2.0. Introduction
« L’efficacité de l’informatisation n’est mise en évidence que dans le système d’information. On entend ici par système d’information l’ensemble des moyens, procédures, applications et personnes qui manipulent un certain type de données. Par rapport aux applications informatiques, le système d’information inclut les personnels en amont pour la constatation des faits et la saisie des données, et les personnes en aval qui utilisent les résultats.
L’informatisation transforme les systèmes d’information existants par :
Par ailleurs, la réalisation de l’efficacité de l’informatisation au sein d’une organisation doit passer par la conception d’un modèle. « Un modèle est une abstraction de quelque chose de réel qui permet de comprendre avant de construire, ou de retrouver les informations nécessaires pour effectuer des entretiens, des modifications et des extensions. Il est plus aisé de se référer à un modèle qu’à l’entité d’origine, car le modèle simplifie la gestion de la complexité en offrant des points de vue et des niveaux d’abstractions plus ou moins détaillés selon les besoins. L’abstraction, dans ce contexte, signifie l’examen sélectif de certains aspects du problème ; c’est l’outil qui permet de délimiter notre connaissance de l’univers aux entités et aux interactions qui nous concernent dans une situation donnée.
La modélisation est utilisée dans la conception des systèmes d’information informatisés à différents niveaux. Elle commence toujours par une étude préalable. » [KAS2011b]
Dans les lignes qui suivent, nous allons ainsi faire le diagnostic du système actuel du magasin central, puis l’analyse de flux, puis ensuite celle de besoins des utilisateurs après avoir présenté les exigences d’une gestion efficace de stocks, car il s’agit en fait d’un travail qui traite de la gestion du magasin ; et puis enfin, nous ferons la modélisation proprement-dite des données.
2.1. Diagnostic du système actuel du magasin central de la société Banro Congo/Bukavu
2.1.1- Champ d’action
Le magasin central de la société Banro Congo Mining/Bukavu est communément connu sous le nom « store » en anglais. L’utilité du ‘‘store’’ est liée au staff local et surtout au site. Le staff local est constitué du bureau administratif qui se trouve à Bukavu ; ce bureau est subdivisé en départements. Et le store doit répondre aux besoins de chaque département. Le site est constitué de projets d’explorations et d’exploitations de la société Banro ; actuellement nous retenons encore les sites de Twangiza, Namoya, Lugushwa et Kamituga que le ‘‘store’’ approvisionne en équipements de travail, en produits vivriers et manufacturés selon les besoins.
2.1.2-Activités principales du ‘‘store’’
Comme dans tout autre magasin classique, les activités principales du ‘‘store’’ consistent dans trois mots clés : demande, réception et livraison. La demande d’un produit s’effectue moyennant un document appelé : « la réquisition », la réception prenant en compte les entrées de produits dans le ‘‘store’’ s’effectue moyennant « l’accusé de réception » et la livraison prenant en compte les sorties le fait moyennant « le bordereau d’expédition ».
En ce qui concerne la demande de produits, plusieurs signatures valorisent une réquisition pour l’approuver ; le gestionnaire du magasin signe sur cette réquisition, le récepteur y appose aussi sa signature, le responsable de la logistique et si nécessaire le Vice-président également.
En ce qui concerne la réception de produits, elle s’effectue en fonction de l’achat à crédit ou cash auprès des maisons d’abonnement considérées comme fournisseur moyennant un bon de commande. En effet, la société Banro détient dans son magasin central une grande quantité d’exemplaires de bons de commande qu’elle fait fabriquer ailleurs ; ce document est donc considéré comme l’une des fournitures de bureau contenues dans le ‘‘store’’.
Au niveau de sites, le gestionnaire du magasin peut accuser réception soit en lettre ou soit par un tableau comportant en titres la description de produit, la quantité demandée, la quantité reçue, les références et les observations liées au produit ; dont voici la représentation :
Description |
Qty d |
Qty rec |
Ref |
Obs |
Ici à Bukavu, on n’envoie pas d’accusés ou de bordereaux de réception, mais le récepteur place sa signature sur la réquisition pour approuver qu’il a reçu le produit selon son besoin.
