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INTRODUCTION

01 .PROBLE MATIQUE

Le monde un milieu social où les êtres humains se rassemblent et où le désir de se communiquer un impératif a tous les habitants pour assurer leurdéveloppement socio-économique.

Au cours de la dernière décennie, la téléphonie mobile s’est imposée rapidement dans la plus part des pays en développement en ce sens que 75% de la population mondiale dispose un téléphone portable ; même ceux qui vivent à moins de 2$ par jour1.

En générale le continent d’Afrique est en majorité sous informé malgré l’évolutiondes supports communicationnels et du système de communication.

Le pays et ses milieux ruraux n’ont pas une connaissance suffisante en matière d’usage rationnel desNTIC.Celle-ci procure sans douteà la population congolaise et surtout celle des milieux ruraux l’insuffisance quant à la volonté de satisfaire ses besoins socio-économique pour qu’elle s’échange des biens et services.

En province du Sud-Kivu, dans le territoire de WALUNGUprécisément dans le groupement de KARHONGO/NYANGEZI, la population reste toujours dans le sous-développement par ignorance d’usage rationnel des  NTIC qui ont êtes facilite par la Société AIRTEL en implantant une antenne de télécommunication dans cetcontrains ; ceci s’explique par:

  • Lesactivitéséconomiques dont : les savons local produits par la JDR,le miel de l’API BU, les briques produits localement dans des chantiers et même dans l’usine, etc. restent stationnaire et pourtantparcedésenclavement par la télécommunication cellulaire les gens qui exerce ces activitéspouvais s’en servir pour faire le marketing de leur produits2. Car « les négociantsopérantssur les marches couverts par la téléphonie mobile ont réalisé des ventes plus grand nombres des marches (+22%) par rapport à ceux ne disposants pas cette technologie »3.
  • L’insécurité reste toujours grandissante dans ce milieu en ce sens « qu’on a la possibilité d’enregistrer plus de 10 cas de vol par année en moyenne »4[1]
  • Le partage de l’information reste un grand problème quant à l’amélioration des [2]relations inter personnelles ;
  • La qualité des prestations reste moins satisfaisante

La population de NYANGEZI a toujours des lacunes quant à l’usagerationnel des NTIC en général et des téléphones mobiles en particulier sous toutes ses formes. Par ce désenclavement par la télécommunication cellulaire, la population de NYANGEZI aurai une communication mutuelle,l’accès à l’ information, les réponsesimmédiates aux besoins urgentes, l’accroissement des revenus de leur activités et celui du pays car « 10 téléphones mobiles supplémentaires pour 100 personnes dans un pays en développement entrainent 0.6% au PIB constante l’analyse de WAVERMAN ETALI en 2005 dans son rapport «  la téléphoniemobile, un outil de croissance et de développement »

« Si[3]rien n’est fait dans ce contrains,la population demeurera non seulement dans l’insécurité mais aussi dans un sous-développementéternel »5. Comme signifier à travers les lignes ci-dessus il ressort que la télécommunication va de pair avec le développement socio-économique d’un milieu.Fort à ce constat, nous avons pensé y mener cette étude qui soulèvera les questionnements suivants :

Question global :

           Quelles sont les causes du manque de développement sur le plan social et économique dans le groupement de KARHONGOmalgré le désenclavement par le réseau cellulaire ?

Questions spécifiques :

  • Quelles sont les facteurs qui limitentle non intervention des TIC dans le processus de développement social et économique dans le groupement de KARHONGOàNYANGEZI ?
  • Quelles étaient les aspirations de la société AIRTEL en couvrant cette contraint en réseau cellulaire ?
  • Quellesstratégiesfaudra-t-il mettre en exergue pour vulgariser l’usage rationnel des nouvelles technologiesde l’information et de la communication pour le développement intégral de la population de NYANGEZI ?
  1. HYPOTHESES

Une hypothèse est une proposition de réponse à la question posée. Elle sert à formuler une relation entre les faits significatifs, même plus au moins précise, elle aide à sélectionner les faits observés6.

Par Raymond Quivy et Luc Van Campenhoudt, l’hypothèseest une proposition qui anticipe la relation entre deux termes qui selon le cas peuvent être les concepts oùlesphénomènes,c’est donc une proposition provisoire qui demande d’êtrevérifiée.

