Arrow Table de matières
9304614

CHAPITRE I. INTRODUCTION GENERALE

I.I information générale

            Généralement l'acronyme SIDA se définit par le syndrome immuno D’efficience  Acquise, est appelé syndrome par ce que qu'il se manifeste par différents symptômes qui peuvent aussi être le fait d'autre infections et maladies

            Il est causé par  le virus, de VIH, en anglais VIH qui se traduit par humanimmun déficience virus, c’est-à-dire  virus de l'immuno d’efficience humaine.

A bien considérer, on est peut pas donner l'étiquette de maladie au sida ; au contraire, il laisse la porte ouvert a plusieurs sortes des maladies susceptibles d'atteindre l'organisme de l'être humain. Le SIDA s'introduit dans lymphocytes-T4, cellules du système immunitaire dont le rôle est défendre l'organisme contre les  infections, et a en affecter sérieusement  le fonctionnement, la personne atteinte du SIDA  se voit privée de système et  de devient favorable pour le développement de diverses maladies ou symptômes.  [1]

Le VIH/SIDA est l'une de maladie le plus meurtrière, la plus terrifiant  qui tue de million, de vie humaine  chaque année  dans le mon dentier.

Il emporte des vieux, des adultes, vieilles, des hommes que des femmes, des jeunes, des enfants sans distinction d’âge, race, couleur des personnes à comportement sexuelle responsable.[2]

Le nombre total d’africain vivant avec le VIH ou le SIDA et maintenant de 25.3 millions. Dans huit pays africains, 15% au moins des adultes sont infectés. Dans ces pays le SIDA

Révoquera le décès d'un tiers environs des jeunes Africains aujourd'hui âgés de 15 ans.

Dans l'émotion  d'apporter un savoir ou une connaissance sur le comportement sexuelle a risque du VIH/SIDA  chez les jeunes adultes de 18-27 ans dans le quartier MAJENGO  et la prévention au sein     de la communauté.[3]

Devant cet sur plus de nombres de personnes infectées  par le virus du SIDA  et du fait que le sida frappe plus le jeunes âgés de 18-24 ans  dans le quartier  MAJENGO  activement excelles.

            Ce drame est d'autant plus important car la majorité des personnes frappées ce drame est constitué par les jeunes en âge de travail de 18-40 ans, elle regroupe les jeunes adultes en pleine période de productivité  qui on cotés plus cher à la nation en éducation et formation.

            Ces tranche d'âges correspond à un investissement lourd pour le pays et la communauté disparaissent avant même de contribuer  au développement de la notion. Cette situation montre combien le VIH/SIDA  a constitue une urgence à laquelle il faudra des solutions efficaces et adaptées.

I.2.1 PRESENTATION DE MILIEU D’ETUDE

Dans ce point nous, présentons les données démographique, administrative, et sanitaire.

I.2.2 Historique

 Acte de création

Le quartier Majengo a été créé en vertu de l’ordonnance présidentielle N°29/127 du 8 mai 1983 fixant les normes de la dénomination de la ville de GOMA. Pour découpage territorial de l’ex région du Kivu sur l’ordonnance loi N°82-006 du 25 février 1982 portant sur l’organisation territorial, politique et administrative de la RDC.

I.2.3 Situation géographique

Le quartier MAJENGO et limité :

  • Au nord par le groupement de Munigi, chefferie de Bukumu et le territoire de Nyiragongo.
  • Au sud par le quartier Virunga et MABANGA NORD
  • A l’est par le quartier BUJOVU et l’aéroport national de GOMA qui sépare les deux entités
  • A l’ouest par les quartiers kasika et Katoyi puis le nord-ouest par le groupement Munigi, Localité NGANGI III.[4]

I.2.4 Type du sol

Le sol du quartier majengo est du type volcanique, fertile et très favorable à l’agriculture.

I.2.5 Aspect politico administratif

Ici nous vous présentons l’organigramme qui pourras nous éclairée sur l’organisation de cet entité

Tableau 1 : Fonction et attribution des chefs  et leurs noms

Fonction et attribution

Nom

Chef de quartier

Chef adjoint

Chef adjoint

Secrétaire

ABAWEZI  GERMAIN

LUKALANGA BULOMBI

KECLAIRE MBIRIKA

KASONGO

Source : Rapport du quartier année 2013

Tableau n°1 : subdivision administratif des cellules et avenues dans le quartier Majengo.

