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CHAP I : REVUE DE LA LITTERATURE

  • Flux de l’azote dans un sol
    • Formes d’azote dans le sol

L’azote est le seul élément qui n’est pas issu de la roche mère ; on le trouve dans la nature sous deux états, notamment à l’état libre où il constitue 80% de l’atmosphère terrestre et à l’état combiné sous la forme organique ou minérale (Denis, 2000).

Dans le sol, l’azote peut exister sous trois formes principales représentant trois stades de décomposition des matières organiques :

  • L’azote organique est la réserve d’azote du sol. Il n’est pas directement utilisable par les plantes. La plus grande partie se trouve sous forme d’humus stable dosant 5 % d’azote. Ce stock représente généralement entre 1 et 3 % de la terre fine, beaucoup plus dans les sols humifères. Un taux élevé d’azote organique n’est pas forcément l’indice d’une bonne aptitude du sol à bien nourrir les plantes en azote : il peut s’agir d’une minéralisation trop faible de cet azote.
  • L’azote ammoniacal (NH3) est une forme transitoire, mais retenue par le système adsorbant. Résultant de l’ammonisation, les ions ammonium NH4+ sont retenus par les charges négatives du complexe argilo-humique. On dit qu’ils sont « fixés » mais ils sont assez rapidement oxydés par les bactéries nitrificatrices qui les transforment en ions nitrates (NO3-)
  • L’azote nitrique (NO3-), très soluble, est la forme principale d’absorption de l’azote par les plantes. Ces cations, non retenus par le système adsorbant, peuvent être perdus par lessivage s’ils ne sont pas absorbés par les plantes ou par les bactéries « organisatrices », c’est-à-dire retransformés en azote organique (Hubert et al, cités par Denis 2000).
  • Les principaux flux d’azote dans un sol cultivé

Le cycle de l’azote dans une parcelle cultivée peut être représenté par les flux qui alimentent le stock d’azote minéral dans le sol :

  • la minéralisation de l’humus, de la biomasse microbienne, des résidus de culture et des produits résiduaires organiques,
  • la fixation symbiotique des légumineuses et la fixation libre de diazote (N2),
  • les apports d’azote minéral des engrais et des fertilisants organiques (fumiers, lisier,),
  • les dépôts atmosphériques par voie sèche ou humide

Et les flux qui contribuent à le diminuer ou leur sortie sont entre autre :

  • l’exportation par les récoltes,
  • l’organisation de l’azote minéral dans la biomasse microbienne,
  • les pertes par volatilisation de l’azote ammoniacal,
  • les pertes gazeuses au cours des processus biologiques de dénitrification et de nitrification,
  • les pertes par lixiviation de l’azote nitrique (Denis, 2000).
  • Approche sur l’efficience d’utilisation de l’azote

L’efficience d’utilisation de l’azote est définie par les agronomes comme étant le rapport entre la quantité de matière sèche produite (rendement grains dans le cas des céréales) et la quantité d’azote disponible dans le sol ; elle peut être décomposée en deux paramètres à savoir l’efficacité d’absorption et l’efficacité d’utilisation de la portion d’azote déjà absorbée, cette dernière étant beaucoup étudiée par les agro physiologistes (Karou, 2001). L’efficience d’utilisation de l’azote peut être améliorée par les techniques de fertilisation (approche agronomique) et par l’amélioration génétique (approche génétique)

  • Moment d’application d’engrais azoté chez le maïs

Plusieurs chercheurs montrent divers moments d’application de l’azote sur le maïs ; certaines études montrent que l’azote peut être apporté au moment du semis et d’autres montrent que l’azote peut être apporté lors de la croissance en tenant compte des moments où la plante a plus besoin de l’azote (Mulumuna, cité par Kasavuli, 2015). Anonyme (2010) montre que jusqu’au stade 7 à 8 feuilles, les besoins du maïs sont inférieurs à 20 u/ha, ainsi 75% de l’azote sont absorbés entre le stade 8 feuilles et la floraison.

