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CHAP I.GENRALITE SUR LE RIZ

I.O. le système rizicole extensif

Le système rizicole extensif est un système de production agricole qui ne maximise pas la productivité à court terme du sol en ne faisant pas appel à des intrants chimiques mais plutôt aux ressources naturellement présentes sur place.

La culture est pratiquée  généralement  sur de vaste étendues, elle se caractérisés par des rendements à l’hectare relativement  faibles, mais avec le revenus parfois très bas, dans les pays pauvre notamment en R.D.C mais les agriculteurs les revendique toujours.  L’avantage du système rizicole due à l’utilisation des  moyens technique  limité, l’utilisation de ressource naturelle, la réduction  de la mais- d’œuvre   et du temps  de  travail en cas de semis à la volée mais occasionne de pertes due aux prélèvements de graines par les oiseaux et les insectes.

Dans le système rizicole  extensif le semis en ligne quant a lui, permet d’obtenir une bonne densité de peuplement en assurant un meilleur espacement  une meilleure germination et les travaux d’entretien les  désavantage du système en cas de semis du à l’utilisation  de semence dans le poquet.

La persistance de ces formes d’agriculture extensive est liée à différents facteurs :

  • Manque de main d’œuvre
  • Manque de moyen financiers
  • Manque d’espace cultivé
  • Conditions climatiques
  • Qualité des sols :
  • Volonté ou obligation de protection de l’environnement de protection ou restauration du sol (lutte contre l’érosion, lutte contre la désertification, maintien de la biodiversité
  • L’absence d’appuie technique (conseils).

1.1. Origine et classification

Le riz est généralement considéré comme une graminée annuelle semi-aquatique qui appartient au genre oryza, une vingtaine d’espèces du genre totalité du riz cultivé est de l’espèce oryza sativa L.

En Afrique, on cultive de petites quantités oryza glaberrima qui est une espèce  cultivées oryza  sativa L originaire de l’Asie, la plus cultivée et oryza glaberrima stend ou riz de Casamance origine d’Afrique de l’ouest. Il est probablement que le portugais introduisent la culture de riz en  Afrique de l’Ouest il y a 300 à 400ans. Son introduction en Afrique est attribuée aux arabes. Les Espagnols et les Portugais l’introduisirent en Amérique centrale et du sud le riz Africain. O glaberrima, serait originaire du de la central du Niger où il serait cultive de puis 1500 av. JC. Sa culture est limitée à l’Afrique de, l’Ouest.

Le genre Oryza appartient au tribut des Oryza de la famille des poaca (gramineae). L’espèce O.sativa comporte de nombreux écotypes ou races géographies et plusieurs groupes génétiques. Les écotypes sont répartis en types Indica.  Japanica selon des critères morphologiques et physiologiques : l’appartenance des variétés aux divers groupes génétiques est déterminée surtout par leur comportement en croisement (fertilité des hybrides) et par des marqueurs génétiques. En l’occurrence des isozymes (SCHALBROECK.2001).

1.2.  Description

Les riz est une céréale de la famille des poacées (anciennement graminées) cultives dans les régions tropicales, subtropicales et tempérées chaudes pour son fruit ou caryspse riche en amidon qui est cultive le plus souvent dans des champs plus ou moins inondés.

Les racines ont un système fascicule au début de la germination, la première racine est la radicule. Pourvue tout d’abord d’un marchons de poids absorbants, elle se ramifié des qu’elle atteint 2 à 3cm de longueurs et constitue les racines primaire issues de grain. Ces racines ont une vie éphémère. C’est surtout dans le 15 premières centimètre du sol qu’il ya plus de racine secondaire apparaissent au cours de la croissance de la plante.