CELLULES

     

DON BOSCO

KINYANGUGU

KISIMA

KISIGARI

UMOJA

                           


AVENUES                  AVENUES      AVENUES      AVENUESAVENUES           

KIMINDA       TENGENEZA  BUGITI                            KABASSHA           BWEZA

BITWAIKI       MAPINDUZI               TUHESHIMIANE             MAENDELEO        KIMBILIO

MULUMBA     MUNZENZE                OPTIGO                           KABINGWA          KAVUMU

MULINGWA   MAINDULE                DE LAPAIX                     BWISHA                 BUTITI

BUKUMU       SANGIRO                   MUGARA

I.2.6 Aspect socioculturel

         Trois tribus dominent ce quartier ; notamment les nandes, shi et hutu.

La population fréquente les religions : catholique, protestante, musulmane et églises de réveil. D’où nous avons  2 Eglises catholiques, 4 Protestantes, 1 Mosquées, 5 Eglises de réveil et 5 CAC.

I.2.7 Aspect socioéconomique

Les occupations principales de la population du quartier MAJENGO sont :

  • Le commerce : c’est une activité menée beaucoup plus par les femmes
  • la fonction publique ;
  • L’agriculture et l’élevage de petit bétail.

I.2.8 Situation sanitaire

Le quartier MAJENGO est notre site de partenariat se trouvant dans la zone de santé Karisimbi qui à son sein un centre de santé .Au centre de santé nous avons différent services dont la maternité, l’obstétrique, la pharmacie, le laboratoire, la nutrition et diététique. Le quartier dispose d’un centre de santé intégré, CS MAJENGO. Ce centre de santé connait une pénurie en eau.

 Les causes de consultation au centre de santé MAJENGO se résume dans les dix maladies les plus fréquentes selon l’importance des fréquences. Le paludisme, la verminose, la diarrhée simple, les infections respiratoires aigue, traumatisme, l’amibiase, la grippe, le syndrogastrique, la conjonctivite et la malnutrition.[5]

Tableau n°2 : les maladies fréquentes dans l’aire de santé MAJENGO

MALADIE

NOMBRE

POURCENTAGE

Paludisme

2582

41,98

Verminose

680

11,05

Diarrhée

611

9,93

Infection respiratoire aigue

536

8,71

Traumatisme

459

7,46

Amibiase

239

3,88

Grippe

168

2,73

Syndrome gastrique

117

1,90

Maladie de la peau

77

1,25

Fièvre typhoïde

59

0,95

VIH/SIDA

22

0,35

Autres maladies

60

9,75

TOTAL

6150

100%

Source : rapport SNIS de centre de santé Majengo 2016-2017

I.3.1  PROBLEMATIQUE

            Le sida étant longue  et pénible maladie  qui a beaucoup de conséquence  sur le plan développement  mondial, national, communautaire, familial, et individuel doit être  éradiqué.

            On estime que 5153 personnes contractaient le VIH tout le jour en 2015 ce qui correspond a 2,1 millions de nouvelles infection par le VIH dans le monde cette année la.[6]

            D'après les estimations, 36,7 millions de personnes vient avec  sida dans le monde.

            En 2015 quelques 3014 personnes succombaient à des  infections liées au sida tout les jours. Cela correspond a 1,1million de décès par jour des suites au sida  en 2015, se chiffre  est en baisse par rapport a un nombre estimatif de 1,5million de morts en 2000.[7]

            Il existe à l'échelle mondiale deux genres distincts d'épidémies du sida. Dans l'épidémies (concentrées), la transmission se produit principalement au sein de groupe vulnérables définis, tels les travailleurs ,et travailleuses du sexe, les hommes gais et autre hommes ayant des relation sexuelles avec.des hommes et des personnes qui s'infectantes drogues, Dans les épidémies (généraliste), la transmissions est soutenu par le comportement sexuel de la population général et persiste malgré les programmes de prévention  efficaces visant le groupe vulnérables la ou il en existe.

            Attitre d’exemples, mentionnons que l'Amérique  du nord connait une épidémie  concentrée, alors que celle de l'Afrique subsaharienne et généralisée.

