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CHAPITRE II. LE CONFLIT POLITIQUE DANS QUABD ON REFUSE ON DIT NON

Comme nous l’avons déjà dit dans le premier chapitre, « le conflit est une notion très large qui s’impose dans chaque sphère et niveau de la vie : chez l’individu lui-même, dans la famille, dans des entreprises, dans un pays etc. »

Pourtant, il peut engendre des conséquences positives aussi que négative, si on le contrôle pas bien. Le conflit, comme notion de base des guerres s’est avéré un fait important pour notre étude cette étude est due au « vœu » de connaitre les perspectives de parties en conflit en cote d’ivoire qui ont aboutit à une lutte armée.

En effet, les politologues ont généralement expliqué que le pouvoir est un instrument souvent utilisé pour influencer et contrôler les êtres humains par conséquent, dans l’activité  politique, il s’agit de cet usage de pouvoir dans la société. Alors, il nous suffit de dire que, ce qui possède  le pouvoir déterminent dans une garde mesure l’avenir d’une société. Dans ce deuxième chapitre la tache qui nous incombe, ce d’analyser les thèmes qui sont développés et quelques éléments du conflit politique  dans « Quand on refuse on dit non » pratiquement, nous relevons quelque thème avant de faire l’analyse.

 II 1 QUELQUES THEMES PRINCIPAUX

II.1.1 Le conflit

Comme nous l’avons déjà défini dans le cadre théorique en montrant les deux sortes de conflits qui heurtent les personnages dans notre roman, Ahmadou KOUROUMA développe le thème de conflit en opposant les Dioulas aux Bétés. C’est pour cela qu’il avait pris son personnage principal Birahima qui se trouve aussi être le héros de «  Allah n’est pas obligé ». Dans notre roman, Birahima qui est personnage principal est de retour dans son pays natal où il trouve la guerre civile, qu’il a fuit au Liberia et en Sierra Léone. Quand au conflit qui oppose les dioulas aux bétés, nous pouvons lire :

« J’ai leur ai déclaré tout haut à eux qui étaient RDR dioulas(Musulmans) nordistes et opposants « le président Gbagbo a beau être bété (bété est le nom d’une ethnie de la profonde foret de la cote d’ivoire, c’est un type bien. Le président  Gbagbo est le seul à avoir été un vrai garçon sous Houphouët, le seul à avoir eu du solide entre les jambes. Il a été le seul opposant à Houphouët. Ces déclarations ont rendu folle Sita elle m’a infligé une bonne gifle et des coups des poings,… » (P. 12)

Ces déclarations montrent que le personnage n’échappe pas aux conflits internes. Ce dans ce sens que nous avons cette phrase de SAIDI ALOIBYA et BYA’ENE ESENGO qui soutiennent que le conflit interne est celui qui nait de la lutte entre deux tendances. Dans ce passage, les personnages  Sita manifeste son conflit envers le président et même envers tout le monde qui se trouvait au tour de Birahima, lorsqu’il se réveil après dit :

 «  J’ai m’en fou, la guerre tribale est là »        

En effet, dans ce passage, nous pouvons dire que les personnages sont caractérisés par le conflit du pouvoir d’où le langage conflictuel. Des tels langages sont opposés à d’autres langages parce que l’activité principale, dominante du producteur consiste à prendre, dans son propre langage, le discours de l’adversaire et qu’on rejette, refusé et disqualifié. Ainsi dans le roman que nous analysons, Sita manifeste son conflit en voulant montrer ou valoriser son parti et en rejetant ou en déconsidérant les partis de leurs adversaires. Pour dire que Sita montre un comportement très contraire à celui de Birahima pour avoir soutenu le président Gbagbo. Elle montre une haine envers Gbagbo, étant Bété, même s’il est président en place. C’est à partir de ce personnage que  nous affirmons que lé conflit interne dans notre roman.

Mais en plus du conflit interne, nous pouvons aussi  parler du conflit inter individuel. Ce conflit peut être résumé dans les déclarations faites par Birahima envers sa tutrice. Nous pouvons encore le lire :

 « Ces déclarations ont rendue folle Sita, elle m’a infligé une bonne gifle et de cout de pied, je répondais : « Gbagbo le présidant est un type bien ! »

Pan ! « Un type bien ! »(p. 13)

Pour ce qui est du conflit inter individuel, Sita et Birahima : tous étaient de Dioulas, mais nous trouvons par ces déclarations de Birahima et par ces répliques de Sita que chacun d’eux avait son objectif contraire à l’autre. Nous n’allons pas oublier que Birahima venait de Liberia et en Sierra Léone où il avait déjà vécu la guerre tribale (guerre civile), c’est pour cela que nous disons qu’il avait son point de vue contraire à celui de sa tutrice Sita. Où bien même si nous pouvons voir dans notre roman, quant à l’histoire, il y a une phrase que l’auteur a commencée avec

« Le singe qui s’est échappé en abandonnant le bout de sa queue dans la gueule du chien n’a pas dans l’échappé la même allure que les autres de la bande » p 11

