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CHAPITRE I : GENERALITE SUR LES BOVINS

  1. DEFINITIONS

Le Bovin est un animal domestique appartenant à la classe de mammifère, ordre d’artiodactyles, sous-ordre de ruminant, famille de bovideae, sous-famille de bovine, genre de boss, sous-genre de boss taurus ou boss zebus (Simon LUMBU, 2008).

  1. LES SYSTEME ET MODES D’ELEVAGE DES BOVINS

II.1. Les systèmes d’élevage

II.1.A. Définition de concepts du système.

Il existe des nombreuses définitions des systèmes:

On a retenu les suivantes selon Rosnay(1975) : le système devient un ensemble d’élément en interaction dynamique, organisé d’un but. En théorie bouvier (1987) : a défini un système comme étant une série d’éléments en composantes inter dépendantes et agissants les uns sur les autres. Les systèmes en générale et défini par le Moigne en 1990 comme un objet qui dans son environnement doté de finalité exerce une activité et voit sa structure interne évoluer au fil du temps sans qu’il perde pour autant son activité unique.

Le système d’élevages apparaissent d’abord comme un ensemble pilote dans lequel le rôle principal est tenu par l’élément ou la communauté humaine.

Un système est un ensemble d’élément en interaction dynamique organiser par l’homme envi de valoriser des ressource par l’intermédiaire d’animaux domestique. (Thervis, 2005).

Dans le monde qu’en Afrique, on pratique différent système d’élevage :

  1. Le nomadisme : c’est un système d’élevage non commercial où le système bovin est la source de prestige pour la famille. L’élevage est totalement incontrôlé par les techniciens.
  2. L’élevage extensif : c’est un mode d’exploitation des animaux dans les conditions plus ou moins naturelles du milieu.

Il se caractérise par :  

  • utilisation des grandes étendu avec peu de capitaux et peu de travaux.
  • faible spécialisation du travail.
  • faible productivité économique.
  • faible productivité technique.

La densité des animaux par hectare est très faible.

  1. L’élevage intensif : c’est un dans lequel l’éleveur utilise beaucoup de capitaux sur une étendu très petite en utilisant un grand nombre d’animaux avec une densité économique. Les animaux sont élever soit en étable d’une façon permanenté ou non, soit tantôt on pâturage, tantôt a étable suivant l’âge. (Lumbo, 2008).

II.2. Les modes d’élevage des bovins

Les modes d’élevages sont des pratiques mises en œuvre par l’homme pour tirer profit des animaux domestique.

  1. La divagation: c’est le fait que les animaux sont laissés dans les montagnes sans être contrôlés et le soir les enfants viennes le retirés pour la maison, pratique plus usuelle dans les  Kivu montagneux.
  2. La stabulation: c’est le fait de gardés les animaux à la maison ou ils reçoivent tous les soins possibles. le taux d’élevés en stabulation sont plus ventables que les animaux en divagation que les animaux en divagations

                                                                                                                                            II.3. Les pâturages et leur exploitation

Les pâturages sont des étendues naturelles ou artificielles qui servent pour l’alimentation des bovins.

II.3.1. Sortes des pâturages.

  1. a. Les pâturages naturels: les pâturages naturels jouent un rôle important dans l’alimentation du bétail tropical. Ils constituent la bouse est le plus souvent la totalité des ressources alimentaires des ruminants. Les pâturages tropicaux sont très variés leurs nature et leurs quantité sont sous la dépendance prédominante, des facteurs climatiques et principalement du régime des pluies. Dans le zone ou l’élevage est possible on distingue trois types de pâturages en fonction de leurs pluviométries :
  • Pâturage sahéliens : 200 à 550mm, de pluies durant de 2 à 3mois.
  • Pâturage guinéens : 1600mm durant deux saisons de pluies. (R. Rivière, 1977).
  1. b. Le pâturage amélioré: si l’on veut éviter les chutes des productions pendant la saison déficitaire ou si l’on désire intensifier la production, il est nécessaire d’envisager l’amélioration de la valeur alimentaire de qualité, plusieurs solutions permettent d’atteindre ces objectifs :
  • Amélioration de pâturage naturel par le broussaillage et introduction des plantes améliorantes telles que stylo sante guianensis.
  • Constitution des réserves fourragères de bonne qualité (foins et ensilage).
  • Culture fourragères de haut rendement et de production étalée au cours de l’année au moyen d’irrigation. L’herbe de pâturage est un aliment de haute valeur nutritive qui peut satisfaire la totalité des besoins d’animaux en production, si elle est correctement exploitée. (R. Rivière, 1977).