En ce qui concerne la livraison ou l’expédition de produits, cette activité comprend quatre étape : la réception, le contrôle, l’empaquetage et l’expédition proprement-dite.
En effet, à l’entrée d’un produit, le gestionnaire du magasin en fait le ‘‘checking’’ ou contrôle. Le contrôle se fait sous deux aspects : la qualité et la quantité de produits. Ce contrôle s’effectue également à partir du produit original et permet de vérifier que le fournisseur ne se serait pas trompé par mégarde ou si le produit est conforme à la commande; toute faille constatée doit être signalée au chargé des achats.
L’empaquetage quant à lui, c’est dans le cadre d’ordonnancement ou arrangement des produits ; il s’agit ici d’un facteur déterminant dans l’expédition. Toujours faut-il tenir compte, lors de l’empaquetage, des notices de la nature de produits à expédier.
Quant à l’expédition proprement-dite, avant d’expédier, le gestionnaire du magasin doit veiller aux documents d’expédition des produits demandés par la réquisition. Partant, il élabore un document appelé le « bordereau d’expédition » qui accompagne les documents expédiés. Il faut encore dire que la réquisition sert de lampe témoin pour élaborer le bordereau d’expédition.
2.1.3-La tenue de la fiche de stock
Chaque produit a sa fiche de stock. Pour compléter une fiche de stock au sein du ‘‘store’’, le gestionnaire du magasin prend en compte les « shelves » et les « bins ». Un « shelf » représente le ranger contenant un ensemble de produits de meme nature ; par contre, un « bin » représente l’étagère ou l’emplacement de chaque produit dans le magasin central.
Exemple : Item Name : Blue pen
Shelf : A
Bin : A1
Min Stock level : 50
En effet, le « minimum stock level » ou stock minimum est la quantité à partir de laquelle le gestionnaire du magasin peut faire passer une commande sous peine de tomber dans une situation indésirable de rupture de stock.
Tableau de Fiche de stock
Item Name: Blue pen
Shelf: A
Bin: A1
Minimum stock level: 20
Date |
Initial Stock |
Qtty received |
Qtty dispensed |
St Balance |
Given by |
Taken by |
Observation |
12/05/012 14/06/012 22/06/012 29/06/012 10/07/012 15/07/012 31/07/012 |
50 75 55 30 20 65 55 |
50 0 0 0 50 0 0 |
25 20 15 10 5 10 5 |
75 55 30 20 65 55 50 |
Denise Denise Denise Denise Freddy Freddy Freddy |
Gordon Pascal Christian Raymond Nathalie Christian Willy |
2 brockens 2 brockens 1 brocken 1 brocken 2 brockens 1 brocken 2 brockens |
2.1.3-L’inventaire
« L’inventaire recense tout ce qui constitue la situation réelle de l’entreprise à la date du bilan
(biens, créances, ressources externes) » [MON1993]
Nous pouvons présenter le modèle du formulaire d’inventaire du ‘‘store’’.
