront-t-ils appréciés par rapport aux dollars américain ?

Compte tenu de ses questions, il se propose les hypothèses selon lesquelles en premier lieu le ratio de suivi de gestion ne présenterait pas une évolution croissante du fait de l’accroissement considérable des charges que la BIAC a supporté.  En second lieu la BIAC créerait de la valeur pour les investisseurs durant cette période. Cette création est la résultante de la capacité de cette banque à couvrir tous ses coûts y compris ceux des capitaux. En dernier lieu les francs congolais ne s’apprécieraient pas par rapport aux dollars américains au cours de cette période.

 Après l’application de méthodes statistique et analytique avec les techniques d’interview et documentaire, l’auteur abouti aux résultats selon lesquels toutes ces hypothèses sont affirmées.[9]

Contrairement à lui qui étudie la fluctuation du taux de change face à la performance de la BIAC, nous nous sommes distingués sur le fait que la fluctuation qu’il étudie dans une entreprise bancaire nous voulons dans ce travail apprécier la conséquence de cette fluctuation sur le pouvoir d’achat de la population de la commune de Kadutu.

  1. Valère OMWAMI dans son mémoire portant sur la relation entre le taux de change et les prix relatifs des biens échangeables en RDC avait pour objectif principal de vérifier s’il existe une relation parallèle entre le taux de change et le prix de biens. Pour y arriver, il est partie de la problématique suivante :
  • Les prix réels des produits de base et le taux de change réels ont-ils évolué en parallèle ?
  • Le régime de change a-t-il influencé la capacité des pays de faire face aux fluctuations des prix de produits de base induites par celui-ci ?
  • A quelle tendance le taux de change a-t-il influencé les prix relatifs de ces biens durant la période sous étude ?

A travers ses questions il s’est fixé des hypothèses selon lesquelles le taux de change aurait évolué depuis un certain temps, toujours à la hausse par rapport aux prix de base. Et dans cette période d’étude, il n’a existé aucun parallélisme entre le taux de change et les prix de biens de bases. En fin, sa tendance est supposée être ascendante par rapport au niveau de prix moyens des produits de base.

Après son investigation, tout en employant la méthode inductive et la technique d’ajustement linéaire, il aboutit au résultat selon lesquels la variation de 1% du taux de change exigera une diminution de 0,06% avant de l’ajouter. Ce qui lui montre le non influence du taux de change sur le prix de diamant durant la période d’étude. Il a fini son travail par affirmation de toutes ses hypothèses[10]

Son travail se diffère du notre sur la période d’étude, ainsi que le milieu d’étude.

0.4  CHOIX ET INTERET DU SUJET

Le choix de ce sujet a été motivé par le fait que depuis décennies, la fluctuation de taux de change était une préoccupation majeure, ainsi  les économistes ont toujours tentés sans grands succès de maintenir cette variation  du cours de change.

Vu la réalité économique que vive actuellement la population, nous  avions constatés que dans la ville de Bukavu et partout ailleurs sur l’étendu  congolaise les activités économiques subissent  de grande secousse suite à cette dépréciation de notre monnaie et qui en retour entraine l’instabilité de circuit économique de la province.

Ainsi, il nous est paru intéressant d’évaluer les causes et les conséquences de cette instabilité du taux de change sur la vie des habitants de notre milieu d’étude  afin d’y proposer quelques modes de résolution. De ce fait, notre travail rêve trois intérêts personnel, scientifique et social:

En effet, du point de vue personnel, cette étude nous offre une occasion de mieux comprendre et bien maitriser ou plutôt de mieux approfondir notre connaissance sur la notion de taux de change.

Du point de vue social,  ce travail se propose de servir d’outil de référence en matière de prise de décision des autorités politico-monétaires sur la politique monétaire du pays mais aussi ça pourrait servir la population de mieux s’informer sur les causes de la fluctuation pour en faire face.

En fin au niveau scientifique, ce travail servira de guide aux chercheurs ultérieurs qui préféreront nous emboiter les pas.

0.5  OBJECTIT DU TRAVAIL

Le présent travail s’assigne comme objectif global d’évaluer les conséquences de la fluctuation du taux de change sur le pouvoir d’achat des ménages de la commune de Kadutu.

Outre cet objectif, le présent travail s’assigne les objectifs spécifiques suivants :

  • Apprécier le pouvoir d’achat de la population,
  • Apprécier la fluctuation du taux de change de la monnaie congolaise,
  • Identifier les différentes causes de la fluctuation du taux de change,
  • Apprécier l’évolution de prix de produit de fraude consommation.

0.6  METHODOLOGIE

La méthodologie étant définie comme l’ensemble de démarches que suit l’esprit pour découvrir et démontrer la vérité dans les services.[11] Ceci nous a permis d’exploiter certaines méthodes et techniques afin de remplir le critère d’être appelé un travail scientifique.