Hypothèse global :

C’est ainsi que nous présumons que le taux élevé d’analphabétisme de la population de NYANGEZI, la pauvreté seraient les principales causes du sous-développement dans le groupement de KARHONGO.

Hypothèsesspécifiques :

  • L’indifférencede la population concernée est lefreindu non intervention des NTIC dans le processus de développementSocio-économiqueDE KARHONGO,
  • La réalisation de sa mission serait laraison qui a poussé la société AIRTEL à s’implanter à NYANGEZI,
  • L’organisation des séances des formations sur les usages des NTIC et celle d’entreprenariat par l’octroides micros créditspourraientêtre des palliatifs à ces multiples défis
  1. OBJECTIFS DU TRAVAILS

Objectif Global :Examiner les causes du manque de développement sur le plan social et économique dans le groupement de KARHONGO malgré le désenclavement par le réseau cellulaire ?

[4]Objectifs spécifiques :

  • Montrer les facteurs qui limitent le non intervention des TIC dans le processus de développement social et économique dans le groupement de KARHONGO à NYANGEZI,
  • Examiner les raisons qui poussent une société de télécommunication à désenclaver une région,
  • Proposer des stratégies qu’on peut mettre en exergue pour vulgariser l’usage rationnel des nouvelles technologies de l’information et de la communication pour le développement intégral de la population de NYANGEZI.
  1. CHOIX ET INTERET DU SUJET

Plusieurs raisons justifient le choix de ce sujet :

  • La télécommunication est un secteur très important de l’économie du pays
  • Analyser les causes du manque de développement à NYANGEZIaprès 3ans de couverture en réseau cellulaire.

L’intérêt de ce sujet dans le groupement de KARHONGO porte sur 3 aspects :

  • Personnel :Par l’actualité de ce sujet,nous voudrions comprendre le poids de l’achat de crédits d’appel et autres fins pour l’usage du téléphones au revenu des ménages des PEVD et ceux de NYANGEZI en particulier ;
  • Scientifique :ce travail constitue pour les TDR,agents de développement et pour d’autres chercheurs un outilsupplémentaire de référence pour analyser les conditions critiques pour le développement d’un milieu.
  • Social :ce travail est de très grande importance à la population de NYANGEZIet celle d’ailleurs en ce sens qu’il montre des différents aspects d’utilisation des téléphones mobiles et des NTIC pour le développement d’un milieu.
  1. CADRE CONCEPTUEL

Scientifiquement, il est d’usage de ne pas se livrer à l’étude d’un sujet sans connaitre de quoi il retrouve et sans au préalable en définir les concepts.

Ainsi, pour cette étude et pour mieux cerner notre sujet en évitant toute confusion, nous allons nous attacher à définir les concepts dont l’usage interviendra tout au long de notre travail.

De cette manière-là, nous espérons préserver nos lecteurs de tout risque de confusion terminologique.

  • Impact : c’est l’effet produit par quelque chose ; ou l’influence qui en résulte7
  • Socio-économie : D’après le dictionnaire le petit la rousse illustré le mot socio-économie signifie ce qui a trait aux problèmes sociaux dans leur relation avec les problèmeséconomiques8
  • Implantation : c’est l’action d’implanter ; c’est le fait d’êtreimplanter9
  • Télécommunication : Nous entendons par télécommunication, tout transmission, émission ou réception des signons, écrits, signaux, images, sons ou renseignements de toute nature par fil, radioélectricité, optique ou tout autre système magnétique10
  • Cellulaire : Pour notre travail la notion de « cellulaire » correspond à la définition de la loi no 03/AG1/GSM-9/2004 sous laquelle « cellulaire » désigne les télécommunication conçues pour utiliser un spectre des fréquences radioélectrique entre les équipements terminaux et le réseau de récepteur pour la fourniture des services téléphoniques en octroyant un nombre limité des fréquences dans les zones géographiques bien délimitées (cellule), et permettant la réutilisation des même fréquences dans les différentes cellules non adjacentes et le maintien des connexions pendant que les utilisateurs se déplacent à travers les différentes zones géographiques en utilisant un transfert d’appel entre les cellules adjacentes11.[5]
  • Société :la société est un groupement contractuel constitué par les apports d’associés et existant pour réaliser des opérations commerciales à but lucratif12.