Tremblay (2006) indique qu’il faut apporter l’azote au bon moment et bien choisir la modalité d’apport pour éviter les pertes par volatilisation; le maïs utilise la majeure partie de l’azote à partir de 3 à 4 semaines après la levée environ à partir du stade de 4 à 8 feuilles. Il est donc inutile de l’apporter trop tôt. Les résultats de travaux de recherche de Harvest Plus (2016) travaillant sur des nouvelles variétés de maïs suggèrent aux agriculteurs du Sud Kivu d’appliquer l’azote 45 jours après le semis.

Ainsi lors de l’apport, on doit faire attention aux conditions d’épandage de la solution azotée (température et humidité de sol) pour limiter les pertes par volatilisation, préférer une application par temps couvert sur sol humide, sans vent. Idéalement, il est recommandé de réaliser l’apport avant une pluie. En effet, une pluviométrie de 10 à 15 mm est nécessaire après un apport pour que l’azote puisse être transféré aux racines de la culture (Agri-mieux, 2012) ; car il a été observé que le maïs prélève dans le grain et les tiges-feuilles environ une livre de N par boisseau de grain produit. Seule une portion de cet azote est nécessaire pendant le stade plantule, mais les exigences augmentent rapidement à partir du stade (Anonyme, 2017).

  • Les différentes formes d’urée
    • Urée granulé

L’urée est un engrais azoté avec composition 46-0-0, soit 46 % d’azote sous forme ammoniacale, l’urée est l’engrais sec le plus riche en azote et il est complètement soluble à l’eau. Il agit moins rapidement que les nitrates et son effet dur plus longtemps. L’hydrolyse de l’urée dépend de la température du sol et nécessite trois à cinq jours en sol froid tandis que quelques heures suffisent en sol réchauffé. Son application est recommandée avant une pluie et il doit être enfoui afin d’éviter d’éventuelles pertes par volatilisation (Ziadi, 2007).

Pour la nutrition des plantes, l’urée est une forme d’azote rapidement disponible. La seule différence de l’urée par rapport aux autres formes azotées réside dans la réaction hydrolytique en ammonium (ammoniac) dans le sol par l’intermédiaire de l’uréase, une enzyme omniprésente. Ce processus s’effectue sur une période de 1 à 4 jours. L’ammonium ainsi formé peut-être soit absorbé directement par les plantes ou lié aux supports de sorption du sol. Grâce à ces échanges, l’ammonium reste disponible pour la plante, mais est transformé également en nitrate par action microbienne. Contrairement à l’ammonium, le nitrate n’est pas lié par les supports de sorption et est donc soumis au risque de lessivage (Anonyme, 2011).

  • Urée super granulée

L’urée super granulée est un engrais obtenu par compactage de l’urée granulé (IFDC, 2010).Les granules de l’USG sont fabriqués à base de l’urée ordinaire en utilisant une machine appelée « briqueteuse » (briqueter en anglais). La machine compresse l’urée sous forme de comprimés blancs dont la masse unitaire est comprise entre 1 et 3 g (IFDC, 2008). Ces engrais dont le poids varie de 1 à 3 g, sont obtenus par une opération mécanique de compression de l’urée ordinaire contenant 46 % d’azote (simple modification physique) et le coût de cette opération sont estimées à 7-10% du prix de l’urée ordinaire (Cirimwami, 2015).

  • Généralités sur le maïs

1.5.1.      Origine

L’origine du maïs a fait l’objet de controverses pendant des années. Selon l’opinion la plus répandue, le maïs est issu de la domestication du téosinte, Zea mexicana=Euchlaena mexicana, une graminée sauvage originaire du Mexique, du Guatemala et du Honduras. On s’accorde à considérer que les centres d’origine du maïs sont situés en Amérique centrale, principalement au Mexique et dans les Antilles. De là, il se serait répandu d’abord à travers l’Amérique du Nord et du Sud et ensuite, après la découverte de l’Amérique par Christophe Colomb, vers l’Europe et d’autres régions où il est aujourd’hui cultivé (Ristanovic, 2001).