19
ENGINE |
|||||||||
1 |
Auger machine |
pce |
1 |
KAL508 |
Out of order |
Bukavu |
Bukavu |
Sent back |
|
2 |
Auger machine |
pce |
1 |
Atlas Copco Cobratt |
KAL507 |
In use |
Geologist |
sites |
|
3 |
Campactor |
pce |
1 |
AMMANN91730 |
AR65 |
In use |
Logistic |
Bukavu |
Campactor |
KITCHEN |
|||||||||
1 |
Fork |
pce |
20 |
In use |
Store logist |
Bukavu |
|||
2 |
Fork |
pce |
8 |
In use |
Store logist |
sites |
Sent back |
||
3 |
Knife |
pce |
2 |
??? |
In use |
GIS |
Bukavu |
IMMEUBLE |
|||||||||
1 |
Office |
pce |
1 |
Office |
Bukavu |
Durable materials |
|||
2 |
VIP House |
pce |
1 |
Guests |
sites |
Durable materials |
|||
3 |
Tents |
pce |
19 |
3X3m(AwningnTent) |
In use |
Muhumba |
Bukavu |
Wooden |
ACCOMODATION |
|||||||||
1 |
Agrafeuse |
pce |
4 |
In use |
Office |
Bukavu |
Office |
||
2 |
Ethernet Switch |
pce |
1 |
DES-10240 |
F30H4AA004934 |
In use |
Office |
Bukavu |
|
3 |
Ethernet Swich |
pce |
1 |
1-Direct |
46095 |
In use |
Office |
Bukavu |
William |
2.1.4- Comportement des sites face à l’offre et à la demande des produits
Les sites tout comme le staff local étalent leurs réquisitions en fonction des besoins. Ces besoins peuvent être de trois ordres : les besoins d’ordre géologique, les besoins d’ordre nutritionnel ainsi que ceux du personnel des sites.
En ce qui concerne les besoins d’ordre nutritionnel, les sites envoyaient des réquisitions à tout bout de champs par le passé. Au fil de temps, ils ont résolu d’en envoyer celles susceptibles d’assurer une couverture de stock mensuellement ; c’est pourquoi de nos jours, chaque site envoie une réquisition par mois. Il en est de même pour les besoins d’ordre géologique sauf qu’ici, en cas d’urgence, l’on envoie des réquisitions même par e-mail qui doivent trouver une issue dans un bref délai.
2.2. Analyse de flux
« L’analyse des flux permet de représenter le fonctionnement global de l’entreprise. Un flux de données est la représentation d’un échange d’informations entre deux acteurs » [KAS2011c].
« Le diagramme des flux permet au concepteur de classer les acteurs en deux catégories : l’entreprise et le domaine étudié » [KAS2011d].
Dans le but de faire la modélisation du système existant qui soit le reflet du domaine étudié de manière à répondre enfin aux réels besoins de l’utilisateur, nous allons élaborer le diagramme de flux qui nous permettra, moyennant un schéma de circulation de l’information, d’établir deux autres outils d’analyses informatiques à savoir le tableau de BAHL et la matrice des
flux.
2.2.1- Diagramme de flux
Partant du diagramme de flux ci-haut, les informations au sein du magasin central circulent de la manière suivante :
2.2.2- Tableau de BAHL
â„– |
Flux |
Données véhiculées |
Origine |
But |
||
1 |
Demande de produit |
- Nom du produit - Sa description - Quantité demandée |
Personnel |
Gestionnaire du magasin |
||
2 |
Offre à viser |
- Nom produit - Sa description - Quantité demandée |
Gestionnaire magasin |
du |
Responsable de la logistique |
|
3 |
Réquisition |
- Nom produit - Sa description - Quantité demandée - Quantité à expédier - Date - Sa destination - Signatures |
Gestionnaire magasin |
du |
Personnel |
|
4 |
Approbation |
- Nom produit - Sa description - Quantité demandée - Quantité à expédier - Date - Sa destination - Signatures |
Personnel |
Responsable de la logistique |
||
5 |
Stock alerte |
- Nom produit - Description - Quantité à acheter - Prix unitaire - Prix total |
Gestionnaire du magasin |
Responsable de la logistique |
||
6 |
Présentation de la réquisition |
- Nom produit - Description - Quantité à acheter - Prix unitaire - Prix total |
Responsable de la logistique |
Viceprésident |
||
7 |
Demande de fond |
- - --- - |
Nom produit Description Quantité achetée Prix unitaire Prix total Signatures |
Responsable de la logistique |
Financier |
|
8 |
Ordre de réapprovisionnement |
- ---- - - |
Nom produit Description Quantité achetée Quantité délivrée Prix unitaire Prix total Modalités paiement |