Elles prennent naissance sur les premiers bourgeons (nœud) de la base de la tige qui peuvent se développer sur des nœuds supérieurs de la tige et formant de véritable racine adventive. La première ébauche de la tige au moment de la germination est la tigelle. Elle est entourée à sa sortie de l’embryon par fourreau de couleur pâla la coléoptile. La première feuille apparait après la coléoptile d’une forme cylindrique. A l a partie inferieure de la  tige primaire et à la base de chaque feuille, se trouve un bourgeon qui normalement donne naissance à une tige secondaire ou talle. Les bourgerons de cette talle donnent naissance à des tiges tertiaires et quaternaires etc.…

Un plante donne en  général, 3à  10 talle production selon les variétés et les conditions culturales (ARRAUDEAU 1998 ET SCHALBROECK 2001). La coloration de tige varie suivant les variétés et aussi suivant les stades de végétation, la coloration définitive étant atteinte après la floraison. Au point émettre un cours de végétation des tiges secondaires ou talle. Une tige de riz fournit au cours de sa croissance 10 à 20  feuilles dont 5 a 10 seulement vu vient et les autres se dessèchent au fur et à mesure de développement de la plante. La feuille est constituée d’un limbe d’une gaine dont la séparation est marquée par une ligule et une auricule. le nœud de la feuille paniculaire se prolonge par le pédoncule qui a partir de la première ramification porte le nom de riches celui-ci se ramifie ne racines  puis en racemules qui support par des pédicelles. Les épillets uniflores, la cupule relie le pédicelle à l’épillet (SCHOLBOECK 2001).   La fleur est autogame c.à.d. présentant des organes mâles et femelles les organes mâles comprennent six étamines avec anthère cylindrique à  deux lobes. Les organes femelles sont constitués par l’ovaire sur monté de  deux stigmates plumeux. La floraison dure 5 à 10 jours et commence par les fleurs supérieures, l’autofécondation approche les 100%. Panicules sont lâches et légèrement courbes sa talle est militée par le nœud de la feuille paniculaire a sa partie inferieur et par le dernier grain à la partie supérieure. Grain et rattaché aux racunules par un pédicelle, détermine la plus ou moins grande  facilité du grain de pouvoir se détacher des panicules. L’épillet porte deux glumes à la partie inferieure le grain lui-même est enveloppé par deux  glumelles qui donnent la belle de riz au moment du décorticage. L’épaisseur des glumelles joue également une robe de protection contre la pénétration des insectes du grain. (ARRAU DE AU 1998 et NYABIENDA 2005).

1.2.1 Cycle végétatif

Du point de vue agronomique, le cycle végétatif du riz comprend 3phases, les végétatives, reproduction et la phase de maturation.

La phase végétative s’entend de la germination, levée à la fin du tallage. En cas de semis en pépinière il est nécessaire d’attendre ce stade de la germination avant de faire le repiquage, la phase de germination dure de 5 à 20jrs (5jours en condition chaude et 20jours sous de basses températures)  et la levée qui va de l’émergence jusqu’au stade 4feuille dura de 15 à 25 jours selon la température). La stade de tallage commence a partir de stade 5 feuilles et  a une durée variable qui dépend des conditions climatiques et de la variété du  cycle court. On peut observer l’imitation paniculaire à l’intérieur des tiges de différentes talles. La phase reproductive

La phase reproductive elle commence de l’initiation paniculaire comporte la

La phase de maturation : commence de la floraison à la maturité, se traduit par le mûrissement des grains et l’desséchement de la floraison paniculiaire la montaison, l’épiaison et la floraison des panicules. Plante la cycle végétatif oscille normalement entre 90 et 160jrs altitude la durée de cycle végétatif atteint fréquement215jours (ARRAUDEA 1998).

I.4.CONDUITE DE LA RIZICULTURE       

I.4.O. Elément sur le riz culture irrigué

I.4.1.Air de culture

L’air de culture d’oryza sativa est généralement compris entre les latitudes de 45° nord et 30°sud et embrasse tout le continent africain.

L’altitude atteinte par la culture est fonction du degré de résistance variétés aux basses températures. Le riz est cultivé avec succès à 16000m d’altitude de l’Afrique centrale (Burundi, Rwanda et dans certain marais du sud kiva) et 1800m du Madagascar (SCHALBROECK 2001).