  • Description de la culture

Le maïs (Zea mays) est une planteannuelle herbacée appartenant à la famille des graminées, à là sous famille des panicoidés (Raemaekers, 2001)

Le système racinaire du maïs est composé d’un grand nombre de racines adventives situées sur les nœuds à la base de la tige. Il est caractérisé par des racines traçantes (dites racines de surface), qui prélèvent l’eau et les nutriments nécessaires à la plante dans les couches les plus superficielles du sol. Ce type d’exploitation des ressources du sol fait que la plante soit très exigeante en azote et en eau, proportionnellement aux rendements élevés qu’elle permet, ce qui pose de graves problèmes environnementaux dans les régions tempérées (Ristanovic, 2001 ; Anzala, 2007)

 La taille de la tige de maïs est variable. Pour les variétés couramment cultivées, la taille varie généralement de 1 à 3 m (Anzala, 2007). La tige unique est formée de plusieurs entrenœuds d’une vingtaine de centimètres (Anzala, 2007), variant entre 6 et 20 (Ristanovic, 2001) séparés par des nœuds. Au niveau de chaque nœud, de manière opposée, s’insèrent les feuilles à limbes allongés et à nervures parallèles. 

 Le maïs est une espèce à pollinisation croisée, où les inflorescences femelles (épis) et les inflorescences mâles (panicules) sont disposées à des endroits distincts sur la plante. C’est une plante bisexuée qui porte, séparées, des fleurs mâles et des fleurs femelles (Mazoyer, 2002).Le maïs est donc une graminée monoïque portant sur la même plante des fleurs mâles et femelles séparées. Bien qu’il soit autofertile, le caractère monoïque de la plante et sa protandrie (le pollen arrive à maturité avant que le stigmate ne soit réceptif) favorisent une pollinisation croisée anémophile de l’ordre de 90 à 95%. 

 Les épis, souvent à raison d’un épi par tige, sont formés d’un nombre variable de rangées de grains (de 12 à 16), qui fourniront de 300 à 1000 grains pesant entre 0,19 et 0,3 g. La longueur de l’épi varie de 5 à 45 cm ; son diamètre est de 3 à 8 cm. Le grain de maïs est formé d’un embryon, d’un tissu de réserve, l’albumen et d’une enveloppe fine et translucide, le péricarpe. L’albumen est constitué essentiellement de grains d’amidon ; c’est l’amidon corné qui donne sa couleur au grain de maïs, généralement jaune mais aussi blanche, rouge ou noire (Anzala, 2007)

1.5.3.      Importance de la culture du maïs

En R.D.C. le maïs occupe 67 % de la surface des céréales et 18 % des superficies consacrées aux cultures vivrières. Le milieu traditionnel occupe plus de 85 % des terres cultivables. Selon une enquête du ministère de l’Agriculture, l’autoconsommation du maïs est de 70 % au Katanga, 60 % dans la Province Orientale et 40 % au Bandundu, principal fournisseur de maïs de la ville de Kinshasa (Walangululu, cité par Kasavuli, 2015).

  • Fertilisation azotée du maïs

Une bonne production du maïs requiert une bonne fertilisation organique et minérale qui couvre les besoins réels en phosphore et en azote qui sont les deux principaux éléments limitants. L’acidité du sol est aussi un autre facteur de la faible fertilité de la plupart des sols tropicaux et nécessite des amendements appropries avec de la chaux (HarvestPlus, 2016).