            Selon I'ONUSIDA, en Afrique les jeunes infectés dont la tranche d'âge et de 15-24 ans est de 10 000 000  de cas de VIH/SIDA. D'ailleurs le sida devient une épidémie  qui frappe l'humanité au rythme vertigineux car selon le rapport de L'ONU sur le VIH/SIDA  de 2002 le nombre de PVVIH en 2001   se situe a 40 millions qui se repartaient ainsi : 28 500 000 en Afrique subsaharienne , 5 600 000 en Asie du Sud et ,150 000  en Amérique latine 1000 000,en Europe orientale et Asie centrale 1000 000 et en Asie de l' Est et pacifique, 950 000 en Amérique du Nord , 550 000  en EUROPE Occidental, 500 00 en Afrique du nord et moyen orient, 420 000 dans les et 15 000 en Australie et nouvelle Zélande.[8]

            En RDC la population estimée a 80 961 908 d'habitants les données fournis après avoir été révisée  et en fin publiées par L'ONU SIDA estimant la population congolaise  affectent par le VIH/ SIDA se voit être de plus en plus affecte par  la maladie avec un taux de prévalence de   1,2%.[9]

            Selon les enquêtes menées par GOTEC en collaboration avec DOCS en ville de Goma et ses environs, le nombre de PVVIH est de 62,7%. Ce résultat est plus inquiétant. [10]

Constamment  très souvent les jeunes réalisent leur première expérience sexuelle en  ignorant l'existence des IST: Notamment le SIDA, Dans le Q. majengo  la jeunesse est aussi on toucher par ces dit comportement sexuel a risque c'est à dire les jeunes dont sur 40 observé  23 ont avoués avoir fait des rapports sexuels non protégés. En termes de pourcentage de cette donnée, nous avions eu 57,5% des jeunes qui ont fait les rapports sexuels sans mesures de protections. Sur le 18 jeunes filles et garçons, 13 filles font l'actes sexuelles occasionnels soient 72%   et 11 garçons les font en planifiant soient 61,1%  un jeune qui est poussé apprendre des risques et qui ne dispose de la moindre information du VIH/SIDA pour se protéger devient plus beaucoup vulnérable

            Les jeunes du Q. MAJENGO prenant le VIH/SIDA comme toute autres maladies alors que, le sida c'est une maladie qui n'a pas encore eu le traitement. A coté du manque d'information ils prennent le risque en se livrant dans ce commerce du sexe pour l'argent, pour les faveurs qui répond a leur dont leurs parents n'arrivent pas a satisfaire. Ils ignorent qu'une personne peut être porteuse du VIH/SIDA  sans manifester les symptômes du SIDA par le fait qu' ils croient  qu'une PVV est toujours maigre que la personne qu'ils voient semble être en bonne santé intérieurement est atteint du VIH pour développer plus tard le SIDA, la maladie en question.

            Au Q. MAJENGO, certains jeunes garçons disent que se sont le filles qui le proposent , au copains d’ utilisent le condom et considère par les jeunes garçons comme un indicateur de légère de la part de la fille, sur 15 jeunes 7 garçons soit 46,6% avuent avoir peur d'être vu par le vendeurs  acheter le condom dans les pharmacies 6 doivent 40% disent que le condom empêche la puissance d'ou la métaphase(habakulie bonbon mu sache) et 4 autres soient 26.6% disent du point de vue chrétienne et morale que l'utilisation de condom ouvre la faute, vaut mieux s'abstenir des rapports sexuelles ,A coté du manque d'information autour de l'existence du VIH/SIDA, la perception de l'individu par rapport à son pouvoir d'évité d'être infecté est un élément très important qu'on ne doit plus négliger dans le cadre de la vulnérabilité des jeunes et surtout ceux âgés de 18-27ans.

                           Par ailleurs, un comportement sexuel dangereux est souvent un élément intrinsèque du comportement des jeunes qui englobe l'usage de l'alcool et des drogues (toxicomane)et la rébellion contre la communauté.

un jeune adulte trouvera des difficultés à contrôler ses comportements car l'alcool diminue la capacité du contrôle de soi, il est prouvé moins la peur de se livré à n'importe quelle activité par une pré-enquête menée au Q MAJENGO nous avons vus des jeunes filles et garçons se livré dans des boissons alcoolique locale pour diminué la peur lors des bagarres.

            Le milieu de résidence révèle l’impotence capitale dans l’étude de comportement sexuel.