I.4.2.Ecologie de la culture

Le riz est une culture de saison chaude et humide il est qualifié de plante aquatique à cause des ses besoin en eau seulement élevée mais aussi constant. Les exigences en eau pour la culture sont généralement comprises entre 400 et 800mm en fonction des conditions climatiques et la durée du cycle végétatif. On estime qu’il faut au moins 1000 à 1500mm d’eau  en culture irrigue du quantité peut être doublée et oui moins 600 à 700mm en culture sèche (ANONYME, 2002). En culture aquatique, la température de l’eau est également, importante le minimum est de 13 à 14°C. en général,  en dessous de 12 à 13°C, la germination ne se fait pas. La prise des plants se fait à une température journalière moyenne comprise entre 13°C et 15°C , de développement ultérieur nécessitèrent température moyenne journalière comprise entre 25° et30° le riz convient de sol qui puisse tamponner le variations climatiques c.à.d. un sol à bonne capacité de ressentions pour l’eau, léger, un sol contenant une proportion sensiblement égale d’argile de limon et de sable. Le riz irrigué préféré des sols lourds avec de faible perte d’eau, un sol meuble limoneux à argilo- limoneux convient mieux à la culture sèche (ARRAUDEAU 1998).

Les basses températures induisent la stérilité des épillet avec beaucoup de sensibilité lors du stade de gonflement des panicule dans la graine (Romain H ; RAEMAERKER2001)   

Le PH du sol varie de 60 à 70, le riz irrigué support toute fois des PH de 4,5 à 8,5 car après submersion d’une rizière le PH d’un sol acide augmente et celui d’un sol alcalin diminue deux utilités (SCHALBROECK 2001)

I.5.La culture du riz

I.5.1. Choix des semences

Il est conseillé d’utiliser de préférence des semence diffusée dans la région par la recherche agronomique, ou la vulgarisation ou fournies par les organisme de développement, le paysans peut choisir le semence possèdent un excellent taux de germination(80%-100%), effecteur un test de germination 2 à 5 saamine avant de semis, le semence les plus belle de sa récolte précèdent en éliminant  celle qui sot petites, vide ou casse, pour éviter que le grains ne pourrissent dans le sol ou ne  soit pas dévorer par les prédateur. Il est souhaitable de les traiter ou préalable par un mélange de produit fongique et insecticide.

I.5.2.Importance de la culture

Le riz est utilisé pour la production d’amidon, de poudre de riz, de glucose, d’acide  acétique d’alcool fermenté et de bière. En Afrique la paillet est plus utilisée dans l’artisanat, elle s’est de litière et comme le son, elle peut être utilisée dans l’alimentation animale (Schalbroeck2001). La culture du riz est la deuxième culture mondiale et principale mondiale, le riz contribue à plus à 20% à la fourniture mondiale en calorie consommée. Plus de deux milliards d’habitants en Asie y tire 80% de leur calorie (FAO 2002).

Le riz en tan que produit alimentaire de base et se fonde sur le principe que les système de production rizicole contribuent de manière essentielle à sécurité alimentaire à la lutte contre la pauvreté et à l’amélioration de  moyens d’existence des population  avec un équilibre idéal entre protéine ;lipide et glucides. Le germe et le son ; bien que souvent éliminés au cours du polissage sont riche en vitamines (B1), en minéraux, en fibres et enzymes.

La paille de riz qui est utilisée dans l’amendement  du sol ou comme substrat pour la culture de champignon et sert dans l’alimentation des animaux.  Le glumelle servent à produire l’énergie ou à l’aliment les aux (anonyme 2002)

I.6.PREPARATION   DU TERRAIN

La culture du riz irrigué exige tout d’abord la préparation du terrain, une construction des diguettes  le long de courbe de niveau  qui retiendront l’eau  d’irrigation. Il faut en effet que pendant  presque toute la période de culture. La culture soit maintenue sous eau pendant  presque toute l’année de la végétation, la masse d’eau doit en faible mouvement et de profondeur  suffisante. Après mise sous eau de la parcelle, le sol est la boue et hersé à fin de forme  un couche de boue bien homogène  et obtenir  une  profondeur uniforme.