 C’est dans ce sens que la société Airtel est composée des plusieurs associés, mettant leur part ensemble pour faire les affaires.

  • Désenclavement :ledésenclavement c’est l’action de faire cesser d’être enclaver ; rompre l’isolement d’une région13.

Pour notre sujet, le désenclavement s’entendra dans le sens que la population du groupement de KARHONGO a désormais accès à la communication cellulaire et plus précisémentsur le réseauAIRTEL.

  • Communication :ce concept signifie le fait de communiquer, d’établir une relation avec quelqu’un ou quelque chose.

Sur le plan scientifique, ce terme signifie : échange des signes, des messages entre un émetteur et un récepteur. Et communiquer veut dire faire connaitre quelque chose, être et /ou se mettre en relation, exercer les techniques de communication.

En ce qui concerne notre travail, tout ce sens s’appliquent mieux mais le dernier nous intéresse plus car en communiquant, ces sont les techniques qui sont activées.

  1. DELIMITATION SPATIO-TEMPORELLE

Nous nous focalisons à analyser l’impact socio-économique de l’implantation de l’antenne du réseau de télécommunication cellulaire Airtel dans le Groupement de KARHONGO. Cela étant dit ce travail mérite d’être délimité dans l’espace et dans le temps.

Délimitation spatiale :Dans l’espace ce travail se limite dans le groupement de Karhongo à NYANGEZI. Ce groupement étant l’un 15 groupement qui forment la chefferie de NGWESHEen territoire deWALUNGU /NYANGEZI dans la province du SUD-KIVU en RD Congo. Ce groupement a une superficie de 269Km² et a une population de 51265 Habitants.

Sur le plan éducation, le groupement de KARHONGO compte 39 écoles primaires, 21 écoles secondaires, 2 institutions d’enseignement supérieures, et un institut secondaire des techniques agricoles.

Sur le plan sanitaire, le groupement de KARHONGO a un hôpital général de référence (HGR St Martin) qui supervise 11 centres de santé et un poste de secours de la croix rouge. En plus de ces structures sanitaires, dans le groupement de KARHONGO on peut retrouver des pharmacies.

Sur le plan agro pastoral : En plus de la culture de manioc, l’arachide, les haricots, le sorgho, le mais, les patates douces, le bananiers, le soja, les légumes, etc.; pratiquées d’une manière rudimentaire, dans groupement de KARHONGO on s’adonne à l’élevage des petits ou gros bétails (vaches, chèvres, moutons, lapins, cobayes, etc.). L’apiculture et la pisciculture y sont aussi actuellement praticable ce dernier temps.

Sur le plan artisanal, le groupement de karhongo comprend un certain nombre des forgerons, des maçons, des menuisiers et des travailleurs. Les activités de ceux-ci sont maintenant renforcées par la CPAD qui fabrique des chaussures, des mallettes, des ceintures, des sacs à main, … à base des peaux de vache, chèvres etc. La scierie, la poterie, le tissage sont également tant d’autres activités qui occupent les paysans de NYANGEZI.

Sur le plan commercial signalons que le commerce constitue une activité secondaire à NYANGEZI. Il occupe une minorité des gens et surtout les jeunes. Le lieu de transaction commerciale est présenté par le grand marché de MUNYA. A NYANGEZI le commerce est favorisé par la route nationale n° 5 qui y passe.

Signalons que en plus de ces différents potentialités, ce milieu regorge tant d’autres ressources naturels comme : du sable, de l’argile, des roches qui interviennent dans la construction et la production des briques.

Délimitation temporelle : dans le temps,  notre travail va de 2O12 à 2016 pour pouvoir bien examiner l’impact de la présence d’antenne du réseau de télécommunication cellulaire AIRTEL à NYANGEZI.

  1. METHODOLOGIE

Pour avoir les données en vue de produire notre travail, nous avons fait recourt à une enquête sociale auprès de la population de KARHONGO à NYANGEZI soucieuse de bénéficier de toutes les avantages du désenclavement par la télécommunication cellulaire. Aussi nous avons interrogé les personnels de la société AIRTEL BUKAVU pour confronter leurs points de vue à celui de la population bénéficiaire de ses actions.