Responsable de la logistique |
Logisticien ou chargé des achats |
|
9 |
Commandes lancées à des maisons d’abonnement |
- --- - |
Nom produit Description Quantité achetée Quantité délivrée Signatures |
Logisticien ou chargé des achats |
Fournisseur |
|
10 |
Livraison |
- - --- - |
Nom produit Description Quantité achetée Prix unitaire Prix total Signature |
Fournisseur |
Logisticien ou chargé des achats |
|
11 |
Réception |
- - - - --- - |
Produits demandé Description Quantités demandées Quantités reçues Quantités expédiées Références Observation Signatures |
Logisticien ou chargé des achats |
Gestionnaire du magasin |
|
12 |
Rapport |
- Nom produit - Description - Quantité achetée - Prix unitaire - Prix total - Modalité de paiement - Signature |
Logisticien/chargé des achats |
Responsable de la logistique |
||
13 |
Avis d’expédition |
- Produits demandés - Quantité demandée - Quantité reçue - Quantité expédiée - Date d’expédition - Références - Observations - Nom de gestionnaire du magasin - Nom du chauffeur - Signatures |
Gestionnaire du magasin |
Personnel |
||
14 |
Inventaire |
- Nom produit - Quantité en stock - Modèle du produit - Numéro série - Conditionnement - Usager - Destination - Observation |
Gestionnaire du magasin |
Responsable de la logistique |
26
27
II.2.3- Matrice de flux
2.3 Les exigences d’une gestion efficace de stocks
« La direction a deux tâches fondamentales en ce qui concerne la gestion des stocks. L’une est d’établir un système de contrôle des stocks et l’autre est de prendre des décisions quant à la quantité à commander et au moment où il convient de le faire. Pour être efficace, la direction doit posséder :
2.4. Les besoins des utilisateurs
Des observations que nous avons faites ont découlé les éléments suivants, déterminant les besoins des utilisateurs ; notamment les besoins du gestionnaire de « store » à savoir :
produire un logiciel dont l’état de sortie offre la possibilité d’imprimer une réquisition : outil de contrôle du gestionnaire du « store », ceci lui faciliterait la tâche dans l’analyse des besoins du personnel ainsi que dans l’enregistrement, la modification et l’actualisation des données lors de la demande et la livraison des produits ;
produire un logiciel qui soit de nature à présenter la fiche de stock pour chaque produit tout en déterminant, de façon automatisée, les calculs y relatifs ;
produire enfin, un logiciel qui soit en mesure d’établir un inventaire automatique : c’est d’ailleurs l’objectif ultime de ce travail puisque les processus d’élaboration des inventaires requièrent toujours un dur labeur de la part des magasiniers de la société Banro. D’où cet inventaire automatique devra présenter fidèlement la situation du store, pour ainsi dire, il sera le reflet de l’inventaire physique.
Dans le noble objectif de porter satisfaction aux besoins évoqués ci-haut, nous allons abonder dans la modélisation des données en vue de déboucher sur l’implémentation dudit logiciel.
2.5 La modélisation des données
2.5.1- Le dictionnaire de données
« Le SGBD gère un dictionnaire de données (ou catalogue), qui contient la description précise des composants du schéma de la base de données. Ce dictionnaire est utilisé par le SGBD mais accessible à l’utilisateur » [HAI2009].
Tables Champs Types Tailles
T_EQUIPEMENT -Shelf : Texte 5
T_ITEM - Bin : Texte 5
T_STOCK - CodeStock : Texte 5
2.5.2- Le Modèle Conceptuel des Données (MCD)
« Le MCD (Modèle Conceptuel de Données) est un modèle abstrait de la méthode Merise permettant de représenter l’information d’une manière compréhensible aux différents services de l’entreprise. Il permet une description statique du système d’informations à l’aide d’entité et d’association.
Les concepts de base pour concevoir le modèle conceptuel sont : - Entité, - Propriété, - Identifiant, - Occurrence, - Relation(Association), - Cardinalité, - Contraintes d’Intégrité Fonctionnelles (CIF).