0.6.1  METHODES

D’après Grawitz et Pinto, les méthodes sont l’ensemble d’opérations intellectuelles par lesquelles une discipline cherche à atteindre la vérité qu’elle poursuit, la démontre et la vérifie[12]. C’est ainsi que dans nos investigation nous avions fait recours à deux méthodes :

  • La méthode descriptive : cette méthode nous a permis de décrire le fait tel qu’il est sur le milieu d’étude ;
  • La méthode statistique : elle nous a permis à présenter, traiter et analyser les données collectées sur le terrain.

Tout en étant convaincu que ces  seules méthodes ne suffisent pas pour une élaboration parfaite d’un travail scientifique, nous avons choisi aussi quelques techniques qui pourront nous servir tout au long de notre recherche.

0.6.2  TECHNIQUES

Tel que l’a définie VERAEGEN, comme un ensemble des moyens et des procédés qui permettent aux chercheurs de rassembler les informations originales ou de seconde main sur un sujet donne.[13] Dans ce travail,  nous avons utilisés la :

  • Technique documentaire elle nous a guidé dans la consultation des différents travaux entre autres les mémoires, le TFC, les ouvrages, internet, le rapport et bien d’autres documents se rapportant au sujet de notre recherche ;
  • Technique d’observation : grâce à l’observation directe nous sommes parvenu à fixer regard afin d’analyser le comportement des différents acteurs intervenant dans cette situation, ainsi nous nous sommes approché d’avantages à de réalités sociales ;
  • Technique d’enquête par questionnaire qui nous a permis de soumettre à la population enquêté un questionnaire afin de vérifier nos différentes hypothèses.

0.7  DELIMITATION DU SUJET

Cette recherche est le fruit d’une période d’étude de huit moins allant de mois de septembre jusqu’au mois de mai sur le plan temporaire.

Quant à la délimitation spatiale, cette étude porte sur la fluctuation du taux de change et le bien être des ménages de la ville de Bukavu.

0.8  DIFFICULTES  RENCONTREES

L’environnement humain étant accompagné d’une série d’obstacles, seul les braves parviennent à le surmonter. Durant notre temps de recherche nous nous sommes heurtés à des difficultés d’ordres divers tels que :

  • D’ordre financier : les manques de moyens financiers pour les besoins de transports et autres besoins pour l’accomplissement de ce travail,
  • Certains enquêtés avaient les difficultés de s’exprimer et de lire mais aussi ils ne voulaient pas dévoiler leurs revenus ou salaires,
  • Pour ce qui est de collecte des données, il nous paraissait difficile de parcourir sur le tout notre champs d’étude, c’est ainsi que nous avions fini par le segmenté,
  • Difficulté de trouver certains ouvrages afin de réunir une documentation très complète.

0.9  PLAN SOMMAIRE DU TRAVAIL

Hormis l’introduction et la conclusion, notre travail comprend trois chapitres

Le premier portera sur les considérations  générales sur le taux change, le deuxième porte sur la fluctuation du taux de change dans la ville de Bukavu et le dernier porte sur la présentation, analyses et discussion des résultats.

[1] FEC, Etat de lieu de l’économie Congolaise, mars 2007, p1

[2] Fréderic MISHKIN ; Monnaie, Banque et marché financier, éd. Nouveau horizon, Paris, 2007, p 591

[3] P. LIEVRE, Manuel d’initiation à la recherche en social, éd. ENSP, Paris, 1998, p76

[4] L. VAN COPENHOUDT, Manuel de recherche en science sociale, 2e éd. Dunod, Paris, 1995, p117

[5] R. Quivy & L. Compenhoudt, Manuel de recherche en science sociale, éd. Bordas, Paris 1998, p98

[6] AMANI MUGALIHYA Rachel : la fluctuation du taux de change monétaire et son impact sur la vie des ménages : cas de la ville de Bukavu, TFC, FSEG, UOB, 2007-2008. Inédit

[7] MULINDWA MATESO Bienfait : fluctuation du taux de change et son incidence sur le niveau d’inflation en RDC de 2004 à 2013, mémoire de licence, FSEGG, UOB, 2014-2015. Inédit

[8] Isidore MURHI MIHIGO : l’impact de l’évolution du taux de change sur la vie socio-économique à Bukavu, TFC, Economie, UCB, 2010. Inédit

[9] EBENGO W’EBENGO Matye, les fluctuations du taux de change face à la performance dans une firme bancaire : cas de BIAC, mémoire de licence, UOB, 2011 – 2012. Inédit

[10] Valère OMWAMI : la relation entre le taux de change et le prix relatif des biens échangeables en RDC de 1992 à 2009, mémoire, économie, ULPGL Goma. Inédit

[11] Benoit Verhaegen, Lexique de cours de méthode de travail scientifique, 1er graduat UNIKIS,

[12] M. GRAWITZ & R. PINTO, Méthode des sciences sociale, éd. Dalloz, Paris 1993, p15

[13] Veraegen Benoit, Méthode et technique dans la recherche sciences, revue d’analyse, PUZ, Kin 1971, p76 

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