Par une observation directe nous avons pris connaissance des problèmes réels dont souffre actuellement le domaine de NTIC à NYANGEZI. Elle nous a permis de voir et de comprendre qu’il y a l’insuffisance quant à l’usage des NTIC

Nous inspirant des résultats préliminaire lors du pré enquêteréaliséedansle cadre de cette étude, nous avons tiré un échantillon de 96 personnes pour raison d’exhaustivité  en suivant  le principe d’Alain BOUCHARD selon lequel « quand l’univers d’enquête de le population est inférieur à 1000000 on fait correspondre un échantillon de 96 avec une marge d’erreur de 10% pour une population mère définie. Cette formule se présente de la manière suivante :

Ceci donne   ;  NC =

Avec : N : Taille de la population mère définie ;

            n : Taille de l’échantillon pour l’univers infini ;

            NC : Taille de l’échantillon corrigé.

Pour notre cas nous avons : N = 51265, n = 96,  NC =  =  =  = 95.8  96 personnes. Dans notre enquête notre échantillon se présente de la manière suivante :

Selon la variable sexe :

Hommes

61 soit 64.2%

Femmes

34 soit 35.78%

TOTAL

95 soit 99.98%

Source : nos enquêtes en mars 2017 à NYANGEZI

Commentaire : De ce tableau on peut constater que dans notre milieu d’étude les hommes sont veux qui s’intéressent plus des l’usage des NTIC que les femmes. Ainsi 61 personnes soit 64.2% de notre échantillon sont de sexe masculin et 34 personnes soit 35.78% sont de sexe féminin.

Selon la variable Age :

Hommes

Femmes

Total

18 à 50 ans

0

0

0

18 à 50 ans

61

34

95 soit 100%

50 ans et plus

0

0

0

Total

61

34

95 soit 100%

Source : nos enquêtes en mars 2017 à NYANGEZI

Commentaire : Au vu de ce tableau nous pouvons constater que notre étude ne s’est mener qu’au près des personnes dont leur âge varie entre 18-50ans. L’exclusivité de nos enquêtés dans cette tranche d’âges s’explique par le faites que les personnes en cette tranche d’âgessontcelles qui sont déjà en mesure de s’auto débrouiller pour se payer un téléphone mobile pouvant leur permettre d’exploiter les NTIC selon leur possibilité.

Selon la variable Etat civil :

Hommes

Femmes

Total

Marié(e)s

17

25

42 soit 44.21%

Célibataires

42

9

51 soit 53.68%

Divorcé(e)s

0

0

0 soit 0%

Veuf (Ve)s

0

2

2 soit 2.1%

Total

59

36

95 soit 100%

Source : nos enquêtes en mars 2017 à NYANGEZI

Commentaire : Au regard de ce tableau nous pouvons conclure que la majorité de nos enquêtés sont Célibataires et sont à51 soit 53.68% et les mariés sont minoritaires, les veuf (Ve) s sont à 2 soit 2.1%.

Le faible quota des mariés est dû au faite que ces derniers ne s’intéressent plus de l’usage des NTIC en se disant que leur temps d’apprendre des choses est déjà passé et n e contente alors qu’à mener leur vie d’attant dans toutes les activités de leur vie, ce qui les plongent eux responsables des ménages dans des situations d’insuffisance de production pour satisfaire leur besoins.

Selon la variable profession :

Hommes

Femmes

Total

Etudiants

9

34

43 soit 45.26%

Commerçants

10

12

22 soit 23.15%

Fonctionnaires

7

5

12 soit 12.63%

Chômeurs

1

2

6 soit 6.31%

Paysans (éleveurs ou agriculteurs)

1

8

12 soit 12.63%

Total

34

61

95 soit 100%

Source : nos enquêtes en mars 2017 à NYANGEZI

Commentaire : D’après ce tableau, nous constatons que 45.26% de notre échantillon est étudiants, 23.15% de notre échantillon est commerçant, 12.63% de notre échantillon est paysans cultivateur ouéleveur et laminorité de notre échantillon soit 6.31% de notre échantillonenquêtés est chômeur.

