Selon le dictionnaire d’économie et des sciences sociales, le marché est la place où s’amoncellent les légumes, où régnaient autre fois les ……….. des faires, ainsi, apparaissent le marché dans l’imagination. Au sens courant, le marché est un lieu défini , où se rencontrent acheteurs et vendeurs pour échanger des marchandises contre le paiement du prix convenu. Il n’ya de marché véritable que si les quantités échangées et le prix influencent l’une sur l’autre. Le marché est le lieu (éventuellement abstrait ) où les offres des vendeurs rencontrent les demandes des acheteurs et où les quantités offertes et demandées s’ajustent à un certain prix.
Le lieu du marché désigne la relation qui se noue à l’occasion de l’échange marchand entre personnes et groupes. Au sens strict, le lieu de marché désigne les événements entrant dans la relation marchande : échange des biens et services , formation des prix , mise en place des quantités échangées, information , transmises, modes de livraisons et garanties fournies.
Le prix est le nombre d’unité monétaire nécessaire pour obtenir une marchandise ou un service à un moment donné dans un lieu donné et pour une qualité spécifique précise.
Le prix du marché est le prix constitué sur le marché d’un bien ou d’un service. Le prix analysé par le néoclassique comme la formation principalement dans le cadre du modèle de concurrence parfaite. Les situations de monopole et d’olipole sont perçues comme de cas particuliers.
Le prix et la quantité de monnaie remise au revendeur en contrepartie des biens ou du service acheté. Le fonctionnement du marché implique l’utilisation de la monnaie et le développement du marche conduit à un recours croissant à la monnaie . Cette opération économique sur le marché de biens et services est à la base de la loi d’offre et de la demande.
La loi d’offre et de la demande constitue à la formation de prix, les acheteurs sont censés se déterminer selon la loi d’offre et de demande en fonction du prix : ils régissent par la fonction de demande (q=D(p)), leurs achats étant d’autant plus élevées que le prix sont bas.
Les quantités demandées sont donc une fonction décroissante des prix et des facteurs.
Les commerçants sont supposés avoir un comportement réciproque, les quantités offertes (q=O(p)) étant la fonction croissante des prix , plus ils sont disposés à vendre .Selon ces hypothèses , le prix d’équilibre est le prix des quantités offertes et demandées . Sont égales pour un prix dit « prix d’équilibre de marché ». Prenons l’exemple du tableau qui indique les quantités qui sont disposées à être achetées et vendues par les participants à l’échange à chaque prix fixé sur le marché des biens et services.
Les quantités à acheter et à vendre
Prix |
Quantités |
|
Achetées potentiellement |
Vendues potentiellement |
|
100 F 200 F 250 F 300 F 400 F |
10000 800 500 = q1 200 100 |
0 100 500 =q2 800 1000 |
Q |
Offre |
500 |
E(p.q)= 250 FC,500 |
Demande |
250 |
L’équilibre sur le marché
Légende Q = Quantité E = Equilibre P = Prix |
Ce schéma repose sur des multiples hypothèses et ne particulier celle où les conditions de la concurrence pure et parfaite sont réunies . c’est ainsi que nous avons certains prix qui peuvent être à la base des facteurs déterminant la variation de prix et l’équilibre sur le marché d’un bien ou service.
Prenons le cas d’un monopole concernant la production des jus, l’entreprise détermine le prix selon l’analyse marginale par une sorte d’enquête qui lui révélerait pour chaque point de niveau de la demande , son cout moyen unitaire étant connu, elle peut déterminer son profit pour chaque niveau de prix.
Le service marketing a obtenu des acheteurs la réponse à la question « combien de jus êtes vous prêts à acheter à tel prix ?» L’entreprise en situation de monopole choisira le prix de son choix et produira plus car son profit est alors maximum.
Ayant fixé un prix, ces vendeurs dominant voient ces autres suivre leur exemple , car lui faire une guerre des prix serait perdue d’avance. Les petits commerçants fournissent le marché, vendent des quantités tel que leur coût marginal soit égale à ce prix , les commerçants leaders choisissant alors de fournir des quantités restantes pour que la marché soit en équilibre (offre et demande) évidement. Cela suppose que ce vendeur dominant ait des coûts de production favorables qui lui assurent une part de marché notable et un profit élevé au prix fixé des prix élevés que dans ces situations de concurrence parfaite ; il faut pour les analyser tiennent compte des stratégies de lutte d’alliances,… les consommateurs sont dominés par ces vendeurs.
Dans les analyses précédentes, l’étude de la formation des prix était , mais aussi du prix des autres produits, car le dernier Franc dépensé le sera pour les produits procure l’unité marginale la plus forte et une montée du prix d’un produit fera renoncer à sont achat au profit d’autres biens (effet de substitution).