L’utilisation des engrais en culture de maïs, plus spécifiquement de l’azote, a traditionnellement été considérée dans le contexte de rentabilité et de rendement optimum (Oost, 2012).Une fertilisation azotée optimale est nécessaire pour réussir une récolte de maïs à haut rendement du maïs à ensilage ou à grain. Par contre des apports excessifs en azote réduisent la productivité et peuvent retarder la maturité du maïs à grain ; fertiliser au taux optimal d’engrais azoté assure autant un bon rendement de la culture qu’une productivité économique optimale (Bernie et al ., 2006). Le tableau 1 présente les quantités d’éléments nutritifs prélevés par le maïs (Kg/ha)

Tableau 1. Besoins nutritionnels du maïs

Culture

Rendement (Kg/ha)

Eléments nutritifs prélevés (Kg/ha)

Azote

Phosphore

Potassium

Maïs grains

3000

72

36

54

6000

120

50

120

Source : IFDC 2010

De ce tableau 1 on remarque que chacun de ces éléments (l’azote, le phosphore et le potassium) a son rôle pour la culture et un apport optimum de ceux-ci contribuera à atteindre le meilleur rendement.

L’apport en azote influencera non seulement la croissance juvénile du maïs mais également sa teneur en protéines brutes digestibles en fin de saison, le phosphore intervient dans le mécanisme de la maturation et influencera donc directement la teneur en matière sèche; quant à la potasse elle conduira à la formation de l’épi et des grains (Oost 2012).

Dans la fertilisation azotée, pour valoriser au mieux les apports azotés sur le maïs, il faut apporter l’azote au bon moment et bien choisir la modalité d’apport pour éviter les pertes par volatilisation ; le maïs utilise la majeure partie de l’azote à partir de 3 à 4 semaines après la levée environ à partir du stade de 4 à 8 feuilles (Tremblay, 2006).Cependant, l’augmentation de la fertilisation azotée ne se traduit pas toujours par une augmentation de rendement. Plusieurs recherches démontrent que souvent, il n’y a aucun lien entre les rendements obtenus et les quantités d’engrais appliquées. En effet, lorsque les conditions (sol, climat) sont propices à un fort rendement, elles favorisent aussi une bonne libération de l’azote du sol (bonne minéralisation de la matière organique du sol, de l’azote résiduel, etc.) (Anonyme, 2005).

Dans les bonnes conditions d’utilisation, l’efficience de l’azote absorbé est comparable pour les différentes formes d’engrais azoté. Cependant, l’urée est fortement sensible aux pertes par volatilisation. Elles sont d’autant plus importantes dans les sols sableux ou à faible CEC. Pour limiter ces pertes et obtenir une efficacité équivalente à celle de l’ammo-nitrate, l’urée doit être enfouie assez profondément dans le sol pour que l’ammoniac qui se dégage soit fixé avant d’atteindre la surface du sol. Le binage ne suffit pas pour réduire suffisamment les pertes par volatilisation. Le risque de volatilisation de l’urée peut aussi être fortement atténué si une pluie suffisante suit de peu l’épandage (20 à 30 mm) pour transférer l’urée en profondeur (Tremblay, 2006).

  • Fractionnement de l’engrais azoté

Le fractionnement est le fait d’appliquer les engrais à plusieurs stades de croissance de la plante, le plus souvent il intéresse les éléments très mobiles tels que l’azote, permettant ainsi de minimiser les pertes par lessivage ; il permet de fournir les éléments au moment où les plantes en ont besoin, mais aussi il maximise l’efficacité des engrais (IFDC, 2010). L’objectif de cette synchronisation des applications de l’azote pour le maïs est de fournir le N nécessaire lorsque la culture en a besoin, sans apporter d’excès qui peuvent potentiellement être perdus (Cirimwami, 2016).

  • Technique de placement profond de l’urée

Dans son travail avec les agriculteurs particulièrement au Bangladesh depuis plus de 35 ans, l’IFDC a développé le PPE comme l’alternative la plus efficace par rapport à la méthode traditionnelle d’application de l’engrais sur la surface du sol par épandage (répandu, le plus souvent à la main) dans un champ ou paddy. Le PPE est une technologie d’application de l’engrais innovatrice et éprouvée qui permet une augmentation des rendements de 18 pour cent en moyenne, tout en réduisant la quantité d’engrais utilisée d’à peu près un-tiers (IFDC, 2012).