Par l’analyse documentaire, nous avons consulté un certain nombre des documents qui nous ont permis de savoir ce qui existe déjà par rapport à notre thématique. Parmi ces livres nous pouvons citer :

  • Impact de la téléphonie mobile sur les marchés en Afrique subsaharienne où nous avons trouvé que les négociants opérants sur les marches couverts par la téléphoniemobile ont réalisé des ventes plus grand nombres des marches (+22%) par rapport à ceux ne disposants pas cette technologie ce qui nous a montré que vraiment la couverture en communication cellulaire est un élément très important pour  le développement économique d’une région,
  • Economie de télécommunication en Haïti : Dans cet ouvrage nous avons remarqué que« 10 téléphones mobiles supplémentaires pour 100 personnes dans un pays en développement entrainent 0.6% au PIB constante l’analyse de WAVERMAN ETALI en 2005 dans son rapport «  la téléphonie mobile, un outil de croissance et de développement »
  • Lestélé-centres de l’avenir, un journal produit en Ouganda montre que dans les zones rurales d’ACP, les télé-centres ruraux, aussi appelés centres multimédias communautaire (CMC), rendent aux habitants des services très variés, du courrier électronique au transfert d’argent en passant par l’accès à l’internet ou télémédecine.

De fait, en favorisant l’accès à l’information, ils sont devenus des  outils de développement et de lutte contre la pauvreté. Un rôle qu’on peut consolider en prenant mieux en compte leurs difficultés, très variables d’un CMC à l’autre selon leur contexte,

Vu l’insuffisance du temps et l’accès facile aux ouvrages en rapport à notre thématique, nous avons été obligé de consacrer la grande partie de notre temps de repos au travail du présent travail et  avons plus souvent fait recours à l’usage de l’internet où nous avons lu et télécharger des documents en rapport avec notre thème, ce qui nous a exigé beaucoup des moyens.

  1. SUBDIVISION SOMMAIRE DU TRAVAIL

A part l’introduction Générale et la conclusion, notre travail porte sur deux grandes parties dont la première est composé de 4 chapitres dont :

Chap1. LES CAUSES DU MANQUE DE DEVELOPPEMENT SOCIAL ET ECOMIQUE MALGRES LE DESENCLAVEMENT EN RESEAU CELLULAIRE,

Chap2. LES FACTEURS DE LIMITE DE LA NON INTERVENTION DES TIC DAN LE PROVESSUS DE DEVELOPPEMENT SOCIO-ECONOMIQUE DANS LE GROUPEMENT DE KARHONGO ANYANGEZI,

Chap3. LA MISSION ET LA VISION D’UNE SOCIETE E TELECOMMUNICATION EN COUVRANT UNE REGION EN RESEAU CELLULAIRE,

Chap4. LES STRATEGIES POUR QUE LES NTIC PARTICIPENT AU DEVELOPPEMENT SOCIO-ECONOMIQUE DE LA POPULATION DE NYANGEZI.

Et la deuxième partie qui comprend le projet souhaité par la population de Nyangezi voulant bénéficier des avantages des NTIC.

1Goole : les TIC dans le monde ; samedi 18 /03/2017 à 11h

2Source : rapport FEC antenne de Nyangezi 2015 par son président BISIMWA BASHIZI

3Jenny c. Aker : impact de la téléphonie mobile sur les marchés en Afrique subsaharienne

4Rapport du conseil de sécurité de Nyangezi 2O15 par le CPEA Willy CHIHARANYI

 

MANGAZA : Entreprise Celtel et son impact économique en RDC, 2008.

6Madeleine Growitz : Méthode de recherche en science social ; 11ièmeEdition ; DALLOZ ; 2001 ; P.398

7, 8, 9 : Dictionnaire le petit LA ROUSSE illustré ; 2011 ; P.522, 947, 523

10 : Dictionnaire LA ROUSSE, Grande encyclopédie, Parie, 1976, P.731

11Licence de concession de service public de télécommunication, loi no 03/AG1/GSM-9/2004, P2 (pour la société supercell S.A.R.L/BUKAVU

12, 13Dictionnaire Robert de poche, Paris, 1995.

                           

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