C’est dans ce sens que nous avons dit qu’ils n’ont pas le même point de vue entre les deux, parce que Birahima avait déjà subit le problème de la guerre civile au Liberia et en Sierra Léon, pour dire que lui ne voulait plus la guerre. Mais Sita comme elle n’avait jamais gouté ce problème, elle prenait comme elle voulait en donnant son parti une raison. Parce que qu’aucune chose ne devrait se passer. Pour dire, entre, Sita et Birahima leur point de vue était divergent sur tout le plan : sur le plan idéologique que sur le  plan physique. En faisant le mouvement où en donnant des coups de pied à Birahima, cela montre une divergence des idées entre ces deux personnages. Ici, Sita veut traiter Birahima  comme si il appartient dans un autre groupe, qui peut aussi nous aider à parler de conflit entre groupe.

  1. Conflit entre groupes

Pour le conflit entre groupes, nous savons d’abord que nous parlons de deux groupes ou même deux parties ; la partie du Nord et la partie du Sud. Alors voyons comment évolue le conflit interne. Lisons :

« Les habitants de la foret sont très peu nombreux et surtout, ils sont lymphatique. De vrais travailleurs on n’en trouve  qu’au Nord du pays. Le problème est posé au niveau de l’AOF et du ministère des colonies à Paris. (p.63)

Dans ce passage, nous constatons que nous sommes au début du conflit entre ces deux groupes, mais le conflit apparaît déjà externe. Les habitants du Sud qui sont négligés sont allés se plaindre parce qu’ils n’avaient droit aux travaux forcés dans  leur pays. Seuls les habitants du Nord qui avaient droit à tous ces travaux, c’est pour cela que le problème était posé à l’AOF et aux ministères aux colonies à Paris. Pour dire entre ces deux partis chacun d’eux défend sa cause c.à.d. la cause défendu par les habitants du Nord n’est pas la même cause de ceux du Sud  pour dire qu’ils défendent les causes divergentes. Ces deux groupes ne font pas partir dans une même ethnie, pour cela nous pouvons encore parler du conflit entre ethnies.

  1. Conflit entre ethnies

Comme nous parlons du conflit entre groupe, ce pour cela que nous avons aussi parlé du conflit entre ethnie pour dire entre ces deux groupes, nous avons deux ethnies. Dans ce cas nous voyons une ethnie appelée Bété, une ethnie du profond foret de la Cote d’ivoire qui occupe le Sud de la Cote d’ivoire. Mais nous trouvons que les Bétés n’aiment pas les Dioulas, c’est dans ce sens que nous lisons :

« Les Bétés n’aimaient pas les Dioulas comme moi parce que nous sommes  opportunistes, versatiles et obséquieux envers Allah avec les cinq prières  journalières »p.16       

Dans ce passage, les bétés montent qu’ils rejettent toutes les idées de leurs adversaires (Dioulas). Mais pour cela nous sommes aussi devant un conflit religieux, pour dire ces deux groupes n’ont pas ni la même ethnie ni la même religion. Les bétés sont des chrétiens qui acceptent Jésus christ comme fils de Dieu. Une autre ethnie appelée Dioula  dominée par les habitants du Nord, et ces Dioulas sont des Musulmans c.à.d. dans cette nation, nous avons deux religions : la religion musulmane qui occupe le Nord et la religion chrétienne qui occupe le Sud. Le conflit religieux s’exprime entre les Bétés et les Dioulas. Les dioulas aussi n’aiment pas les Bétés, étant musulmans, ils croient à Dieu appelé « Allah »  et son prophète « Mahomet ».  Plus ils sont opposant en tous, plus leur point de vue est divergent et les causes défendues sont divergentes. Le conflit religieux entre les musulmans et les chrétiens a commencé dès le VII au XV siècle lorsque Mahomet disait :

« Tuez les idolâtres (ceux qui adorent les idoles) partout où vous les trouverez, saisissez- les, assiégez-les, faites-les tomber dans vos embuscades, à moins qu’ils ne se convertissent ». «  Faites-leur la guerre jusqu’à ce qu’ils plient devant vous ». (Cours d’histoire de  moyen âge et de temps moderne L1 HIST)           

Pour dire que, le conflit religieux a toujours existé depuis longtemps par tout au monde. Les conflits entre ethnie qui entrainent la confortation entre deux tribus où ethnie peut déboucher sur le conflit politique. Mais avant de passer au conflit politique, nous pouvons d’abord montrer que le conflit entre ethnie se fait sur tout par les différentes idées comme par exemple :

« Le dioula où malinkés n’aiment pas le bété il se moque d’eux. Il le trouve très volant et très grégaire (p17) »

Ici, les malinkés ont leur idées contraire à celle de Bété, d’où nous pouvons faire appel à U.WINDISCH (1987 : 25) cité par CIRIMWAMI BARHATULIRWA qui affirme que « les objectifs de l’auteur d’un discours conflictuel sont au moins au nombre de trois :

  1. Combattre les idées, les thèses émises par son adversaire ;
  2. Le faire partager au publique témoin, au public visé et concerne par les enjeux du conflit ;
  3. Faire triompher ses propres idées et thèses.