Cette technique réduit les pertes d’azote de 40 pour cent, augmente l’efficacité de l’urée jusqu’à 50 pour cent, accroît les rendements de 25 pour cent, et réduit l’utilisation de l’urée d’environ 25 pour cent. L’adoption du PPU a été encouragée par le département de vulgarisation agricole du Bangladesh avec l’appui de l’IFDC (IFDC, 2012 ; FAO, 2014).

Les briquettes d’urée sont de grosses granules obtenues par le compactage des super granules (IFDC, 2010).Ces briquettes d’urée dont le poids varie de 1 à 3 g, sont obtenues par une opération mécanique de compression de l’urée ordinaire contenant 46 % d’azote (simple modification physique) et le cout de cette opération sont estimées à 7-10% du prix de l’urée ordinaire (Cirimwami, 2015).

Avantages de cette application

  • Minimiser la perte d’engrais : généralement en riz irrigué, la réduction de pertes par volatilisation et écoulement d’eau quand on a fait l’épandage de l’urée à la volée, varient de 30 à 50% de l’engrais.
  • Protection de l’environnement en limitant l’azote dans l’eau de ruissellement vers les rivières.
  • Réduction des mauvaises herbes, car l’azote est placé en profondeur, loin des jeunes racines des adventices.
  • Réduction de dépenses d’achat de l’urée de 20 à 25%.
  • Augmentation du rendement en riz paddy de 15 à 25% du rendement potentiel.
  • Réduction de la main d’œuvre pour les dépenses de sarclage de 25 à 35%.
  • Analyse de la rentabilité économique

La rentabilité économique est la mesure de la capacité d’une entreprise ou une exploitation agricole à dégager des bénéfices à partir des moyens mis en œuvre. Cette rentabilité de l’entreprise peut être mesurée grâce à l’analyse de ses performances économiques et financières. Elles sont exprimées par des indicateurs chiffrés qui ont pour objectif d’apprécier l’efficacité et l’efficience de l’entreprise dans l’utilisation de ses ressources compte tenu de la nature de ses activités et de ses objectifs stratégiques (Anonyme, 2017).

La rentabilité économique peut être estimée par des paramètres économiques qui permettent de   ressortir une décision sur la rentabilité économique d’une technologie ; différentes formules peuvent être mises en évidence :

  1. Indice d’acceptabilité (IA) : Afin d’identifier le meilleur traitement facilement adoptable par les paysans par site, l’IA a été calculé. Cet indice compare la rentabilité de nouveaux traitements au traitement de référence bien connu par les paysans (Kaho et , cités par Useni et al., 2012).

Si IA<1,5 le traitement est rejeté ; si 1,5< IA <2, le traitement est adopté avec hésitation ou réticence ; Si IA>2, le traitement est facilement adopté.

  1. Revenu Brut (RB) : correspondant à la somme des produits de la culture vendus et l’autoconsommation ; (Aganze, 2016),ce produit brut est calculé par la formule suivante :

PB = Production*Prix

  1. Le coût global de production (CGP) : exprimant la valeur des ressources incorporées a l’ensemble de production. Il se calcule de la manière suivante : CGP = CR + CC avec CR (charges réelles) : charges qui donnent lieu au déboursement réel d’argent, et CC (charges calculées) : représentant les coûts d’opportunité des ressources auto-fournies par l’exploitation (main d’œuvre familiale) ajouté de l’amortissement. Les charges concernées sont celles en supplément, issues de l’innovation dont celles d’achat des engrais ainsi que d’épandage d’engrais dans le champ (Ayagirwe, 2016)
  1. L’indice de Profitabilité ou Revenu Net (IP) ou (RN) : est la différence entre les recettes totales et les coûts totaux. Il se calcule par la formule RB – CGP et en résultent deux résultats : si PB est inférieur au CGP, il y a perte, et à l’inverse, il y a gain (Masirika, 2016).

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