Arrow Table de matières
2203374

CHAP I CONSIDERATION GENERALE DU MARCHE

I.1. INTRODUCTION

I.1.1. Définition   de  quelques   concepts

        Selon    le dictionnaire  d’économie   et des   sciences  sociales, le marché   est  la place  où  s’amoncellent   les  légumes, où régnaient autre  fois  les ………..   des  faires, ainsi, apparaissent   le  marché   dans  l’imagination. Au  sens   courant, le  marché  est  un lieu  défini , où  se rencontrent  acheteurs   et vendeurs  pour  échanger   des  marchandises   contre  le  paiement    du  prix  convenu. Il  n’ya   de marché  véritable  que  si les   quantités  échangées  et  le  prix  influencent   l’une    sur l’autre. Le marché est  le   lieu (éventuellement  abstrait ) où les  offres   des  vendeurs   rencontrent    les demandes des acheteurs  et où  les  quantités  offertes  et demandées   s’ajustent à  un certain  prix.

Le  lieu   du marché  désigne   la relation   qui  se noue à  l’occasion   de l’échange    marchand    entre  personnes   et groupes. Au sens  strict, le lieu   de   marché  désigne    les  événements    entrant  dans   la relation    marchande :  échange   des  biens   et services ,  formation    des  prix , mise   en place    des  quantités  échangées, information , transmises, modes  de livraisons   et garanties  fournies.

I.1.2. Le  prix

        Le  prix  est   le  nombre  d’unité   monétaire   nécessaire   pour  obtenir   une  marchandise  ou  un service  à  un moment    donné  dans un lieu  donné  et pour  une   qualité  spécifique   précise.

Le  prix  du  marché  est  le prix  constitué   sur   le   marché  d’un bien  ou  d’un  service. Le  prix  analysé   par  le   néoclassique   comme   la  formation   principalement   dans le  cadre  du modèle   de concurrence  parfaite. Les  situations  de monopole  et d’olipole   sont perçues  comme  de cas  particuliers.

Le  prix  et la  quantité   de monnaie   remise   au revendeur  en contrepartie  des biens   ou  du service  acheté.  Le  fonctionnement    du marché  implique   l’utilisation     de la  monnaie et  le  développement  du  marche conduit  à un recours croissant à la monnaie . Cette  opération  économique sur  le marché  de biens et services est  à la base  de la  loi  d’offre   et de  la demande.

La  loi  d’offre   et de la  demande   constitue    à   la   formation   de prix, les acheteurs  sont censés  se déterminer  selon   la  loi  d’offre et de  demande    en  fonction  du prix : ils  régissent  par  la fonction  de demande  (q=D(p)), leurs   achats  étant  d’autant plus  élevées  que le prix  sont  bas.

Les  quantités   demandées    sont  donc une  fonction  décroissante   des  prix  et des   facteurs.

        Les  commerçants   sont  supposés  avoir    un  comportement  réciproque, les quantités   offertes (q=O(p)) étant   la  fonction  croissante  des prix , plus  ils sont  disposés à vendre .Selon   ces   hypothèses , le  prix  d’équilibre   est  le prix  des  quantités offertes et demandées . Sont  égales  pour  un  prix   dit «  prix  d’équilibre de  marché ». Prenons   l’exemple    du tableau  qui  indique    les  quantités  qui  sont  disposées  à être  achetées   et  vendues    par  les  participants  à l’échange  à chaque  prix  fixé   sur  le marché des biens   et services.

Les quantités   à acheter  et à vendre

Prix

Quantités

Achetées  potentiellement

Vendues  potentiellement

100 F

200 F

250 F

300 F

400 F

10000

800

500 = q1

200

100

0

100

500 =q2

800

1000

Q

Offre

500

      E(p.q)= 250 FC,500

Demande

     250

L’équilibre  sur  le  marché

Légende

Q = Quantité

E = Equilibre

P = Prix

Ce  schéma   repose    sur  des  multiples   hypothèses   et   ne  particulier celle où  les  conditions  de la  concurrence   pure  et  parfaite   sont  réunies .  c’est   ainsi que   nous  avons   certains  prix  qui peuvent  être   à la  base  des  facteurs   déterminant    la variation   de prix    et l’équilibre  sur  le marché   d’un bien  ou  service.

  • Le prix  monopole : la  situation   de monopole    au  sens   strict (un seul   vendeur)  est     Dans  le cas    du monopole  , l’opérateur  économique  ou  commerçant  n’a plus  à  suivre  un  prix  de marché. Il  choisit   le prix  de vente  et  son  niveau   de production  en tenant    compte   de la quantité   demandée  à chaque  prix, de façon  à  assurer    le  profit  maximum  pour   l’activité   de  son  commerce.

Prenons    le  cas   d’un monopole   concernant    la production  des  jus, l’entreprise   détermine    le prix  selon  l’analyse    marginale   par  une  sorte  d’enquête  qui  lui révélerait pour  chaque   point  de  niveau   de la demande , son    cout moyen unitaire  étant   connu, elle  peut  déterminer   son  profit pour  chaque  niveau  de prix.