II.3.2. Exploitation des pâturages

L’exploitation des pâturages des bétails est le mode de traitement des pâturages de l’homme par le moyen de bétails. Le pâturage sont exploitées suivant son importance économique qui siège sur :

  • La productivité : la quantité en kg en ms/hectare
  • La valeur alimentaire des espèces présente
  • La consommation volontaire de ms/bétail.

                                                                                                                                                    III. ALIMENTATION BOVINE

            Les bêtes se nourrissent de l’herbe des pâturages comme il est précédemment signaler. Selon notre recherche la quantité journalière requise pour un bovin varie entre 20 et 40 Kg d’herbes. Ainsi est-il demandé aux « bouvier de faire prête les bêtes le plus long temps possible en fait d’atteindre cette quantité requise. Pendant la saison sèche, les bouviers laissent brouter les animaux a partir de 6 heures et pendant la saison de pluie a partir de 8 heure et ce, jusqu’au soir. Pour suppléer au carence en sels minéraux des pâturages, il est conseillé de donner aux bêtes de blocs a lécher, sachant qu’une bête adulte consomme environ 20Kg/Jour, alors qu’un veau en consomme de 10Kg. Le bouvier doit poser ces blocs à un endroit où les bêtes peuvent lécher facilement. (Nos recherches sur terrain).  L’eau doit être permanente pour boire et non l’utilisation de l’eau marécageuse car elles peuvent s’y infecter. Ces animaux sont conduits à la source chaque jour vers midi. (Nos recherches sur terrain).

III.1. la ration de base

La ration de base est trouvée au :

  • Pâturage naturel
  • Pâturage amélioré
  • Du foin et de l’ensilage
  • De sous-produit de culture.

Elle couvre au minimum les besoins d’entretien et une partie des besoins de production.

La ration journalière est fonction des besoins de chaque type d’aliment pour une production donnée. Elle doit répondre aux exigences suivantes :

  • Couvrir les besoins en énergie c’est-à-dire a unité fourragère.
  • Couvrir les besoins en matières azotées digestibles.
  • Etre absorbées par l’animal qui la reçoit.

Le bovin consomme chaque jour en moyenne 3Kg de matière sèche pour 100Kg de son poids Vif c’est-à-dire qu’une vache de 1Kg peut absorbée 7 à 8Kg de matière sèche par jour Les besoins alimentaires journaliers son destinée à la production soit de viande (engraissement) soit à la production du lait ou encore à la production du travail.

Ainsi par exemple par la production de la viande, il faut couvrir les besoins d’entretien et les besoins d’engraissement, pour la production du travail, il faut assurer la convertir des besoins du travail. (Hose L. Philippe, 1973).

                La vache est herbivore elle se nourrit d’herbes de pâturages, des cultures fourragères, des sous-produits agricoles et agro-industriels. Parmi les cultures fourragères couramment utilisées dans le milieu rural du Kivu, nous avons entre autre le Trepsacum sp, le Penisetum purpureum, le Desmodium sp, la luzerne spp, le cetaria spp. Il est certain plus commandé d’imaginer que le goût de l’animal qui pâture un mélange d’herbe sont en quelques sorte dictés par ses besoins alimentaires.

 Cependant, il serait imprudent de supposer que les bovins ont un instinct qui leur permet de connaître les règles d’une alimentation rationnelle (SNV. 1994). 

L’instinct alimentaire ancestral qui le présente contre les herbes venimeuses peut être modifié par les hormones et les herbicides par les engrains ou autre traitements. Il consommera alors des mauvaises herbes qu’il négligerait dans les circonstances normales.   

L’activité sensorielle tant de ruminant diminue avec la teneur en cellulose de l’herbe et peut devenir nul lorsque certaines limitations de l’ingestion d’aliment et par conséquent un amaigrissement en une sensibilité accrue aux maladies. Les femmes en lactation doivent bénéficier d’eau  à volonté sinon leur production laitière enserra affectée (SNV.1994).

Du point de vue alimentation les bovins du territoire de walungu, groupement de walungu sont souvent mis aux gardiennages et au libre parcours et d’autres à l’étable. ces animaux, consomment comme fourrages, le penissetum purpureum,penisetum clqndestinum,le tripsacum laxum,le cetariasphacelata,le stylosanthe spp,le paqnicummaximum,le cynondon dactylon ,le paspalum notatum notatum,l’echinochloa apyramidalis,l’hyparhenia rufa ,hyparhenia diplendra,vigna unquiculata, etc. (nos enquettes sur terrain) .        

