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7090835

Chapitre III. PRESENTANTION ET INTERPRETATION DES RESULTATS

Tableau n°1 : Caractéristiques sociodémographiques des enquêté

Variables         

n=384

%

Formation  de santé

C S GIHUNDWE

CS  RUSIZI

CS MOCYANGU

Tranche d’âge

20-25ans

26-30ans

31-35ans

36-40ans

41-45ans

Sexe

Masculin

Féminine

Niveau d’étude

Primaire

Secondaire

Universitaire

Sans

Profession

Ménagère

Fonctionnaire de l’Etat

Commerçant

Cultivatrice

Éleveur

Etat civil

Marié

Célibataire

Divorcé

Veuve

150

134

100

114

124

48

10

88

0

384

188

78

46

72

70

70

80

100

64

250

36

50

48

39

34,8

26

29,6

32,2

12,5

2,6

22,9

0

100

48,9

20,3

11,9

18,7

18,2

18,2

20,8

26,4

16,6

65,1

9,3

13,1

12,5

Commentaires : Il ressort de tableau que 39% de nos enquêtes proviennent dans  les périphéries du centre de sante de Gihundwe 32,2 de nos enquêtes sont celle dont l’âge comprise entre  25-30 ans, 100% de nos enquête sont des femmes 48,9% des femmes enquêtes ont le nouveau d’étude Primaire, 26% sont cultivateur et 18,2% sont de fonctionnaires l’Etat, 39,5% de nos enquêtes sont mariées.

Variables

n=384

%                                     

Religion

Catholique

Protestante

Adventiste

Musulman

Nombre d’enfant

Moins de trois enfants

5enfants

6 à 8 enfants

Plus de 8 enfants

Autres

Estimation de revenu mensuel

30000 frw

41-82000 frw

83-150000 frw

Plus de 200000 frw

Couverture des besoins fondamentaux par le revenu mensuel

Oui

Non

Moyen utilisé pour couvrir les besoins fondamentaux

Vente des produits d’élevage

Vente des produits agricole

Prêt chez les voisins

Autres

Besoins fondamentaux que couvrent le revenu mensuel

Manger

Loyer

Habillement

Scolarité des enfants

Autres

Avoir entendu parler d’une alimentation équilibrée

Oui

Non

Connaissance des trois types d’aliments

Aliments constructeurs, protecteurs et énergétiques

Aliments protéiques et glucidique

Aliments énergétiques et lipidiques

Avoir le stock d’aliments

Oui

Non

Nombre des repas

Un

Deux

Trois

Plus de trois

152

174

36

22

128

182

15

14

45

198

120

42

24

188

196

n=196

16

74

78

28

n=196

242

50

18

74

24

n=188

284

100

88

113

78

n=279

128

256

39,5

45,3

9,3

5,7

33,3

47,3

3,9

3,6

11,7

51,5

32,2

10,9

6,2

48,9

51,1

8,1

37

39,7

14,2

63

13,1

4,6

19,3

6,2

73,9

26,1

31,5

40,5

27,9

33,5

66,7

Il ressort de ce tableau que, 45,5% des femmes enquêtées sont des protestantes, 47,3% ont cinq enfants,  51,5%  de notre population d’étude ont un revenu mensuel faible,51,1%  des enquêtées n’arrivent pas à couvrir les besoins fondamentaux par leurs  revenus mensuels, 39,7% des enquêtées font un prêt chez les voisins. pour couvrir les besoins fondamentaux, 39,5%, des enquêtées couvrent  les besoins  par  les mensuels  achetant les habits, 73,9% des enquêtées ont déjà entendu parler la malnutrition, 73,9%  de la population d’étude  connaissent une alimentation équilibrée, 72,6% connaissent les trois groupes d’aliments, 66,7% n’ont pas un stock alimentaire dans la maison

Tableau n° 3 : Données en rapport avec la malnutrition proteino-énergetique

Variables

n=384

%

Type d’allaitement pratiqué

Allaitement  exclusif

Allaitement  artificiel

Allaitement mixte

Nombre de tétée par jour

Une fois

Deux fois

Trois fois

Quatre fois

Plus de quatre fois

Age de sevrage

1mois

3mois

4mois

6mois

Plus de 6mois

Aliments de sevrage

Bouillie solide

Bouillie semi solide

Bouillie liquide

Autres

Type de sevrage

Progressif

Non progressif

Autres

120

156

104

4

250

98

36

16

48

86

54

180

20

52

96

200

16

46

100

198

40

184

200

47,9

52,1

31,2

40,6

27,1

1,1

65,1

25,5

9,3

4,1

12,5

22,3

14,6

46,8

0,5

13,5

25

52

4,1

11,9

26,4

51,6

10,4

47,9

52,1

0

Nous remarquons dans ce tableau que 40% des enquêtés mangent deux  fois par jour, 65,1%  pratique un allaitement exclusif, 46 ,8 % d’enfants tètent  plus de  4 fois  par jours, 52% des enquêtées sèvrent leurs enfants à la l’âge de 6 mois, 52,6% des enquêtées confirment qu’elles donnent leurs enfants la bouillie liquide et 52,1% pratiquent un sevrage non progressif.