Avec le conflit entre ethnie, parlons maintenant du conflit politique. Comme nous venons de le dire que ces deux groupes, chacun défendait ses idéologies suite au non intégration de toute la population dans les travaux forcés. Le conflit politique se développe dans le sens où le bété étant moins nombre dans les travaux ; ils cherchent aussi à poursuivre leurs propres intérêts. C’est à cela qu’ils ont allé se plaindre à l’AOF pour aussi déclarer, revendiquer leur droit entant que citoyen de la nation. Mais par le développement de ce conflit politique, les Bétés ont arrivé à créer un terme de « l’ivoirité ». Ce terme consiste aux premiers occupants du pays. En créant ce terme, les Bétés voulaient profiter où voulaient défendre leurs intérêts. Les intérêts poursuivis par les Bétés étaient de prendre où de chasser tous les dioulas qui vivaient au Sud, appelé capital Bété pour prendre leur terre. Pour dire qu’il voulait rester eux même au Sud pour qu’il cherche à atteindre le pays en générale, c.à.d. que les Bétés suivaient les intérêts politiques. C’est dans ce sens que le conflit politique s’est développé en guerre civile. Parlons aussi du développement de la guerre civile après le développement de différent conflit.

  1. La guerre civile (tribale)

Par la guerre tribale vue qu’il y avait delà beaucoup de conflit qui était déjà formé dans ce roman, chaque groupe ayant ses conflits à former une rébellion nous pouvons le lire dans ce passage suivant : 

«Le rebelle du nord plaine de dioulas ont attaqué Daloa paisible. Les perliers heures, j’été content, très cotent. La guerre tribale était là et bien là, comme au Liberia et en Sierra Léone. Ils étaient sortis de partout. C’était en majorité de dioula de chasseur traditionnel, les fameux dozos qu’on appel en Sierra Léone les Ka majors… les loyalistes, les soldats de Gbagbo qui défendait la ville ont tiré plusieurs foi sur les assaillants sans parvenir à le tuer… » p20à 21

Comme nous avons définis que la guerre est «  un fait universellement constatable. Il est certes difficile de saisir un passage direct entre l’affrontement de deux sujets singuliers où des deux familles et celui de deux groupes plus important  qui méritent le nom de guerre  » (encyclopédia  universalis, 1996). Ici, nous allons parler de la guerre tribale qui est une opposition entre deux ethnies, deux partis politiques. La guerre tribale qu’on peut encore appeler guerre civile oppose le civil contre le civil. A ce point, la guerre doit toujours opposé deux partis de force relativement égale. Si un conflit est mené par un peuple beaucoup plus fort contre un autre beaucoup plus faible, nous parlerons de pacification où d’opération de police.  Dans le cas inverse, quand le plus faible veut s’affranchir d’une tutelle pesante nous parlerons de rébellion où de révolution (encyclopédia universalis 1996).

L’histoire de la guerre dans notre roman permet d’en saisir l’infinie diversité. Pour en rester à l’époque actuelle de nombreuse typologie ont été proposées afin de cerner et de classer  ces phénomènes. Dans ce sens, le thème de la guerre tribale dans le roman qui fait l’objet de notre travail, l’auteur nous parle de deux ethnies (le dioula et le bété), les deux ethnies qui ne s’attendaient pas, qui se quereller. Par les mésententes elles sont arrivées à faire la guerre que nous appelons tribale. Ici, nous trouvons que même notre personnage principal Birahima qui avait déjà fait quelques déclarations avec sa tutrice Sita, en disant que « le président Gbagbo à beau d’être Bété, c’est un type bien. C’était une véritable ironie qu’il faisait ; d’où nous avons dit que chacun a son point de vue envers un problème. Parce que, lorsque les rebelles du Nord ont attaqué la ville de Daloa, Birahima déclare ceci :

« Les premières heures j’étais content très content »     

Ici, Birahima manifeste son conflit envers le pouvoir en place. Lorsque nous parlons de Daloa, est une ville de la cote d’Ivoire ou comme nus l’avons appelé capital de Bété. Pendant cette période, tout le monde qui était pour le pouvoir en place ou ^pour le président Gbagbo, était tué. Mais surtout les Bétés et même le militaire et les gendarmes, c’est dans ce sens que nous avons pris ce passage :

«Les gendarmes de Daloa ont été massacre et le cadavre jette dans un charnier par ce que c’est sont d’autre gendarme, le 26 octobre 2000 à ABIDJAN, qui ont à lever et ressembler le Dioula puis les hommes mitraillés et ont jeté leurs corps dans un charnier géant «  Yopougon »p 21  

Selon que nous remarquons, cette première attaque des Dioula, était une réplique pour les Bétés parce que si nous pouvons vérifier dans cet extrait, nous remarquons que, ce sont les Bétés qui ont commencé par ressembler le gendarme Dioula et ils les ont mitraillés comme des Bétés sauvage et ils ont fait des cadavres un immense charnier. Pour dire que plus chaque groupe ou ethnie voulait défendre se s intérêts politiques, il débouchait aux tueries. Cette tuerie qui causait les préparations de guerre civile (tribale).