IV .L’HYGIENE

             Les animaux doivent être déparasités          à l’entrée à l’engraissement (strangule pulmonaire et digestif virions, parasites externes…)

Est éventuellement vacciné contre l’enteroxemie, les maladies respiratoires, la grippe. 

IV.1. le logement

La stabulation libre est impérative soit entièrement paillées, soit équipé de béton extérieur doit être réduit au minimum. On doit prévoir :

  • 5m2 par tête dont trois au moins seront paillés
  • 60cm d’auges par tête (Christian Dudouet, 2010).
  1. V. IMPORTANCE ET ROLE  SOCIO-ECONOMIQUE DU BETAIL CHEZ LA POPULATION TRADITIONNELLE DU SUD- KIVU (WALUNGU).

        Les paysans au sud- Kivu en général et celui de Walungu en particulier, tire des animaux qu’ils élèvent d’une gamme très étendue des produits que nous pouvons classés en deux catégories suivantes :

  • Les produits renouvelables fournis par l’animal tout au long de sa vie : les œufs, le lait et les vaux ;
  • Les produits terminaux dont l’obtention impose la mort de l’animal : viande, peau et cuir

Ces produits sont utilisés pour différents fins à savoir :

  • Alimentation humaine : le lait, la viande et les œufs
  • Artisanat : cuir, peau, ect. Pour faire des vêtements, tambours et molettes
  • Les combustibles : la bouse séchée puis brulée pour cuire le repas
  • La fertilisation du sol : les digestions sont des amendements et engrais de grande valeur pour les cultures
  • Le travail animal

A Walungu le bétail constitue une réserve financière qu’on peut utiliser pour effectuer les achats courant : semences, outils agricoles, nourriture et vêtement.

Le bétail est la principale forme de patrimoine du paysan et cela surtout pour le paysan sans terre car il peut se déplacer avec lui. Ce patrimoine est très souvent d’une gestion souple car il est reproductible, mobile, vendable.

Très souvent la constitution du capital se fait par accumulations des animaux.

Ainsi le bénéfice de gage de la vente des productions végétales, et du petit commerce sont investis dans l’achat du bétail. Les différentes espèces (volaille, mouton, bovin) s’organisent à une chaine d’accumulation permettant la thésaurisation et la constitution progressive d’un capital. La dot, l’héritage ou les dons sont autant d’échanges parfois très complexes qui permettent de constituer un cheptel (ou un troupeau en état successif  qui symbolise son entrée dans la vie active).

L’importance sociale, religieuse et culturelle du bétail peut s’expliquer à ces quelques phrases de MUNZIHIRWA, 1977 : le bétail est une richesse sociale, il constitue une source de prestige car la possession du gros bétail (bovin est symbole de richesse et suscite le respect dans de nombreuses société paysannes). Et tout ceci peut s’expliquer comme suit :

  • Le bétail est source de pouvoir en ce sens que l’élevage génère des fonctions théoriquement honorifique mais ayant une grande importance dans la vie sociale. La taille du troupeau détermine souvent le pouvoir politique de son propriétaire. Ainsi dans le territoire de Walungu le chef coutumier de la localité ou de groupements sont souvent ceux qui ont un grand cheptel ou alors un grand troupeau soit dans le village ou ailleurs.
  • Le bétail est un moyen d’accès à un certain statut social
  • Le mariage est impossible à l’absence de possession d’un certain nombre des têtes de bétail
  • Le bétail constitue aussi un objet de cérémonie virtuelle ou religieuse.

Ainsi les différentes productions d’élevage bovin sont les suivants :

  • La production de la viande
  • La production des cuirs
  • La production laitière
  • Le travail animal
  • Les matières organiques

Dans cette section nous ne parlons que de la production de la viande pour la raison simple que c’est celle-ci qui est plus développée dans notre pays.

  • Production de la viande:

La plus part d’exploitation d’élevage des bovins des pays sous-développés a comme objectif principal la production de la viande. Par  production de la viande on sous-entend le nombre des têtes bovines sur pieds exprimé en unité de gros bétail où la quantité des viandes exprimées en kilogramme après abatage.

 Rendement de la viande

Le rendement de la viande désigne le poids de la carcasse par rapport au poids vif de l’animal. La connaissance des rendements de le viande est indispensable car le prix de vente qui détermine le profit est fixé par rapport au poids vif ou au poids de la carcasse de l’alimentation et de mode d’embouche bovine,(anonyme 2010).  