Tableau N°4 Les connaissance des enquêtés sur la malnutrition protéino-énergétique

Variables

n=384

%

Calendrier vaccinal

Oui

Non

Respect de calendrier vaccinal

Oui

Non

Avoir entendu la malnutrition protéino-énergetique

Oui

Non

Connaissance des signes de la mal nutrition

Oui

Non

Avoir des enfants mal nourris

Oui

Non

Connaissance des signes de malnutrition

cheveux coloré

Lésion cutané

Cachexie

Œdème des pieds

Besoins fondamentaux de revenu mensuel

Oui

Non

Les facteurs cités

Charge familiale élevé

Pauvreté dans la famille

Manque des sols à cultiver

Ignorance des parents

Apparition d’une nouvelle grossesse

Indisponibilité des parents

Moyens suffisant pour garantir l’alimentation

Oui

Non

Espace inter génésique

1an

2ans

Plus de 2ans

 Variation des aliments consommés

Oui

Non

Existence des tabous alimentaires

Oui

Non

Tabous alimentaires existants

Œufs

Viande de poule

Viande de porc

348

36

379

5

324

60

366

18

156

228

186

48

38

94

n=366

366

18

16

176

48

52

38

36

n=366

132

252

128

140

116

158

226

90

294

0

0

90

90,6

9,4

98,6

1,3

84,4

15,6

95,3

4,6

40,6

57,8

50

13,1

10,3

25,6

95,6%

4,6%

4,3

48

13,1

14,2

10,3

9,8

34,7

65,6

33,3

36,4

30,2

41,1

58,8

23,4

76,5

0

0

100

 Il ressort de ce tableau que 90% des femmes enquêtées respectent le calendrier vaccinal, 84,4% des enquêtes confirment d’avoir entendu parle la malnutrition protéino-énergétique, 86%connaissent les signes de la malnutrition, 40,6% des enquêtées avaient les enfants mal nourris, 50%  disent qu’elles connaissent les cheveux colorés comme signe de la mal nutrition, 95% des enquêtées connaissant les facteurs favorisant la malnutrition, 48% des enquêtés connaissent la pauvrette comme un facteur majeur favorisant la malnutrition, 65% des enquêtées plaignent d’une insuffisance de moyens contre 34,7% qui ont un moyens suffisants pour garantir l’alimentation familiale, 36,4% des enquêtés font un espace inter génésique de 2 ans, 58% de leurs enfants mangent une seul catégorie d’aliment, 76,5% reconnaissent  qu’il n’existe un tabou alimentaire contre 23,5% qui acceptent  qu’il existe un tabou alimentaire,

CHAPITRE IV. DISCUSSION  DES   RESULTATS

Notre enquête  s'est beaucoup adressée aux femmes en âge de procréation car ce sont elle qui assure l'alimentation  des enfants de moins de 5ans.

4.1. La prévalence de la  malnutrition à l'hôpital de Gihundwe

 Selon nos résultats dans le  tableau N°4 nous avons constaté que  40,6% des enquêtes avaient la malnutrition, selon nos enquêtes de ce tableau N°2 ont déclaré que leur revenus mensuel ne couvre pas  de besoin fondamentaux de leurs famille aussi 95,3 % ont affirmé que  ils connaissent les facteurs favorisant la malnutrition.

48 % on dit que la malnutrition serait lies à la pauvreté dans la  famille, 10,3 % ont déclaré que l'apparition d'une nouvelle grossesse.

Les résultats de ce tableau sont comparer à ces travaux antérieurs comme le  travail de NGENZABUHORO Valens qui parler sur le problème de l'insécurité alimentaire dans le ménage qui a été orienté son travail dans  districts  de l'hôpital de BUSHENGE qui a trouver 83% disent que la malnutrition est liée à la pauvreté.

4.2.  Des Caractéristique démographique  socio-économiques et culturelles.

Pendant notre étude  nous avons constaté que 32,2 % des femmes enquêtées leur âge variait entre 30 à 35 ans avait un niveau d’étude primaire, 48,9 % de cette étude, 26,4 % sont des cultivateurs, 39,5 % soit 250 femmes enquêtées sont de mariées, 45,3 % des enquêtées  sont des protestantes, nous avons remarqué que 47,3 % avaeint 5 enfants.

4.3. De La connaissance de la population  de Kamembe dans la zone de rayonnement de l'hôpital de Gihundwe en matière de lutte contre  la malnutrition proteino-énergétique.

Nous remarquons que 73,9 % ont déjà entendu parler de la malnutrition, aussi 86,9 % des enquêtées connaissent le signe de la malnutrition, 72,6 % connaissent les trois type d'aliments, en analysant nous avons constaté que 73,9 % des femmes enquêtées avait accepté qu'elles connaissent les aliments équilibrés, ce résultats sont similaires à ceux du travail antérieur fait en 2012 par NSENGAMUNGU qui a mené son travail à l'hôpital de KIGEME avait constaté

Qu’il y a une faible connaissance sur les aliments équilibrés soit 75% ont déclarer  qu'ils connaissent pas les aliments équilibrés, 65,1% pratiquent un l’allaitement exclusif 47,9% pratiquent un allaitement progressif.

Résultats de ces tableaux sont comparés à ceux travaux de cette année faite par KIMARARUNGU Espoir qui parlé la nutrition des enfants de 0 à5 ans dans le secteur de MURURU: avait trouvé  60% des mères pratiquent l’allaitement maternel exécutif.

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