Comme ce sont les Dioulas qui attaquent, après la victoire de rebelle Dioulas, chaque Dioula était content. Mais comme était un conflit de deux ethnies, après quelques mois les Bétés ont répliqués toujours dans la même capitale (Daloa) les Bétés étaient très fâché de sorte que le président Gbagbo criant

«Merde ! Merde ! Parce que lui-même est de l’ethnie Bété. Il décide de sa part sans tenir compte de toute la population, pour dire qu’il réagit en voyant son ethnie. C’est dans ce sens que nous affirmons cette guerre  tribale «il a mis tous le budget de la cote d’ivoire sur la table. Il a recruté des mercenaires à prix d’or. Il a fait venir les mercenaires du monde entier… »p 33

Dans ce sens, le thème de la guerre est développé par la constitution des différents conflits développés dans notre roman. Parce que, lorsque le président Gbagbo met tout le budget ivoirien en jeu, pour dire que là nous assistons à une guerre. Le président n’est pas que les Dioulas puissent prendre où même occuper une partie de son pays. Mais ni les Bétés ni les Dioulas faisaient partis dans la population de son pays. Ici, nous ne pouvons plus parler de la guerre tribale ou de la guerre civile parce qu’il y a déjà des mercenaires, il des blancs et d’autres militaires africains. A ce point le pays est en guerre, c’est la raison pour laquelle nous avons lue dans notre roman :

« Le loyaliste, avec le mercenaire blanc à leur tête, ont attaqué à nouveau les rebelles. Ils les ont foutus or de la ville de Daloa parce que le mercenaire ne croyait pas aux grigris aux amulettes de chasseur. »           

Voilà que nous sommes du conflit qui est développé sur les différents points de vue de nos personnages jusqu’ils  aux guerres. Mais pour le mercenaire l’objet était de prendre la ville(Daloa). Après la guerre, ils l’ont prise et il l’avait laissé dans les mains des jeunes militants.

Ces jeunes patriotes, supplétifs, qu’ils ont laissé la ville de Daloa, ont tiré des maisons de Dioula un à un, ils se sont approprié leurs maisons et ils ont pris tout ce qui pouvait être emporté  après cela ils ont arrêtés les valides et imams et ils les avaient «  zigouillés » (tués). Nous pouvons encore lire : 

«Quand les Dioulas ont su qu’il risquait d’être tous arrêtés un à un et d’être tous surement zigouillés un à un en catimini, ils se sont révoltés » p.100

Ici, par les répétitions de guerre tribale nous assistons toujours à deux ethnie qui ne se comprennent, qui par leur mésentente nous donne toujours le résultat de la guerre, d’où nous appelons une guerre civile c’est une guerre qui oppose le civile eux même sans intervention de militaire.

C’est une guerre tribale parce que ca oppose deux tribus. Dans ce sens nous assistons  une nation à deux armées, dont chacune d’elles est constitué d’une tribu c.à.d. que chaque armée est composé de ressortissant d’une même tribu par exemple à la page 20, 21 nous avons trouvé pour la première fois « le rebelle du Nord pleine de Dioula ont attaqué. Pour la deuxième fois, et loyaliste engagé par le président Gbagbo ont aussi attaqué p1our chasser le rebelle du Nord qui occupait déjà la ville. Lorsque nous parlons de dioula comme le dit notre roman, nous parlons de musulmans. Pour dire que l’armée de Dioula est constituée de tribu de Malinké.

Daloa qu’on avait appelé ville ou capital Bété, les Bétés sont aussi des personnages qui sont des chrétiens souvent catholiques. Eux aussi formant une armée constituée par le ressortissant de cette ethnie Bété. D’où chacune de ces deux tribus ne devrait pas se laisser par les conflits qu’ils ont développés. Pour ce thème de la guerre développé par les différents conflits de personnage, nous remarquons que c’est surtout le conflit langagier qui a amené le personnage à réagir, c.à.d. que le conflit langagier nous amène aux conflits pratique (externe). Par la pratique de ce conflit, le pays débouche à une anarchie parce que chaque groupe ou ethnie voulait manifester leur conflit envers leurs adversaires. Donc après le conflit qui se développe en guerre, nous pouvons aussi parler de notre thème qui sera intitulé l’anarchie constatée par la réplique de nos personnages en voulant se défendre contre leurs adversaires.  

   Pour  mieux expliquer ce conflit qui engage nos  personnages, nous pouvons le présenter sur le Schéma ci-dessous.

Destinateur                              Objet                                        Destinataire

Les Dioulas                    Récupération de la terre           Chasser les Dioulas du sud

                                      Occupée par les Dioulas

Participation à la main d’œuvre                

                          Et  aux travaux forcés

Les colonisateurs

Adjuvant                                    Sujet                                           opposant

Bétés

Ce schéma nous laisse voir que l’héroïne a connu beaucoup d’obstacles lorsqu’il travaillé au sud.  C’est dans ce sens que nous avons dit que le conflit s’est développé dès la période de la colonisation, par le colonisateur qui a initiée seulement les Dioulas. Mais les Dioulas aussi, n’ont pas été prudent, ils ont commencé à négliger les Bétés, à les prendre comme s’ils sont incapable de travailler dans les plantations des Blancs. C’est pour que ce conflit s’est développé en anarchie qui finalement se transformera en guerre tribale.