            Dans tous, il constitue  le cadre structurel dans lequel évoluent les jeunes. Ainsi, l’influence du milieu de résidence sur les comportements sexuels a été mise en exergue dans les diverses études. De la littérature ressort que l’activité sexuelle varie d’un milieu de résidence a un autre. Les jeunes du milieu rural sont sexuellement plus actifs que ceux du milieu urbain. Il a été observé qu’a 18 ans 66% de jeunes ruraux ont leurs premiers rapports sexuels, contre seulement 45%en milieu  urbanise .Une personne habitant les milieux urbain et celle habitant le milieu rural, ne se comporte  pas de même façon, le milieu influence leur comportement sexuel. Par une même observation à MAJENGO est que la personne vivant au Q. MAJENGO, est plus coquette, plus agitée que celle du Q. KYESHERO je conclus que le milieu de résidence a un impact sur le comportement et de raisonnement.[11]

            En titre illustratif le Niger. Les données de l’enquête démographique et de santé de l’an 2006 ont révélé que l’âge médian aux premiers r         apport sexuels s’élevait a 16 ans en milieu rural pour les jeunes femmes est de 20 a 24 ans . Contre 17 ans en milieu urbain.[12]

            Selon l’étude mène à Goma par PNUD en collaboration avec GOTEC les jeunes en situation scolaire dont 56,5% des garçons et 55,5% de filles avouent n’avoir pas peur d’être porteur du VIH/SIDA[13]. Avec un slogan, nul n’est immortel, nous mourons avec la réticence avec le condom en disent que les jeunes gens n’utilisent pas des condoms, ces jeunes ont peur de la grossesse que de la maladie.

            L’approche socioculturelle se fonde sur le fait qu’on ne peut pas (désocialiser) l’activité sexuelle. Elle accorde un rôle central à la construction sociale et culturelle, selon elle, aucun désir ne peut apparaitre et s’exprimer.

D’après l’enquête du Q. MAJENGO une culture qui autorisent leurs filles de laisser un enfant chez elles avant de se marier. On peut lier la propagation du VIH et du SIDA danse distinct KRABO au Ghana a certaines pratiques culturelles. L’une d’elle  dit que c’est un rire d’initiation au quel on soumettait les filles âgée de 14 ans a 20 ans dont tous Ghana. Elles passaient alors par une série d’épreuve destine a montré leurs savoir- faire et on leurs faisaient des petites scarifications sur les poigner et les bas du dos. Les jeunes filles qui ne porter  pas ce marques ne devaient pas être importunées.[14]

            Ainsi, les comportements sexuels sont déterminés par les normes et valeurs socioculturelles en matière de sexualité. C’est en fait l’ensemble des ces idéologies qui déterminent les circonstances du déroulement de l’activité sexuelle des jeunes.

            Une des espressione des cette approche  et la thèse selon laquelle l’activité sexuelle des jeunes en milieu urbain s’expliquerait << désorganisation sociale). La faiblesse du contrôle sociale ou relâchement des mœurs. Cette thèse fait partie de la théorie générale de la modernisation, qui se fonde sur l’affaiblissement   des structures traditionnelles et le relâchement du contrôle des ainés sur les cadets. Les nouveaux comportements qui en résultent sont plus orientés vers la satisfaction individuelle que vers la responsabilité familiale.

Ainsi, la sexualité des jeunes adulte ne dépend pas d’eux mais de leurs parents et des responsables communautaires qui constituent des canaux de transmission d’information dans les domaines de la sexualité telle que la chasse tété, la virginité pré maritale, :la soumission a leurs maris aux filles et le sens de la responsabilité pour les garçons . La société actuelle, contrairement a la précédentes,  n’assigne pas de fonctions sociales précises à la jeunesse. Dans une famille dont les parents sont des  responsables ils contrôlent tous actes pose par des enfants, leurs mode d’habillement selon la coutume et la croyance. Les parent doivent concret tout leurs temps dialogué avec leurs enfants sur quelques sujets sensibles pour jeunes.

            Par ailleurs, l’éducation de jeunes ne le prépare pas seulement a des rôles d’acteurs a l’intérieur de la famille et dans un nouvel environnement ou la réussite de l’individu n’est plus liée a la communauté, mais résulte  de sa capacité à assimiler un sa voir<<scientifique) et a innover. L’école et les nouvelles activités récréatives éloignent souvent les jeunes des adultes, et la séparation des sexes n’y est plus assurée.

            A partir de ce constant nous somme en droit de soulever la question de l’éducation sexuelle des jeunes ?

I.3  Questions de la recherche.

    I.3.2  Question générale.

Quels sont les Mesures de control de comportement sexuel à risque du VIH/ SIDA chez les jeunes du Q. MAJENGO.

I.3.4  Questions spécifiques

  • Quels sont les mesures économiques de contrôle du comportement sexuel a risque du VIH/ SIDA chez les jeunes du Q. MAJENGO.
  • Quels sont les mesures culturels de contrôle du comportement sexuel a risque du VIH/ SIDA chez les jeunes du Q. MAJENGO.