Embouche bovine

L’embouche bovine n’est rien d’autre que l’engraissement de bovins. C’est le fait de mettre certaines bêtes dans des meilleures conditions d’alimentation en vue d’accroitre le rendement de la carcasse en quantité et en qualité.

L’embouche bovine revêt une impotence non négligeable, car la rentabilité de l’élevage bovin est lier au prix de revient de la viande produite qui dépend en grande partie de l’embouche.    Il suffit pour s’en convaincre  de considérer l’écart de prix de vente entre le poids de l’animal maigre et celui de l’animal engraissée, (Rosnay1975).

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                     Organisation du marché                                                       

Le marché est à la foi le lieu de rencontre entre offreur et demandeur de bétail et les conditions permettant aux offreurs de céder leurs bêtes.   Le vendeur peut être un paysan, un missionnaire, une coopérative ou propriétaire d’un cheptel.  En effet, tout détenteur d’une ferme peut, pour une raison ou une autre, être amené à rendre une ou plusieurs bêtes. Les clients se recrutent parmi les paysans, les commerçants provenant des grands centres urbains etc, (nos enquêtes sur terrain).  Ce pour résoudre un problème familial (mariage, constitution d’une dot, décès, maladies, frais de scolarité….), gagner de l’argent afin de renouveler son outil de production ou payer les salariés et effectuer les investissements nouveaux que les fermier vend ses bêtes. L’achat d’une bête s’effectue pour répondre à certains besoins notamment; la vente, la consommation, la constitution de sa propre ferme (investir). Le marché se conclu à n’importe quel endroit pour vu que le vendeur et l’acheteur s’accordent sur le prix  en raison de prix intéressant pratiqué dans les différents centres urbains certains éleveurs préfèrent aller vendre ou abattre leurs bêtes de boucherie sur les marchés urbains à l’exemple de Bunia, butembo, béni, Kisangani et autres.

Ainsi, les marché n’est pas nécessairement un lieu géographique déterminé mais aussi les conditions qui mettent d’accord l’acheteur et le vendeur. (Nos enquêtes)

La vente peut se réalisée de trois manières ;                           

  • Soit qu’il veut sa bête sur pied qui comptant aux bouviers, qui à leur tour iront la revendre abattue,
  • Soit qu’il abat lui-même au village et le vend à ses voisins,
  • Soit en fin, qu’il va lui-même l’abattre sur le marché la vente peut se faire également par troc.

Par troc nous entendons l’échange pouvant s’effectuer entre détenteur d’un taureau et d’une vache, sachant bien que celle-ci cout plus cher que celui-là, d’une part l’échange d’un bien est d’une certaine quantité de viande de bœuf. La cession d’une bête ou d’une viande par l’éleveur à un bénéficiaire peut aussi se faire moyennant n prix qui est l’expression monétaire  et la valeur du bien cédé,(nos enquêtes) .  

  1. APPRECIATION DE L’EXTERIEURE

            L’extérieur est l’étude descriptive de différentes régions du corps d’un animal (conformation), de son âge et de sa qualité qui permettent de juger sa valeur et ses aptitudes, (Airoult 1999).

Dans la pratique et en absence de données pus précise, les  animaux sont d’abord appréciés sur leur extérieur. Ce jugement présente les informations sur les animaux  à viande; pour les bovins, la prolificité par exemple la connaissance de l’extérieur permet donc d’établir le signalement des animaux et d’effectuer le choix économique en vue d’une production ou d’usage. (Gilles 2004 ).

La matière fécal ; leur examen renseigne sur les animaux mastiqués, leur état, leur couleur et leur consistance donne des indications importantes. L’urine peu abondante dans les états fébriles .elle est abondante dans les états diabétiques (excrétion du sucre par les urines). L’urine peut contenir divers sédimentations et avoir la présence de l’anoplasmose, (SOLTENER 1989).

VII. CARACTERES DIFFERENCIANT L’ETAT DES BOVINS DE BONNE SANTE ET DE MALADIE

                L’appareil locomoteur en bonne santé présent un équilibre par le fait des mouvements, les anomalies de la motricité sont nombreuses, tremblement, soubresaut, grincement des dents, boiterie….                              

Etat général de la nutrition : on peut apprécier par un examen de l’aspect de la peau, de l’état de poils, de la consistance volume de muscle, la peau des animaux en bonne santé et mobile, douce et brillante, les états maladifs chez les animaux fiévreux, elle devient dure et sec. l’aspect des poils ; en dehors de certaines conditions physiologiques (changement de saison, mue, les poils rudes, sec et terme pulqué adhérent indiquent une mauvaise locale en générale. les poils sont  hérissé dans la période du frisson fibrille, (Tobback, 1951) .