Le  service  marketing    a  obtenu  des  acheteurs   la réponse   à la question « combien  de jus  êtes   vous prêts  à  acheter  à tel  prix ?» L’entreprise   en  situation   de monopole  choisira    le prix   de son  choix  et  produira  plus  car    son  profit  est  alors  maximum.

  • Le prix de monopole    est  généralement    supérieur    au prix  qui  se  fixerait   en  situation    de  concurrence 
  • Dans le cas  de l’oligopole (quelques  vendeurs), la  théorie  néoclassique   propose  plusieurs   approches    de prix . la  situation  variant  selon  le modèle  de stratégie    des  vendeurs . Comme  les  producteurs    sont  peu  nombreux, le  prix  dépende   de la  décision  de chacun  d’eux   car  les  quantités   offertes   sont  fonctions  de la  demande  de production . le  prix  est   fixé  en  fonction  de  ses  objectifs propres.

Ayant   fixé   un prix, ces  vendeurs   dominant  voient  ces  autres  suivre    leur  exemple  , car  lui faire  une   guerre  des prix   serait  perdue  d’avance. Les  petits  commerçants    fournissent   le marché, vendent  des  quantités  tel que    leur  coût  marginal  soit  égale  à ce  prix , les  commerçants  leaders  choisissant    alors   de fournir  des  quantités  restantes    pour  que la marché   soit  en équilibre (offre  et demande) évidement. Cela  suppose   que ce vendeur   dominant  ait des  coûts  de  production    favorables  qui  lui assurent  une  part  de marché notable  et  un  profit  élevé    au prix  fixé des  prix  élevés que dans   ces  situations  de concurrence   parfaite ; il  faut  pour  les  analyser  tiennent   compte  des  stratégies  de  lutte  d’alliances,… les consommateurs  sont  dominés  par  ces  vendeurs.

Dans   les  analyses  précédentes, l’étude   de la  formation  des   prix  était ,  mais   aussi  du  prix  des  autres  produits, car  le dernier  Franc  dépensé le sera pour  les  produits  procure   l’unité   marginale   la plus    forte  et   une   montée   du prix d’un  produit  fera renoncer  à  sont achat    au profit  d’autres  biens (effet de substitution).

C’est   cette  indépendance    que  l’économiste   français Léon  WALRAS   prend   en  compte  dans  son étude  de la    formation  du prix   en termes  d’équilibre   général.

D’autres   économistes   critiques  ont   mis  l’accent   sur  le rôle   des  rapports  de force   dans  la détermination du prix. Ainsi  Jean  ROBINSON   considère    que le prix  est  pour  une part     le produit   des  rapports  de force  entre     les  commerçants  en des  rapports  de force   entre    le  salarié  et les   détenteurs  de   capitaux.

  • Les marchés    et  la  formation  de  prix

Les  comportements  individuels  jusqu’ici  ne  sont   évidements   pas   ceux  d’agents  isolés : ce  demandeur d’un   bien  de consommation   ne  peut  s’acquérir  que  s’il rencontre   un  offreur de ce  bien , le  producteur   que  veut  embaucher   des   collaborateurs   ne  peut  le  faire  que  s’il   est  mis  en contact avec  les   personnes   prêtes   à  fournir  le travail requis ;le  marché  d’un bien (produit , service ou  facteur )  et  la rencontre   d’un  ensemble   d’offres   et de demande   de ce  bien, donnant   lieu  à  un échange , il faut  évident ou moins   deux  personnes , et  celles-ci   doivent   tomber  d’accord.

I.2. Le  pouvoir   d’achat   de la population

        Le  pouvoir   d’achat   au sens    large   est   la  possibilité    dont  dispose  un individu ou  un  groupe   de  modifier     son  mode   de vie  en  agissant    conformément   à  la  volonté. Eventuellement   malgré  certaines  résistences.

Le  pouvoir   est  d’autant   plus grand  que  la  probabilité  de faire    agir   comformément   à ses   choix.

        Au  sens   strict, c’est   la capacité  de se  procurer  des  biens   et services    dont on a   besoin , la  façon   de   s’adapter  à la loi  de l’offre  et de la demande  des  biens  et/ou   des   services    sur    le marché ; c’est    la  probabilité    que  peut  avoir  une personne  ou  le  moyen  qu’il   peut avoir   pour  répondre  à ses   besoins. Le  pouvoir   d’achat   est  le mode  de vie   de la  population  ou  le niveau  de vie  de la population   qui  veut  s’approvisionner  des  biens  et services     sur  ke marché. Nous  pouvons  dire  que  c’est  la  capacité  d’imposer   sa  volonté  de faire  valoir  ses  capacités , respecter   les  règles   même   contre   une  volonté  contraire   à l’achat  ou vente  d’un bien  ou  d’un service.

I.3. Satisfaction    et rémunération

  • La satisfaction

C’est  une  action  de satisfaire , de contenter ou  d’un  état de contentement  de joie   qui  résulte  de l’accomplissement   de ce    qu’on  attendait.

  • La rémunération

Selon   la  productivité   marginale,  c’est  lorsque   un facteur  est rémunéré   selon  la  productivité   marginale  si  on  lui  attribue  un revenu égal  ou  supplément  de valeur  qui  apparait   lorsqu’il    est  employé.  C’est  le  salaire  ou  le prix  de travail , d’un  service  rendu.