C’est cette indépendance que l’économiste français Léon WALRAS prend en compte dans son étude de la formation du prix en termes d’équilibre général.
D’autres économistes critiques ont mis l’accent sur le rôle des rapports de force dans la détermination du prix. Ainsi Jean ROBINSON considère que le prix est pour une part le produit des rapports de force entre les commerçants en des rapports de force entre le salarié et les détenteurs de capitaux.
Les comportements individuels jusqu’ici ne sont évidements pas ceux d’agents isolés : ce demandeur d’un bien de consommation ne peut s’acquérir que s’il rencontre un offreur de ce bien , le producteur que veut embaucher des collaborateurs ne peut le faire que s’il est mis en contact avec les personnes prêtes à fournir le travail requis ;le marché d’un bien (produit , service ou facteur ) et la rencontre d’un ensemble d’offres et de demande de ce bien, donnant lieu à un échange , il faut évident ou moins deux personnes , et celles-ci doivent tomber d’accord.
Le pouvoir d’achat au sens large est la possibilité dont dispose un individu ou un groupe de modifier son mode de vie en agissant conformément à la volonté. Eventuellement malgré certaines résistences.
Le pouvoir est d’autant plus grand que la probabilité de faire agir comformément à ses choix.
Au sens strict, c’est la capacité de se procurer des biens et services dont on a besoin , la façon de s’adapter à la loi de l’offre et de la demande des biens et/ou des services sur le marché ; c’est la probabilité que peut avoir une personne ou le moyen qu’il peut avoir pour répondre à ses besoins. Le pouvoir d’achat est le mode de vie de la population ou le niveau de vie de la population qui veut s’approvisionner des biens et services sur ke marché. Nous pouvons dire que c’est la capacité d’imposer sa volonté de faire valoir ses capacités , respecter les règles même contre une volonté contraire à l’achat ou vente d’un bien ou d’un service.
C’est une action de satisfaire , de contenter ou d’un état de contentement de joie qui résulte de l’accomplissement de ce qu’on attendait.
Selon la productivité marginale, c’est lorsque un facteur est rémunéré selon la productivité marginale si on lui attribue un revenu égal ou supplément de valeur qui apparait lorsqu’il est employé. C’est le salaire ou le prix de travail , d’un service rendu.
Il s’agit ici de déterminer dans le cadre du modèle de concurrence , le système de prix de différents bien existant qui assurent l’équilibre entre l’offre et la demande sur chacun des marchés.
Dans le marché lorsque le prix et la fonction d’une concurrence parfaite c’est à dire ; il est conforme à tous les commerçants et celui du marché à l’intérêt de la population.
Quand la concurrence est imparfaite, les commerçants ont de stratégie de prix. Elle fixe son prix à un niveau qui peut être très différent de celui d’un autre commerçant vendent un produit similaire.
La logique de marque , par exemple, permet une telle stratégie . Alors de manquer par exemple , permet une telle stratégie. Alors ici nous avons deux sortes de prix sur le marché compétitif :
La compétitivité hors-prix est un avantage concurrentiel lié à d’autres caractéristiques des produits que le prix. La réputation de qualité est l’une des sources importantes de la compétitivité hors-prix.
Nous disons qu’il ya concurrence s’il ya la compétition entre en fonction vendeur sur le marché et c’est den fonction de marchandises vendues, il doit être influencé par sa qualité et modèle de vendre et paiement.
La concurrence parfaite du point de vue économique est une situation caractérisé par un grand nombre des producteurs concurrents et un grand nombre de consommateurs. Donc où le producteur individuel est trop petit pour influencer le prix du marché où les conditions suivantes se trouvent remplies :
Ici le prix s’impose à chaque producteur séparément , celui-ci est « preneur de prix » (price taker),en aucun cas , il peut isolement influencer le prix du marché. Le prix de concurrence de concurrence pure et parfaite est égal au coût marginal de producteur qui est le meilleur possible (optimal) compte tenu des besoins de consommateurs. Lorsque l’une ou l’autre tombe dans le cas de la concurrence imparfaite.
En concurrence parfaite, le prix et les quantités réellement à changer se trouvent fixés par la rencontre de la courbe de l’offre et de la demande. Dans un monopole, celui-ci a le choix , soit de fixer la prix auquel il désire vendre effectivement est déterminé par la courbe de la demande, soit de fixer la quantité qu’il désire écouler mais alors le prix est fixé par la courbe de la demande.
Dans le type de marché, le prix se détermine de deux manières :