I.6.1.semis

 Le semi se fait en pépinière  irrigue ou non, le sol doit  être suffisamment frais pour  permettre la germination rapide. Pour le semis direct se fait sur des  très  grande surface, on met  4 à 8 graine de  riz dans des trous creusés à l’aide d’un bâton pointu  ou d’une houe. Les semis direct exige moins de travail  que le repiquage, il est aussi effectué en lignes continues  ou en poquet dans rizière  draine. On irrigué et draine  successivement afin de  donner l’oxygène  nécessaire aux  racines de jeune plante. La profondeur optimale de semis  est de 3 à 4 cm et assure une germination uniforme, une densité de peuplement uniforme et un tallage adéquat.

I.6.2.Repiquage

Le repiquage se fait dans la boue ou avec hauteur d’eau  ne dépassant pas 5 cm. Les plantes à repiquer sont jeunes et atteint une trentaine de  centimètre vers l’âge de  40-45 jours salons la température et la fertilité des pépinières.  La densité du repiquage est surtout fonction de la température, du niveau de la fertilité du sol et de la variété (SCHALBROECK, 2001) l’avantage de repiquage pépinière et de fournir des plantes qui supportent bien le repiquage, on met riz sous l’eau que 2 à 3 jours a trois jours après le repiquage, et la profondeur de la nappe d’eau doit être réglée de façon à ne pas submerger entièrement les jeunes plant (JAQUOT ET COURTOIS B, 1985).

 

I.7.RIZICULTURE IRRIGUE EN R.D.C

La riziculture irriguée est pratique à Kinshasa, Bandundu, Bas Congo, Kasaï, et à l’équateur.  Dans la province du Sud- Kivu ne se limite qu’au riz irrigue, sèche de la plaine de la Ruzizi et du riz pluvial de Mwenga et shabunda. Le paysan rizicole on l’avantage d’un système  d’irrigation complètement maitrisé  et comprennent un sol en condition réduite permettant de diminuer les pertes en  Azote et en potassium,  par apport à un sol aérobie.  Le contrôle d’eau  d’irrigation par le paysan a un apport d’eau  suffisante et une source de minéraux  telle que l’Azote, le potassium,  le calcium, magnésium apportés  par l’eau d’irrigation. Ils comprennent un contrôle facile des adventices et une recharge en eau des horizons profonds du sol (Arraudeau 1998). Le désavantages sont dû à la perte important de besoin en eau et souvent des difficultés  des drainages. L’écosystème irrigue présente une grande homogénéité en matière  de gestion de lame d’eau en consiste partout à maintenir a une hauteur  jugée convenable tout au long de la culture.

I.7.1.Entretien de  la rizière

Le travail principal consiste à maintenir un niveau d’eau convenable dans la rizerie ; pour ce la on irrigue  périodiquement. Il faut aussi désherber généralement par sarclage, les soins d’entretiens sont les mêmes ; lutte contre les mauvais herbes.

I.7.2.Lutte  contre les mauvaises herbes

De toute les façons, en semis direct comme en repiquage. Les sarclages doivent être précoces, l’envahissement de la parcelle par les mauvaises herbes atteint une ampleur telle que dans la plupart  des  cas de parcelle doit être abandonnée. La concurrence au point de vue alimentaire  minérale et étouffement du riz par suite de l’effet d’ombrage les sarclages  doit être effectués avant que l’herbe ne dépasse la taille des plans de riz (J.P DOBELMANN 1980).