I.4. Le   prix  sur  le marché  concurrentiel

        Il  s’agit  ici  de déterminer    dans le cadre   du modèle   de concurrence , le  système de prix  de différents   bien  existant    qui  assurent  l’équilibre  entre   l’offre   et  la  demande    sur chacun des  marchés.

Dans  le marché  lorsque   le  prix  et la  fonction d’une  concurrence    parfaite   c’est  à  dire ; il est   conforme à  tous  les  commerçants  et  celui   du marché   à  l’intérêt   de la population.

        Quand   la  concurrence   est imparfaite, les  commerçants   ont de  stratégie   de prix. Elle fixe   son  prix  à un  niveau  qui  peut être  très  différent  de celui  d’un  autre  commerçant  vendent  un  produit similaire.

La  logique  de marque , par  exemple, permet une telle  stratégie . Alors  de  manquer  par exemple , permet  une telle   stratégie. Alors  ici  nous  avons  deux  sortes   de prix  sur  le marché  compétitif :

  • La compétitivité – prix
  • La compétitivité  hors – prix
  • La compétitivité –prix  peut être  liée à des  caractéristiques  internes  à l’entreprise, par exemple une  forte productivité    du travail ,  mais  aussi à des  caractéristiques   nationales, autre  exemple une  monnaie   sous évaluée est généralement    favorable   à  la  compétitivité   prix  sur  le marché  extérieur.
  • La compétitivité hors  prix

La  compétitivité  hors-prix  est  un avantage  concurrentiel  lié  à  d’autres  caractéristiques   des  produits   que   le  prix. La  réputation  de qualité  est l’une  des  sources importantes  de la  compétitivité  hors-prix.

Nous  disons   qu’il   ya  concurrence   s’il   ya    la   compétition  entre en fonction     vendeur    sur  le marché   et  c’est    den  fonction  de marchandises  vendues, il  doit être  influencé   par  sa  qualité   et  modèle   de    vendre   et  paiement.

I.4.1. Formation   du prix   sur  le marché  de concurrence   parfaite

        La  concurrence   parfaite  du point   de vue  économique   est  une  situation   caractérisé   par  un grand   nombre  des  producteurs   concurrents   et  un grand   nombre  de  consommateurs. Donc  où  le  producteur   individuel est  trop  petit   pour  influencer    le prix   du    marché où  les  conditions   suivantes   se trouvent  remplies :

  • L’atomicité du marché
  • La transparence   parfaite    du  marché
  • L’impersonnalité des  relations  
  • La mobilité   parfaite    du marché

Ici   le prix  s’impose   à chaque   producteur séparément , celui-ci  est «  preneur  de  prix » (price  taker),en  aucun cas , il  peut  isolement  influencer    le  prix  du  marché. Le  prix   de concurrence  de concurrence  pure  et  parfaite   est  égal   au  coût   marginal   de producteur   qui est   le  meilleur   possible (optimal)  compte   tenu   des  besoins   de consommateurs. Lorsque   l’une  ou l’autre  tombe    dans    le  cas   de la  concurrence   imparfaite.    

En  concurrence   parfaite,   le  prix  et  les    quantités  réellement à  changer  se   trouvent   fixés   par    la  rencontre    de la  courbe   de l’offre   et de   la demande. Dans   un monopole, celui-ci  a  le  choix ,  soit    de fixer   la prix  auquel   il  désire   vendre     effectivement  est  déterminé  par  la  courbe    de la  demande, soit  de fixer    la quantité  qu’il désire   écouler  mais  alors   le  prix  est  fixé  par  la  courbe  de la demande.

I.4.2. Formation   du prix   sur  le marché   de concurrence  imparfaite

Dans   le  type   de marché, le prix   se  détermine  de deux   manières :

  • Quand il  s’agit   de concurrence   monopolitique   et  l’oligopoliste   dans ce  type  de  marché , plusieurs   produits    aux   marques, il existe  plusieurs   produits   aux  marques  de différents  goûts.  A  l’intérieur   d’une  certaine  zone   de prix, chaque  producteur  est  en  monopole . dans ce  type   de marché , la  publicité  joue  un très   grand  rôle   à  la  fois  pour  différencier   les   produits   et   pour  maintenir   la  clientèle.
  • Dans le monopole,  le  vendeur  d’un produit   impose   le  prix    qui  lui  plaît  puisqu’il  est  seul    sur  le marché  face  à une   même  attitude  d’acheteur. Il peut   fixer   le  prix   comme  à  sa  guise  puisqu’il  vendra  toujours   ses    Il   ne peut   pas  en même  temps  fixer  la quantité   de vendre   réellement   celle-ci   dépend   de la  demande   de  biens   et services   sur  la marché.  Il  n’ya   pas  de   prix   d’équilibre  qui  s’établit   sur  le marché, c’est   le monopoleur   qui peut   choisir, ce  qui    va  le guider  dans  son  choix , ce  sont  ses  coûts  de  production.  

Partager ce travail sur :