2.1.2. L’anarchie

Nous venons de dire que l’anarchie est développé a partir des différents conflits qui aboutissent aux guerres civiles ou tribales. Ce terme représente un désordre résultant d’une absence ou d’une carence d’autorité, selon le petit Robert, 1986 :66). En Côte-D’ivoire, les conditions existentiels qui entraine des rançonnements et des exterminations des populations à grande échelle, la guerre civile du la guerre tribale, la fuite d’investisseurs étrangers comme le patron associés à Sanniquellie qui ont subi des Kidnappés ^par les conséquences les plus visibles sont que les villages et les villes sont desserrés pours forêts et d’autres pays africains. Dans ces types de conditions, la loi n’appartient à personne. Ce a pousse tout le monde à prendre des machettes et des Kalachnikovs pour se protéger. Pour le cas d’illustrations nous pouvons lire : « A la sortie d’un village, un jeune homme nous a barré la route.  Il voulait nous fouiller pour savoir si nous n’emmenions pas chez nous au Nord l’argent du sud de la Côte-D’ivoire »

Comme nous le voyons dans cet extrait, cet homme dont on parle est citoyen du pays qui se permet d’arrêter les autres citoyens. Pour dire qu’il se considère comme des ennemis pour les Bétés. C’est dans ce sens que nous avons dit que dans ce pays il y a de désordre, parque chaque personne voulait se défendre et défendre sa tribu en se procurant une arme. D’où ces jeunes militants avaient de coupe-coupe pour se défendre.

Comme par exemple :

« Mais brusquement, sont sortis de la forêt une quinzaine de jeune comme lui, tous armé de coupe-coupe »

Quant à Bralima, nous remarquons que pendant ses parcours de fuite vers le Nord, lui aussi se procuré le Kalach pour se défendre.

Parce que, lorsqu’ils ont été arrêtés par un jeune homme, le narrateur nous : « Mois, petit Birahima, je n’ai rien dit. Je me suis courbé, j’ai sorti le Kalakch et j’ai tiré en l’air.» p.130

Voilà, ceux qui nous a posse d’affirmer ce désordre dans ce pays, parce qu’ici, aucune loi n’est respectée. Parce que, comme nous venons de dire que chaque personne voulait défendre son ethnie ou sa tribu. C’est dans ce Birahima aussi porté son Kalach pour défendre son ethnie.

En fin, nous pouvons voir qu’un bon nombre de ces chefs de guerre d’honnêtes citoyens, fatigués de l’injustice et de la corruption. Mais la dureté et les moyens méprisables qu’ils utilisent pour atteindre leurs objectifs mènent à la guerre. C’est-à-dire, la durée du conflit comme nous venons de la dire entre eux mènent à la guerre. Le besoin de contrôler les ressources naturelles à fait de ces hommes les mêmes monstres se donnent la tache à vaincre. Après nos analyses de ce conflit qui engage nos personnages que nous avons qualifiée la base de la guerre et qui a mené le désordre dans ce pays ; comme moyen de défende pour les Bétés, c’est la xénophobie qui nous renvoyé au chasse des étrangers. C’est pour cela que nous nous sommes fixés les thèmes de la xénophobie.

2.1.3.  La xénophobie

La xénophobie défini par le petit Robert comme « Hostilité à ce lui qui est étranger ». Ce Bétés par leur propre terme  « d’ivoirité ».

Lors de la colonisation, les Bétés se situaient surtout dans la zones forestières à l’intérieur du pays Pour dire qu’ils étaient recrêtaient très peu nombreux dans les Dioulas du Nord et les étrangers qui travaillaient dans différentes organisations. Les Bétés sont allés poser le problème au niveau international, comme ils étaient dans la foret, ils se voyaient toujours comme de vrais ivoiriens.

En se voyant comme de vrais ivoiriers, ils prirent part de chasser les étranger et ce qui cause le dommage en Côte-d’Ivoire, le fait de chasser les ivoiriens du Nord. Les habitants du Nord sont doutés, mais surtout comme ils sont des musulmans et que les Bétés sont des chrétiens (catholique).

Ici, nous faisons encore revivre le conflit religieux que nous avons parlé vers les pages suivantes. Illustrations avec ce passage : «les habitants de la forêt sont très peu nombreux et surtout, ils sont lymphatiques. D vrais travailleurs, n’en trouve qu’au Nord du pays…. On décide de démembrer la haut volta (appelée aujourd’hui Burkina). Une grande partie du Burkina est rattachée à la Côte-D’ivoire ».