Les muqueuses des animaux en bonnes santé sont d’une rose pure. Dans les processus d’inflammation, sont d’un rouge plus moins accusé (peste bovine) ; elles sont jaunes dans certains cas pathologiques, anaplasmoses, piroplasmose. Le  manque d’appétit et arrêt de rumination c’est le système de symptôme d’une infection qui s’établit. 

L’œil pour l’animal en bonne santé est clair et brillant, l’œil enfoncer son orbite implique une maladie grave et dans les états chroniques, les yeux fixe et immobiles dans les maladies encéphaliques, le molle séreux ou purulent et un symptôme des maladies locales ou générales (peste bovine, pasteurelloses certains empoisonnement. (Forse 2002).

Le molle; en bonne santé, il est humide et froid, les réseaux ne doivent pas présenter aucun n’écoulement.

Les oreilles ; droites et dressées chez les animaux sains, elles sont tombantes chez les animaux malades. 

Respiration ; elle est normalement calme dévier accélérée ou laboureuse chez ces animaux  malades parfois elle est pectorale, on remarque surtout le mouvement de cote dans d’autre cas elle est abdominale.

                                                                                                                                                VIII.PATHOLOGIE DES BOVINS.                                                                                                 VIII. a. Maladies parasitaires

               Les ectoparasites  sont des organismes  qui vivent sur la peau d’un autre animal et se nourrissent de leur hôte. Il s’agit notamment des tiques, des mouches, des poux et des puces qui parasitent les plus souvent les bétails des régions tropicales,(Forse 2003) .

Dans le cas de notre étude nous allons décrire seulement quelques maladies causées par  les tiques et les mouches. Ainsi les tiques des régions tropicales et tempérée sont des animaux vivant exclusivement du sang. Elles sont capables de transmettre à l’homme et aux animaux domestiques des nombreuses maladies parfois fortes dangereuses. IL faut craindre particulièrement certaines maladies à virus ; le tremblante des bovins l’encéphale…..

Elles provoquent de blessures profondes favorisant  la formation des abcès et occasionnât  des lésions parfois incurables de la peau et de mamelle. Elles causent aussi décès et lésion dues aux toxines quelles transmettent engendrant ainsi des paralysies lorsque ces parasites s’attaquent à la tête et au coup. Par  exemple ; la déshydrations tropicale. (Anonyme, 2009).

Outre les possibilité de transmettre des micro-organismes, les mouches constituent une sérieuses perte pour les bétails ,elles provoquent une diminution de la production de lait et sa teneur en matière grâce, une perte de poids de la viande ,elles sont largement responsable du développement des vastes zones d’Afrique cause de la transmission  cyclique spécifique des trypanosomiase provoquant l’ amaigrissement surtout chez les jeunes vaches en même temps que poids et la qualité de la viande,(Forses 2002) .

                                                                                                                                               VIII. b. maladies à parasite internes

Tableau n°1; symptôme de quelques parasites internes.                                                                       

parasites

Symptômes

Grande douve de foi

Diminution de la production, retard de  croissance, anémie, outil blanc, foi hypertrophie, canaux calcifies,

Strongles intestinaux

Anémie, perte d’appétit, retard de croissance, d’arrhée profuses, complication digestive, morphe, morbidité des hydrates,

Strongles intestinaux

Anémie, perte d’appétit, retard de croissance, d’arrhée profuses, complication digestive, morphe, morbidité des hydrates,

ascaris

Ballonnement, retard de  croissance

     

ténia

Les ions, rustiques des masses musculaires (observation à l’abattoire)

coccidies

Diarrhée  sanguinolente, anémie, poils ternes, trouble nerveuse,

piroplasmose

Anémies, diarrhée noirâtre, hyperthermie.

                                                                            (Source : Didouet 2010).

                        Tableau n°2 Symptôme des parasites externes

parasites

Symptômes

gales

Epaisse ment de la peau

tiques

Augmentation de la production (41 à 41,5°C)

teignes

Dépilation avec formation des croûtes localisées à la tête et à la l’encolure, lésions inflammatoires

Mouches (duvetons)

Boursouflures qui apparaissent sur la région dorsolombaire chez les jeunes

poux

Forte démangeaison

                                                           Source (Christian Dudouet  2010).

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