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CONCLUSION GENERALE

Au terme de notre recherche qui a porté sur « L’étude de quelques facteurs conduisant aux troubles de stress post-traumatiques à l’Hôpital Général de Référence de Kalonge ».

Il s’avère nécessaire d’en faire une synthèse afin de mieux fixer les idées essentielles et les facteurs principaux pouvant conduire aux troubles de stress post-traumatiques à l’Hôpital Général de Référence de Kalonge.

Tout en partant de son contenu, ce travail renferme trois chapitres principaux, sans compter l’introduction et la conclusion.

Le premier chapitre traite des considérations générales qui englobent les points relatifs à la définition des concepts clés et la présentation de l’Hôpital Général de Référence de kalonge ;

Le deuxième chapitre parle du cadre méthodologique où nous avons défini les techniques utilisées, la population d’étude et l’échantillon d’étude ;

Le troisième chapitre concerne la présentation, l’analyse et l’interprétation des résultats.

Pour dépouiller les données, nous avons fait recours à la distribution des fréquences qui a conduit aux calculs des pourcentages. Notre étude a comme objectif de détecter les facteurs qui sont à la base des troubles de stress post-traumatiques fréquents chez certains malades à l’Hôpital Général de Référence de Kalonge et d’étudier les mécanismes pouvant aider à lutter à ce genre des problèmes.

Pour atteindre ces objectifs, nous avons émis les hypothèses suivantes :

  • La dépendance cognitive des causes endogènes, exogènes, les relations avec autrui et l’environnement social seraient les facteurs à la base des troubles de stress post-traumatiques à l’Hôpital Général de Référence de Kalonge.
  • Une chimiothérapie accompagnée de psychothérapie seraient les mécanismes spéciaux pour lutter contre les troubles de stress post-traumatiques dont certains malades internés à l’Hôpital Général de Référence de Kalonge sont toujours victimes.
  • Pour vérifier ces hypothèses, nous avons récolté les données auprès des enquêtés en utilisant les techniques suivantes : techniques documentaires, l’interview libre et le questionnaire sous forme d’un guide d’entretien. Celles-ci ont porté sur la population d’enquête constituée par les agents soignants de l’Hôpital Général de Référence de Kalonge. Etant donné que cette population est infinie, nous avons pu extraire un échantillon occasionnel de 41 sujets auxquels nous avons soumis notre questionnaire.                         

Après le dépouillement, l’analyse et l’interprétation des données, les résultats obtenus nous ont conduits à ce qui suit :

  • Première question : existe-t-il des personnes souffrant des troubles de stress post-traumatiques à l’Hôpital Général de Référence de Kalonge ? Il ressort de cette question que 95% affirment qu’il existe des personnes souffrant des troubles de stress post-traumatiques à l’Hôpital Général de Référence de kalonge. Ceci nous amène à confirmer notre première hypothèse selon laquelle : la dépendance cognitive des causes endogènes, exogènes, les relations avec autrui et l’environnement social seraient les facteurs à la base des troubles de stress post-traumatiques à l’Hôpital Général de Référence de Kalonge.
  • Deuxième question : 95 %  de nos enquêtés acceptent que les pertes en vies humaines, les maladies mortelles incurables et les déceptions amoureuses conduisent aux troubles de stress post-traumatiques. Ces résultats nous permettent de confirmer notre première hypothèse selon laquelle : la dépendance cognitive des causes endogènes, exogènes, les relations avec autrui et l’environnement social seraient les facteurs à la base des troubles de stress post-traumatiques à l’Hôpital Général de Référence de Kalonge.

La question n°3 qui dit ce qui suit : les facteurs à la base de stress post-traumatiques dont souffrent les malades internés à l’Hôpital Général de Référence  de Kalonge peuvent aussi être causés par certains facteurs exogènes comme :

  1. Les agressions physiques perpétrées par les voleurs à mains armées,
  2. Les accidents de tous genres,
  3. Perte d’un poste important
  • Il ressort de cette question que 85% des sujets enquêtés acceptent que les agressions physiques perpétrées par les voleurs mains armées, les accidents de tous genres, perte d’un poste important conduisent aux troubles de stress post-traumatiques. Toujours ces résultats nous poussent à confirmer notre première hypothèse selon laquelle: la dépendance cognitive des causes endogènes, exogènes, les relations avec autrui et l’environnement social seraient les facteurs à la base des troubles de stress post-traumatiques à l’Hôpital Général de Référence de Kalonge. .
  • La question n04 : qui dit que les autres facteurs à la base des troubles de stress post-traumatiques dont souffrent les malades internés à l’Hôpital Général de Référence de Kalonge peuvent être causés par les catastrophes naturelles comme : Tremblement de terre, inondation, incendie, érosion, guerre, etc. Nos enquêtés précisent à 73% que les catastrophes naturelles conduisent aux troubles de stress post-traumatiques. Ceci nous amène à confirmer notre première hypothèse selon laquelle : La dépendance cognitive des causes endogènes, exogènes, les relations avec autrui et l’environnement social seraient les facteurs à la base des troubles de stress post-traumatiques à l’Hôpital Général de Référence de Kalonge.
  • La n05 question  libellée comme suit : A Notre humble avis et en qualité de psychologue clinicien, les stratégies pour lutter contre les stress post-traumatiques dont les malades internés à l’Hôpital Général de Référence de Kalonge sont victimes seraient la chimiothérapie accompagnée de la psychothérapie, 100% de nos enquêtés affirment que la chimiothérapie accompagnée de la psychothérapie serait les mécanismes pour lutter contre les troubles de stress post-traumatiques. Ces résultats nous poussent à confirmer notre deuxième hypothèse selon laquelle Une chimiothérapie accompagnée de psychothérapie seraient les mécanismes spéciaux pour lutter contre les troubles de stress post-traumatiques dont certains malades internés à l’Hôpital Général de Référence de Kalonge sont toujours victimes.

Ainsi, pour cela, nous proposons aux chercheurs qui veulent nous emboîter le pas d’étendre leurs connaissances sur les troubles de stress post-traumatiques sur les examens cliniques et de traitement de ces maladies, donc aller à la rencontre du patient pour recevoir ce qu’il veut lui transférer.

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