Vu qu’on a déjà rattaché une partie du Burkina à la Côte d’Ivoire, ça signifie que tous les ivoiriens qui vivaient dans cette partie sont considérés comme des étrangers. Pour dire qu’ils sont venus de Burkina, ils ne sont pas de vrais ou des indigènes de la Côte d’Ivoire. Par ce système de rattacher cette partie, les Bétés trouvent un possible moyen de créer le terme d’Ivoirité » pour chasser tous les étrangers en déchirant leurs cartes d’identité. Tout ce ci parce que sont des habitant du Nord qui sont mobilisés pour travailler dans la plantation du Nord qui sont mobilisés pour travailler dans les plantations des Européens au sud et les habitants du sud réaliser des plantations villageoises.

Ici, les Dioulas prennent les Bétés comme des esclaves, ils les négligent qu’ils ne peuvent rien faire, comme l’auteur nous le dans ce passage :

« Les planteurs africains du sont victime des grandes discriminations. Ils n’ont pas droit aux mains d’œuvre venue du Nord grâce au système des travaux forcés » p96.

Nous pouvons dire qu’ici les Bétés ont beaucoup souffert, mais surtout parce qu’ils ont beaucoup resté dans la forêt. Ils n’ont pas doit de jouir à aucun intérêt de leur pays.

La xénophobie est affirmée dans le sens où les Bétés veulent chasser les Dioulas pour récupérer leur terre. Pour soutenir cette idéologie, ils ont créé le terme de l’ivoirité. Pour bien affirmer cette idée, lisons ce qui suit :  

« Il nous ont demandé nos cartes d’identité de l’ivoirité. Mes compagnons de malheur ont sorti leurs portefeuilles. Moi, je n’avais ni portefeuille ni carte d’identité. Ils ont recueilli les portefeuilles, en ont sorti les cartes d’identité de l’ivoirité. Ces cartes ont été mises en miettes. Les miettes ont été rassemblées et mises dans le feu. » P.28.

Nous constatons que les Bétés ont créé ce terme pour écarter les Dioulas. Les Dioulas sont victime de ce terme pour avoir été recrutés par les colonisateurs aux travaux forcés

Pour cela, ils se sont opposés contre les Dioulas qui se croyaient être expert dans toutes choses. Pour terminer cette partie, nous pouvons aussi dire que Birahima qui a accepté d’accompagner Fanta dans les Zones rebelles, nous trouvons que la plus part de ses idées sont dominées par l’amour envers celle-ci.

Parlons aussi de l’amour quoi habite Birahima pendant la fuite de Daloa.

2.1.4 L’Amour 

 Disposition favorable de l’affectivité et de la volonté à l’inspire (le petit Robert 1, 1986 :61).

  • Beaucoup d’écrivains qui ont déjà parlé de l’amour, pour dire qu’il existe plusieurs définitions sur se terme (amour, pour dire qu’il existe plusieurs définitions convient à notre roman qui fait l’objet de notre travail. Ainsi, Birahima a beaucoup exprimé son amour envers Fanta à plusieurs manières. Vraiment quand on aime, n’importe qu’elle geste manifesté par l’aimé, sera toujours appréciée. Pour Birahima chaque fois qu’il voit Fanta, elle apparaît comme nouvelle chez lui. Mais Fanta comme ne l’aime pas et surtout que le père de Fanta était enseignant (maître) de Coran de celui-ci, elle le prend comme frère.
  • Mais chaque fois qu’il se rencontre avec celle-ci, il lui dit :

 «  Fanta je t’aime » et Fanta répond toujours :

« Birahima, moi je t’aime aussi  mais comme jeune frère » p 30

Pour Birahima, cela ne suffisait pas parce que lui, voulait l’amour et que ça peut arriver un jour qu’il se mari.

Mais Fanta voulait un amour familier, un amour de frères en frères, de sœurs en sœurs etc. Lisons cet extrait pour nous pour aider à illustrer nos analyses.

« J’avais des ailes, j’étais content comme il n’est pas permis de l’être le massacre des habitant. J’avais un sacret que je conservais dans le ventre (dans mon cœur). J’avais un secret important à dire à Fanta. Dès le premier jour que nous avions quitté Daloa, je l’avais précieusement conservé dans mon cœur ou dans ma tête. » p 35

Jusqu’ici, Birahima veut exprimer ses sentiment mais ils se trouvent encore fermé, il est incapable de se dévoiler.

C’est après une l’orque distance qu’il va se dévoiler en disant :

« Fanta, je voulais demander tes mains à tes parents pour que tu sois ma femme…. » (P.137)

Ici, Barahima montre toujours qu’il est amoureux de Fanta. Mais le problème est que Fanta avait étudié mais Birahima est illettré, alors Fantata est incapable de dire livrer. Par le degré de l’amour qu’il avait envers Fanta, il s’est permis de lui raconter toutes ses aventures, il est arrivé à prononcer « qu’il avait violé », Fanta avait eu peur qu’il peut aussi la violer. Quand ils quittent la ville de Daloa en fuient vers le Nord, pour la première fois Fanta avait déjà l’idée de la violence dans ses pensés, à cela elle ne pouvait plus libérer l’allure pour que Birahima ne la viole pas. Si nous analysons ici, nous trouvons que pour Birahima, le problème de son pays ne lui plus rien mais plutôt l’amour envers Fanta qui l’importe. Parce que quand il tombe dans les mains des Bétés et qu’il réussi de s’échapper, il s’est dirigé vers par la maison de Youserf qui est le père de Fanta et qui était son maître de Coran. Il se cache dans la chambre à coucher sous le lit, il tremble, mais quand Fanta lui amène en verre de l’eau, Birahima a tout oublié et il ne s’est plus intéressé aux problèmes qu’il avait. Il commence à regarder Fanta comment Dieu l’avait créé, pour dire qu’il est dominé par l’amour. C’est la raison pour la quelle nous parlons qu’il était plus intéressé à l’amour qu’aux problèmes de son pays.