Une entité est un élément (objet, individu) du monde réel défini par une existence propre et utile pour l’organisation étudiée, des occurrences multiples (c’est-à-dire au moins deux) et des propriétés (au moins une dont un identifiant)
Pour le cas de notre travail, nous avons déterminé trois entités à savoir :
Par exemple, Pen est une entité qui représente le produit ‘‘stylo’’ ;
nature.
Par exemple, Stationnaries est une entité qui représente les fournitures de bureau ;
Un identifiant, c’est une propriété qui permet de distinguer sans ambigüité, une occurrence d’une entité de toutes les occurrences. On le désigne souvent par le symbole (#).
Parmi tous les attributs de l’entité, l’identifiant est un attribut ou un ensemble d’attributs permettant de déterminer une et une seule entité à l’intérieur de l’ensemble.
Graphiquement les identifiants sont les attributs soulignés.
Une propriété est une information élémentaire (rubrique, donnée) manipulable par le concepteur. Une propriété doit être décrite par un nom de propriété et prendre des valeurs ayant un sens dans le Système d’Information.
STOCK |
CodeStock Description Date_dispatched Quantity_received Quantity_dispatched St_Balance Minimum_Stock_level Given_by Taken_by Observ_Stock |
EQUIPEMENT |
Shelf Name_Eq Observation |
Pour le cas de notre travail, essayons de donner les propriétés liées à chaque entité par la représentation suivante :
ITEM |
Bin Name_Item Unit Quantity Model Serial_number Date_received Date_Item_expiry Conduction_statut User Location Comment |
BANRO_BOOKS |
A Banro books Documents de Banro |
PLUMBING |
D Plumbing Equipement pour la plomberie |
FUEL |
I Fuel Approvisionnement carburant |
OTHERS_EQUIPEMENT |
K Others equipements Produits divers |
KITCHEN |
J Kitchen’s equipement Produits de cuisine |
STATIONNARIES |
MACHINE |
|
B Stationnaries Fourniture de bureau |
Campement Machine Engins et outils de travail |
ELECTRICITY |
DRIL |
|
E Electricity Equipements d’électricité |
F Dril equipement Equipement de géologie |
DRINKING |
CAMPEMENT |
|
G Drinking equipement Produits liquides consommable |
H Campement Produits de campements |
Une occurrence est un élément individualisé d’un objet appartenant à cet objet ; en d’autres termes, c’est un exemplaire de l’entité. A titre indicatif, pour l’entité EQUIPEMENT, nous avons au sein du magasin central de Banro/Bukavu onze occurrences que voici :
Une relation est un lien (une association) qui unit deux entités (objets) ou plusieurs. Les relations sont caractérisées, comme les entités, par un nom et éventuellement des attributs.
La cardinalité quant à elle est le nombre de participations d’une entité à une relation.
On obtient ainsi les différents types de cardinalités : 0-1 (au plus un), 1-1 (un et un seul), 0-n (zéro ou plusieurs), 1-n (un ou plusieurs) et n-n (plusieurs à plusieurs).
Les CIF, à leur tour, permettent d’optimiser le MCD. En effet, elles permettent de minimiser le nombre de caractères dans la base de données. Une CIF indique que l’une des entités est totalement déterminée par la connaissance de l’autre.
2.5.3- Le Modèle Logique des Données (MLD)
Date_received, Date_Item_expiry, Conduction_sta tut, User, Location, Comment)
St_Balance, Minimum_Stock_level, Given_by, Taken_by, Observ_Stock)
2.5.4- Le Modèle Physique des Données (MPD)
C’est la traduction du MLD dans un langage de description des données spécifiques ; c’est-àdire mettre le MLD sur un support physique. En d’autres termes, c’est la mise en place de la base de données ; c’est-à-dire implanter une à une de chaque table en créant leur structure puis en les remplissant de données.
Le but du MPD est d’adapter le Base de données aux spécifications du SGBD et de l’aspect matériel sur lequel doit tourner l’application.
Ainsi pour concevoir le MPD, on doit se référer au type de SGBD et du logiciel d’implantation utilisé. » [KAS2010c]
Pour notre cas, nous avons utilisé le SGBD relationnel.