I.8.Limites du riz culture      

I.8.1.. Maladies

  1. Pyrilariose: Lapyriculorise est la maladie la plus redoutée. Sur les feuilles on observe d’abord de petits taches brunes qui deviennent losangiformes et allongée, pouvant atteindre plusieurs centimètre de long. Le centre de ces taches est blanc grisâtre devient couleur de paille desséchant et s’entoure d’un bord brunâtre. Un stress hydrique en  u pépinière e de fortes doses d’engrais favorisent la maladie. La lutte repose surtout sur l’utilisation des fongicides (SCHALBROECH 2001).
  2. Maladie fongique d’importance secondaire

Plusieurs champignon occasionnent de dégâts aux feuilles, aux grains et aux racines, souvent sans gravité si ce n’est que localement suite à des conditions  particulières des nutritions minérale de température et l’humidité.  La plus courante est la maladie de tâches brunes ou helminthosporiose. L’utilisation des variétés peu sensibles et éventuellement la fertilisation des rizières ou le recours à une rotation  appropriée. Constituent la meilleur moyen de la lutte repose surtout sur l’utilisation des variétés à  résistance double et accessoirement sur le (SCHALBROECK 2001).

  1. Bactérioses

Trois bactérioses occasionnent actuellement des dégâts plus ou moins sévères en Afrique : la maladie des stries translucides, le flétrissent bactérien  et la pourriture brune des graines le seul moyen de lutte consiste en l’utilisation des variétés moins sensibles.

 

  1. Virose

Le rice Yalow mottle virus (RYMV) ou marbrure jaune du riz est signale en Afrique de l’ouest et l’Est où les dégâts sont en progression constante. Le meilleur moyen de lutte consiste a recourir à des variétés tolérantes, à traites préventivement les pépinières contre les attaques des coléoptères et à entretenir  régulièrement des diguettes et les canaux d’irrigation et des drainages (SCHALBROECK 2001).

I.8.2.Ravageurs

Plusieurs insectes attaquent les riz cultivé : lépidoptères, punaises, dermoptères. Parmi les lépidoptères, la chenille à fourreaux Bymphula depurectadis attaque le riz irrigues, elle coupe les extrémités de feuille pour construite les fourreaux. On observe des débris de riz qui surnagent dans l’eau. La mouche du riz Diopsis thoracica et le punaises on cite Nezara virudula et stenocoris sp, ce dernier apparait sur le riz habituellement avec les premières pluies. Il est noté que les oiseaux constituent un ravageur redoutable au moment du remplissage du grain et en pépinière. En plus les rats causent également des dégâts énormes en pépinière et dans les champs mal entretenus (SCHALBROECK 2001).

I.9.RECOLTE

Le  stade de récolte du riz dépend en partie de son devenir, selon qu’il est destine à être consommé ou à servir de semence : il faut attendre la maturité physiologique qui correspond au maximum de qualité et l’énergie germinative. La maturité n’est pas homogène dans un champ ni dans une plante, ni  même dans une panicule (ARREAU.1998). La récolte correspond quatre opérations.

1°) Couple

La couple du riz se fait à la mais dans la plupart  des zones de production les agriculteurs se souvent de faucille mamelle ou de couteaux pour couper la poutle avec les panicules à environ 15 à 25 cm du sol.

2°) Séchage

En système traditionnel, les tiges coupées sont laissées sur le sol 3 à 4 jours pour un premier s’échange. On considère le taux  d’humidité optimal de 14% comme un seuil minimum pour garantir un stockage à court terme. Puis les herbes sont rassemblées en meuble pour suivre le séchage tout en protégeant les grains des rayons du soleil.

3°) Battage

En système traditionnel, il est réalisé en frappant les gerbes  contre une pierre, une planche ou bâton ou encore par le piétinement d’animaux. Elles sont en général classées selon que le travail est fait à la main, à l’aide d’un animal ou d’une machine.

4°) Nettoyage

Le nettoyage traditionnel est fait par vannage au vent. Les batteuses modernes sont équipées de dispositif de ventilation qui permet la séparation du grain des matières légères : palles, poussière et grains vide

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