Pour ce qui concerne le conflit que nous avons analysé en anarchie et puis qui se terminera par la guerre tribale ; pour bien le comprendre ou pour bien le voir, nous pouvons aussi le présenté dans un schéma. Et ce schéma va présent presque toutes les actions ou même l’ensemble de tous ceux qui sont racontés dans notre roman « Quand on refuse on dit ».

Destinateur                              Objet                                        Destinataire

Birahima                             La paix                            T ous les habitants  du                      

                                                                                   Pays

·         Guerre

·         Le colonisateur

·         Les autres Dioulas            

·         Les Bétés

·         Les loyalistes

·         Les mercenaires

Adjuvant                                  Sujet                                                opposant

2.2. CAUSE DU CONFLIT

2.2.1. La cause du conflit

Dans « Quand on refuse on dit non » d’Ahmadou Kourouma, la cause du conflit politique est liée premièrement à la non considération de la résistance héroïque du peuple du pays avant l’indépendance. Dès le premier président Félix HOUPHOUET-BOIGNY, il avait une conception curieuse de l’histoire de ces peuples. C’est-à-dire le premier de la Côte-d’Ivoire n’avait une bonne conception pour des résistances pendant la période coloniale. C’est la raison pour la quelle on quelle on dit dans se paysage :

Pour s’étendre avec les colonisateur, il a effacé le résistance à la colonisation (….) C’est pourquoi aucune rue des villes ivoiriennes à la colonisation ».p 26

Dans ce sens, nous trouvons que HOUPHOUET a voulu s’entendre avec le colonisateur et à fait abstraction de l’existence de résistant à l’époque de la colonisation. Pour le pays qui subi la colonisation ne sacrifié leur vie, qui ont refusé ou les leaders qui ont sacrifié leur vie, qui ont refusé pour la première fois la colonisation.

C’est pour cela que les Ivoiriens modernes vont chercher leur appartenance à la patrie dans l’Ivoirité. Lorsqu’ils utilisent le terme de l’Ivoirité il ne voit que le premier à arriver avant les autres. Ici, ils ne sont pas à la connaissance de celui qui avait versé son sang pour la patrie. Au moment où nous trouvons dans le cours d’histoire de la Côte-d’Ivoire qui Fanta enseignent à Birhima leur de leur fuite vers Bouaké, la ville Dioula, en parlant des Gouro, Baoulés, Deties et le Dioulas de Bobo qui se sont révoltés contre la colonisation française. Dans ce sens comme le pays est en démocratie, il devait reconnaitre tous le pays est en démocratie, il devait reconnaitre tous ces leaders qui se sont révoltés comme dans tous les autres pays qui ont subi cette souffrance de la colonisation.

Mais dans ce pays, ces résistants ne sont pas connus et c’est dans ce sens que l’origine de ces peuples n’est pas trouvée.

Pouvons nous aussi affirmer le Daoulas se sont révoltés pour leur frères qui ont lutté pour leur patrie, mais les Bétés comme ce sont eux qui étaient au pouvoir ne devront pas s’en occupé de ce problème. Comme nous l’avons déjà dit si haut que, comme les Bétés ne faisaient pas parti de ces leaders, c’est la raison pour la quelle ils ont fait abstraction à ceux-ci. Sans être pessimistes, nous pouvons dire que cette politique était jouée par les Européens. Par ce que, si nous pouvons voir l’histoire de leur pays nous trouvons que cette histoire était partie de la matière du programme de leur pays. Parce que Fanta s’est proposé d’enseigner deux cours à Birahima : L’histoire et la géographie  de la Côte d’Ivoire. C’est la raison  pour la quelle nous affirmons que c’est un système politique mais surtout fait par les colonisateur français.

En outre, nous pouvons dire que tous ces problèmes qui habitent ce pays, sont liés par le manque des leaders de ce pays. Parce que, si nous pouvons voir dans cet extrait :

« Les Bétés c’est-à-dire le Krus, soit venus de l’ouest (actuel Libéria) du deuxième au douzième siècle. Les Malinkés, issus du Nord (actuel Mali et Burkia) sont arrivés du treizième au quatorzième siècle. » (p. 56).

Dans cet extrait, nous trouvons que se sont les bétés qui ont arrivé avant les Dioulas. Mais tout le monde est venu d’ailleurs, aucun autochtone n’est là. Peut être s’ils devront avoir les leaders qui lutté pour la démocratie les choses ne devront pas se graver jusqu’ici.