I.3.4  Hypothèse                                   

L’hypothèse étant une réponse anticipée aux questions posées a propos de l’objet de recherche formulée, de ce fait voici nos réponses :

  • Les éléments tels que les moyens financiers de parents, l’activité génératrice des jeunes seraient les mesures économiques de contrôle comportement sexuel à risque chez les jeunes âgés de 18-24 ans
  • Les éléments telles que l’instruction sur le VIH /SIDA, la connaissance des effets nocifs du VIH seraient les mesures  socio culturels de contrôle du  comportement sexuel à risque chez les jeunes âgés de 18-24 ans.

                                                                                                                           

I.4.1 OBJECTIFS                                            

I.4.2Objectif général

L’objectif général est de déterminer les mesures de contrôle des comportements sexuels à risques chez les jeunes adultes de 18-24 ans.

I.4.3Objectif spécifique

  • Déterminer les mesures économiques de contrôle des comportements sexuels à risque du VIH/ SIDA chez les jeunes du Q. MAJENGO.
  • Déterminer les mesures socio culturels de contrôle des comportements sexuels a risque du VIH/ SIDA chez les jeunes du Q. MAJENGO.

I.5. Choix et Intérêt du sujet

Etant donné que les jeunes sont les cadres de la nation et la vie que mènent nos jeunes en faisant sembla que le SIDA n’existe pas,  par ce sujet nous avons voulu éveille la conscience des jeunes sur le comportement sexuel a risque pouvant favoriser de contracter le VIH/SIDA. Vu que les jeunes adultes dont l’âge varie entre 18-27 ans regroupent l’âge de personnes en pleine période de productivité. De plus cette étude va nous permettre de déterminer les stratégies de lutte contre le VIH/SIDA chez les jeunes adultes de 18-27 ans.

I.6. Délimitation du sujet

         Pour ce qui est de la limitation du sujet dans le temps, l’étude est du type transversal. L’étude prendra une période de 6 mois concernant la délimitation spatiale notre étude sera effectuée dans le quartier MAJENGO

I.7. Définitions des concepts clés 

  • Mesure : évaluation d’une grandeur par comparaisons avec une grandeur de référence de même espèce
  • Comportement : ensemble des attitudes et des réactions objectivement observables d'un être humain ou d'un animal [15]
  • Sexuelles : qui concerne la sexualité dans l'ensemble de ses aspects physiques, psychiques et sociaux[16]
  • Risque : danger plus ou moins prévisible[17]
  • Jeunes : moins âgé, par ordre de naissance[18]

[1] Prof MUTEHO KASONNGO, Les facteurs favorisants la pandémie du SIDA en Afrique subsaharienne, octobre 2002

[2] KAMBALE KARAFULI, cours d’Ecologie anthropologie Humaine, G2, Inédit du professeur, 2013

[3] Rapport ONU SIDA 20014

[4] SOURCE : document du Q. MAJENGO, exercice 2013

[5] Données reçues au bureau du centre de sante Majengo

[6] ONU SIDA –UNAIDS estimation du VIH/SIDA 2016

[7] OP cit, SIDA  Rapport publié en 2015

[8] PNMLS Ministère de la santé, Rapport publié en 2015

[9] MSF au cour d’une conférence internationale Francophonie sur le VIH/SIDA et les hépatites tenues fin Avril à mont pellier, en France 2016

[10] Enquête sur la connaissance attitude et pratique de la population de GOMA et de ses environ par rapport au VIH/SIDA, PNUD, en 2010

[11]DjibrillaModeli AMDOU, d’après une enquête menée dans les quartiers, les jeunes dont plus mouvante, une multitude d’ethnie dont chaque jeune vient a coutumes mœurs.

[12]Djbrilla MODEILI AMDOU, déterminant des comportements sexuels à risque d’infection au IST/ VIH SIDA au Niger Université de YAOUND II SOA, Diplôme d’étude supérieur spécialise en Démographie

[13] PNUD, enquête sur l’étude CAP de la population de GOMA et ses environs par apport au VIH/SIDA, 2008, P 40

[14] La culture KRABO par exemple on peut lier la propagation du VIH et du SIDA dans le district KRABO au Ghana cette dernière pratiques culturelles l’une d’elle le diplo, est un rite d’initiation à devenir des épouses au quelle on soumettre les filles âgées de 14 ans dans tout Ghana. 

[15] Dictionnaires le Robert, nouvelle édition refondue, avenue pierre de Coubertin, 75013,2006. 

[16] Idem

[17] Idem.

[18] Idem.

Partager ce travail sur :