Du côté Bétés, ce confit était lié au non engagement à certains travaux ou la non initiation à certains travaux lors de la colonisation.

Pour dire que les Bétés entaient moins nombreux dans beaucoup de travaux lors de la colonisation. Pour dire que les Bétés étaient moins nombreux dans beaucoup de travaux de main de main d’œuvre.

Tout travailleur venait au Nord du pays au moment où le Nord était occupé par les Dioulas. 

C’est ce qui a été mal compris par les étés qui se voyaient comme maitres de la terre ivoirienne. Comme l’auteur le dit dans ce passage à la page 63 :

« De vrais travailleurs, on n’en trouve qu’au Nord du pays. Mais les Sénnfos ne sont pas plus de cinq cent mille ».

Comme les Dioulas se manque d’eux. A partir de cela, les Bétés ont commencé à s’infrastructure du chemin de fer Dbidja-Niger et du port d’Abidjan. Ces deux guerres ont été amplifiées après 1945, où les planteurs africains du sud ont été victimes de grave discrimination. Comme l’auteur nous le dit à la page 66 : 

          « Ils n’ont pas droit à la main d’œuvre venue du nord grâce au système des travaux forcés ».

2.2.2. SITUATION DE LA GEURRE

En guise d’un aperçu général, l’état de la guerre tribale est dévoile par le fait des tueries. Pendant cette période, le conflit s’aggrave à une guerre tribale ou même guerre civile. C’est ce qu’on appelé, le niveau de risque selon les étapes dégagées par Simon Fisher et Al. (1992 :30),qui se caractérise par des guerres internes. En côte d’Ivoire les jeunes militants et les Dioulas prennent les armes pour se défendre.

Cela nous amène à l’introduction des fractions ou des groupes en opposition. C’est-à-dire lorsque chaque groupe s’est procuré des armes et qu’ils sont en conflit, pour dire qu’il aura guerre. Avant que la guerre tribale et la situation de conflit n’atteignent l’étape de la crise, le premier conflit est manifesté par Sita.

Sita est un Dioula, elle aussi n’aime pas le Bétés, alors, lorsqu’elle avait entendu Birahima dit :

Elle était très étonné d’entendre un Dioula comme elle de parler ainsi.

Les deux groupes ont formé chacun un parti :

Pour les Dioulas ; ils ont formé un appelé « RDR » formé par les moralistes musulmans qui signifie  « Rassemblement des Républicains ».

Pour les Bétés, ont formé un parti « FPI » dominé par les jeunes militants. Par la création de ces deux partis en opposition, le pays tombe en guerre tribale. Le FPI pille tous les biens de Dioulas qui fait parti au parti « RDR », en disant que tout argent possédé par les Dioulas qui vivaient au sud appartenait aux Bétés. Pour les Bétés comme ils sont  plus nombreux Sud plus que les Dioulas, ils considèrent tout les bien comme le leurs.

Mais aussi la situation s’est aggravée par l’histoire politique. La situation politique était instable, car les départs et les retours des différents présidents étaient très rapides après la mort de Houphouët-Boigny qui  été le premier président de  la côte d’ivoire.

De plus, certains de ces présidents étaient corrompus, ce qui a une mauvaise influence sur la société ivoirienne. Lisons cet extrait à la page 50-51.1

« La conjoncture internationale s’était renversée, des initiatives malheureuses avaient, été tentées et la corruption avaient été tentées et la corruption avait gangrené ».

Cet extrait nous permet d’illustrer les présidents que nous avons dit qu’ils sont corruptibles : parce que parce que, pendant, cette période, tous les présidents qui montent au pouvoir étaient corruptibles.

Comme de président Koman Bédié Guei, Gbagbo et même le premier ministre Ouattara. Tous ces présidents, par la corruption, chacun visé les intérêts propre à lui-même.

 Après la situation de la Côte-d’Ivoire, nous pouvons aussi parler de chacun de ces deux groupes.

2.2.2.1. LE DIOULAS

Ce sont des habitants du Nord de la Côte-d’Ivoire, ils sont surtout des musulmans, ils sont obséquieux, opportunistes et verstiles en vers Allah, avec les cinq prières journalières comme tout autre musulman. Lorsque nous parlons d’opportunistes et de versatiles, selon le dictionnaire de l’auteur signifient que les Dioulas changent à chaque occasion comme de caméléon. (Kourounna : 2004 :16)

En outre, étant musulmans les Dioulas n’aiment pas ceux qui ne le sont pas, ils se moquent d’eux, et comme ils sont chassés par les Bétés, ils sont entrain d’acheter de fausses cartes d’identité pour avoir et obtenir l’ivoirité. Ils sont toujours entrain de  réclamer  les terres que les Bétés les ont vendues pédant les périodes où la terre appartenait à eux qui le cultivaient.

Les Dioulas cherchent à faire du profit avec du commerce pour ou moins légal. Comme nous l’avons déjà dit, ils n’aiment pas les Bétés, ils se moquent deux, ils se montrent très violent et très grégaires. Ils se voient très sérieux plus que les Bétés en faisant de petit commerce.

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